Daily Archives: 11 décembre 2009

J’inclus tout le monde en moi

Every Person Has to Find His Own TeacherNous ne réalisons pas combien nous sommes interconnectés. Je suis connecté aux autres via des milliers de liens variés: dans les désirs, l’intention, en pensées, efforts, en tout – comme un seul corps.

Tout le système change si vous modifiez l’un de ses éléments complètement, et il ne peut pas en être autrement, sinon le système ne serait pas intégral.

Etre global signifie connecté de toute part, dans toutes les propriétés, en tout. En raison de cette connexion, chaque personne inclue tout le monde en elle. Moi est moi et les autres sont en moi, lui est lui et les autres sont lui, etc.

Cependant nous ne corrigeons pas le système lui-même, nous ne faisons que découvrir la connexion existant déjà dans le monde de l’Infini.  Cela se nomme ma correction de la brisure, qui est ressentie en chacun de nous. C’est la correction de notre vision, perception.

Si nous corrigeons la connexion et commençons à comprendre le système, alors nous découvrirons qu’il n’y a pas d’individualité. Lorsque nous nous rapprochons de l’Infini, nous ressentons que nous ne sommes pas particulier, mais qu’il n’y a qu’un tout. Tout est si entremêlé qu’il est impossible de se séparer les uns des autres.

Le désir n’a pas de nationalité

chileUne question reçue: Si je lis le Livre du Zohar dans une autre langue, a t-il le même effet qu’en hébreu ou en araméen?

Ma réponse: Peu importe la langue dans laquelle vous lisez le Livre du Zohar. Tout le monde devra étudier ce livre et tout le monde le lire dans sa langue.

Même les parties du Zohar qui parlent des élèments formant les lettres hébraïques, tels que les lignes et les points des lettres, ne sont pas vraiment des lettres, mais plutôt des symboles, des signes et formes qui désignent des forces. Peu importe si vous regardez une lettre de l’alphabet hébraïque ou juste un symbole, ce qui compte est sa signification. En fin de compte, il s’agit du désir d’une personne, et le désir n’a pas de langue ou nationalité. C’est juste un désir.

Lorsque vous traduisez les mots « doux », « amer » ou « aigre » dans d’autres langues – chaque lecteur ressentira ces goûts. Le Zohar parle de sensations et puisque les mots qui semblent différents évoquent les mêmes sensations chez les gens, lire dans une autre langue n’entrave pas la perception de chacun.