Question: Quel est le critère pour évaluer l’efficacité de travail des enseignants aux cours de l’éducation intégrale? Ou sa qualification ne doit pas être remise en cause?

Réponse: Dans notre système, les enseignants sont classés pendant le travail. Supposons qu’on est autorisé 20 personnes à enseigner. Pendant leur travail avec le groupe, nous voyons si une personne convient pour ce travail, et l’autre personne convient pour un autre travail, et ainsi de suite. Pendant plusieurs mois, chacun trouve sa place, ce qui lui convient le mieux, son hobby, et les groupes commencent à fonctionner correctement sous leur direction.

Dans le même temps les enseignants élaborent une méthodologie, prennent des notes, participent à la création de matériel pédagogique, et de matériels auxiliaires. Alors nous voyons qu’il a trouvé à sa place.

Mais parmi eux il y a aussi ceux qui n’ont pas d’expression interne. Dans ces cas, il faut toujours essayer de chercher des états intermédiaires, pour que le travail dans le groupe ne soit pas le travail pour lui, car ici on crée une nouvelle société, c’est vous qui créez! Comme si vous étiez au niveau du Créateur, vous créez d’un animal un être humain!

Vous appelez ces forces qui se cachent dans notre union et qui créent de nous une image collective, « Adam ».

Par conséquent, nous avons besoin de voir des professeurs inspirés et inspirants, sinon ce serait une structure inerte, un groupe qui va se faner tranquillement. Nous faisons attention à cela. Nous pouvons l’atteindre en changeant des enseignants.

En outre, les enseignants évoluent au sein du groupe, car c’est comme dans les grandes écoles. Tout y évolue en fonction de la spécialisation, et ainsi chacun des enseignants est à sa place. C’est-à-dire que dans le groupe les professeurs différents enseignent des disciplines différentes.

D’une  «Discussion  sur l’éducation intégrale» N°12, 16/12/2011

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