Daily Archives: 4 mai 2012

Résoudre les problèmes

Dr. Michael LaitmanLes femmes posent les mêmes questions que les hommes durant les ateliers, elles essayent de vivre ces choses ensemble avec les hommes, pour participer en silence, intérieurement à la solution de ces problèmes, et enmême temps, pour pousser les hommes à les résoudre.

Il existe des problèmes qui sont spécifiques aux femmes, et il y a des problèmes qu’elles ne peuvent pas résoudre parce que la solution repose dans la connexions entre les gens. Ce genre de problème ne peuvent être résolus qu’au niveau du ressenti entre les hommes.

De l’atelier n°4 du congrès de Vilnius du 25/3/12

Livres sur la crise en chinois

The Books About The Crisis in TaiwanThe Books About The Crisis in TaiwanDeux de nos  livres sur la crise ont été publiés récemment en chinois ( caractère traditionnel) à Taïwan

La Crise: Voulez-vous savoir pourquoi?

La délivrance: Comment survivre la crise globale.

L’interview dans le magazine Semana

The Interview In The Magazine “Semana”Le magazine  « Semana » en ligne,  le plus populaire de Colombie a publié l’interview que j’ai donné à leur correspondant lors de ma visite dans ce payx. La version publiée du magazine sortira cette semaine.

Le rôle du cerveau

Dr. Michael LaitmanQuestion: Je ne comprends pas le rôle du cerveau. Comment l’annulons-nous et que faites- vous avec?

Réponse: Vous n’avez besoin du cerveau que pour exprimer correctement vos sensations, les différentes relations, tirer des conclusions et ensuite réactivez vos sensations. Le cerveau travaille entre les sensations: Sensations, cerveau, sensation, cerveau. Le cerveau exprime ce que vous ressentez, la conclusion que je suis sensé tirer de cela et comment connecter les nouvelles sensations. L’alternance entre le cerveau et les sensations se passe de la même façon que l’alternance entre les ascensions et les descentes. Vous pouvez les contrôler, vous allez vous y habiteur.

Question: Nous savons que le cerveau sert les sensations. Comment savez vous que vous perlez de votre cerveau et non de vos sentiments? Quelle est la différence?

Réponse: Si vous devez exprimer les sensations après les avoir vécu, vous les exprimez avec votre cerveau, les généraliser, les différencier entre elles et ce n’est qu’après que vous exprimez la pensée voulue.

De l’atelier n°4 du congrès de Vilnius, du 24/3/12

Devons-nous apporter la lumière à nos familles?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Nous, les hommes comprenons comme interagir dans le groupe et ce qui nous inspire. La quesiton est comment amenons nous la lumière que nous attirons à la maison, à nos familles?

Réponse: Epargnez à votre femme cette souffrance. Je comprends que voulez vite raconter toutes les belles choses que vous apprenez. Faites une pause. Je suis sérieux, ne racontez pas, toutes ces choses ne peuvent être réaliser que dans le groupe et non en dehors de lui.

De l’atelier n°4 du congrès de Vilnius du 25/3/12

Le Créateur – l’enseignant

Dr. Michael LaitmanQuestion: J »aimerai rester avec vous le plus longtemps possible

Réponse: Tout d’abord quand les gens se traient correctement, ils pensent que c’est bien de se trouver à proximité. Je ne sais pas s’il existe un meilleur endroit où être.

Deuxièmement, si vous parlez de moi, l’enseignant reste avec ses étudiants autant qu’ils en ont besoin. Dès que ce besoin disparait, il n’y a pas d’autre travail, il est transféré à un autre endroit.

Ainsi, il n’y a rien de terrible ici. Vous ne devez penser qu’à comment réaliser ce qui est écrit dans les sources essentielles et c’est tout. Qu’il y ait un enseignant ou pas, ne dépend pas de nous. Le plus important est ce que nous faisons maintenant. S’il existe de tels groupes, si les femmes les aident activement, les soutiennent, les dirigeant vers le centre du groupe, vers les désirs de découvrir le Créateur,alors tout ira bien.

Un enseignant n’est pas nécessaire: le Créateur, la lumière vous enseignera. En fait, c’est ce que nous essayons de « comprendre » ici – la méthode de travail avec la lumière.

De l’atelier n°4 du congrès de Vilnius du 25/3/12

Pour ne pas oublier

Dr. Michael LaitmanQuestion: Vous répétez constamment que la seule chose que nous devrions faire est de travailler avec la lumière, mais nous sommes si sourds que nous oublions immédiatement. Pourquoi cela arrive t-il?

Réponse: Le travail avec la lumière est narrer dans tous les livres, et nous l’oublions parce que notre égoïsme, notre nature est contre ceci. La seule chose qui puisse nous aider est l’environnement, cependant l’environnement ne pense pas à cela, et ne fait que parler, et nos mots ne donnent rien. Si l’environnement pense contamment à rechercher cela, vous n’oublierez pas.

De l’atelier n°4 du congrès de Vilnius du 25/2/12

Ne fuyez pas la reconnaissance du mal

Dr. Michael LaitmanSi quelqu’un me montre ne serait-ce que le plus petit défaut en moi, je commence à le haïr en fonction de mon ressenti négatif qu’il me procure. Je m’éloigne immédiatement de cette personne. Nous fuyons instinctivement les accusations.

Qu’est-ce-qui peut m’aider à atteindre un tel état où je révèle entièrement monmal et me rend heureux parce qu’il commence à se dévoiler en moi et en même temps, je le sens comme étant très mauvais, m’amenant à vouloir m’en séparer? Ensuite j’atteinds la sensation maximale du mal qui me fera crier vers le Créateur. Qu’est-ce qui m’aidera à rester sur le chemin et non à fuir la connaissance du mal?

Du cours n’°4 du congrès de Vilnius

(suite…)

La naissance du nouveau monde

каббалист Михаэль ЛайтманDans le monde globalisé d’aujourd’hui, nous sommes tous liés les uns aux autres bon gré mal gré, et cet état est plein de dangers car il peut provoquer une explosion, une guerre mondiale. On en dit déjà beaucoup, mais il semble qu’on n’a pas de solution.

Maintenant que notre égoïsme a terminé son développement et ne nous pousse plus à aller de l’avant, une grande pression à l’intérieur  du système intégral en conditions d’interdépendance universelle, peut nous conduire vers quelque chose d’imprévisible. Alors nous serons prêts à faire n’importe quoi pour briser ce lien. C’est la spécificité de notre temps.

Des milliers d’études scientifiques montrent que nous avons atteint un point crucial de notre développement, une période sans précédent dans l’histoire humaine. Auparavant, nous étions toujours poussés par notre égoïsme, et nous savions qu’au moins nos enfants seront heureux. Mais aujourd’hui nous n’avons plus l’espoir que nos enfants vivent mieux que nous. Au contraire, bientôt nous épuiserons complètement les ressources de la terre, polluerons l’environnement, nous nous priverons de l’eau potable et de l’air pur. En conséquence, nous ne pouvons plus continuer à nous développer nulle part.

Cette crise est en fait le point essentiel à partir duquel la nouvelle humanité commence à naître. Ce n’est pas par hasard que le mot crise en grec ancien (κρίσις) signifie une naissance, un tournant, le point à partir duquel la nouvelle vie commence. Par conséquent, en observant la situation actuelle, nous devons comprendre ce qui est nouveau ici? Qu’est-ce qui s’ouvre devant nous?

Le problème est que jusqu’ici nous évoluions grâce à une seule force négative, qui formait en nous les différents besoins et nous poussait en avant pour les réaliser. Il nous manque la seconde force – force positive, attirante et unissante. Elle n’existe pas dans la nature humaine. Quoi que nous fassions, nous le faisons uniquement dans un intérêt personnel en utilisant les autres gens.

Où pouvons-nous prendre la deuxième force? Après tout, notre corps, et, en général, tous les systèmes naturels sont basés sur l’interaction de deux forces opposées: plus et moins, la chaleur et le  froid, la pression et le vide etc. Dans la nature inanimée, végétale et animale on a toujours l’opposition de ces deux forces, et la vie évolue notamment en mettant en équilibre ces deux forces, en harmonie entre elles, dans une bonne absorption et l’isolation. Cependant, sur le plan humain, au niveau de notre conscience, la  force positive n’existe pas, mais seulement la force négative qui me pousse constamment à utiliser ce que je vois, et recevoir ce que je veux.

Aujourd’hui nous sommes à l’apogée de cette tendance. En cet état nous avons besoin de comprendre le manque de la deuxième force positive. Cette force, nous devons la développer nous-mêmes.

De nombreux scientifiques étudient le problème. L’Institut ARI coopère avec des centaines et des milliers de spécialistes du monde entier. Ils sont tous unanimes sur cette question: sans la force positive, nous ne pouvons pas continuer à aller de l’avant. Mais où peut-on la trouver? La réponse est simple. L’Homme lui-même doit former la source de cette force, en construisant une nouvelle société humaine.

Nous savons que nous nous développons à travers l’environnement. Un enfant laissé dans la forêt, deviendra un animal et ne se développera pas en un être humain. Par conséquent, en fonction de l’environnement dans lequel nous le plaçons, nous aurons des résultats équivalents. C’est pourquoi nous sommes si soucieux de savoir avec quels amis jouent nos enfants, dans quelle école ils vont, les gens avec qui ils parlent. L’environnement nous façonne.

Donc, si aujourd’hui nous devons créer un homme nouveau, qui vit en harmonie avec les autres, nous devons organiser pour lui un nouvel environnement, qui l’apprendra à penser intégralement. L’environnement basé sur l’altruisme, et non pas sur l’égoïsme. 

Aujourd’hui, avec l’interdépendance mondiale croissante, nous la ressentons déjà à travers les relations entre les Etats. La pression sociale continuera également à augmenter. Donc, nous sommes obligés de nous soucier de nous-mêmes.

Tout dépend comment nous organisons l’environnement. Personne n’est pas satisfait de la situation actuelle. Les conflits s’exacerbent  partout dans le monde, le désespoir s’accroît. Il n’y a pas d’alternative, il est temps de développer une méthodologie pour une nouvelle éducation intégrale, attirer la force positive. Alors nous verrons que la crise actuelle révèle la force négative notamment pour que nous puissions lui opposer la force positive. Ainsi, la société (de n’importe quelle taille), comme toutes les parties de la nature, se forme sur les deux forces: positive et négative. Et là, entre ces deux forces, en équilibre entre eux, nous trouverons la nouvelle vie au niveau humaine.

Nous sentirons l’harmonie dans la nature qui est cachée de nous parce que nous travaillons avec une seule force. En s’élevant au-dessus de la nature inanimée, végétale et animale, et en travaillant sur le plan humain, en recherchant la force positive et en l’équilibrant avec la force négative, nous ferons connaissance avec le système parfait de la nature, révélerons les forces qui nous dirigent au-delà du voile de la matière. Tout à coup, nous découvrirons cette grande force qui a créé la vie et qui la conduit sur le chemin de l’évolution. Et nous continuerons à nous développer, mais déjà consciemment et nous utiliserons ces forces consciemment en se progressant avec eux.

Ainsi, notre état actuel est la vraie naissance. Et tout dépend de nous, de notre possibilité d’organiser une éducation intégrale. Ce n’est pas par hasard que la crise actuelle est globale, elle concerne tout le monde, et en revanche, nous devons trouver un point d’équilibre général.

C’est à ce moment-là où nous nous sentirons vraiment heureux. Après tout, nous commencerons à révéler l’éternité, qui est cachée dans la nature, et nous nous sentirons exister sur le plan humain, indépendamment de notre corps. Dans notre conscience nous nous élèverons au-dessus de notre corps et découvrirons la « couche d’information » de la nature, qui dirige l’univers tout entier. De nombreux scientifiques en parlent aujourd’hui, ceux notamment qui ont rapport avec la physique quantique.

En conséquence, l’éducation intégrale ouvrira pour nous des nouveaux horizons de la science, de la culture, de la société et de la famille. Ainsi, nous donnerons un nouveau souffle pour nos vies et nous assurerons un meilleur avenir.

De la conférence au Chili du 01/05/2012