Daily Archives: 25 décembre 2011

La formule pour la répartition des moyens

Dr. Michael LaitmanQuestion: il y a 15 ans, j’ai participé à une formation de développement personnel, qui a été divisée en plusieurs étapes. La dernière étape a été réalisée dans la vie réelle. Nous nous sommes réunis et avons discuté de choses qui étaient réellement intéressantes. Ce qui était fondamentalement différent dans ​​ce lieu, c’était qu’il était soutenu par l’argent, gagné ailleurs. Comment cela peut-il être réalisé en fonction de votre programme? Une question se pose: où vais-je obtenir le même appartement, le même pain, vêtements, etc?

Réponse: Devenez une partie de cette société de l’avenir. Prenez 100% de la population avec 100% de toutes les ressources et distribuez-les sur la base du calcul que la société travaille pour fournir à tout le monde un minimum normal nécessaire pour vivre. Et le reste du temps les gens ne dépensent que pour créer une connexion intégrée entre eux.

Vous verrez où vous devez prendre et où vous avez besoin d’ajouter quelque chose, et combien de ressources vous aurez besoin pour créer cette connexion intégrée. Naturellement, la société aura besoin de gagner ces ressources. 

Discussion sur l’éducation intégrale, le 11/12/2011.

Passer dans le monde spirituel

Dr. Michael LaitmanNous savons par la sagesse de la Kabbale que toutes les meilleures choses dans nos vies personnelles –  que ce soit notre égoïsme actuel ou quelque chose de supérieur vers quoi nous aspirons, tous les bienfaits dans le désir de plaisir ou le désir de plaire, que ce soit dans ce monde ou le monde supérieur –sont seulement réalisées par l’unité.

Aujourd’hui nous découvrons cela dans des formes assez difficiles et désagréables: nous rencontrons des difficultés et sommes submergés par la crise. Tout cela est conçu pour nous montrer que nous devons nous unir, car nous n’avons tout simplement pas d’autre choix. La nature nous presse sans nous laisser d’espace libre pour manœuvrer.

La sagesse de la Kabbale nous offre son aide dans ces conditions. Elle dit: «Je vais vous aider à atteindre l’unité. Voyez vous-mêmes qu’il n’y a pas d’autres options. C’est la seule façon de régler votre vie. »

Supposons que nous n’en voulions pas, mais comment pouvons-nous acquérir le bonheur? Nous sommes attirés par l’éternité, la perfection, la satisfaction à la fois ici et dans le monde futur, nous voulons aller au-delà de la vie et de la mort. Si nous devions faire une liste de la façon dont nous envisageons le bien-être de la consommation, il  n’y aurait pas grand chose – tout au plus dix points .Globalement, cela renverrait au plaisir, indépendamment du fait qu’il soit dans le cœur ou l’esprit. Et la seule façon d’y parvenir c’est en unissant.

Donc, aujourd’hui, quand nous découvrons cela dans le désespoir, la Kabbale vient à la rescousse. Elle ne propose pas de faire en quelque sorte le tour de cet état fixé, elle ne promet pas de protection ; elle ne nous mène pas vers le monde spirituel à travers la porte dérobée. C’est tout simplement impossible car cela fait référence à une loi de la nature.

Pourtant, la Kabbale aide à réaliser cela  de la bonne façon. Oui, cette condition est désagréable, inconfortable, amère au goût, mais l’amertume peut se transformer en douceur, et l’inconfort peuvent être surmontés grâce aux efforts communs, à la musique, à un flux de sentiments communs joyeux, aux cérémonies festives, et aux programmes de divertissement.

Il y a un travail difficile devant nous, nous devons passer par une transformation intérieure. C’est comme une personne malade qui accepte la chirurgie en sachant qu’elle aura une meilleure vie après.

Et la sagesse de la Kabbale nous aide à passer par cette chirurgie, qui nous changera radicalement. Notre mode de pensée, notre perception et notre compréhension du monde, notre perception de la réalité, toutes nos actions, tous nos objectifs, tous les mécanismes de l’esprit et des sens – toutes ces choses doivent se transformer. Nous devons désinstaller l’ancien programme et en installer un nouveau.

La Kabbale explique que vos qualités de base ne changent pas. Vos qualités inhérentes et les compétences acquises resteront comme elles étaient. Vous ne modifiez que le programme, selon lequel vous atteignez des objectifs différents dans la vie. Et puis, vous voyez tout à coup que chacun d’eux peut être réalisé.

Aujourd’hui vous êtes déçu et désemparé à cause du  mauvais programme. Vous devez le mettre à jour, et  cela vous permettra d’atteindre toutes les meilleures choses que vous voulez maintenant.

Et peu à peu, l’homme prend des mesures dans cette voie. Par ailleurs, les changements ne sont pas causés par la pression naturelle de la souffrance d’En-Haut à travers laquelle la Nature nous révèle toujours des problèmes et des défauts, nous forçant à courir. Lorsque nous nous sentons comme accrochés à une poignée, nous nous orientons naturellement vers l’état suivant.

Comme le Baal HaSoulam l’a dit, nous sommes incapables de rester en l’état actuel quand il devient insupportable, et c’est pourquoi  nous passons à l’état suivant sans avoir d’autre choix. Ce nouvel état ne fait pas appel à nous ;  sinon nous aurions choisi de commencer par lui .Selon notre nature, nous tournons autour, tant que nous pouvons  le gérer, et nous acceptons seulement les changements quand nous atteignons notre seuil d’endurance.

Et même alors, la situation n’est pas des plus agréable -c’est comme si nous avions besoin d’aller quelque part, de quitter notre maison avec toutes nos possessions,  de rejoindre le nouveau lieu, et de nous y assimiler …. Ces changements posent beaucoup d’inconfort. Mais la souffrance augmente tellement que cela nous oblige à faire ce «mouvement ». C’est ainsi que nous avançons à travers les étapes du développement humain.

D’autre part, la Kabbale ouvre de nouveaux horizons, nous montre comment bonne y sera notre vie,  en avant.  Après tout, l’objectif de la Nature n’est pas de nous pousser par des coups, mais elle crée des conditions pour que nous développions notre propre cheminement vers le bien.

Et puis au lieu de la pression venant de derrière, nous nous sentirons tirés en avant. Cela aide vraiment: avant notre train aurait été secoué par les secousses du moteur attachés dans le dos, mais maintenant un autre moteur tire de l’avant.

La Kabbale dit qu’au  21 ème siècle, notre développement  sera  réalisé par l’unité. Cela n’est jamais arrivé auparavant, avant que chacun ne soit développé individuellement, mais maintenant le temps est venu de s’unir, de devenir inclus dans un autre, pour que chacun puisse y acquérir un récipient commun. Alors tout le monde va grandir au même niveau que tout le monde, comme il est écrit: «Le particulier et le général sont égaux » . Tout le monde se sentira similaire à l’Infini, la force supérieure, percevant et embrassant toute la réalité à l’intérieur de  soi.

L’homme doit acquérir une deuxième force pour réaliser ceci –la force du don sans réserve, et l’’inclusion mutuelle avec les autres. Et c’est pourquoi il est amené à un groupe, un état de sa première union, même si cette union est externe, il s’agit d’une union avec des gens comme lui qui aspirent au même but.

En lisant le Zohar, nous aspirons à cette force, qui nous attire, et nous faisons des efforts pour nous unir entre nous. Nous aidons cette force, nous  participons  au processus et avançons vers l’objectif au lieu d’aller vers lui  sous la pression de la force initiale de la souffrance. Nous nous tournons vers le chemin de la Lumière à partir du chemin de la souffrance.

Le Zohar décrit les choses que la Lumière fait pour nous, et c’est pourquoi quand nous pensons à l’unité et aspirons à la Lumière, la lecture se transforme en un effort intérieur spirituel. C’est juste comme un enfant qui essaie dur pendant un jeu, et qu’un adulte va tout faire pour qu’il y arrive Ici nous essayons de mettre en œuvre une certaine action, mais cette action n’est pas physique, elle est intérieure. Et une fois que nous en sommes conscients, nous sentons le résultat – et le résultat est aussi intérieur. 

 De la 2 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 30/11/2011, Le Zohar

Le pouvoir de l’habitude

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, « La liberté” : « Ainsi, il a considérablement amélioré le penchant qu’il avait héritée de ses ancêtres. Et parfois, on parvient à extirper complètement une mauvaise tendance. Ceci se fait par habitude, qui a la capacité de devenir une seconde nature.  »

Une habitude devient une seconde nature et il faut une sensibilité préalable pour s’en rendre compte. Après tout, nous parlons d’actes spéciaux, orientés vers un but, qui changent ma nature.

C’est ainsi que nous nous comportons aussi avec les enfants, quand nous les laissons faire la même tâche, encore et encore jusqu’à ce qu’ils commencent soudainement à la faire par eux-mêmes. Si vous essayez d’arrêter un enfant de faire quelque chose dont il a déjà pris l’habitude, vous ne réussirez pas. Pour lui, l’habitude est déjà associée au plaisir. Avant, il agissait sous notre pression, craignant d’être puni s’il ne le faisait pas, mais maintenant, il y voit un avantage, l’absence de punition et même une récompense.

Finalement l’action qui était auparavant indésirable, est maintenant récompensée, et cette association est enregistrée dans son cerveau. Maintenant, même si je ne le suis pas, il continuera à se brosser les dents matin et soir, même si personne ne lui donne de bonbon pour le faire. Le modèle de la sucrerie est déjà dans son cerveau et fonctionne avec succès.

Telle est l’habitude. Ce n’est pas seulement une habitude, mais une association existant dans son cerveau, qui relie l’action avec les bonbons. Qui plus est, si je ne fais pas ce à quoi je suis habitué, c’est comme si j’étais puni, bien qu’apparemment rien de tel n’arrive.

Nos habitudes sont liées au tabagisme, à l’alimentation, à la façon de nous habiller et à de nombreuses choses différentes. Elles sont constamment actives, que nous les remarquions ou pas.

C’est un «mécanisme» complexe qui renvoie au désir, dans lequel chaque action ou chaque pensée est liée à un souvenir de plaisir. Ce plaisir est éternel, il est enregistré et demeure en moi, en plus du facteur premier. Même s’il n’est pas révélé à l’heure actuelle, mais plutôt dans le passé, c’est-à-dire non dans la Lumière intérieure, mais dans la Lumière environnante, je le ressens encore.

Ainsi, l’habitude est issue de la coopération mutuelle entre la Lumière et le récipient. Soit nous la créons par nous-mêmes ou nous la recevons de l’extérieur : de nos parents ou d’autres personnes.

De nombreuses actions humaines sont basées sur ce schéma. En l’utilisant, nous dressons des animaux, éduquons les enfants, et nous nous habituons à faire des choses … même quand nous nous entendons bien avec quelqu’un et que nous avons une certaine attitude envers lui, nous agissons selon des schémas, auxquels nous sommes habitués.

Ainsi, une habitude devient une seconde nature. C’est l’une des lignes dans le tableau.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 20.12.11, «L’étude des dix Sefirot« 

Devancer les coups

Dr. Michael LaitmanQuestion : Considérer les intérêts de toutes les autres personnes dans chacune de mes actions est-ce bien une connexion intégrée ?

Réponse : Oui. Mais cela doit être étudié, enseigné, et pratiqué. La société toute entière doit participer à cela. Absolument tout le monde doit devenir étudiant du nouveau monde, chacun doit l’étudier.

Notre manque de connaissances à ce sujet est la source de tous nos problèmes actuels. Nous sommes entrés dans un nouveau système d’interaction entre la nature et nous, des interactions dans la société humaine, dans l’unité universelle du monde, et nous ne savons pas comment agir. J’ai été propulsé dans un monde nouveau et ne connais absolument aucune de ses lois. Je suis comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.

Tout d’abord, nous devons comprendre un principe très simple : la nature va nous y amener de toute façon. Si vous désirez atteindre le bonheur par la force – JE vous en prie ! Si vous souhaitez vous y rendre facilement et rapidement – faite-le ! Le moyen facile et rapide est la voie de la réalisation indépendante et du consentement volontaire, quand nous nous devançons les coups arrivant par derrière.
Discussion sur l’éducation intégrale 11/12/11

Le projet de simulateur de la vie terrestre

Dr. Michael LaitmanAux Nouvelles (extrait de Nouvelles Rafraîchissantes) : « L’Union européenne est prête à financer un système de 900 millions de livres pour produire un système informatique qui pourrait prédire la propagation des maladies et des crises financières imminentes.

« Le projet du simulateur de la vie terrestre (ERP), soutenu par d’éminents scientifiques, vise à « tout simuler »sur la planète, en utilisant tout, des tweets aux statistiques du gouvernement, afin de retracer les tendances sociales et de prédire la prochaine crise économique.

«En utilisant des rames énormes de données introduites sur Internet, les tendances peuvent être repérées par l’analyse des informations grâce aux ordinateurs les plus puissants du monde. »

«L’idée est de rassembler des informations en direct issues d’une vaste gamme de sources et ensuite de les analyser à l’aide des ordinateurs les plus puissants du monde», le Daily Mail a cité Dirk Helbing, un des leaders du projet à l’Institut fédéral suisse de technologie à Zurich, comme le dit le Sunday Times.

« Beaucoup de problèmes actuels – y compris l’instabilité sociale et économique, les guerres, la propagation de maladies – sont liés au comportement humain, mais il y a apparemment un sérieux manque de compréhension concernant la manière dont la société et l’économie fonctionne, dit-il.  »

Mon commentaire : les scientifiques ne comprendront pas l’avenir du monde jusqu’à ce qu’ils deviennent eux-mêmes comme la nature, avec une pensée intégrale et un amour envers leur environnement. Ils découvriront alors les connexions dans la nature, qui leurs furent dissimulées auparavant – les connexions du don, de l’amour et de la garantie mutuelle.

Elles furent cachées à l’homme, parce qu’il ne pouvait pas les découvrir à travers ses propriétés égoïstes. Nous avons besoin d’un tel détecteur, qui permette de contrôler la nature, mais celui-ci ne peut exister que dans un être humain «corrigé». Le projet devrait être appelé «éducation intégrale» ; il donnerait à toutes personnes intéressées l’occasion de révéler le «secret» des forces de la nature.

Elles sont «secrètes» en raison de la différence entre elle, égoïste, et la nature, l’altruisme. Mais selon le degré d’acquisition des propriétés similaires à la nature, une personne révèle la nature du système de gestion globale, et peut elle-même être incluse dans ce système, en tant que part active. Et dans la mesure de sa similitude avec la nature, de son inclusion en elle, la personne reprend toutes ses fonctions et devient le maître du monde, parce qu’elle est en amour parfait avec elle.

Le livre du Zohar en langue tchèque

The Book In Zohar In The The Czech LanguageUn nouveau livre, Le Livre du Zohar, a été publié en langue tchèque (traduction du russe). Le livre a été traduit par les professeurs  de   l’Université de Prague, Nikolaj Savický et Stanislava Savicka,  avec la participation de nos amis du groupe de Prague.

En 2011, le Livre du Zohar a été publié en Italie. Au Brésil, le Zohar est prévu d’y être publié pour le prochain congrès en mai 2012. [63 958

Connaissance avec le nouveau monde

Dr. Michael LaitmanLorsque nous naissons dans le monde du don sans réserve, nous faisons fait sa connaissance, juste comme une personne qui commence un nouvel emploi et  à qui on donne le temps de s’adapter et d’apprendre à connaître son nouveau lieu de travail. Pendant ce temps, on lui enseigne seulement ce qu’il faut faire, et il ne fait qu’apprendre et ne produit rien.

Il est aussi comme un petit enfant à qui on demande seulement  d’écouter et d’apprendre, de regarder et de faire l’expérience des choses. Ce n’est pas grave s’il fait des erreurs ou des actes stupidement. Il sera corrigé. Cela signifie que dans le monde spirituel, nous sommes d’abord traités comme sont traités de petits enfants.

Mais tout cela vient après de grands efforts que nous faisons afin de transcender la Makhsom (la barrière), pour naître dans le nouveau monde et  commencer à vivre dans le monde du don sans réserve. En ce qui concerne l’ensemble de nos travaux antérieurs, le temps après notre naissance est appelé «parking», et Hanoukka  le symbolise (« Chanou-kah » – stationné ici). Une personne atteint une situation confortable. Elle fait encore des efforts, mais ils sont d’un autre genre – afin de connaître le monde de bonté.

Elle travaille obstinément contre son ego. Elle  est semblable à l’errance dans le désert, dont nous parle  la Torah, un temps qui est destiné à la préparation et qui se termine en entrant en Terre d’Israël.

Hanoucca  travaille avec la Lumière de Hassadim , dans l’état de petitesse. Nous devons apprendre à connecter le désir de recevoir qui est révélé maintenant aux forces du don sans réserve.

Dans le don inconditionnel afin de donner sans réserve, nous n’utilisons pas toute la profondeur de ce désir, mais il existe déjà en nous. C’est comme un bébé: il a déjà des jambes, bien qu’il ne puisse pas marcher encore, il a un cerveau bien qu’il n’ait pas appris à penser comme un adulte. Un nouveau-né ne peut rien voir ni entendre, mais il a pourtant des yeux et des oreilles.

Un bébé a tous les organes  d’un adulte. La seule chose qui manque ce sont les dents. Les dents symbolisent le pouvoir de clarifier, qu’il n’a pas encore acquis. Les «dents de lait » ne poussent que quelques temps après, et  elles  ne sont utilisées que pour clarifier la Lumière de Hassadim (le lait symbolise la Lumière de Hassadim) dans l’état de petitesse.

Quand il grandit, il aura des dents permanentes avec laquelle il sera capable de mastiquer et de clarifier le remplissage de ses récipients de réception, la Lumière de Hokhma, et  de sentir les «saveurs» de la Lumière.

Hanoukka est la première partie de notre absorption dans le monde spirituel, le monde supérieur, appelé le «monde du don sans réserve ».  C’est le don sans réserve afin d’y conférer tous nos désirs au niveau du don mutuel sans réserve et d’apprendre comment ce système opère. Nous sommes incorporés comme de petits enfants qui vivent dans le grand monde et qui apprennent à faire quelque chose ensemble avec les adultes, en jouant avec eux.

C’est ce qu’on appelle le «parking», car jusqu’à maintenant, durant le temps de préparation, une personne a travaillé dur contre ses désirs égoïstes. Ensuite, quand elle arrive au degré de «donner pour donner», (Hafetz Hessed), à l’étape suivante, au niveau de l’amour-la Terre d’Israël, elle va commencer à travailler à nouveau avec ses récipients de réception.

C’est pourquoi  Hanoukka est une fête « spirituelle »  et ses symboles sont l’huile et la lumière.

De la première partie du cours quotidien de Kabbale du 22/12/2011, Écrits du Rabash