Daily Archives: 2 juillet 2012

Nous ne sommes pas égaux…

Dr. Michael LaitmanAux infos (deScienceNow): “Pout tester par influence Sinan Aral et Dylan Walker, économistes à New York University’s Stern School of Business à New York City, se sont servis d’une application de Facebook qui permet aux utilisateurs de coter et de recommander des films…

“[Résultats:]  La réalité semble tomber quelque part entre l’influence et la susceptibilité. Les deux sont importantes mais la contagion dépend des traits de caractères des gens, c’est ce que l’équipe rapporte en ligne aujourd’hui dans Science. Par exemple, les personnes de plus de 30 ans sont plus influençables que celles de moins de 30 ans, et les personnes du même âge ont le plus d’influence les unes sur les autres. Les femmes ont tendance à influencer les hommes plus qu’ils ne s’influencent. Mais le plus surprenant est que l’influence et la susceptibilité ne se produisent presque jamais chez la même personne. En fait, dans le réseau social de Facebook, il n’y a que les fixeurs de tendances et les suiveurs.

Mon commentaire: Nous sommes tous différents, et c’est pourquoi il ne peut y avoir d’égalité, elle ne peut être que relatice, quand quelqu’un obtient ce qu’il veut. La distribution du fruit du travail collectif sera réalisée par une société ayant de l’amour pour tous. Ce n’est qu’alors que personne ne se sentira lésé, contrôlé ou exploité.

Marcher ensemble sur une route fabuleuse

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, Introduction au livre du Zohar, point 14,: De là vous trouvez nécessairement que dans tout, il y a trois états des âmes:

Le premier état est leur présence dans Ein Sof, dans la Pensée de la Création où elles ont déjà la forme future de la fin de la correction.

Le second état est leur présence dans les 6 000 ans qui sont divisés en deux systèmes susmentionnés, en un corps et une âme On nous a donné de travailler la Torah et les Mitsvot afin d’inverser le désir de recevoir, de l’amener à un désir de donner sans réserve et faire plaisir à leur Saint béni soit-Il et non à des fins personnelles.

Durant le temps de cet état, les corps ne seront pas corrigés uniquement les âmes. Ce qui signifie qu’ils doivent éliminer toute forme de réception personnelle, qui est considérée comme le corps, et ne rester qu’avec le désir de donner sans réserve qui est la forme du désir dans les âmes.

Même les âmes des justes ne pourront atteindre le Jardin d’Eden après leur mort, mais seulement après que leurs corps se soient décomposés dans la poussière.

Le troisième état est la Fin de la réparation des âmes après «la résurrection des morts», à ce moment, la correction complète arrivera aux corps également, de là ils changeront la réception pour soi, qui est la forme du corps, et prendront la forme du don pur. Et ils mériteront de recevoir pour eux-mêmes toute la bonté et plaisirs et délices dans la Pensée de la création.

Et avec tout ceci, elles gagnent une forte adhésion par la force de leur équivalence de forme avec Lui.

Nous traversons actuellement la phase de préparation. Ensuite vient la phase de la peur, Bina, Hafetz Hessed, de donner en vue de donner. Puis vient le niveau de l’amour, de recevoir en vue de donner.

En tout, nous traversons ces trois niveaux. En chemin, notre désir de recevoir se révèle davantage en nous, et est corrigé d’après cela, tout d’abord par la 1ère restriction et ensuite pas l’attribut de Bina, et ensuite par l’attribut de Hokhma, jusqu’à ce que nous atteignons le niveau de Kéter.

A présent nous sommes sur le point de commencer la seconde phase dont le Baal Ha Soulam parle, le système des mondes de ABYA afin d’arriver à la fin à la troisième phase et de retourner à Ein Sof (infini)

Entre temps, nous sommes néanmoins dans notre monde, signifiant au niveau le plus bas de perception du désir brisé qui a été créé après la descente du monde de Ein Sof. Nous pouvons dire que cette réalité est imaginaire, nous pouvons dire que nous vivons dans un rêve, mais d’une façon ou d’une autre, c’est à partir de cette réalité que nous devons commencer à nous réveiller.

Quand nous nous réveillons, nous ne découvrirons rien de nouveau, mais uniquement ce qui est en nous. En travaillant correctement sur notre désir de recevoir, nous découvrons des couches plus profondes et plus intérieures à chaque fois et c’est ainsi que nous grandissons. Ces couches sont divisées en niveaux des mondes de BYA, Atsilout etc., tout le chemin jusqu’au niveau de Ein Sof. Ils sont tous révélés dans notre désir de recevoir. A présent notre désir de recevoir est petit, comme celui d’un bébé, mais nesuite il commence à grandir, prend différentes couleurs et différents attributs par rapport à la force intérieure qui est appelée le Créateur qui nous ramène à la vie.

Je ne sais pas qui Il est ou ce qu’Il est, mais je veux L’atteindre. Après tout Il est en moi, Il est la source de toutes les froces et je veux atteindre cette racine en moi. Pour cela, je dois Lui ressembler. Je ne L’atteins pas véritablement, car c’est impossible, mais j’atteins Ses attributs, Son attitude, les actions qu’Il fait sur moi. Si je réalise les actions qu’Il fait, je Le comprendrai, d’après le principe « par Tes actions nous Te connaitrons »

C’est l’atteinte. Je ne peut pas entrer dans le Créateur mais je peux réaliser des actions qui sont identiques aux siennes et avec elles je comprends qui Il est, comment Il pense et ce qu’Il veut.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 28/6/12 Introduction au livre du Zohar.

Un récipient pour la lumière de la vie

Dr. Michael LaitmanDans le création il n’y a qu’une lumière et un récipient pour elle. Le récipient pour la lumière n’est pas le désir de recevoir que le Créateur a créé, mais l’aspiration pour le supérieur qui émerge de l’être créé lui même.

Le Créateur évoque la créature par une étincelle de lumière pour que cette créature soit capable de développer cette aspiration à l’intérieur. La créature doit se servir de cette étincelle correctement en se tournant vers l’environnement, ce qui signifie vers une force extérieure, car à l’intérieur d’elle il n’y a qu’un désir initial et une étincelle.

Le désir est au compte du Créateur et il ne peut pas devenir un récipient pour la lumière, c’est juste un désir général de recevoir. L’étincelle dirige ce désir vers une force extérieure vers un facteur extérieur. Si par ce facteur extérieur, la créature se développe et par le facteur intérieur supplémentaire, ce désir qui est créé par la créature elle même deviendra un récipient pour la lumière.

Ce désir supplémentaire ne peut être que le don sans réserve, parce que le désir de recevoir est dans la nature de la créature, quelque chose qui est différent de ce désir ne peut être que le désir de donner sans réserve.

Cela pourrait ressembler à la lumière de Hokhma qui serait la lumière de l’esprit qui remplit tous les désirs avec la compréhension, mais ce n’est pas le cas. La lumière de Hokhma est la lumière de la vie. C’est la lumière qui a créé le désir de recevoir opposé à elle. Ainsi elle remplit ce désir et lui donne vitalité.

Le récipient pour la lumière de Hokhma est la mesure de Hassadim, la mesure du don que la créature peut développer en elle. C’est pourquoi il est dit « Il donne sagesse (Hokhma) au sage », signifiant que la lumière de Hokhma entre dans un récipient qui est spécialement pour Hokhma, le désir de recevoir qui désir ardemment donner sans réserve, signifiant ressembler au Donneur. Alors la lumière de Hokhma se revêt dans un tel récipient.

Plus la créature s’efforce d’atteindre un manque pour la lumière de la vie (la vie symbolise le don sans réserve), plus la lumière de la vie, la lumière de Hokhma se revêt en elle et se révèle en elle. La lumière ne vient pas de loin, elle est révélée dans la créature, car elle y a toujours été et ce n’est qu’à présent qu’elle se révèle.

Ainsi, nous n’avons qu’à essayer de ne pas être stupide et de ne pas espérer recevoir la lumière en vue de recevoir, mais de comprendre que l’étincelle que nous avons reçu a été donnée pour que nous puissions développer l’attribut du don en nous avec l’aide de la force extérieure, signifiant avec l’aide de l’environnement. Cette force extérieure nous apportera le désir ardent pour le don, symbolisé par la vie et par la lumière de la vie.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 28.6.12, Shamati n°145