Daily Archives: 2 octobre 2014

Devenir un Kli qui révèle la Lumière Supérieure

Dr. Michael LaitmanChaque futur congrès devient le prochain niveau après le congrès précédent. Mais le congrès à Saint-Pétersbourg a été unique.

Les gens arrivent et se rassemblent ici, qui se sont préparés intensivement au cours de l’été : c’est le groupe de Sotchi. Tout le reste se joint à eux, tous ceux qui étudient avec nous. En règle générale, nos meilleurs représentants de tous les groupes se réunissent ici.

Ainsi, en pensant au travail qui a été fait, j’espère que nous pouvons nous regrouper et atteindre un tel état que notre connexion sera égale à la première phase de la Lumière, et de ce fait nous la découvrons en nous. Pour l’essentiel, il n’y a pas de Lumière. Ce que nous appelons Lumière est une caractéristique mutuelle du don sans réserve et de l’amour que nous découvrons entre nous au premier niveau le plus minime.

Le Baal HaSoulam utilise l’exemple d’un courant électrique. Nous ne savons pas ce que c’est, mais nous voyons sa manifestation dans la chaleur du fil dans une lampe, ou le fonctionnement de certains systèmes, le travail d’appareils, de moteurs et ainsi de suite. Cela signifie que nous parlons toujours du résultat, de la découverte d’une force qui œuvre, mais que nous ne comprenons pas.

C’est aussi la même chose ici. Quand on veut grandement découvrir la force unique de la nature, alors elle est découverte. Elle existe, mais elle est intangible pour nous. Et afin de la sentir, nous devons lui permettre d’agir quelque part, d’être découverte dans quelque chose. C’est exactement comme un courant électrique ; aussi longtemps que nous ne l’appliquons pas à quelque chose, nous ne savons pas s’il existe ou pas.

Selon le même principe, le travail se fait aussi avec l’énergie générale la plus élevée, qui comprend en son sein tous les autres types d’énergie que nous appelons « Lumière ». Nous devons faire de nous un tel dispositif, qui révèle cette Lumière qui l’occasionne, qui appelle son mouvement, et nous devenons un Kli, un moyen, un mécanisme, une base sur laquelle elle se découvrira.

Pour ce faire, nous devons essayer de nous connecter entre nous, de nous adapter en permanence à la caractéristique de la Lumière. Dès le moment où notre état, nos efforts, l’unité entre nous, atteignent une ressemblance minime avec la Lumière, elle commencera alors à être découverte.

Du congrès de Saint-Pétersbourg, Leçon préparatoire n°2 du 18/09/14

Vers le but désiré

Dr. Michael LaitmanQuestion: J’ai des amis dont je ressens l’influence; J’ai une connexion avec eux. Et si je veux inclure tout le monde en moi, j’ai besoin d’aide. Je ne comprends pas d’où ielle viendra ; Qui dois-je demander?

Réponse: Au sein de notre unité, il existe véritablement une force qui nous unit et nous tient ensemble, mais en attendant, nous ne la sentons pas. C’est ce qu’on appelle la Lumière qui ramène vers le bien. C’est l’union et la force de la connexion qui nous voulons sentir entre nous.

Question: Comment est-il possible de s’accrocher à ce point et de ne pas le lâcher?

Réponse: Vous fuyez tout ce qu’il y a à l’exception de ce que votre corps veut à un moment donné. Et il veut manger, dormir, se reposer, et se divertir.

Cela signifie que, dans tous les cas, vous agissez toujours contre votre corps. Pour cela, il existe un environnement qui vous oblige à aspirez à la spiritualité. Il n’y a rien à faire! Mais si vous comprenez votre objectif, il devient désirable.

Du congrès de Saint-Pétersbourg 18.09.14, Leçon préparatoire 1

Développer l’esprit d’unité

Dr. Michael LaitmanQuestion: Dans un atelier, nous aspirons à un état ​​d’unité tant que nous commençons à sentir l’accord de tous d’y parvenir. Mais s’il n’y a pas de sentiment comme celui-ci, est-ce la peine de continuer jusqu’à ce que nous l’obtenions?

Réponse: Il apparaît progressivement dans un groupe d’amis qui sont connectés les uns aux autres par un grand nombre de conditions externes. Et s’ils travaillent sur ​​eux-mêmes régulièrement, avec une connexion partagée, s’obligeant à parler et discuter de tout, alors une mesure (indication) apparaît en eux qui montre s’ils se sont suffisament  coordonné pour qu’ils sentent déjà cette unité et de s’y accrocher.

Et si quelqu’un quitte cet état même un peu, il sent immédiatement; qu’un sentiment intérieur apparaît en lui, qu’il est «tombé en dehors de » quelque part, et il doit remonter et s’unir aux amis en permanence.

L’esprit de l’unité dépend de chacun de nous. Donc, discuter de ces situations, soutenez les amis les plus vulnérables; essayez de les développer de toutes les façons possibles, « injectez» cet esprit à tous le monde  à travers vos pensées et votre comportement. Vous devez le faire!

Nous voyons que toutes les personnes au cours de l’exode d’Egypte ne pouvaient pas tout faire, seuls les prêtres (Cohanim) et les Lévites, une petite partie de la population, un groupe, le pouvaient. Qu’est-ce qu’un «peuple» veut dire? Il s’agit d’un groupe dans lequel il n’y a pas beaucoup de gens qui soient prêts à aller de l’avant en suivant l’enseignant  en montrant un exemple de la réalisation de cette idée.

Dons, nous travaillons ensemble sur tout le reste et sur ​​le monde entier.

Du congrès de Saint-Pétersbourg 18.09.14, Leçon préparatoire 1