Category Archives: Ateliers/séminaires

À chacun le sien

Dr. Michael LaitmanQuestion: au cours des ateliers, le travail pratique sur l’éducation intégrale fut établi. Bien que ces ateliers soient organisés non seulement pour le 1% de la population travaillant sur leur propre correction et celle du monde, mais aussi pour les 99%. Ces deux groupes discutent dans des cercles de dix personnes. En quoi ce travail est-il différent pour ces deux groupes?

Réponse: La différence est que dans le cercle des kabbalistes, l’intention est dirigée vers leur unité. Ils aspirent, dans cette unité, à créer un désir commun, appelant l’émergence de la force dirigeante de la nature, qui nous est cachée.

Cependant, quand les gens ordinaires se rassemblent en cercle, ils se concentrent sur l’émergence d’un désir commun entre eux, dans lequel ils verraient la solution de leurs problèmes terrestres.

Ils n’ont aucune incitation à contacter la force supérieure, la force intérieure de la nature, qui déplace tout, contrôle tout, et fait tout avancer, mais ils manquent également d’une telle relation, de compréhension, et d’aspiration pour celle-ci. Autrement dit, ils considèrent la nature simplement comme la nature, et puisque nous sommes arrivés dans notre développement à un tel état, alors maintenant nous devons simplement trouver la manière de continuer à nous organiser pour que tout soit normal, c’est ainsi.

Ces gens discutent entre eux de tous leurs problèmes matériels: l’éducation des enfants, la famille, le travail, la disparité des revenus, la sécurité sociale, l’assurance maladie, et comment nous pouvons régler tout cela. Ils mettent en place le gouvernement, international, ou même des tables rondes, à travers le monde, où tout cela est  peu à peu examiné et clarifié: comment nous voyons les solutions à ces problèmes, sur la base de notre unité. Ils devraient être conduits vers cela.

Comme ils participent à des événements d’union, ils vont commencer à changer. En échangeant leurs impressions sur l’unité et en étant de plus en plus imprégnés par l’unité, ils iront plus loin, et grâce à la force de l’unité, ils changeront progressivement l’ensemble de nos anciennes structures égoïstes.

Mais les kabbalistes travailleront sur l’attraction de la force supérieure et la manifestation de celle-ci  au sein de leur unité. Elle montrera et révélera les niveaux cachés du monde, et, par conséquent, ils verront ce qu’il faut faire et comment résoudre tous les problèmes de ce monde. Toutefois, le point le plus important pour eux est évidemment que la force supérieure les comblent, leur donnent  leurs nouveaux états de don sans réserve, l’amour et l’esprit, qu’elle possède.

D’un discours « sur l’éducation intégrale, 29/05/12

Pas à pas vers l’unité

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous expliquer aux 99% de la population le travail intérieur qu’ils doivent faire?

Réponse: Lorsque nous nous réunissons, nous pensons uniquement à la façon dont nos discussions peuvent nous aider à ressentir la force générale, la chaleur générale, la connexion générale, et l’unité afin que chacun arrête de ressentir son propre ego et ressente seulement le «Nous». Le « nous » n’est pas la somme générale de nous tous, mais  un «ensemble». Et cet «ensemble» doit constamment se fondre de sorte que vous perdiez en lui totalement toute votre individualité.

Dans cet état d’invidualité perdue, dans cette nouvelle force, dans la pensée nouvelle, tout comme dans un seul homme, dans cette forme unique que nous créons, nous découvrons la partie intérieure de la nature et commençons à ressentir que tel est le plan; tel est la mouvement. Dans l’ensemble, nous ne créons pas cela, mais, étonnamment, nous découvrons, au sein de l’unité, le nouveau niveau de notre état, de notre reconnaissance, l’existence en dehors du corps, au-dessus de la corporéité et même au-dessus de notre existence, dans une autre dimension. Nous pouvons expliquer tout cela.

Peu à peu, alors que la personne commence à sentir les choses, elle se mettra à entendre et à croire. Tout d’abord, bien sûr, elle pourrait dire que c’est du «new age» ou du mysticisme et qu’elle ne veut pas s’approcher de telles manipulations de la conscience, etc… mais nous pouvons l’amener à cela.

Quand les gens se tourneront graduellement vers l’unité, dans un sentiment de relaxation, de chaleur et d’énergie vitale, et qu’ils pourront résoudre tous leurs problèmes correctement à partir de cette perspective, etc.., cela les comblera. Ils comprendront et ressentiront qu’ils dépendent de nous et que nous devons les organiser, car ils ne peuvent pas le faire eux-mêmes. Ils sont comme des enfants faisant semblant d’être adultes et qui instinctivement, intérieurement, ressentiront qu’ils ont besoin d’un leader pour les aider à démarrer. Dans l’avenir, nous n’aurons aussi aucun problème à organiser des événements sur l’unité avec eux. Comme nous serons reliés à eux, ils commenceront à se connecter à travers nous aux niveaux les plus internes de la nature et ressentiront son plan, son mouvement, et la force de l’unité. La nature commencera à leur apparaître comme une seule pensée.

Je pense que cela arrivera très bientôt, et que d’ici un an nous serons en mesure de parler ouvertement. En fait, nous pourrons non seulement en parler, mais  aussi organiser des ateliers ayant pour tâche de se réunir de sorte que l’on puisse être capable de sentir les forces naturelles cachées et les options cachées.

En général tout découle des travaux pratiques. Nous ne sommes pas dirigés par la théorie. Bien que nous ayons de nombreuses sources, nous ne pouvons pas compter sur ce que nous ne comprenons pas correctement. Nous devons sentir chaque étape traversée, et selon la réponse obtenue de la société, de la nature, de l’intérieur, et en comparant tout cela, nous devons avancer pas à pas.

D’une «Discours sur l’éducation intégrale » 30/05/12

Les ateliers: un véhicule pour le monde spirituel

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quelle est l’importance pour les gens  qui arrivent au Congrès de Kharkov de participer à des ateliers?

Réponse: Tout le monde sans exception doit participer! Les ateliers sont plus importants que les cours magistraux! Les ateliers sont la pratique spirituelle avec qui une personne entre avec l’aide du groupe, en son sein, comme dans un moyen de transport dans le monde spirituel. Elle n’arrivera à rien, sans les ateliers. Nulle part! C’est dommage de venir au congrès et ne pas participer à l’atelier, il ne va pas fonctionner.

D’une leçon virtuelle sur les principes fondamentaux de la Kabbale: «Kharkov 2012″ 7/8/12

Supprimer les différences dans le travail spirituel

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est ce que l’Arvout (Garantie mutuelle) du point de vue d’une femme? Est-elle un soutien et accroissement de l’importance du but?

Réponse: Depuis que le monde a commencé à découvrir la crise générale, il n’y a pas de différence entre les hommes et les femmes dans la mesure où le  monde supérieurse réalise dans le travail, entre eux. Les femmes participent également aux ateliers tout comme les hommes, et elles éprouvent les mêmes sentiments, dans la même mesure que les hommes. Donc, je ne pense pas qu’il n’y ait aucune différence entre les hommes et les femmes.

Il me semble que tout cela est en voie de disparition. Toutes les différences précédentes deviendront plus internes. Cela signifie que, en chacun de nous il y a deux lignes, un homme et une femme, et nous devons les rejoindre à nouveau dans une ligne commune, dans ce même Adam (l’homme) qui a été créé, non pas comme un homme ou une femme, mais comme il les incluait ensemble dès le début, il est entendu que la nature de l’homme et la femme opère en lui.

Lorsque le Rabash a commencé à écrire ses articles, il les donna à un groupe de femmes, et les femmes lurent et discutèrent entre elles. Cela signifie qu’il était préoccupé par la façon dont elles les percevaient.

A l’époque du Rabash, nous avons dû agrandir la salle faite spécialement pour les femmes là où elles ont assisté et écouter les cours. Je suis convaincu que de nos jours, il n’y a aucun problème avec la présence des femmes dans leur soutien et leur participation active et égale avec les hommes. Je n’ai tout simplement pas vu de différences particulières, et avec les années, nous en verrons de moins en moins. Mais dans les endroits où les hommes se connectent et se réjouissent, il n’y a pas de place pour les femmes, mais c’est parce que ces perturbations existent en nous.

Et si les tables rondes sont disposées côte à côte, même dans la même pièce, ou dans deux pièces différentes, c’est uniquement pour ne pas être distraits sur le plan corporel, afin que cela ne nous dérange pas. Et donc, il n’y a pas de différence. Personnellement, je ne ressens pas à l’intérieur qu’il y ait une différence. Et d’ailleurs, j’entends les réponses des femmes dans les ateliers que nous organisons le dimanche et je vois combien elles comprennent l’essence et combien elles saisissent tout ce qui se passe, autant que les hommes. Donc, il n’est pas nécessaire de prêter attention à ce sujet.

Nous avons besoin de faire la différence entre les femmes et les hommes dans une seule chose. Intégrer l’organisation des femmes et travailler à l’intérieur seulement pour les femmes. Avec toutes les autres choses, il ne devrait pas y avoir de séparation.
D’une discussion pendant le repas, à Toronto, 19/06/12

La lumière qui se revêt dans des mots simples

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous habiller les principes kabbalistiques en des mots simples, ordinaires, pour que tous puissent les accepter et être d’accord avec?

Réponse: Il est évident pour une personne qui étudie la Kabbale que la connexionn est vitale car il y a eu la « brisure des récipients » et maintenant nous essayons de recoller les morceaux ensemble. Ainsi nous tirons la lumière de la correction AB SAG, la lumière qui ramène vers le bien, qui nous connecte. La lumière supérieure, le Créateur, est révélé dans ce récipient corrigé,

Tout le processus est cliar. Nous essayons de nous connecter et voyons que nous n’y arrivons pas et alors nous demandons de l’aide à la lumière environnante et elle nous connecte et nous remplit en transformant la lumière environnante en lumière intérieure

La question est de savoir comment expliquer tout ceci à chacun pour qu’il puisse le comprendre? Je dis que nous devons nous connecter au-dessus de nos questions.

Nous n’avons jamais agis correctement tout au long de l’histoire, mais si nous nous connectons nous devenons « une famille » en qui chacun s’aime et prend en compte les besoins des autres.

A présent, dans la connexion que nous avons atteint, nous regardons chacun et voyons qu’il y a différentes couches, différentes parties dans la société, celles-ci demandent plus d’attention: les personnes âgées, les enfants, les jeunes couples, les mères célibataires et les pauvres qui vivent simplement dans la pauvreté, et il y a les riches. Ce n’est que par la connexion que nous découvrirons qu’il est possible de distribuer les ressources correctement.

Maitnenant, il y a des dirigeants assis dans les ‘tables rondes » alors montrons leur comment nous pouvons avant tout atteindre l’unité. ensuite nous arriverons à répartir notre « gâteau » général. Si nous le faisons de notre connexion et amour, il n’y aura pas de reproches. La société s’unira et se consolidera, aspirant au bien, à l’optimisme, la satisfaction et la tranquillité.

Nous pouvons expliquer tout cela sans mentionner « la lumière qui ramène vers le bien ». Même si nous savons que la lumière réalise tous les bons changements, les gens n’ont pas besoin de le savoir. La lumière les atteindra par les kabbalistes qui sont parmi nous.

De la 2ème partie du cours quotidien du 20/6/12 « atelier »

Les ateliers : Ne sont pas que des débats verbaux, mais une ascension vers l’unité

Dr. Michael LaitmanQuestion : Comment travailler avec le groupe pour que je puisse clarifier correctement tout ce qui m’arrive ?

Réponse : Tout d’abord, essayez de vous connecter aux amis. Laissez les clarifications pour l’instant ; vous n’avez pas les bons outils pour clarifier les choses. Vous devez d’abord acquérir les moyens, un récipient spirituel avec lequel vous pourrez comprendre ce qui se passe. Pour l’instant votre attitude envers la vie est faussée.

Aujourd’hui, vous devez construire un nouveau récipient dans le groupe, puisque la clarification est en fait tout dépend de la relation mutuelle qu’une personne a avec l’environnement.

Question : Nous essayons de le faire dans les ateliers. Comment pouvons-nous clarifier correctement les questions que vous présentez ?

Réponse : Vous devez vouloir vous connecter sur la base de mes questions. La question elle-même n’est pas aussi importante que tout ce que vous dites dans les discussions. Les mots sont nécessaires pour que nous nous élevions au-dessus d’eux et que nous réfléchissions constamment à la façon de nous connecter aux amis. Peu importe quelle absurdité l’ami peut dire, je passe par-dessus, en voulant me connecter à lui. Je dois considérer les amis comme les plus grands de notre génération, et d’autre part, je leur donne ma part de l’attribut du don général.

Le travail se déroule sur deux niveaux : au niveau inférieur – la haine et la grossièreté, et au niveau supérieur – l’amour et la pureté. Si ces deux choses existent, c’est déjà une sorte de récipient. Si vous atteignez un écart aussi important entre la grossièreté et la pureté, alors la Lumière, le Créateur, se révèle.

Jusque-là, vous devez constamment travailler dans des ateliers, dans la connexion et devez étudier en vue d’atteindre cet écart, qui représente notre objectif, appelé « le mont Sinaï. »

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 08/06/12, « L’essence de la sagesse de la Kabbale »

Tout a été parfaitement réglé par le haut …

Dr. Michael LaitmanAu séminaire d’hier nous avons eu une occasion générale et collective dans l’ensemble des groupes  mondiaux de nous élever au-dessus de notre sensation de lourdeur. Nous avons été cloués au sol par cette lourdeur et il  nous était difficile de nous connecter et de nous élever dans notre esprit et notre cœur.

Nous sentions que nous ne pouvions pas le faire. Il nous manquait l’intensité nécessaire du sentiment et de la clarté de la pensée, et c’est un état merveilleux pour notre travail, dans lequel nous devons entrer un moment afin de le ressentir. Pourtant, nous devons savoir à l’avance que nous vivons actuellement cette sensation de lourdeur et la discerner, afin de nous élever au-dessus immédiatement.

Ainsi, je suis confronté à ces sensations qui traversent mon esprit et mon cœur: l’aspect terne du sentiment, l’obscurcissement de la pensée et de la conscience, et maintenant je m’élève au-dessus de tout cela. Je n’aime pas ce que je ressens maintenant; au-dessus de lui je veux construire un état tout à fait nouveau qui n’est pas basé sur mon esprit animé,  terrestre ni mes sentiments, mais est lié à l’état le plus élevé, la spiritualité, le don sans réserve.

Cela signifie que je recevrai des instruments de perception et de désir complètement nouveaux, qui sont au dessus de moi et ne dépendent complètement pas de moi. J’utilise d’autres désirs, et non les miens, mais des pensées qui me sont étrangères, autrement dit celles qui appartiennent à d’autres, afin que par elles je donnerai sans réserve au  Créateur et  à eux. Alors je n’ai aucuns problèmes puisque que je ne suis pas fermé à l’intérieur de moi-même, mais je m’élève au-dessus ma perception égoïste.

Cette sensation de lourdeur est venue précisément pour nous montrer si oui ou non nous pouvons nous élever et remplir le monde avec la Lumière, si nous pouvons donner quelque chose à l’humanité. La sensation s’est adaptée au  thème du séminaire avec précision. C’était un package complet, tout a été parfaitement aménagé d’En-Haut.

Nos groupes auraient du se relier entre eux autant que possible, au-dessus de toute cette sensation de lourdeur, et avoir pensé  à  notre influence sur le monde, selon le thème du séminaire.

Les femmes ont trouvé une merveilleuse réponse à la question de la façon dont nous devrions donner au monde et comment le monde doit se connecter à nous, à travers l’exemple d’une mère qui allaite son bébé. Ceci est un exemple très précis, car on tient compte de la transition des Sefirot rondes (IgOulim) aux désirs corrects (Yosher).

C’est-à-dire, nous nous élevons au-dessus de nos désirs et de nos pensées et  trouvons de nouveaux récipients grâce à notre unité. Lorsque chaque personne  sort d’elle-même et devient incluse dans d’autres, elle sort de ses pensées et de ses sensations et acquiert de nouveaux désirs et la raison dans laquelle elle n’est limitée par rien du tout. Il s’agit de la forme dans laquelle nous avançons.

Mais certaines personnes s’immergent  dans leur sensation d’amertume et d’obscurité et souffrent à cause de cela au lieu de la tourner à l’envers et de la transformer en Lumière grâce à leur travail, en montant au-dessus de l’obscurité. Une personne doit se demander: pourquoi a-t-elle préféré souffrir? Aime-t-elle vraiment et tellement souffrir ? C’est stupide et ce sont  les résultats de notre fierté, de notre incapacité à nous élever au-dessus nous-mêmes.

Ou peut-être vous ne comprenez pas que votre récipient spirituel n’est pas à l’intérieur de vous, mais au-dessus de vous? Et que toutes ces sensations difficiles dans le cœur et l’esprit sont destinées à vous aider à vous élever. La force générale du groupe doit vous réveiller et vous aider à faire cela, alors pourquoi ne l’utilisez-vous pas ? Et le professeur vous dit que vous devez monter. Ne comprenez-vous pas, ou bien ne l’entendez vous pas ?

Mais en tout cas, il s’agit d’une bonne étude. Cette lourdeur est tout simplement un cadeau du ciel, ce qui correspond précisément au thème choisi pour le séminaire. C’est de cette façon qu’on nous montre combien  on pourrait s’élever facilement au-dessus, mais nous n’étions pas en mesure de le faire. Et tout cela est dû à une valeur insuffisante de l’environnement, le manque d’importance, et la nécessité de s’élever au-dessus de cette sensation.

Cela montre seulement que la qualité du don  sans réserve à laquelle je monte est moins importante pour moi que la sensation dans mon propre estomac. Tout d’abord je veux me sentir bien, et alors seulement, je suis prêt à monter plus haut. Regardez comment cette condition est égoïste.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du  11/06/12, Écrits du Baal HaSoulam

Le but: l’unité intégrale!

Dr. Michael LaitmanQuestion: Sur quoi doit-on se concentrer aujourd’hui? Où devrions-nous orienter nos efforts? Je veux dire la diffusion et le travail de groupe.

Réponse: Dans le travail de groupe, nous devrions orienter nos efforts sur nos ateliers du dimanche.

Les autres jours, il doit y avoir au moins quelques classes. Je vois qu’il y a des groupes qui étudient sérieusement. Un cours, en général, est organisé et dirigé vers l’unité. Pratiquement, tout le matériel de cours parle de cela. Même dans L’étude des dix Sefirot, il est question de l’unité, de la connexion des âmes entre elles. Tout ce qui y est décrit n’est que la connexion des âmes dans un seul système.

En plus de cela, nous avons commencé à créer des cours de formation pour les professeurs du mouvement de la « garantie mutuelle », c’est-à-dire des conférenciers pour les 99%. Ils deviendront des leaders et des organisateurs d’ateliers, de tables rondes, etc. Aujourd’hui, déjà près de 300 personnes sont prêtes, et de nouvelles personnes s’ajoutent ; une nouvelle vague arrive.

Dans notre pays [Israël], nous avons atteint un point où nous sommes invités en tant que conférenciers et consultants permanents d’éducation dans les écoles, les lieux de travail, les mairies, et d’autres lieux.

Je pense que dans quelques mois, nous en viendrons à un moment où les experts, préparés par nous, seront en mesure de commencer à travailler dans diverses organisations. Dans tous les cas, nous nous approchons d’un tel état ​​lorsqu’ aucune entreprise ne peut fonctionner si elle n’est pas réorganisée à l’intérieur et si les gens ne sont pas correctement reliés entre eux dans une petite communauté intégrale. Rien ne marchera sans cela.

 De «Questions sur les ateliers » 27/05/2012

Ressentir tout le monde sans exception

Dr. Michael LaitmanQuestion: Au cours de l’atelier, devons-nous penser à ces groupes qui ne sont pas sur les écrans?

Réponse: Non. Ce n’est pas nécessaire, cela distrait ! Dans quelle mesure pouvez-vous penser aux autres ? Vous avez juste besoin de les sentir et c’est tout!

Nous devons avoir le sentiment qu’ils sont avec nous, que nous sommes ensemble dans une même pensée, dans un seul espace spirituel.

L’espace spirituel est l’espace des pensées et des sentiments, le cœur et l’esprit, la couche d’information autour de notre monde. Nous sommes tous ensemble en cela parce que nous avons un seul esprit, que nous ressentons les mêmes objectifs.

Que va me donner l’image des personnes sur l’écran ? Pour quoi faire dois-je voir des visages et des corps ou lire que c’est Krasnoïarsk, Tallinn, ou n’importe quelle autre ville? Quelle différence cela fait là où ils sont assis? Je sens les désirs qui viennent vers l’unité et forment ainsi un immense désir commun: c’est la chose la plus importante.

De «Questions sur les ateliers », le 25/05/2012

Tous ensemble

Dr. Michael LaitmanQuestion: À quel âge un enfant peut participer à un atelier en collaboration avec les adultes? Est-il utile de créer des cercles distincts pour les enfants?

Réponse: Les hommes, les femmes et les enfants peuvent s’asseoir ensemble dans un même espace, mais chacun dans un cercle séparé. Les enfants n’ont pas besoin de faire du bruit et de déranger les autres. Il est intéressant qu’il y ait un instructeur avec eux. Et ce n’est pas important si vous discuter de questions de l’atelier avec les enfants ou les adultes. L’instructeur ne doit rien perdre s’il se trouve avec les enfants. Bien sûr, les garçons et les filles ont besoin de s’asseoir dans des cercles distincts.

En ce qui concerne l’âge, je pense que cela dépend de la préparation de l’enfant. Nous pouvons asseoir nos enfants dans un cercle de discussion dès l’âge de 12 et peut-être plus tôt avec les instructeurs. Et à partir de 12 ans, il est déjà possible de ne pas avoir d’instructeur avec eux.

Il est souhaitable que les garçons soient dans le même espace que les hommes, et nous verrons comment leur discussion progresse et comment ils imitent les adultes. Pour les femmes, comme pour les hommes, c’est la même chose. Il doit y avoir un manager pour les discussions des cercles et des instructeurs pour les filles.

Du 20/05/12 de la Leçon virtuelle, «Fondements de la Kabbale »