Aux nouvelles: De l’office des Nations Unies contre la drogue et le crime: Le Rapport mondial sur les drogues 2013 présenté aujourd’hui à Vienne montre que, bien que la consommation de drogues traditionnelles telles que l’héroïne et la cocaïne semble décliner dans certaines régions du monde, l’abus de médicaments délivrés sur ordonnance et de nouvelles substances psychoactives est en augmentation…
Vendues comme « euphorisants légaux » et « drogues de synthèse », les NSP prolifèrent à un rythme sans précédent et posent des défis de santé publique inédits. Selon le rapport, le nombre de NSP rapportées à l’ONUDC par les États membres est passé de 166 à la fin de l’année 2009 à 251 à la mi-2012, ce qui représente une augmentation de plus de 50 %. Le nombre de NSP a, pour la première fois, dépassé le nombre total de substances sous contrôle international (234). Étant donné que de nouvelles substances nocives font leur apparition sur le marché des drogues avec une régularité sans faille, le système de contrôle international des drogues doit désormais faire face à la rapidité et à la créativité du phénomène des NSP.
Mon commentaire: J’ai déjà écrit que la campagne contre le tabac était déjà un prélude à la légalisation de l’usage des drogues. Les drogues sont peu onéreuses et calment la population
Opinion: Enrico Letta (premier ministre italien): Il est de plus en plus évident que si l’Europe veut surmonter sa crise, la conduite habituelle des affaires ne suffira pas…
Mais pour ce faire, il faut des institutions de l’UE plus efficaces, avec de meilleures règlementations et moins de charges administratives. Les institutions communes sont nécessaires pour faire en sorte que les intérêts de tous les pays de l’UE soient protégés, et pour servir de passerelle entre les états membres de la zone euro et ceux qui n’y appartiennent pas.
Franchement, le fonctionnement de l’UE et de ses institutions a constitué une importante partie du problème pendant la crise. Pour beaucoup de gens, le processus décisionnaire de l’UE est opaque, inefficace et éloigné du contrôle démocratique…
Plus inquiétant, la crise a remis en question l’idée même d’intégration européenne…
Il n’y a rien de pire que de laisser les gens croire que l’intégration européenne se mène furtivement, tel un voyage entrepris par des forces invisibles et incontrôlables. L’UE ne peut survivre à moins d’être fondée sur l’engagement explicite de ses citoyens.
Aujourd’hui, nous avons une chance de remodeler l’Europe… Le choix est clair, et il ne faudrait pas trop tarder à le faire.
Mon commentaire: Rien de bon ne sortira des Euro-constructeurs, ils ne feront que renforcer la crise en l’orientant vers le chemin de la souffrance au lieu de correction – la correction de la nature humaine; elle seule doit être corrigée afin que tout le monde soit équilibré, gentil, positif … Et ils essaient encore de faire face à la crise par des moyens extérieurs, appliquant des pansements, qui avant même d’être placés se décollent et de nouveaux pansements sont nécessaires.
Aux Nouvelles (de Bloomberg) : « Imaginez-vous parier sur la survie à long terme de deux types de personnes. L’un est l’égoïste classique, déterminé et impitoyable. L’autre est plus désintéressé, prêt à aider les autres humains sans aucun gain évident. Qui aura le plus de succès ?
Pour tous ceux ancrés dans la pensée dominante de notre époque, le vainqueur évident est l’égoïste. L’évolution darwinienne et la tradition du capitalisme moderne nous disent que seuls des concurrents féroces survivent. Les altruistes, les théoriciens des jeux nous l’enseignent, sont mathématiquement incapables de parvenir à la domination. Les actes de coopération sont des erreurs nées de l’ignorance ou de mouvements stratégiques purement égoïstes visant à obtenir quelque chose de plus grande valeur.
L’idée que la concurrence biologique favorise l’avidité, créant l’ultra-rationnel et motivé par le gain Homo economicus, reste au cœur des modèles économistes utilisés pour comprendre le monde.
Le problème, c’est le « pragmatique », une prise prétendument scientifique sur le comportement humain qui n’a que peu de rapport avec la réalité. Un écrasant nombre de corps de recherche ont démontré que les comportements d’aide (ou, comme les économistes aiment à le dire, « l’autre en ce qui concerne les préférences ») sont la norme dans les interactions humaines à travers le monde. Cela soulève la question suivante : si cela est payant d’être avide, pourquoi les humains agissent différemment ?
Jusqu’à présent, il n’y a pas de réponse définitive. Mais il existe certaines preuves que l’intérêt personnel et rationnel n’est pas toujours la meilleure stratégie. Dans des conditions de concurrence rude, l’Homo economicus ne pourrait pas l’emporter.
Dans de nombreuses simulations, les espèces gentilles finissent par faire mieux que l’Homo economicus. Comment ? Les types de coopération ont tendance à se regrouper et à interagir les uns avec les autres de manière préférentielle, bénéficiant ainsi les uns les autres d’un comportement altruiste. Les chercheurs ont appelé les espèces gagnantes l’Homo socialis – à juste titre, car il n’est pas aveugle au potentiel d’interactions sociales pour améliorer le bien-être.
Le point à retenir est que l’Homo economicus est une caricature simpliste qui, dans de nombreuses situations, ne parvient pas à bénéficier de réelles possibilités. La cupidité n’est pas bon, comme Gordon Gekko l’a si bien dit dans le film « Wall Street ». Dans de nombreux cas, elle n’est même pas très intelligente. »
Mon commentaire : Les études, bien loin d’être complètes, sont justes. La question est de savoir comment amener ces 7 milliards d’égoïstes à la raison ? La méthode de l’éducation intégrale offre un moyen de corriger la nature humaine. Tôt ou tard sans aucun doute, ce qui signifie après avoir souffert, nous commencerons tous à voir la nécessité de sa réalisation.
Aux nouvelles (de l’Université de Southampton) : « Des chercheurs de l’Université de Southampton ont proposé une réponse au débat de longue haleine sur la façon dont le système Terrien est stable.
La Terre, avec son champ magnétique fondamental, ses océans d’eau liquide, son climat dynamique et la vie en abondance est sans doute le système le plus complexe de l’univers connu. La vie est apparue sur Terre il y a trois et demi milliards d’années et il semblerait que, malgré les calamités à l’échelle planétaire telles que les impacts de météorites massives, l’emballement du changement climatique et l’augmentation de la luminosité du Soleil, elle a continué de croître, de se reproduire et d’évoluer sans cesse depuis.
Il y a quarante ans, James Lovelock a formulé son « Hypothèse de Gaia » où la vie contrôle les aspects de la planète et, ce faisant, maintient des conditions qui conviennent à la vie qui s’est répandue en dépit des chocs et des perturbations. Cette hypothèse a été et reste controversée en partie parce qu’il n’existe pas de mécanisme connu par lequel un tel système planétaire auto-stabilisant pourrait émerger. »
Mon commentaire : La Kabbale étudie le système de l’univers, à la fois en général et en particulier. Les lois de la nature que la Kabbale révèle sont immuables dans tous les mondes, qui sont les niveaux du rapport entre la matière (le désir, la propriété de la réception) et l’énergie (la Lumière, l’attribut du don sans réserve).
Tout est stabilisé principalement par l’état initial et final du système (le plan de la création). Le système est statique. La progression de la transition de l’état initial vers l’état final n’est uniquement qu’en rapport à l’objet qui l’atteint : l’être humain.