Daily Archives: 18 mai 2011

Utiliser la crise comme un moyen de progrès spirituel

Dr. Michael LaitmanNous devons correctement évaluer l’état d’être actuel sur la terre. Les défauts sont destinés à ce que nous les corrigions, pour les utiliser comme un moyen pour nous élever dans le monde d’en- haut. Sinon, pourquoi est- ce que je vis ici? Pourquoi suis-je en train de vivre tous ces problèmes et de tenter de leur résister? Je tiens à les surmonter. Je suis conscient de la situation et reconnaissant de la crise car en la corrigeant, je vais entrer dans le monde supérieur. Si ce n’est pas pour cette crise, où pourrais-je travailler, où pourrais-je me changer pour m’élever à un niveau supérieur?Nous parlons d’un moyen qui nous permette de nous améliorer et de nous corriger. Nous avons révélé la maladie, mais maintenant, en travaillant sur le traitement, nous atteindrons notre nature et comprendrons ce qui nous manque pour acquérir la nature du Créateur.

De toute évidence, la crise n’est pas une raison de s’enthousiasmer, mais c’est la révélation du mal. Toutefois, nous devrions avoir une attitude pratique envers elle. Tout à coup, je découvre que je suis cruel, avide, et que j’aime commander les autres, que je ne me soucie de personne d’autre au monde – et j’évalue ces révélations comme un moyen sur mon chemin. Je suis heureux des défauts qui se sont révélés parce que je sais à quoi ils sont destinés.

C’est pourquoi nous ne devrions pas faire taire ou dissimuler les problèmes du monde loin de nous. Au contraire, nous devons les exposer aux gens, et non pas pour leur faire peur, mais pour guérir la maladie. Nous devons montrer à tous que nous n’avons qu’une seule issue de sortie : traiter la crise dans la pratique, l’utiliser pour faire des changements qualitatifs.

Ensuite, nous allons tout d’un coup avoir l’impression que nous faisons un travail merveilleux sur la correction, dont le résultat sera la vie éternelle et parfaite. Qu’y a-t-il possiblement de mieux? Nous ne voulons pas rester au niveau animé, naître et mourir, encore et encore. D’ailleurs, c’est impossible parce que grâce à notre développement, nous avons déjà atteint la nécessité de nous élever au niveau supérieur, dans une dimension supérieure.

Nous ne sommes pas en train d’expliquer la nature de la crise aux gens, mais nous visons son objectif le plus élevé. La question ici n’est pas de nous éduquer et de nous rapprocher, en nous obligeant à nous unir. Tous ces éléments sont simplement des moyens, une échelle qui nous permettra de monter à un nouveau niveau de l’être.
De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 18/05/2011, les problèmes du monde, la surpopulation

Les moments de lumière

Dr. Michael LaitmanQuestion: Au début du cours sur le Livre du Zohar, je comprends et deviens inspiré par vos paroles sur l’intention. Mais dès qu’on commence la lecture du Zohar, je suis assailli par une multitude de pensées étrangères, et je n’arrive pas à rétablir la bonne intention. Que dois-je faire?

Réponse: ne le regretterez pas! Une personne développe progressivement un besoin de ressentir les choses. En effet, nous parlons d’une occasion de percevoir la spiritualité. Nos désirs (récipients) sont nos sensations, des aspirations.

Si une personne n’a pas encore le désir de découvrir Le Supérieur, la force du don sans réserve, sur la base de l’inférieur, la force de la réception, par la façon dont l’inférieur devient semblable au Supérieur quant à ses propriété, il ou elle n’a pas encore été inspiré par une quête spirituelle constante.

Vous ne pouvez pas l’éviter, il suffit de le regretter autant que vous le pouvez. Et le groupe doit stimuler la volonté inébranlable, une intention correcte lors de l’étude.

Seuls les moments au cours desquels une personne se souvient de l’intention sont considérés comme l’étude de la Torah (la Kabbale), dont la Lumière attire le Bien. Si on additionne tous ces moments, on peut compter combien de minutes au cours de sa vie on a étudié la Torah …. Mais la raison n’a pas d’importance, le temps si. Peu à peu, ça va venir.

De la 2e partie du cours quotidien de Kabbale du 17/05/2011, le Zohar

Je veux être un adulte!

Dr. Michael LaitmanQuestion: Y a-t-il un lien entre le réseau de nos relations les uns avec les autres et le réseau de connexion entre les grands kabbalistes dont nous étudions les œuvres ?

Réponse: Nous devons devenir semblables au réseau de connexion qui relie ces grands kabbalistes. Un petit grandit en voulant devenir comme un grand.

Un «grand» c’est le réseau de connexion que les kabbalistes ont créé entre eux. Un « petit », c’est nous, ceux qui désirent communiquer avec lui, en lui, et devenir semblable à lui.

Laissons la lumière nous guider

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quel est le sens de la «nécessité» dont nous devons toujours nous préoccuper?

Réponse: Une nécessité pour moi est de toujours ressentir ma connexion avec la Lumière qui me guide comme un adulte guide un enfant par la main. C’est ainsi que je tiens à être connecté avec la Lumière en vue de constamment La sentir me diriger vers l’avant.

Vous souvenez-vous d’avoir été traîné par la main de votre mère? Que la Lumière nous conduise de la même manière!
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 15/05/2011, Écrits du Rabash