Monthly Archives: juin 2010

L’avenir du monde: de quoi dépend t-il?

Dr. Michael LaitmanLes gens commencent à reconnaître l’influence potentiellement destructrice des médias de masse sur notre environnement. Les médias, en particulier, plus que l’argent, la situation financière ou nos plans pour l’avenir de l’humanité, décident de tout. Cette génération et les générations futures dépendent de l’influence de l’environnement qui tocuhe toute notre vie. Espérons que l’humanité s’en rende compte, et en premier, limite l’influence négative qu’elle dégage aujourd’hui, et alors, elle redirigera correctement. La tâche de la Kabbale est d’aider l’humanité à voir plus rapidement.

Le monde développe progressivement une attitude critique envers lui-même et tous les systèmes mondiaux qui ont été construits autour de nous, et cela influence maintenant absolument tout le monde dans tous les domaines de la vie. En particulier parce que ce système mondial est devenu si universel et si influent, il suscite beaucoup d’inquiétude. L’humanité devra s’en soucier sérieusement.

Nous ne pouvons plus laisser tout le monde faire ce qu’il lui plaît dans les médias de masse. La force des médias doit être entre les mains des gens sages, des kabbalistes. Les médias ne peuvent être contrôlés par la dictature. Le développement de l’humanité brise toutes les limites et les obstacles. Pourtant, il y a une tendance inverse par laquelle nous devons en quelque sorte restreindre les médias de masse. Si nous ne le faisons pas, nous allons apprendre cette nécessité par la souffrance.
Il y a une lutte constante entre les lignes droite et gauche, chacune d’elles insistant pour dire qu’elle vaut mieux que l’autre. Mais toutes les deux ne sont ni bonnes ni correctes. Il doit y avoir une ligne médiane qui ne se contente pas de les réunir, mais plutôt s’élève au-dessus d’elles. Ce n’est pas leur mélange ou un compromis entre elles, ce n’est pas comme un parti politique centriste qui est au-dessus de la gauche ou de la droite.

Au contraire, cette ligne médiane est une approche qui est altruiste, de don sans réserve, et s’étend au-dessus de toutes les approches égoïstes. Une telle approche sera capable d’unir tout le monde et d’apporter la paix.

J’atteindrai quelque chose de bon

Dr. Michael LaitmanNous procédons à la lecture Le Zohar après nous y être préparés par l’étude d’articles du Rabash au cours de la première partie du cours, c’est à dire, après être prêts à recevoir la Lumière qui ramène vers le bien. 

Qu’est-ce que ça veut dire, « Nous sommes prêts » ? Cela signifie que nous avons un désir pour cela, un désir pour la dimension intérieure, en particulier, pour acquérir la propriété du don sans réserve au delà de notre esprit et de nos sensations terrestres. Nous voulons que cette propriété règne sur nous.

Que faire si une personne n’en a pas le désir ? Et si elle ne sent pas qu’il lui manque l’attribut du don sans réserve et ne veut même pas ressentir ce manque ? Que doit-elle faire? Elle doit également rester avec ceux qui veulent acquérir la propriété de don. Une personne qui ne sent presque aucun rapport avec cela doit s’accrocher comme un nouveau-né à ceux qui étudient. Il est dit au sujet de la science de la Kabbale « Elle va guérir toute chair.  »
Dans notre monde, même une personne en bonne santé subit un examen médical à l’occasion : Que faire si on trouve une maladie ? Pourquoi en avez-vous besoin si vous êtes en bonne santé ? Je veux être sûr que je n’ai pas de maladie qui progresse alors que ne je suis pas au courant de celle-ci.  »

La même chose s’applique à nous. Même si nous ne pensons pas qu’il nous manque l’attribut du don sans réserve et que nous nous considérons comme «en bonne santé», nous faisons confiance aux grands kabbalistes qui nous conseillent de nous interroger. Ainsi, on peut lire Le Livre du Zohar même si nous n’en éprouvons pas de besoin. Peut-être, que grâce à de cette lecture qui ne me concerne pas particulièrement, ni pour laquelle je ne ressens ni goût ou nécessité, je vais néanmoins m’examiner et voir ce que je possède des propriétés négatives. En les corrigeant, je vais arriver à quelque chose de bon (j’irai mieux).

L’effort apporte la lumière

Dr. Michael LaitmanÀ partir des Écrits de Rabash, Shlavey Ha Soulam, article 16, 1984 « La question du don sans réserve  » : Il y a une règle que, si l’on veut atteindre un certain but et qu’on sait qu’il est impossible de l’atteindre sans peine, alors on exerce un effort et on ignore le repos . Et si une personne s’engage dans la Kabbale et le travail intérieur, cela signifie qu’elle a un besoin spirituel et s’attend à recevoir ce qu’elle souhaite de cette façon. Par conséquent, avant de commencer son travail, il faut examiner ce que l’on s’attend à recevoir avec son aide, ce qui signifie quelle récompense attend-on de son travail ? Et quand une personne commence à réfléchir à ce sujet, un ensemble de différentes pensées viennent à elle, et il est difficile pour elle de comprendre ce qu’elle veut vraiment … .

Nous nous trouvons toujours avec des appréhensions et des doutes : « Pourquoi ai-je besoin de tout cela, pourquoi fais-je cela ?  » Nous ne savons pas la véritable raison car elle nous est cachée. Ce grand abîme de doute semble sans fin et de nombreuses personnes cessent peu à peu d’analyser ces questions. Plus on se penche sur elles, plus les questions arrivent en nous; en attendant, la vie continue à couler régulièrement. Et c’est ainsi que l’on cesse de réfléchir à ce sujet et on ne recherche plus la réponse.
Mais pourquoi le Créateur nous a-t-il préparé tant de considérations, tant de chemins et de pensées,

comme «pourquoi, dans quel but, et comment?  » Je ne peux pas échapper à ces pensées, et plus je pense à elles et plus je deviens confus. Etait-ce vraiment Son intention que je dois tomber dans le désespoir et tout quitter ? Si je ne précise pas tout cela pleinement, si je ne me révèle pas le nouveau degré, je n’avancerai pas. Alors pourquoi met-Il des obstacles sur mon chemin ?

Le Créateur fait en sorte que seuls ceux qui cherchent à atteindre le don sans réserve, à devenir semblables à Lui, et ont la volonté de travailler pour cela, viendront à Lui. J’ai essayé d’atteindre le don sans réserve et j’ai réalisé que je ne sais rien, que je suis dans l’obscurité totale, et, par conséquent, que j’ai besoin d’aide d’En Haut. D’une part, je suis prêt à tout donner parce que les efforts déployés me donnent la force d’aller vers le but. Si j’ai investi beaucoup d’efforts pour atteindre un but, je ne peux pas abandonner facilement. J’ai déjà tant investi ! Je suis prêt à payer afin de ne pas laisser mon investissement en pure perte.
Si je comprends que le don sans réserve existe et que je dois y arriver par tous les moyens, la désillusion de ma propre force, donne naissance à la vraie prière.

Quand celui qui connait tous les mystères témoignera

Une question que j’ai reçue : Pourquoi est-il écrit dans l’Introduction à l’Etude des Dix Sefirot, partie 55,  qu’une personne qui a atteint « Providence ouverte [c.-à-d., découvert le Créateur] est certaine qu’elle ne péchera plus »?

Ma réponse: Une personne est certaine qu’elle ne péchera plus parce qu’elle a  corrigé, avec l’aide de l’écran et de le Lumière Réfléchie, tous ses désirs de recevoir. Elle s’est élevée au-dessus et peut maintenant avancer plus encore. Elle a besoin que « le Créateur témoigne » pour sa correction dans le but de continuer à travailler avec ces désirs de recevoir et commencer à les utiliser pour recevoir dans le but de donner.

J’ai besoin d’une force générale additionnelle qui est appelée le témoignage du Créateur. Maintenant je dois ouvrir ma boite de Pandore qui contient tous mes désirs et commencer à clarifier dans lequel je peux recevoir de plaisir et par suite contenter le Créateur. Ceci est une tendance totalement neuve, qui n’a jamais existé avant. Je ne l’ai jamais fait avant, et maintenant je dois goûter aux plaisirs dans le but de contenter le Créateur un peu comme un invité qui participe à la fête pour satisfaire son hôte.

Dans le but de ne pas errer, je dois rassembler les forces nouvelles et uniques procurées par le témoignage du Créateur. Sinon, je ne devrais même pas  toucher et commencer à révéler mes nouveaux désirs de réception. J’ai besoin d’une force supplémentaire pour m ‘assister. Et  Quand Celui qui connait tous les mystères témoignera je ne me tournerai pas vers la folie, » Je  serai à même de commencer à corriger mes transgressions.

Dans cet état, les transgressions sont déjà transformées en erreurs, et je devrais me sentir mieux, s’il en est. J’ai déjà corrigé la moitié de mon désir de recevoir, et il est complètement rempli avec la Lumière de Hassadim. Maintenant je dois commencer à travailler avec dans les trois lignes et introduire un peu de Lumière de Hokhma à l’intérieur.

Ceci signifie que mes transgressions sont devenues des erreurs. Je vais recevoir dans le but de donner, mais je possède déjà l’intention « dans le but de donner. » J’ai juste besoin de prudemment y ajouter la réception.

Quand on atteint un tel niveau spirituel, nous comprenons ce qu’est ce travail.

L’infinité n’est qu’un moment

Dr. Michael LaitmanLe Zohar, chapitre « Vayetze (Et Jacob sortit) » – Partie 1, point 129: «Et elles lui semblaient que quelques jours à cause de son amour pour elle. » Les sept années entières étaient pour lui comme les sept ans supérieurs de Bina, qui sont un dans une union, et non séparés. Ils sont tous un, car ils sont reliés les uns aux autres pour l’amour dont il l’aimait, car elle était pour lui comme l’unification supérieure dans Bina.

Comment définit-on l’infini? Est-ce quand le temps dure infiniment ou bien quand il n’y a pas de temps et qu’il est égal à zéro? Comment se peut-il que lorsque je l’aime, je passer sept ans à travailler pour elle, et dans ma perception ces années s’enfuient ? Ne fallait pas que ce soit l’inverse? Ce temps n’aurait-il pas du durer indéfiniment car il faudra sept ans avant que nous puissions être ensemble?
En réalité, l’infini, c’est quand le temps se réduit à zéro. Dans notre monde, nous croyons que l’infini est quelque chose d’infiniment lointain, car nous imaginons que la fin (la mort) est poussée au-delà de l’infini. Nous percevons l’infini de cette façon parce que notre perception est en forme de manque, plutôt que d’accomplissement.
Mais dans la spiritualité, où toutes nos actions sont dictées par le don sans réserve, c’est l’inverse. L’infini, c’est quand tout est en un seul endroit, comme s’il était comprimé en zéro. Tout existe au même moment, dans le même temps, au même endroit, dans la même femme. »

Les histoires de la Torah deviennent une révélation

Dr. Michael LaitmanLe Zohar, Chapitre « Vayetze (Et Jacob sortit) – Partie 1 », point 127: Pour cette raison, Léa n’est pas apparu, mais Rachel, pour attirer les yeux et le cœur de Jacob avec la beauté de Rachel, ainsi il s’installerait pour vivre ici. Grâce à elle, Léa aussi s’accoupla avec lui et enfanta toutes ces tribus. Comment Jacob sut-il qui était Rachel ? Après tout, il ne la connaissait pas ? Les bergers lui dirent, comme il est écrit « et voici, Rachel sa fille vient avec le bétail.

Toutes ces propriétés – « bien », « eau », « Haran », « Jacob », « Laban, » Rachel « , » Léa « , » bergers « , et » troupeau « – sont en nous. La Torah explique comment distinguer et trier ces forces en nous-mêmes.
C’est comme un jeu de construction. Nous avons à discerner nos désirs intérieurs et, en se référant à l’image que la Torah appelle pour nous, la position de chacun d’eux à la bonne place. Nous continuons à le faire tant que nous n’aurons pas une vue d’ensemble interne qui montre les connexions entre tous les désirs et les propriétés que la Torah décrit, entre- le « troupeau »,  » bien », « eau », et ainsi de suite – à leur niveaux inanimés, végétal, animal, et parlant, dans toute la réalité spirituelle.
Dès que j’organise cette image correctement selon les instructions Torah, je suis pris dans une séquence de film et je passe à l’image suivante. C’est ainsi que nous avançons d’une séquence à une autre, un degré après l’autre. A chaque étape, la Torah nous raconte comment se développer à partir d’un niveau à l’autre par des changements internes.
En changeant nos forces internes et leurs propriétés selon l’histoire de la Torah, nous avançons avec les récits de la Torah. C’est alors que les histoires Torah se transforment en révélation.

Qu’est-ce que l’exil?

Dr. Michael LaitmanUne question que j’ai reçue: Quand est-ce qu’une personne est considérée en Galout (exil)? 

Ma réponse: Galout (exil) fait référence à l’exil du monde spirituel et à l’attribut de don sans réserve et d’amour. Autrement dit, il faut souhaiter cette qualité , et dans la mesure où on ne l’a pas, on se sent en Galout, en exil d’elle.

Par exemple, dans son article «une véritable prière » le Rabash dit que Galout, c’est quand une personne n’a pas eu la possibilité de garder l’intention, que ses actes ne sont pas réalisés pour recevoir une récompense, ce qui est contre notre nature.

Qui bénéficie de mes actes?

Dr. Michael LaitmanLa question que j’ai reçue: Qu’est-ce que le don pour l’amour du don?

Ma réponse: le don pour l’amour du don c’est quand je ne ressens pas le plaisir comme un accomplissement de mes désirs personnels, mais lorsque je l’utilise uniquement comme carburant pour accomplir l’acte du don sans réserve.

Question suite: Comment ce carburant est-il diffèrent du plaisir si la seule chose qui existe, c’est le désir de recevoir (Kli) et son accomplissement (Lumière)?

Réponse: Si j’utilise le carburant uniquement pour accomplir mon travail en comblant l’autre, alors mon propre accomplissement est seulement mon combustible. Si, toutefois, j’utilise l’accomplissement pour mon plaisir, cela signifie que je suis en train de recevoir du plaisir. Demandez-vous: «A quoi mon véhicule travaille-t-il ? Que sous-tendent mes actions ? Qui est le bénéficiaire de mes efforts? « 

Ensuite, tout ira bien

Dr. Michael LaitmanUne question que j’ai reçue: Puis-je recevoir une prise de conscience de la nécessité d’aimer les autres dans le groupe sans une prière et une crise intérieure ?

Ma réponse: Vous devez travailler dans le groupe, vous devez l’obliger à vous influencer. Comment pouvez-vous les obliger? Achetez-les! Comme il est écrit: «Achète-toi un ami. »

Vous devez vous investir dans le groupe afin de persuader les amis d’avoir un impact sur vous. Vous devez annuler votre ego à leur égard parce que seul le plus bas reçoit du plus grand.
Le travail dans le groupe:

1. Influencez vos amis. Là où vous êtes plus grand qu’eux, donnez-leur tout ce qu’ils veulent, comme si vous étiez plus grand et plus capable de donner sans réserve (Comme celui qui est plus grand donne sans réserve au plus petit).

2. Dans la mesure où vous êtes inférieur, vous devez recevoir d’eux une prise de conscience de l’importance de la finalité de la création. Vous devez vous annuler vous-même et recevoir de leur part.
Vous devriez dire aux amis: «Quelque soit et quelle qu’en soit la quantité de ce que vous désirez, je vous le donne, afin que je puisse recevoir de vous la prise de conscience de l’importance du don sans réserve et de l’amour. De vous je n’ai seulement besoin que de cela. J’ai tout le reste, mais cela je ne peux pas l’obtenir nulle part ailleurs, sauf dans le groupe. »

Pourtant, je ne reçois pas l’amour et le don sans réserve d’eux; je ressens d’eux la sensation d’un manque et le désir de cela. Plus tard, la Lumière arrive et m’apporte l’amour et la qualité du don sans réserve. Je reçois le désir de la qualité de l’amour et du don sans réserve dans le groupe, la Lumière qui ramène vers le bien apporte la correction et remplace la sensation de manque.

Tout d’abord, recevez une âme

Dr. Michael LaitmanUne question que j’ai reçue: Comment puis-je combiner le travail interne avec l’étude du Zohar ?

Ma réponse: Ne croyez pas que le Zohar ait été écrit pour servir comme un livre ordinaire à raconter ou à nous expliquer quelque chose. Ce n’est pas le cas. Le Baal HaSoulam a écrit son commentaire pour une autre raison aussi. Nous n’étudions pas en utilisant notre esprit terrestre pour omprendre ce qui est écrit et apprendre en détail la façon de travailler dans les trois lignes en mémorisant tous les termes. Nous devons comprendre la nécessité d’une correction et non la structure de tout cela.

Les commentaires supplémentaires sur les sources authentiques fournis par les kabbalistes (sur les œuvres kabbalistique de la Torah, les Prophètes, et autres textes sacrés) sont impossibles à comprendre par le biais de l’esprit ordinaire, extérieur. Ils ne peuvent être compris que grâce à la correction de l’âme. Par conséquent, tous les commentaires kabbalistiques sont principalement conçus pour attirer la Lumière Supérieure sur l’étudiant. Ensuite, le lecteur peut utiliser les sources correctement, jouir de la Lumière qui y est contenue, et, le long du chemin, découvrir ce qui est écrit dans les livres. C’est ce qu’on appelle le commentaire.

Chaque commentaire est un instrument supplémentaire qui nous permet de nous connecter à la source authentique, et pas seulement pour la comprendre. Lorsque nous lisons les soi-disant explications « techniques  » du Baal HaSoulam sur les trois lignes, les Sefirot et les Partsoufim, la montée et la descente, et les Reshimot et les écrans, nous pensons qu’il essaie de nous enseigner une science ordinaire pour que nous l’apprenions avec notre cerveau et soyions capable de rédiger tout cela de manière schématique. Mais, ce n’est pas le cas.

L’ajout du Baal HaSoulam, le « Commentaire de l’Echelle au Livre du Zohar » nous aide à attirer la Lumière qui ramène vers le bien. Son but n’est pas de nous donner la connaissance abstraite de la structure de quelque monde supérieur. Il est impossible de connaître le Monde Supérieur jusqu’à ce que nous soyons en mesure de le percevoir à l’intérieur de nos âmes. Essentiellement, nous étudions notre propre construction.
Une personne commence à sentir que toute la réalité, toute la création, est enfermée en elle, non pas en dehors d’elle, même si elle semble être exterieure. Par conséquent, nous devons nous régler correctement dans l’étude avec l’idée que nous ne gagnerons rien, sauf la Lumière qui ramène vers le bien. Après cela, la réalisation suivra, et «l’âme d’une personne commence à lui enseigner ». Tout d’abord, nous devons recevoir cette âme, la substance spirituelle, dans laquelle nous allons découvrir tous les phénomènes dont parle Le Zohar.