Monthly Archives: septembre 2012

Celui qui prie pour son ami reçoit en premier

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quelle est l’essence de l’expression «celui qui prie pour ses amis reçoit d’abord »? C’est une déclaration qui me déroute beaucoup parce que demander au Créateur de changer mon désir est toujours une prière pour mon propre bénéfice, car je sais déjà que je serai celui qui reçoit avant les autres. C’est quelque chose qui me dérange vraiment.

Réponse: Cela montre que vous ne priez pas pour votre ami pour le moment. « Celui qui prie pour son voisin reçoit en premier » implique que celui qui prie ne se considère pas du tout, et il ne se concentre pas non plus sur qui reçoit en premier. Oui, il reçoit avant les autres, puisque la Lumière doit transcender à travers lui vers ses amis. Comment faire autrement?

Il s’élève tout simplement à un niveau où il prie pour son ami sans arrière-pensée pour lui-même. Il n’y a rien pour son «soi», et personne ne prie pour améliorer ses affaires personnelles. Tout ce qu’on souhaite est de répondre à l’appel de son ami. On n’a pas de désir à soi de quelque nature que ce soit!

Dans ce cas, on reçoit vraiment avant les autres parce qu’on transmet la Lumière à ses amis. Nous avons couvert ce matériau. Nos âmes sont présentes dans le monde de Béria, Yetsira et Assiya. Nous avons de multiples questions et demandes. Si nous les élevons à Malkhoutdu monde d’ Assiya , alors Malkhout les élève encore plus haut à Zeir Anpin du monde de Atsilout ; celui qui élève MAN affiche une demande de ses amis qui sont censés rester ensuite « en-dessous ». Ensuite il devient le premier à recevoir la Lumière d’En Haut. La Lumière passe à travers lui d’abord, et puis elle transcende à travers Malkhout vers d’autres âmes.

The One Who Prays For His Friend Receives First

Question: Donc, cela signifie que pour obtenir un tel désir je dois d’abord faire appel au Créateur et Lui demander de me le donner, pour le rendre complètement libre de l’égoïsme, sans même une goutte d’égoïsme, exact ?

Réponse: Bien sûr! Dans ce cas, ce sera une prière qui précède une autre prière. Sinon, c’est juste une autre boucle égoïste, rien de plus.

Du congrès de Kharkov « S’unir pour s’élever », cours n°5

Une chance donnée d’en haut

Dr. Michael LaitmanLes meilleurs états de tous sont quand une personne a besoin d’une connexion avec le Créateur. Une connexion ne peut se produire que quand elle a besoin de l’aide du Créateur. Et elle devrait vouloir cette aide non pas pour elle-même, sinon, cela serait un désir égoïste. Mais c’est précisément au-dessus de son désir, l’aspiration à faire le bien, qu’elle peut construire des relations avec les autres et commencer à prendre soin d’eux, les aider à être corrigés, agir dans leur direction.

Ainsi, une personne va changer : de prendre soin d’elle à prendre soin des autres à tel point qu’elle va demander au Créateur de l’aider à réaliser cette attention, afin de corriger ses amis et ainsi faire plaisir au Créateur.

Il s’agit de la construction de l’ensemble du système de relation à l’intérieur d’une personne envers l’autre, dans la direction du Créateur. Cela n’existe pas naturellement, et cela ne viendra jamais chez une personne par elle-même. Une personne doit le construire au-dessus du désir égoïste qui est révélé avant elle.

Ce travail est appelé l’œuvre d’Israël, d’une personne qui s’efforce directement vers le Créateur, qui commence à travailler sur la base du premier désir révélé en elle, et qui transforme peu à peu tous ses désirs vers le Créateur. C’est l’œuvre de Moïse qui se tourne vers le Pharaon exigeant qu’il libère Israël de l’esclavage et le travail du Pharaon sur le peuple d’Israël et Moïse afin qu’ils ressentent combien ils ont besoin de l’aide du Créateur.

Une personne devrait savoir que le principal travail dans son cœur concernant le Créateur et le Pharaon a pour but d’amener les gens hors de l’esclavage, c’est ainsi – purifier tous les désirs, le monde entier. Le monde entier est des parties de l’âme humaine, et le devoir d’une personne est de libérer ce monde de la puissance du pharaon égoïste.

Grâce à l’étude, le groupe, et de nombreuses clarifications, elle doit changer son désir égoïste personnel pour atteindre le travail spirituel, pour révéler le Créateur dans le désir juste de donner sans réserve. Si elle obtient un éveil à chaque fois, c’est le signe que le Créateur veut d’elle et son devoir est d’accomplir ce désir !

Si une personne n’utilise pas l’éveil reçu une première fois, une deuxième fois puis la troisième fois, alors elle est laissée seule pendant un certain temps, peut-être jusqu’à la fin de cette vie ou même pour plusieurs cycles de vie, jusqu’à ce que finalement, on lui donne une chance d’en haut pour s’éveiller.

C’est pourquoi nous devons être très vigilants de la perte ne serait- ce qu’ un moment, un désir, un cadeau du ciel, parce que personne ne sait quand cela se manifestera à nouveau. Le problème est que 99% des personnes qui reçoivent un éveil d’en haut ne font tout simplement pas attention à lui et ne s’en rendent pas compte. Ils traitent cette chance unique offerte d’en haut comme quelque chose de normal dans ce monde qui ne va pas disparaître et peut attendre jusqu’à demain, quelques heures ou quelques jours, une autre fois.

Ils ne regardent pas de leur côté afin d’établir un rapport avec cette prise de conscience d’une manière spirituelle et non pas dans une manière matérielle, et sans commencer à travailler sur l’ensemble du récipient commun, la connexion avec les autres, la diffusion de ces connaissances, et la correction du monde. Autrement dit, ils ne commencent pas à agir afin de révéler le Créateur, la seule chose qui nous manque en ce monde, la panacée de tous nos problèmes.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 14/09/12, Les Écrits du Rabash

Une nouvelle année, un nouveau départ

Dr. Michael LaitmanA la différence d’avec notre monde corporel, il n’y a pas de temps, ni de lieu ni de mouvement dans le monde spirituel, mais seulement des ascensions et des descentes dans les attributs de la réception ou du don sans réserve. C’est l’échelle sur laquelle nous avançons tout le temps. Nos états sont mesurés uniquement en ce qui concerne les « mondes » spirituels, les Partsoufim et les Sefirot qui continuent de haut en bas à travers 125 degrés .

Sauf pour nos montées et nos descentes, il y a aussi le mouvement des degrés eux-mêmes qui peuvent se déplacer en même temps que nous. Si je suis dans un certain monde, par exemple, dans une certaine perception de la réalité et qu’il y a soudainement une « mise à niveau »: je pense que cela devient plus clair, que c’est plus éclairant, je reçois plus de pouvoirs, de compréhension et de discernements. Tout cela n’est pas considéré comme mon fait, mais c’est une sorte d’ « exercice »que je dois traverser afin qu’il me montre quelque chose.

C’est comme un petit enfant qui est pris dans les bras et ressent tout à coup qu’il est grand: de nouveaux horizons s’ouvrent devant lui, il peut atteindre des choses qu’il ne pouvait atteindre auparavant. Puis il commence à diriger la personne qui le porte là où il veut être porté et vers quelles portes ouvrir. Des comportements similaires viennent d’En Haut et se révèlent dans notre monde. Par conséquent, il y a différentes ascensions:

  • · Soit nous gravissons les échelons grâce à nos efforts
  • · Ou bien l’échelle se déplace vers le haut et vers le bas.

Ces mouvements sont représentés à nous comme des moments particuliers ou des états particuliers. Dans l’ensemble, chaque état ​​est particulier et ne se répète pas, il n’y a pas un moment qui soit semblable au suivant. Il faut dire que ce n’est pas par hasard si le peuple a divisé le temps comme ça. Manifestement, les jours et les nuits correspondent au cadran solaire et le mois est déterminé par le calendrier lunaire. Mais comment a-t-on décidé de la division du jour en 12 heures pour le jour et 12 heures pour la nuit? La sagesse de la Kabbale explique ce cycle de 24 heures réparties en minutes et en secondes comme le résultat des relations mutuelles entre Zeir Anpin et Malkhout.

Dans l’ensemble, il s’agit d’une multiplicité d’influences différentes sur l’être créé, ce qui signifie sur Malkhout, d’En Haut. C’est de là que proviennent les idées d’une année de jachère et du Yovel (le Jubilé, la 50e année). En plus il y a des états spéciaux appelés «temps» ou «fêtes». Ils ne sont pas reliés à des phénomènes au niveau minéral, mais sont contrôlés par un programme spécial. Le fait est qu’il y a des racines spéciales qui doivent être révélées et réalisées spécialement pour nous et pas seulement dans le monde ou par certaines coutumes. Ces états nous «éclairent » en nous préparant de telle sorte que dans le futur nous allons véritablement les recevoir et les accomplir.

Aujourd’hui, nous recevons de leur part des illuminations faibles, mais en fait ce sont les degrés. Dans le monde spirituel une personne monte les degrés de « Dimanche », « Lundi », « Mardi », « Mercredi », « Jeudi », « Vendredi », et « le jour du Shabbat. » Elle doit sentir ces états séquentiels, l’un après l’autre. Une journée spirituelle peut durer quelques secondes ou elle peut persister pendant plusieurs semaines. Cela ne fait aucune différence car le temps corporel n’a rien à voir avec le temps spirituel.

Ainsi, les « fêtes » sont les états, les «exemples», les niveaux auxquels une personne s’élève. Dans l’ensemble, elles sont dans l’ascension et sont comblées par un éveil d’En Haut par un certain éclairage qui ajoute quelque chose à une personne qui a une perception spirituelle. Ces ajouts sont appelés«Rosh Hashana» (la nouvelle année), «Yom Kippour», etc.

Pour chaque ascension reçue d’En Haut, un type particulier de travail est bien sûr requis en-dessous, par la créature. C’est parce qu’elle veut utiliser cette ascension dans le but de se corriger et de réaliser l’apport supplémentaire qui l’a touchée à un nouveau niveau. C’est la même chose le jour du Shabbat quand un éveil d’En Haut nécessite un travail particulier de notre part. Ce n’est pas un moment de repos, mais plutôt toute une journée bien remplie dans laquelle il y a plus de prières et d’autres coutumes. Lorsque le Supérieur invite l’être créé à monter à un niveau supérieur, le travail lors de l’ascension oblige l’inférieur à effectuer de nombreuses actions.

La première fête est Rosh Hashana, qui symbolise un nouveau départ. Je veux être un être humain, Adam, pour ressembler au Créateur. C’est la raison du processus spirituel par lequel je veux passer. Ainsi, Rosh Hashana est appelé le jour de la Création de l’homme, c’est le jour où l’homme a été créé.

Dans la mqtérialité ceci est également reflété d’une manière spéciale: il y a 5773 ans vivait un homme appelé Adam et ce jour-là il a découvert la spiritualité, il a découvert le Créateur. Pour la première fois dans l’histoire, l’une des créatures à deux pattes a découvert qu’il existait un monde spirituel et la force supérieure. Il fut le premier à ressembler au Créateur et nous l’appelons le «premier homme».

Dans l’article « L’enseignement de la Kabbale et de son essence », le Baal HaSoulam dit, Adam HaRishon a été le premier à recevoir une séquence de connaissances suffisantes lui permettant de comprendre et de réussir à optimiser tout ce qu’il a vu et atteint par ses propres yeux. Et cette compréhension est appelée la « sagesse de la vérité ».

Depuis ce jour-là, quand l’homme s’est identifié avec le Créateur et accomplit son nom, ce qui lui a été donné « par hasard » par ses parents, nous comptons nos années. Cela signifie que même notre calendrier est d’abord basé sur la révélation du Créateur à la créature.

De la 4 ème partie du cours quotidien de Kabbale ,14/09/12 , les coutumes de Rosh Hashana

Les jours de crainte avant la nouvelle année

Dr. Michael LaitmanUne fois qu’une personne est éveillée à la spiritualité, le reste de son ascension dépend du manque. C’est la seule chose qu’elle est tenue de faire- avoir un manque appelé la prière, MAN.

Cela n’est possible que quand une personne est reconnaissante d’avoir reçu un tel désir. Alors elle augmente l’importance de l’objectif par elle-même, l’importance du prochain niveau. En outre, il est possible, si au-dessus de tout cela, elle développe également un autre manque en elle, ne pas s’élever pour son propre intérêt, mais dans le but d’apporter le contentement au Créateur. C’est comme le fameux exemple de l’invité qui veut faire plaisir à l’hôte.

Ainsi, elle se prépare à recevoir de l’aide d’en haut qui fera de son désir, le désir juste. Même si une personne ne comprend pas à quel point notre considération est bien égoïste, elle ne fait aucune différence et pour le moment, c’est suffisant. Plus tard, elle verra que sa considération n’est pas pure. C’est pourquoi le temps de préparation est appelé Lo Lishma (pas en Son nom).

Il s’agit d’une considération naturelle égoïste et il est impossible de passer au-dessus de notre ego d’un seul coup. Il s’ouvre progressivement dans la mesure où nous pouvons faire un effort et travailler contre lui-contre des choses que nous trouvons agréables, par rapport à nos habitudes, et dans la mesure où nous sommes prêts à passer sur notre orgueil, afin de communiquer avec les autres.

Tout cela n’est pas simple, mais si une personne fait toujours attention à cela, elle avance. Notre problème est que tout le monde essaie de s’échapper et de se cacher dans son coin, de se cacher derrière l’étudiant, derrière le désir de connaître ce qui est écrit, ce qui n’a rien à voir avec le progrès spirituel et la correction intérieure. Une personne remplit son esprit de faits taris et néglige le travail dans le cœur.

Le travail dans le cœur fonctionne contre le cœur, afin de transformer le «cœur de pierre» en «cœur de chair. » Mais nous oublions où notre effort principal doit être. Tout le monde trouve une place confortable et pense qu’il a trouvé le chemin. De cette façon, il descend encore plus de Lo Lishma, puisque Lo Lishma, est quand en dépit d’être dans mon ego je continue à faire des efforts pour m’élever au-dessus.

Où est le travail quotidien de se connecter avec les autres, de reconnaître, de passer au-dessus de moi, d’annuler mon «moi», d’accepter l’importance de l’avis du groupe, de devenir l’esclave de la mission? Puis-je m’examiner moi-même et voir dans quel état je suis? C’est ce qu’on appelle Lo Lishma.

Tout le travail de Moïse en Égypte est un exemple de travailler dans Lo Lishma. Il veut échapper à l’esclavage, mais il a peur parce qu’il comprend qu’il est sous la domination de Pharaon, de son ego, et il ne sait pas comment lui parler. Il atteint un état tel, que le Créateur Lui-même le prend et l’amène à Pharaon et l’aide dans tout ce qu’il fait.

Le Créateur Lui-même se bat contre le Pharaon. Il dit: «Venez au Pharaon! » Mais dans l’intervalle, une personne a peur. Elle sait que l’ego la contrôle totalement et comme elle est faible quand elle le confronte. Elle est dans un dilemme constant: D’une part, elle est prête, et d’autre part elle ne l’est pas. Si elle pouvait au moins demander au Créateur de passer avant elle, juste pour se cacher derrière Lui et donc debout devant le Pharaon, mais elle ne veut pas y aller et elle n’a pas le courage de transformer non seulement son ego, mais aussi à ses propres attributs, appelés «la nation d’Israël. »

Mais en étant dans un système qui la lie à Pharaon, au Créateur, et à la nation, elle doit clarifier toutes ces connexions. Elle ne peut pas se cacher derrière une théorie ou un travail qui n’est qu’un moyen. Il est très important de clarifier ce que signifie Lo Lishma.

Quand une personne entre dans l’état de Lishma (en son Nom), les choses deviennent plus claires et plus décisives. Nous ne pouvons pas dire que cela devient plus facile, mais on profite de l’expérience. Dans l’intervalle, cependant, pendant le temps de préparation, une personne s’échappe dans un coin, prête à rester là jusqu’à son dernier jour. C’est un grand problème si le groupe ne l’encourage pas et ne la guide pas. Elle doit sentir qu’elle est inférieure à eux afin d’entendre ce qu’ils disent.

Le sentiment d’impuissance, d’une part, et la nécessité d’avancer d’autre part est un état appelé Yamim Norai’im (les Jours terribles). Une personne est dans un état d’angoisse car elle a peur de ne pas être en mesure de répondre au désir du Créateur, de ne pas être en mesure de Lui permettre de se révéler à tous les êtres créés, de ne pas être en mesure de se sacrifier pour l’union du Créateur vers les créatures.

Tout cela évoque la peur en elle. Elle veut vraiment accomplir ce stade, dans la pratique, de sorte que cela sera appelé le début d’une nouvelle année pour elle.
De la préparation au cours quotidien de Kabbale 14/09/12

La transformation de Pharaon en un ange bénit

Dr. Michael LaitmanLa force de l’amour du Créateur qui dès le début ne se trouve pas dans l’être créé, lui est transférée en chemin inverse. C’est ce qu’on appelle le mauvais penchant. Selon la mesure de l’amour avec laquelle le Créateur établit un rapport avec nous, nous pénètre d’une manière inversée et engendre en nous la force de la haine, un degré de séparation. Si nous voulons maintenant l’inverser, il faut la changer en amour.

Transformation Of The Pharaoh To The Holy Angel

Le Créateur crée le désir de recevoir et lui transfère toute Sa force d’Amour. Le désir lui-même est juste un petit point, mais maintenant il est dans l’environnement de cette force de l’amour qu’il se ressent comme un monde de haine.

Nous devons transformer de nouveau cette haine en amour. C’est tout! C’est ce qu’on appelle la «montagne de la haine » qui se transforme en « montagne de la sainteté. »

Nous travaillons uniquement sur ​​notre intention. Nous ne considérons pas le désir, comme il nous a été donné par la nature. Tout ne dépend que de l’endroit où nos pensées sont dirigées. Ainsi, ce n’est pas important ce que sont les désirs d’une personne. Ils ne dépendent pas de lui. Dès le début, il y a Taryag (613) désirs, et ils sont tous dans le but de la réception. L’homme veut profiter du Créateur et, par conséquent, il est appelé Pharaon. Et tout notre travail est de transformer ce Pharaon en un ange bénit.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 13/09/12, Le Zohar

Les magnats attaqués

Dr. Michael LaitmanJusqu’à présent, tout le monde a grandit et s’est développé dans ses propres désirs individuels depuis la phase racine jusqu’à la phase quatre. Mais ce processus est terminé et désormais il n’y a plus d’endroit où se développer individuellement. Aujourd’hui, le développementne  peut continuer que dans la connexion entre nous.

Cette connexion est également divisée en phase racine, un, deux, trois, et quatre en fonction de son épaisseur. C’est en fait la question qui se pose aujourd’hui : comment pouvons-nous tisser la connexion entre nous correctement ?

Tycoons Under Attack

Il n’y a rien que nous puissions faire à l’intérieur de nous, nous avons épuisé notre ego individuel. Ainsi, sans la bonne connexion, chacune d’elle s’effondrera.

En particulier, cela s’applique aux magnats puisque toutes les connexions majeurs dans la société dépendent d’eux. Par conséquent, tous les grands de ce monde s’effondreront. D’autre part, une personne ordinaire ne sentira qu’un écho de cet effondrement. Les magnats sont si étroitement connectés avec le monde qu’ils sont beaucoup plus épais et encore plus dépendants; ils sentiront donc le coup beaucoup plus fortement s’ils ne commencent pas à créer les bonnes connexions.

Cela peut se produire de différentes façons, comme les faillites et les catastrophes, mais l’essence ne change pas : ils auront le sentiment que quelque chose a mal tourné et ne fonctionne pas. C’est parce que l’industrie moderne et le commerce dépendent entièrement des liens mutuels, et les liens réciproques ne fonctionneront pas de nos jours si le système global général n’est pas pris en compte.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 11/09/12, « La paix dans le monde »

À propos du Créateur, avec des mots très simples

Dr. Michael LaitmanLa façon dont tous les êtres créés se comportent avec moi s’appelle le Créateur ? Où puis-je Le révéler? Par mon attitude envers eux!

Quand vais-je Le révéler? Quand je me conduits avec eux avec amour et le don sans réserve.

Que dois-je savoir à leur sujet?-Que ce sont mes parties inséparables qui me sont utiles et dont j’ai besoin. Il n’y en a aucun au monde qui me ferait du tort et serait mon ennemi.

Cela signifie que je révèle que toutes les créatures se rapportent à moi soit par le don sans réserve pour l’amour du don sans réserve, qui est appelé «Ne faites pas à autrui ce que vvous n’aimeriez pas qu’on vous fasse», soit en recevant pour l’amour du don sans réserve, ce qui signifie en aimant l’autre comme soi-même. Pour l’essentiel, c’est la manifestation de l’attitude du Créateur envers moi comme s’Il généralisait simplement toutes ces attitudes comme leur plus haut degré.

De la 3ème partie de la Leçon quotidienne de Kabbale, 08/08/12 , Etude des dix Sefirot

La révélation arrive toujours de façon inattendue

Dr. Michael LaitmanQuestion : Est-ce que la Lumière agit plus sur une personne quand elle comprend ce qu’elle lit ou lorsqu’elle est totalement désorientée et fait des efforts pour maintenir l’intention ?

Réponse : Il est impossible de savoir. La Lumière influence tout le temps, mais une personne ne peut ressentir ces effets immédiatement mais au fil du temps. Peut-être que dans deux semaines, ou même dans un moment inadéquat, tout d’un coup une révélation arrive. Vous ne pouvez pas savoir comment cela va se passer, car il y a tellement de conditions internes et externes qui finalement conduisent à une telle révélation.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 11/09/12, Le Zohar

Le bien-être du monde est un impératif à notre époque

Dr. Michael LaitmanQuestion : Aujourd’hui, il est clair qu’une personne dépend et est esclave de son environnement. Mais comment peut-on conclure de cela que nous devons agir pour le bien-être de la société ?

Réponse : Si une personne ne sert pas le monde, le monde ne lui fournira pas ce dont elle a besoin. Aujourd’hui, ce dont j’ai besoin dépend en fait du monde entier. Je n’aurai rien si le monde ne me le donnait pas, en d’autres termes, si le monde entier n’était pas mutuellement connecté. Cela signifie que je dois me soucier du fait que tout le monde soit connecté et que chacun coopère dans l’harmonie. C’est alors seulement que le monde sera en mesure de me fournir ce dont j’ai besoin.

Dans certains endroits du monde, des gens creusent pour le fer, dans d’autres pour le cuivre, plus loin pour le pétrole, et ailleurs pour le gaz. Les usines produisent les biens et les navires les transportent ; les scientifiques développent de nouvelles technologies et, finalement, le produit final me parvient. Dans le passé, nous n’étions pas vraiment inquiets. L’égo « local » du propriétaire de l’usine ou celui du puits de pétrole du propriétaire était suffisant, mais aujourd’hui cela ne fonctionne plus de cette façon. Bientôt nous serons surpris de voir à quel point les mécanismes de production majeure ne fonctionnent pas. Pourquoi ? Le propriétaire des puits de pétrole ne veut-il pas faire de profits ? Pourtant, son entreprise échouera car nous ne lui donnons pas de pouvoir, nous ne nous inquiétons pas de lui.

Il est temps de s’inquiéter du bien-être de tout le monde. Maintenant le système fonctionne intégralement et il a besoin des carences de chacun pour fonctionner. « Mais puis-je connaître et mémoriser tout ce qui se passe dans le monde? On deviendrait fou, pas même un ordinateur pourrait le faire !  »

Certes, donc la seule option est la connexion des cœurs et des désirs, et non pas des pensées. Commencez à fonctionner au niveau des désirs et vous verrez tout à coup comment la pensée s’« imprime » précisément de l’éveil du cœur, du désir, et est capable de se soucier de tout le monde. Vous verrez et saurez alors pourquoi un grand potentiel de votre cerveau est toujours inactif.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 11/09/12, «La paix dans le monde »

Qui sont les «sages dans le cœur »?

congrès, groupeQuestion : A qui le Baal HaSoulam fait-il allusion quand il parle de ceux qui sont «sages dans le cœur» ?

Réponse : « Le sage dans le cœur» est celui qui recherche comment ouvrir son cœur à une plus grande sagesse (« Sagesse » – « Hokhma« ), la sagesse de l’unité, en se connectant aux autres.

Nous souhaitons nous connecter à notre cœur, connecter nos désirs, et de tous les cœurs et de la somme totale de tous les désirs nous souhaitons choisir uniquement ceux qui sont prêts à se connecter. En créant une connexion entre ces désirs, nous créons un réseau commun, à l’intérieur duquel nous voulons commencer à agir.

Tandis qu’à l’intérieur de ce réseau, nous oublions quels désirs appartiennent à qui, parce que c’est maintenant notre système commun. Alors, dans celui-ci, nous commençons à ressentir la Lumière de Hokhma et sommes donc appelés sages dans le cœur. Après tout, nous révélons la Lumière de Hokhma (la sagesse) dans la connexion de nos cœurs.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 11/09/12, Panim Meirot OuMasbirot