Category Archives: Créateur

Une bénédiction ou une malédiction?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi est-il si important de ne pas condamner le Créateur, mais toujours le justifier ?

Réponse: Si cela vous fait mal de maudire le Créateur et que vous souhaitez corriger la situation, ce n’est pas parce que vous avez peur de dire du mal de lui, puisque tout le monde le justifie en mots, tout le monde.

La différence entre ceux qui ont révélé le Créateur et ceux qui ne l’ont pas est que si une personne n’a pas révélé le Créateur, cela signifie qu’elle le maudit. Si une personne a révélé le Créateur, cela signifie qu’elle le bénit.

Ceci est la façon dont il est révélé dans les récipients, dans le sentiment d’une personne, selon l’équivalence de forme. Si je comprends bien le Créateur, le sens, le remercie et le bénis, sentant que je suis comme Lui, c’est dans cette mesure que je Le révèle. Une fois que je révèle le Créateur, je Le bénis.

Mais si je suis dans un état de dissimulation, cela signifie que je maudis le Créateur. Il existe différents niveaux de dissimulation tout comme il existe différents niveaux de révélation. Il y a des niveaux de dissimulation profonds en qui je suis comme un bébé à qui on pardonne, peu importe ce qu’il fait en ce moment, tant qu’il se développe et est en bonne santé. Il peut faire des bêtises et casser des choses, mais il est pardonné car c’est un bébé! Ceci est la forme de dissimulation.

Cela peut aussi être une forme de dissimulation dans laquelle je commence à réaliser que je devrais bien me comporter, mais en attendant, je ne peux pas. Ainsi je continue de me développer. La dissimulation ou la révélation du Créateur, cependant, sont toujours un signe de ce que je dis de lui, soit je Le bénis ou Le maudis.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 29/10/14, Shamati # 1

Le seul rituel du kabbaliste

Dr. Michael LaitmanQuestion : Y a-t-il des rituels dans la sagesse de la Kabbale ?

Réponse : Dans la sagesse de la Kabbale, il n’y a pas de rituel ! Elle nese préoccupe pas de tout ce qui touche au monde matériel, ni au corps physique d’une personne.

La sagesse de la Kabbale consiste en un travail interne d’une personne, qui est dirigé vers la connexion et l’unité avec les autres, et à travers cette correction, c’est la découverte du Créateur. Il n’y a pas d’actions extérieures en cela, mais l’assistance  mutuelle pour un travail spirituel prospère. Il s’agit d’un travail en groupe, d’un travail dans un groupe de dix (appelé un Minyan), de réunions d’amis, de repas partagés, etc., en d’autres termes, toutes sortes d’activités extérieures qui peuvent nous aider à nous rapprocher sont les bienvenues.

Ici, il est possible de voir immédiatement la différence entre un groupe kabbalistique de dix et un Minyan de personnes qui se sont réunies dans une synagogue, qui n’évoluent pas vers la proximité mais viennent simplement pour prier. Ils n’ont pas une tâche partagée afin de créer un tout unique entre eux et de découvrir le Créateur parmi eux.

Alors que pour nous, la connexion dans un Minyan, un groupe de dix, est une activité spirituelle où nous essayons de nous connecter en un seul ensemble, l’image d’une seule unité appelée Adam (Homme), de sorte que notre seule image élevée au-dessus de l’ego et connectant chacun d’entre eux est construite sur la caractéristique du don sans réserve et ressemble au Créateur.

De cette unité entre nous, du fond du cœur commun, nous élevons notre demande vers le Créateur pour qu’Il se révèle dans notre désir unifié, notre cœur unifié. Ceci est appelé une prière kabbalistique, un Minyan kabbalistique, un groupe et un rituel.

De KabTV, « Histoires Courtes » du 22/10/14

Qu’est-ce qu’une prière dans la Kabbale?

Dr. Michael LaitmanUn vrai kabbaliste se rend compte qu’il est sous la domination de l’ego et un seul point interne en lui, le point dans le cœur, est libre de l’influence égoïste et peut le connecter au Créateur.

Si il se connecte et exerce son point dans le cœur avec le Créateur, il reçoit la force qui l’élève au-dessus de son ego et il commence à corriger progressivement l’ego en l’utilisant  altruistement.

Tout notre travail dans la correction spirituelle est de demander au Créateur les pouvoirs de corriger l’ego. Par conséquent, il joue un rôle positif ici, en éveillant en nous le besoin du Créateur.

Lorsque nous nous tournons vers le Créateur nous recevons de Lui la puissance nécessaire pour la correction et dans l’ego corrigé nous sentons une connexion au Créateur. Ce n’est pas en contact à un moment précis, mais une unité plus large et plus forte. Puis un plus grand ego apparaît, un ego plus épais, et une fois de plus nous demandons au Créateur de nous donner les forces pour le corriger.

Cela signifie que l’ego qui se révèle constamment nous réveille pour nous connecter au Créateur et il est donc appelée « aide à son encontre ». Notre constante demande au Créateur de corriger l’ego est appelée une prière.

De «Histoires courtes» de KabTV 22/10/14

Demandez des explications au Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion : Nous disons toujours : « Il n’y a rien hormis Lui » et utilisons cela partout comme une pub. Si, par exemple, quelqu’un me blesse ou me met en colère, je réagis en conséquence, mais alors je me souviens : « Oh, mais ça vient du Créateur. Eh bien, puisque c’est de Lui, alors c’est très bien. »

Comment pouvons-nous parvenir à un tel état où je réagirais envers l’ami avec le même émerveillement que j’ai envers le Créateur : « Oh, mais c’est mon ami ! »

Réponse : Ce n’est pas exact. Nous ne pouvons pas atteindre le Créateur, et c’est pourquoi vous dites : « Oh d’accord », vous rassurant vous-même et acceptant tout ce qui arrive. C’est de la complaisance, comme ils disent, « l’Opium pour les masses ».

En réalité, il faut atteindre l’absolu parfait. Quand vous comprenez vraiment, sentez, et atteignez le Créateur, alors votre accord avec Lui va acquérir une force réelle.

Jusque-là, vous continuerez à vous consoler avec « Il n’y a rien à faire. Le Créateur est… » Comme ils l’écrivent dans les polices d’assurance : « Frappé par la foudre ; rien ne pouvait être fait. Qui est à blâmer ? Il s’agit d’une force extérieure. »

Question : Peut-être y a-t-il un manque d’analyse ici ?

Réponse : Il s’agit seulement d’un manque d’atteinte ! Ce n’est pas une question de pensée, mais d’organes de l’atteinte, les Kélim (récipients). Une réaction correcte est nécessaire.

D’abord et avant tout, nous devons demander que ce qui arrive devienne exactement clair. Demandez, et ne soyez pas simplement d’accord, puisque grâce à cela, vous glissez sur tout ce qu’Il fait avec vous. Il veut vous défier pour un sentiment mutuel grave, une clarification, mais vous agréez à titre préventif : « Non, non, pas besoin de cela ; c’est tout bon. »

Demandez des explications au Créateur !

Du congrès de Saint-Pétersbourg, « Troisième Jour », Leçon n°6 du 21/09/14

A l’avance

Dr. Michael LaitmanComme il est écrit : « Il n’y a rien hormis Lui. » Tout notre travail est concentré sur cela. Dans chacune de mes actions, de mes sensations, de mes désirs, de mes pensées, je veux Le révéler, Lui qui m’envoie tout cela.

Il est l’organisateur, Celui qui agit authentiquement. Quoi que je fasse au demeurant, Il le fait à travers moi et je dois découvrir comment Il travaille à l’intérieur de moi, comme la force supérieure, le Créateur, agissant comme un « dérivé » au sein de l’être créé.

Parvenant à cela, j’atteins l’adhésion. En faisant l’expérience de l’action, je suis d’accord avec ce que le Créateur fait à travers moi, et puis je deviens un seul tout avec Lui.

Sur le chemin de l’adhésion, je passe par beaucoup de résistance, je suis surtout envoyé dans la dissimulation et dans des formes diverses. Cela me permet, dans les moindres détails, de me mettre en conformité avec le Créateur, de fusionner avec Lui, d’adhérer à un point tel que je ne ressens même pas Celui qui produit mes pensées, mes actions, et mes désirs au fond de moi, mais moi, moi-même, comme si j’étais en avance de Sa création ; tout cela parce que je suis dans l’adhésion avec le Créateur et que je Le connais.

De KabTV, « Une Nouvelle Vie » du 05/10/14

L’exil : A la limite de la lumière et des ténèbres, Partie 3

laitman_749_01Question : Les Juifs sont-ils restés en tant que peuple d’Israël dans le sens spirituel du mot après la destruction du Premier Temple ?

Réponse : Ils étaient conscients de leur incapacité à résister à l’égoïsme qui les contrôlait. Ce fait est documenté dans les livres et les chroniques historiques.

Il y a beaucoup de matériaux qui couvrent ce sujet. Ils ont été écrits dans un passé lointain par les participants proches des événements, pas par des chercheurs contemporains.

Les Juifs étaient une nation très instruite. Ils ont transmis leurs connaissances de génération en génération. Leurs écrits ont été conservés, systématisés et classés. Ainsi, ils ont été bien entretenus pendant des siècles.

Par conséquent, les gens ont clairement réalisé : « Il n’y a pas de Créateur parmi nous ! »

Question : Mais, qu’est-ce qu’ils ont emmené en exil ? Qu’est-ce qu’ils transportaient avec eux ? Auparavant, ils respectaient les principes d’Abraham, mais qu’est-ce qu’ils possédaient après que l’effondrement ait eu lieu ?

Réponse : Ils se souvenaient de leur histoire tout à fait bien. Ce n’est pas qu’ils l’ignoraient totalement, comme si on les avait frappés sur la tête. En outre, la chute ne se produit jamais immédiatement ; elle se déploie progressivement, les gens refroidissent lentement, laissent leurs états antérieurs derrière eux, et continuent de faire des tentatives infructueuses de retour à leurs états antérieurs.
Nous nous exerçons à nous accrocher à notre passé, mais nous sommes incapables de le faire. En même temps, en faisant des tentatives pour revenir à lui, même si nous ne parvenons pas à des résultats, nous continuons à explorer et à réviser nos états antérieurs, en les conservant ainsi dans notre mémoire.

Cela est similaire à la répartition de la Lumière dans un Partsouf et sa sortie tardive hors de lui (TANTATaamim, Nekoudot, Taguin et Otiyot, ndt). A la dernière étape, quand tout le reste est déjà parti, tout ce qui reste ce sont des souvenirs (Reshimot). Toutefois, à ce stade, ils sont plutôt frais et sont appelés récipients (Kélim). Ces types de récipients sont corrects. Ils reflètent les bonnes sensations, les définitions de ce qui se passe à l’intérieur de nous ;  c’est uniquement à ce moment-là que l’on se rend compte dans quel état on était avant. Au moment où nous étions dans cet état, nous ne comprenions pas ce qu’il signifiait en réalité pour nous.

Cela arrive également dans la vie de tous les jours. Souvent, on dit à quelqu’un : « Vous vous souviendrez de cette situation et vous la comprendrez différemment plus tard. » Ainsi, quelque chose reste toujours lorsque nous perdons nos situations passées et quand il n’est pas en notre pouvoir d’interrompre la tendance des pertes.

De KabTV, « Babylone d’hier à aujourd’hui », 03/09/2014

Chercher le bon dialogue avec le Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion : Pendant des années nous avons étudié la Kabbale ; nous comprenons notre chemin, nous aspirons à la propriété du don sans réserve. Mais au dernier moment, la peur émerge à propos de la façon de combiner la réception et le don, c’est-à-dire, la peur devant la propriété du don sans réserve. Je comprends que cela devrait se faire non pas pour moi, mais seulement pour le bien du Créateur. Comment pouvons-nous ne pas avoir peur de cela ?

Réponse : Qui vous donne ces sensations ? Qui contrôle vos sentiments et votre esprit ? Qui est à l’intérieur de vous et vous entraîne à avoir ces perceptions ? Le Créateur. Ainsi, parlez-Lui car il resserre le contrôle sur vous, et configure votre appareil sensuel et psychique pour une certaine excitation.

Pour quelle raison fait-Il cela ? Si vous commencez à vous connecter à Son travail et commencez à explorer ce qu’Il provoque en vous et dans quel but, vous commencerez à ressentir le Créateur et vous-même en tant que partenaires.

Après tout, Il produit tout, pas à vous, mais dans votre soi-disant désir, qu’Il a également créé et sur lequel Il travaille actuellement, ce qui provoque certains troubles en son sein. Selon ces perturbations, vous devez trouver la bonne réponse sur ce que vous voudriez qu’Il fasse. Ou, vous acceptez qu’il fasse tout ce qu’Il désire, mais qu’Il vous apprenne comment se rapporter à Lui correctement. Commencez à rechercher le bon dialogue avec le Créateur.

Toutefois, si vous commencez à faire cela et ne le faites pas à travers le groupe, ce ne sera pas le Créateur, mais seulement vos conclusions psychologiques, émotionnelles et mentales. Le Créateur est à l’intérieur du groupe de dix. C’est le problème de tous les psychologues et autres chercheurs qui ne comprennent pas où Il se cache.

Question : Vous avez dit que le désir pour la propriété du don sans réserve se manifeste pendant un moment, puis nous le perdons, le ressentons à nouveau pour un moment, et le perdons de nouveau. Afin de ressentir notre unité, devrions-nous souhaiter cela tous ensemble en une seconde ?

Réponse : Un désir collectif à court terme ne nous aidera pas. Nous avons besoin d’accumuler un certain potentiel pour un certain temps afin que notre tension soit correcte. C’est ce qu’on appelle « le monde, l’année, l’âme » (Olam, Shana, Nefesh). Ainsi, en dépit de toute la transformation que nous expérimentons, si nous dirigeons correctement cela vers le but, nous unissons, trouvons le point le plus haut entre nous et y adhérons, alors nous accumulons progressivement la tension requise et la révélation du Créateur a lieu.

Du congrès de Saint-Pétersbourg, Leçon préparatoire n°2 du 18/09/14

La seule réponse

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment puis-je comporter avec les amis comme  avecle Créateur et changer ma critique en amour?

Réponse: Il n’y a pas de réponse logique ici parce que la Lumière Supérieure effectue tous les changements en vous. Tout comme maintenant, vous n’aimez pas l’ami, vous allez commencer à l’aimer sous l’influence de la lumière supérieure.

Nous devons demander cela. Vous avez beaucoup de questions pour lesquelles il n’y a qu’une seule réponse: la Lumière Supérieure et son effet. C’est toute la méthode: «J’ai créé le mauvais penchant; J’ai créé la Torah comme une épice, « afin de corriger le mauvais penchant.

La Torah est appelée Lumière, qui remplit toute la création chaque fois que vous pouvez produire la quantité de lumière que vous pensez être essentielle pour la correction révélée de votre ego. Il n’y a rien d’autre à part cela. Il n’y a pas d’autre remède, seulement la Lumière Supérieure.

Quand je parle de l’effet de la lumière supérieure, je veux dire que  par le résultat de nos efforts, notre recherche intensive, et les différents événements que nous traversons, nous commençons tout d’un coup à nous sentir mutuellement, nous commençons à sentir que la Lumière est proche. Vous recevez des sentiments que vous n’avez jamais eu avant et donc vous pensez que c’est le résultat de l’influence de la lumière supérieure.

Du congrès de Sotchi 25/08/14, Leçon 2

La maison du Créateur

congrès, groupeQuestion: Il est écrit dans la Torah: «Ainsi, seront sépares les enfants d’Israël de leurs impuretés, afin qu’ils ne meurent pas dans leurs impuretés, s’ils salissent mon tabernacle qui est au milieu d’eux. » Quel est le sens de « Mon tabernacle qui est au milieu d’eux? »

Réponse: L’expression « et je résiderai au milieu d’eux» est répété plusieurs fois dans la Torah, et l’ordre du Temple, il dit: «Mon tabernacle. » Pourquoi est-ceainsi ? C’est parce que le désir corrigé qui est créé par nous est le tabernacle du Créateur, le récipient que nous corrigeons et qu’Il remplit de sa lumière « .

C’est son domicile car le Créateur est à l’intérieur dela satisfaction des désirs corrigés, et c’est donc par eux que nous Le découvrons. Nous trouvons le Créateur dans nos désirs, dans notre désir de connexion aux autres selon le principe  »tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

De KabTV des « Secrets du livre éternel » 05/03/14

La sagesse de la Kabbale et le reste des sciences

Dr. Michael LaitmanQuestion : De quelle manière la sagesse de la Kabbale diffère-t-elle du reste des sciences ?

Réponse : La sagesse de la Kabbale est impliquée dans la découverte du Créateur, la découverte de la force du don sans réserve dans ces Kelim (récipients) qui sont en équivalence de forme avec Lui, en d’autres termes, les Kelim du don sans réserve. Cela ne peut jamais arriver dans d’autres sciences car elles sont impliquées dans des phénomènes qui se découvrent dans des Kelim de réception.

Dans les Kelim du don sans réserve, je découvre la puissance supérieure. Ces Kelim sont détachés de moi parce que je dois sortir de moi-même et m’élever au-dessus de mon désir de recevoir. Cela rend possible pour moi le fait de comprendre ce pouvoir objectivement, de l’examiner et de l’étudier.

Dans les autres sciences, nous découvrons seulement des phénomènes qui se produisent à l’intérieur de nous. Bien qu’il nous semble qu’ils se produisent en dehors de nous dans le monde environnant. Cependant, grâce à la sagesse de la Kabbale, nous développons de nouveaux sens, des Kelim, dans lesquels nous découvrons la puissance supérieure qui est en dehors de nous.

Ainsi, la sagesse de la Kabbale est une sagesse objective sur le Créateur, au sujet de la puissance supérieure, la seule puissance qui gère tout, y compris nous, et c’est la différence entre la sagesse de la Kabbale et d’autres sciences.

La même approche scientifique est pratiquée dans la sagesse de la Kabbale comme dans tout le reste des sciences. Comme il est écrit : « Un juge ne ​​dispose que de ce que ses yeux voient » (Talmud, Baba Batra 131a), en d’autres termes, une base factuelle, mais c’est reçu dans d’autres Kelim, dans les Kelim du don sans réserve.

Comme toute science, la sagesse de la Kabbale se développe et découvre de plus en plus. C’est seulement après l’achèvement de la correction et la découverte de la Lumière du Machia’h (Messie) que la sagesse de la Kabbale deviendra une science absolument complète.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 27/08/14, Écrits du Baal HaSoulam