Category Archives: Perception

Le point dans le cœur commun

Dr. Michael LaitmanQuestion : Qu’est-ce que cela signifie d’être Moïse à l’égard des amis à l’intérieur des dix ?

Réponse : Moïse (Moshé en hébreu) est le seul point commun de l’ensemble des dix. Vous collectez vos points ensemble et les ressentez comme un seul point. Ceci est votre Moïse qui vous tire hors de l’égoïsme. Le concept de Machia’h, qui est celui qui tire, qui arrache, vient du verbe « Limshokh« , tirer, extraire.

Question : Si l’un des amis est dans une descente, est-ce que cela veut dire que les autres sont des Moïses pour lui ?

Réponse : Ils le tirent, oui. Mais cette action ne s’appelle pas Moïse.

Moïse est précisément la somme de toutes les aspirations des points dans le cœur visant à atteindre le Créateur. En d’autres termes, ils visent de ce fait la propriété du don sans réserve et l’amour commencera à se développer à l’intérieur de ce point. Mais il s’agit simplement d’un point, et uniquement dans la mesure où vous commencez à attacher l’égoïsme à vous-même, comme AHP à Galgalta ve Eynaïm, alors vous commencerez à grandir.

Du congrès de Saint-Pétersbourg, « Deuxième Jour », Leçon n°3 du 20/09/14

Tout est dans le groupe de dix

congrès, groupeQuestion: Un étrange sentiment de fierté pour le groupe de dix se dessine en moi. Auparavant, je pensais que j’étais meilleur que quiconque. Et maintenant, quelque chose apparaît en moi qui m’a permis de sentir ce groupe de dix. Cela m’a étonné. Qu’est-ce que c’est ?

Réponse: Nous commençons à sentir que le groupe de dix, c’est comme un corps dans lequel nous sentons vraiment le monde supérieur, en particulier une nouvelle vie apparait, de nouvelles caractéristiques et les connexions qui seront appelées le monde de l’Infini.

Tout est à l’état latent dans le groupe de dix dans sa structure au sein de ses caractéristiques révélées. Nous n’avons pas besoin de courir à un endroit ni de chercher quelque chose, quelque part plus. Tout est en lui ! En lui il y a le bien et le mal, nous et le Créateur. En lui, nous découvrons le monde entier; par lui, nous pouvons voir correctement le monde. Tout est dans le groupe de dix.

Du congrès de Saint-Pétersbourg « 2ème Jour » le 20/09/14, Leçon 3

Seul dans un monde infini

congrès, groupeQuestion: Nous savons qu’un groupe de dix amis est un Partsouf spirituel. Comment puis-je voir dix Sefirot parmi dix ânes ? »

Réponse: Le mot « âne » (Hamor) provient du mot hébreu « matière » (Homère). Travailler dans un groupe de dix, vous verrez que de ces dix ânes (matières), vous êtes la plus basse. Malkhout et toutes les autres neuf Sefirot sont les catégories plus pures, plus élevées du don. Vous êtes le seul égoïste non corrigé.

Vous découvrirez que la matière de l’ensemble des neuf ânes est en fait concentré en vous. Cela signifie que vous êtes le plus grand âne avec un énorme ego et tous les autres avant ne sont pas les gens, mais des anges, la catégorie de l’amour et du don. Vous comprendrez que personne dans le monde ne doit être corrigé, sauf vous, et que tous les autres sont totalement connectés au Créateur! Vous êtes la seule partie non corrigée de la création. Vous devriez regarder de plus près et vous le découvrirez.

Du congrès de Saint-Pétersbourg 18.09.14, Leçon préparatoire 2

A travers l’écran de notre monde

Dr. Michael LaitmanNous devons suivre une seule règle afin de progresser à travers la vie d’une façon bonne et merveilleuse : il n’y a qu’une force dans la nature et c’est la force de la bonté. Nous devons découvrir cette force. Nous n’appelons pas cette force l’unique et le bien mais plutôt y faisons allusion comme « Il n’y a rien hormis Lui ».

Pourquoi disons-nous qu’il y a « rien hormis Lui » qui nous gère au lieu de « il y a une force unique qui nous dirige » ?

Parce qu’il semble qu’il y a beaucoup de facteurs, bons et mauvais, qui opèrent sur nous et nous gèrent à un moment donné. D’abord, il semble que je fasse quelque chose afin de déterminer quelque chose pour moi-même, comme le fait mon environnement, le monde, les dirigeants du monde, et la nature, tout ce qui me touche.

C’est en fait la raison pour laquelle il est dit « qu’il n’y a rien hormis Lui ». Cela signifie que nous devrions prêter attention et nous concentrer sur une seule chose en dépit de ce qui semble être de nombreux facteurs qui sont la cause de la condition où nous nous trouvons, y compris nos sensations et nos pensées dans le monde corporel, et aussi dans toute chose à la maison, dans la famille, dans notre environnement, dans la société, au travail, et dans notre vision du monde. Vous pensez tout d’un coup à l’histoire, sur ce qui se passe aujourd’hui et alors vous désirez subitement certains plaisirs, ou vous avez certaines pensées et quelqu’un vous confond ; vous devez voir que derrière tous ces effets qui viennent de l’extérieur et ce qui est invoqué en vous intérieurement, il n’y a personne d’autre que Lui. Vous devez également voir qu’il n’y a qu’une seule raison, une seule source, à partir de laquelle les ordres sont donnés à toutes les parties de la création qui n’ont pas de libre arbitre et qui sont dirigées par la même force supérieure qui vous affecte alors.

Cela peut être vos amis, votre patron, votre femme, vos enfants, votre santé, la situation politique, les différents événements dans le monde, la météo, et vos sensations intérieures. Tout découle de la même force unique qui opère sur vous à travers tous ces facteurs et qui fait effet sur vous.

Si vous concentrez votre cœur et votre esprit et essayez constamment de voir que Lui seul fait cela et non pas mille autres sources différentes qui vous influencent, comme votre femme, vos enfants, votre patron, la météo, votre ressenti intérieur et tout ce qui vous touche de l’extérieur, et que c’est Lui qui est derrière tout cela et que vous voulez toujours être verrouillé sur Lui, et connecté à Lui, alors vous pourrez progressivement commencer à ressentir le système qui vous entoure, qui existe entre Lui et vous. Ce système est appelé « le monde », et la force supérieure entoure le monde.

Ensuite, vous commencerez à Le ressentir et à Le comprendre parce que c’est en fait tous les différents facteurs dans le monde et la façon dont ils vous touchent, qui vous aident à comprendre pourquoi Il vous traite de cette façon. C’est parce que vous devez vous rapporter à Lui comme le bien qui fait le bien, quoi qu’il arrive et au-dessus du doute de façon idéale.

Si une personne tente de voir seulement la force unique positive dans tout ce qui apparaît dans son esprit et son cœur et dans tout ce qui lui arrive, ces interférences lui révèlent vraiment la force unique supérieure, le bien et ce qui fait le bien. Ainsi, elle parvient à la révélation du Créateur.

Dans l’ensemble, c’est notre travail. Il n’y a rien à part cela. La sagesse de la Kabbale nous parle des phases que nous traversons comme nous dévoilons cette force supérieure et de la façon dont nous devons nous organiser de sorte qu’il soit plus facile de Le voir dans chaque état qui se révèle à nous, et comment nous pouvons aider les autres et être conscient de l’aide extérieure afin de ne pas oublier ce principe.

Je peux me trouver dans un état dans lequel je concentre ma volonté et mon pouvoir sur le Créateur, mais tout à coup une influence plus forte peut arriver, qui est plus forte que mon pouvoir de me concentrer sur Lui, et ainsi j’oublie que je dois Le révéler, que cela vient de Lui, qu’Il est uniquement le bien qui fait le bien.

Je commence soudainement à me rapporter à toutes les situations de la vie comme si elles étaient indépendantes et qu’elles venaient à moi de par elles-mêmes et non pas selon le plan général qui s’opère par une force unique supérieure et qu’il n’y a rien hormis Lui.

Dans l’ensemble, c’est le principe de base de notre travail.

Du congrès de Colombie, « Deuxième Jour », Leçon n°1 du 26/07/14

Développer l’esprit d’unité

Dr. Michael LaitmanQuestion: Dans un atelier, nous aspirons à un état ​​d’unité tant que nous commençons à sentir l’accord de tous d’y parvenir. Mais s’il n’y a pas de sentiment comme celui-ci, est-ce la peine de continuer jusqu’à ce que nous l’obtenions?

Réponse: Il apparaît progressivement dans un groupe d’amis qui sont connectés les uns aux autres par un grand nombre de conditions externes. Et s’ils travaillent sur ​​eux-mêmes régulièrement, avec une connexion partagée, s’obligeant à parler et discuter de tout, alors une mesure (indication) apparaît en eux qui montre s’ils se sont suffisament  coordonné pour qu’ils sentent déjà cette unité et de s’y accrocher.

Et si quelqu’un quitte cet état même un peu, il sent immédiatement; qu’un sentiment intérieur apparaît en lui, qu’il est «tombé en dehors de » quelque part, et il doit remonter et s’unir aux amis en permanence.

L’esprit de l’unité dépend de chacun de nous. Donc, discuter de ces situations, soutenez les amis les plus vulnérables; essayez de les développer de toutes les façons possibles, « injectez» cet esprit à tous le monde  à travers vos pensées et votre comportement. Vous devez le faire!

Nous voyons que toutes les personnes au cours de l’exode d’Egypte ne pouvaient pas tout faire, seuls les prêtres (Cohanim) et les Lévites, une petite partie de la population, un groupe, le pouvaient. Qu’est-ce qu’un «peuple» veut dire? Il s’agit d’un groupe dans lequel il n’y a pas beaucoup de gens qui soient prêts à aller de l’avant en suivant l’enseignant  en montrant un exemple de la réalisation de cette idée.

Dons, nous travaillons ensemble sur tout le reste et sur ​​le monde entier.

Du congrès de Saint-Pétersbourg 18.09.14, Leçon préparatoire 1

Un groupe est un seul corps

Dr. Michael LaitmanUn groupe en lui-même est une seule entité, et tout le monde ne reçoit que ce qui existe dans l’ensemble du groupe, personne ne se sent comme une seule unité .

Dans un groupe, il n’y a pas besoin d’avoir des différences entre les hommes et les femmes, les anciens étudiants et les nouveaux arrivants, les divergences d’opinion, des malentendus, ou des distorsions.

Le concept d’une «personne» arrachée des autres n’existe pas dans ceci parce que l’une est la main, une deuxième est le pied, une troisième est le corps, et ainsi de suite. Tout le monde constitue un tout, un corps qui se trouve dans la coopération mutuelle absolue, en accord absolu entre tous ses membres.

Ce doit être la principale chose pour tout le monde et nous ne devrions pas avoir de plaintes contre toute personne à ce sujet. L’occasion m’a été donnée de participer à un groupe, à me fondre en lui, et personne ne me prend quoi que ce soit parce que le Créateur est celui qui me l’a donné. Il m’a amené ici, m’a donné des amis comme ses représentants par l’entremise desquels je dois travailler sur mon union avec Lui. Je me trouve dans cela.

La chose principale est qu’à chaque instant je peux me fondre de plus en plus, dans le groupe  «me perdre» en lui, pour qu’il gère toutes mes pensées, sentiments et désirs, il détermine ensemble mon comportement, mon attitude. Au moment où j’atteins cet état, je commence immédiatement à sentir le prochain niveau spirituel, parce qu’il se fait sentir dans notre unité. Si je l’atteins, me fonds en chacun d’eux, alors je passe au niveau suivant.

Du congrès de Sotchi « Deuxième journée » 14.07.14, Leçon 4

Yom Kippour : la tristesse ou la joie ?

Dr. Michael LaitmanLe Midrash, Sefer « Akhaeri Mot » : Il a été donné à Moïse, qui était à un niveau spirituel très élevé, un état spécial. Le Créateur lui dit : « Tu peux entrer dans le Saint des Saints chaque fois que tu désires Me parler. Chaque fois que tu entres et que tu souhaites écouter ma parole, ma voix sera entendue entre les chérubins et atteindra tes oreilles. »

Moïse a été autorisé à entrer dans le Saint des Saints en tout temps parce qu’il était sur ​​la ligne médiane entre les deux chérubins, entre les lignes droite et gauche. Le niveau de Moïse est le niveau sur lequel une personne est en permanence dans l’état du Saint des Saints, dans l’état de Yom Kippour (Jour du Grand Pardon).

Vous pouvez être en désaccord : « Yom Kippour est un état de tristesse quand une personne pleure sur ce qu’elle découvre à l’intérieur d’elle. » Mais est-ce que Moïse pleurait constamment et demandait quelque chose ? Au contraire, il était heureux, car en fait, Yom Kippour est vraiment un jour de joie et non de pleurs. Les gens ne comprennent tout simplement pas la vérité et ainsi ils pleurent et se tourmentent toute la journée.

En fait, si j’avance et j’aspire à découvrir les attributs négatifs à l’intérieur de moi, qui ont été initialement créés par le Créateur, et si je Lui demande : « Corrige-moi de sorte que je sois plus proche de Toi. C’est ainsi que je veux Te faire plaisir : par le don sans réserve et l’amour complet… », alors il s’agit d’une ascension pour moi et une source d’inspiration.

Dans ce cas, Yom Kippour devient un jour de joie au lieu d’un jour de larmes, un état ​​d’admiration permanent ! C’est une journée de double sainteté, de double don sans réserve, lorsque non seulement mes désirs de don sans réserve, mais aussi mes désirs de réception, travaillent dans le but de donner. C’est le niveau de Moïse.

Au niveau de Aaron, cet état est atteint qu’une fois par an, alors qu’au niveau de Moïse, il est continu. Par conséquent, chaque personne doit atteindre le niveau de Moïse.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 12/03/14

Dans un nuage dirigé par le Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion : Pourquoi ai-je constamment l’impression qu’il y a encore le temps et qu’il est possible d’attendre jusqu’à demain ? Pourquoi est-ce que je ne plonge pas dans l’étude et la diffusion, mais que je trouve de nouvelles excuses avec lesquelles je me trompe moi-même ainsi que les autres ?

Réponse : C’est ainsi parce que vous avez besoin de vous corriger, en particulier grâce à ces « pourquoi ». Le Créateur nous envoie ces questions et ces exercices comme nous le faisons à un petit enfant à l’école. Nous devons comprendre qu’elles sont nécessaires pour notre développement, et nous devons essayer d’y répondre correctement.

Généralement, à la fin de chaque cahier d’exercices, il y a les réponses aux questions. Cependant, pour nous, à chaque question est donnée une réponse générale qui comprend en elle-même un nombre infini de termes : « Il n’y a rien d’autre hormis Lui. »

Dans un groupe, il doit y avoir une sensation que nous sommes toujours dans un nuage dirigé par le Créateur, et nous devons vivre mutuellement dans le même panier à l’intérieur de ce nuage, en allant vers la pleine conscience et direction, et simultanément, nous annulant, pas nous-mêmes mais notre ego.

Cela signifie que je dois gérer, influencer, comprendre et travailler, mais pas à l’intérieur de mon ego, mais plutôt dans un état que je dois maintenant acquérir, détenir et maîtriser. C’est un état absolument nouveau, et je dois y entrer.

Un nuage dans lequel il est nécessaire de dissoudre mon ego et dans lequel je dois commencer à me ressentir comme actif, avec la compréhension, devant envelopper chacun d’entre nous. Ceci est appelé « le travail dans un groupe ».

Cette sensation partagée doit nous retenir à l’intérieur d’elle, et nous avons besoin de la nourrir, de la développer et de prendre soin d’elle. Cela, au moins partiellement, équivaut au soutien des amis. Le groupe existe sur cette plate-forme.

Du congrès de Toronto, « Premier Jour », Repas le 04/08/14

Un plaisir spirituel dans une action physique

Dr. Michael LaitmanQuestion : Puis-je apprendre à découvrir le Créateur à travers des plaisirs physiques ?

Réponse : Cela dépend de ce que l’on entend par plaisirs physiques : le plaisir pour soi-même ou les plaisirs revêtus dans les actions physiques de notre monde.

Si le plaisir est revêtu dans une action physique de ce monde, il est possible de découvrir le Créateur en lui, mais s’il est destiné à soi-même, alors c’est impossible. Chaque action « pour soi » est appelée physique, et « à partir de soi » est appelée spirituelle.

Lorsque nous nous connectons entre nous pour compléter l’adhésion, nous ressentons alors vraiment en substance cet état dans lequel le Créateur se découvre. Mais ce n’est qu’à la seule condition que nous l’utilisions pour notre unification au-dessus des aspirations et des désirs personnels. La Lumière fait tout le reste, il n’est pas nécessaire d’être impliqué en cela particulièrement ; ça ne fait que confondre une personne.

Il est nécessaire d’étudier les articles du Rabash et du Baal HaSoulam, qui sont entrecoupés avec un peu d’information sur les conditions pour le travail spirituel, et d’essayer de ne pas les quitter. Ils doivent devenir les conditions fondamentales que l’on doit maintenir tout le temps, et lorsque vous tombez dessus, faites votre auto-examen par rapport à eux.

Ainsi, la Lumière créera les caractéristiques appropriées en vous, et vous commencerez à ressentir que le monde physique tout entier n’est pas essentiellement physique, mais il semble seulement de cette façon. En fait, c’est la manière dont les forces spirituelles nous dépeignent nos sensations. Lorsque la force unique de la nature commence à être découverte grâce à cela, nous commençons finalement à comprendre les secrets et les caractéristiques de notre perception.

Du congrès de Sotchi, « Deuxième Jour », Leçon n°6 du 14/07/14

Un placebo au lieu d’une véritable médecine

Dr. Michael LaitmanQuestion : Que pouvez-vous dire à propos des fils rouges et autres porte-bonheurs populaires ?

Réponse : Ce sont tous des symboles égoïstes qui permettent à ceux qui les vendent de faire un profit.

Ceux qui les achètent croient en leur « pouvoir sacré » et dans une certaine mesure, cela les aide psychologiquement.

Je n’ai rien contre cela, mais nous ne devrions pas les connecter à la sagesse de la Kabbale. Cela trompe les gens, surtout à notre époque où l’humanité a besoin de se rééduquer.

L’homme est une créature complexe. Un fil rouge ne ​​change pas une personne. Il lui donne une énergie intérieure, un sentiment de sécurité et un soutien psychologique. C’est comme un placebo administré à un patient au lieu de la vraie médecine, et ça aide.

En tout cas, c’est un mensonge puisque ces porte-bonheurs ne guérissent pas une personne, mais la détourne uniquement de la vraie solution au problème qui est en train de mûrir et qui doit être abordé.

De l’entretien avec V. Kanevsky à Toronto, le 05/08/14