Category Archives: Travail en groupe

La loi de l’adhésion avec le Créateur: 1+1=1

Dr. Michael LaitmanPourquoi la force unifiée de la nature, que nous appelons le Créateur qui nous a créés, nous développe d’une manière particulière, en nous maintenant complètement perdus dans nos pensées et nos désirs? Pourquoi et dans quel but le Créateur doit-Il nous donner l’illusion trompeuse de cette réalité et continuer à nous enchevêtrer de sorte que nous, comme de petits enfants, continuions de courir d’un coin à l’autre à la recherche de plaisirs, essayant d’en obtenir de plus en plus? Qu’atteignons-nous dans tout ce désordre?

Plus précisément, en essayant de reconnaître une force responsable, une source unique, dans cette confusion, nous nous rendons semblables à cette force. Sur 613 désirs, 613 pensées, et à une variété innombrable de pièges, nous nous construisons comme un seul tout.

Par conséquent, l’objet même de notre travail spirituel est de parvenir à l’union, la garantie mutuelle, de devenir «un seul homme dans seul cœur», et de nous unir en un seul désir,  en un seul récipient spirituel. Nous faisons tout cela, afin de nous rapprocher de l’adhésion avec l’unique force unifiée, le Créateur, quand chacun d’entre nous, en un tout, se confondra au Créateur.

Baal HaSoulam écrit à ce sujet dans son article bien connu ; « il n’y a rien hormis Lui: ». C’est-à-dire qu’il n’y a  aucune autre force au monde pouvant s’opposer à Lui. Et si l’homme voit, des choses dans le monde niant l’Etre Supérieur, c’est parce que telle est Sa volonté [Il se montre à nous dans un tel état de fractionnement, qu’il nous semble qu’il y ait Lui et des forces contre lui].

Pour cette raison, nous avons la chance de pouvoir prendre le contrôle de nous-mêmes et de nous recréer, tout en surmontant la confusion, qui nous fait douter de la seule force, le Créateur, et tout en essayant de ne voir que Lui, dans l’image qui nous est présentée. Tel est l’exigence de notre travail.

De Leçon 8,  Convention WE 03/04/2011

De la guerre à la paix

Dr. Michael LaitmanEn commémoration de la Journée nationale du souvenir des soldats morts et des victimes du terrorisme.

Nous avons reçu cette terre quand nous avons quitté Babylone. Nos racines spirituelles en relation au monde matériel se trouvent seulement ici. Le Baal HaSoulam dit qu’ici, nous devons donner un exemple à l’humanité tout entière de ce que cela signifie être une nation corrigée conformément à la force supérieure, à la nature. Toutes les nations et le monde entier doivent se conformer à cette loi naturelle, afin de continuer à exister. Sinon, une destruction massive commencera.

Nous devons faire des efforts pour que toutes les guerres de l’Etat d’Israël ne soient pas vaines. Nous devons être les gardiens fidèles de ce que nous avons obtenu grâce à ceux qui sont tombés lors des guerres. Une succession de guerres sans fin n’est pas le moyen qui permettra au pays de progresser. Au contraire, en l’honneur de ceux qui ont tout donné pour nous, nous devons comprendre comment vivre, comment mettre fin à la guerre et au meurtre.

Cela dépend de nous. Donc, au lieu de parler, faisons ce qu’il nous a été confié. Notre devoir n’est pas seulement de nous préparer à une guerre éventuelle, mais d’avancer vers une véritable réconciliation, vers la paix. Ce n’est qu’unis les uns aux autres que nous transmettrons la paix, qui est entre nous, à tout le monde.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 08/05/2011, « LA Nation »

A quoi pensez-vous pendant que vous étudiez?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Nous lisons les mots qui sont écrits par les kabbalistes et qui parlent d’ une racine spirituelle. Mais comment pouvons-nous créer une association dans nos organes sensoriels corporels entre les mots usuels et la réalité supérieure?

Réponse: Selon votre désir d’atteindre la spiritualité et votre intention, vous correspondez en quelque sorte à la Lumière. Et selon le degré de cette correspondance, la lumière commence de loin à vous influencer, à influencer votre désir et votre intention. C’est ce que nous appelons la « lumière environnante »,  la Lumière qui corrige.

Elle vous éclaire de loin car elle ne peut pas encore entrer en contact avec vos désirs et intentions, qui ne sont pas aussi purs que la lumière. Mais il y a toujours une certaine connexion entre eux car, de votre état inférieur, vous faites des efforts pour vous élever à son niveau.

Et l’intention émerge, lorsque vous êtes connecté au plus petit degré avec l’environnement et que vous recevez de celui-ci le même désir et l’aspiration à vous unir ensemble. Ce n’est qu’au niveau d’intégration mutuelle de telles intentions, vers lequel nous travaillons à la lecture des textes kabbalistiques, que vous mériterez l’illumination, qui commencera à vous influencer.

Si vous connectez vos désirs et intentions avec les autres, qui aspirent à la même unité pendant les cours, vous attirez la lumière environnante. Maintenant, demandez-vous: Combien de fois pensez-vous et désirez-vous cela pendant que vous étudiez? Sinon, les années passeront, et vous ne verrez aucun résultat.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 08/05/2011  Talmud Esser Sefirot

De la lumière de Nefesh à Yekhida

Dr. Michael LaitmanPour révéler le premier degré spirituel, nous devons révéler notre union «  un, unique et uni », au moins au plus petit degré. Le degré de notre unité définit le niveau de notre premier degré spirituel.

 Les lumières de Nefesh, Rouakh, Neshama, Haya, et Yekhida (les cinq degrés spirituels) sont caractérisées par une somme de détails particuliers et la puissance de leur unité, en dépit du fait qu’elles sont toutes en contradiction l’une avec l’autre. C’est le seul facteur qui détermine la révélation de la lumière supérieure. Si nous pouvons trouver l’union au plus petit degré, la plus faible lumière de Nefesh sera alors révélée.

Cependant, pourquoi  la lumière est soudainement devenue plus puissante et est appelée Rouakh? C’est parce que malgré les changements et le mouvement de toutes les parties interconnectés entre elles, elles peuvent encore rester en équilibre et liées. C’est comme si nous gardions le bateau à flot, alors qu’il est ballotté par les vagues dans une mer en pleine tempête, et que nous nous assurions qu’il reste stable.

Au premier degré de l’union, les transformations mutuelles ne sont pas encore révélées. Tout le monde reste dans une sorte de condition stationnaire, juste comme on est, alors que nous cherchons comment communiquer les uns avec les autres. Au deuxième degré, la même union demeure, mais chaque partie commence à se transformer; les rouages ​​du mécanisme commun commencent à tourner en fonction de chacun. Et si malgré tous ces changements, nous restons ensemble, et sommes capables de nous unir, nous révélons la lumière de Rouakh.

Ce sont néanmoins, des changements très limités: Alors que «restant à terre », comme une plante, à notre propre place, chacun de nous voit la transformation de nos attributs individuels. C’est toujours la même lumière de l’union, mais à un degré plus élevé («végétal»). Vient ensuite un troisième degré, Neshama (« le degré animal » ), où l’on commencera à se déplacer librement par rapport à l’autre, tout en révéler toujours l’unité entre nous », un, unique et uni.
Cela signifie que la lumière dont nous faisons l’expérience dans la spiritualité dépend toujours de la puissance de notre union, en dépit de toute transformation pouvant se produire en chacun de nous et en nous tous ensembles.  Elle ne cesse de croître, jusqu’à ce que nous atteignons finalement la fin de la correction (Gmar Tikkoun), alors que nous vivons toutes sortes de changements qui nous empêche de nous unir à une seule lumière, mais indépendamment de cela, nous sommes encore capables de nous unir.
C’est ce que nous appelons le seul récipient spirituel uni (Ekhad, Yakhid) qui reçoit une lumière: Yekhida.

De la 1ère partie du coursquotidien de Kabbale 05/05/2011, Shamati n°56

Le groupe de Rabbi Shimon est composé de plusieurs millions de membres

Dr. Michael LaitmanLa Lumière supérieure est placée à un endroit appelé « Shekhina, » qui est l’union entre les âmes. Grâce à nos efforts, nous devons atteindre l’unité entre nous. Nous révélerons alors la Lumière qui construit, crée, corrige, et remplit toute la création.

Cette Lumière est toujours présente dans le Shekhina, dans l’ensemble des âmes qui aspirent au Créateur (la Knesset) Israël), dans l’union entre nous.

Le Zohar est la même source de Lumière, mais à condition d’imaginer que nous soyons nous-mêmes (et il peu importe le grand nombre nous sommes) le groupe de Rabbi Shimon, qui siégeait avec dix personnes, reliées entre elles, et qui reçut cette lumière appelée « Zohar » – « . l’illumination supérieure » C’est la lumière qui nous influence, nous corrige, et nous élève.

De la 2e partie du cours quotidien de Kabbale 5/4/11, Le Zohar

Ne désespérez pas de Sa misérocorde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous nous éveiller à la connexion avec le Supérieur plus vite à chaque fois?

Réponse: Vous devez être conscients et accepter avec reconnaissance ce qui se passe en vous. Et tout dépend des pensées et des désirs de l’environnement. Si vous parlez de ma participation personnelle à hâter le travail, elle réside dans mon engagement dans l’environnement qui me fournit en permanence le «carburant» afin que je puisse avancer.

Il me permet de garder une connexion constante avec la force supérieure et de me rendre compte que cela ne compte pas vraiment comment je ressens dans mon désir égoïste tout ce que j’ai reçu de lui: bon ou mauvais, agréable ou désagréable. De toute évidence, les choses les plus désagréables sont les plus authentiques, car je réside dans mon égoïsme et l’utilise pour vérifier et évaluer la façon don je suis heureux ou non. Je dois être prêt à accepter tout ce qui se passe avec moi, comme il est dit: « Même si une épée tranchante, se pose sur vous, ne désespérez pas dans sa bonté ».

En d’autres termes, ce que je ressens n’a pas d’importance, ce qui compte, c’est que je ne perds pas le désir pour le Créateur. Après tout, « il n’y a rien hormis Lui, le bien qui fait le bien», en se séparant de Lui c’est le pire malheur qui puisse m’arriver. Je ne m’occupe plus de rien d’autre, je ne veux que m’assurer que je ne me suis pas retiré loin de Lui, et c’est ce que je prends l’habitude de vérifier tout le temps.

Et même après que j’ai réussi à saisir la connexion avec Lui, malgré les difficultés et les problèmes, je continue à essayer de voir tous les obstacles et les difficultés comme des motifs de notre connexion. Après tout, c’est le point à partir duquel je peux venir à elle.

Cela signifie que je suis déjà dans le bon état et que j’ai seulement une vision erronée de cela en raison de mon être imparfait. Ainsi, je travaille jusqu’à ce que je justifie pleinement cet état et que j’expérimente une grande joie. Mais ce qui importe le plus, malgré la grande crainte, l’inquiétude, les problèmes et difficultés que j’éprouve, est que je n’ai toujours pas abandonné la pensée du Créateur. Dans ce point de ma connexion avec Lui, à laquelle je tiens, je commence à construire correctement mon état.

Cela prouve que le Créateur éveille une personne avec toutes les opportunités, chances que ce dernier lui présente. Ces chances sont délibérément désagréables pour une personne de sorte qu’une personne puisse faire marche arrière et ne chercher qu’elles.

Ce sera la preuve que je me suis élevé au- dessus de mon ego, au-dessus de mon mal être, vers l’adhésion. Et alors je ne verrai plus cette situation comme désagréable, mais plutôt comme une condition qui a conduit à notre unité. Je ressentirai que cela comprend en lui -même tous les préparatifs et les conditions préalables, qui m’ont réveillé et m’ont donné la détermination, tous les composants de cet état exalté.

Par ailleurs, existe t-il autre manière qui soit d’atteindre le premier point de contact avec le Créateur tout en passant au dessus de son égoïsme?

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 01/05/2011, Lettre 19 du Baal HaSoulam.

Frères, je veux vous embrasser

Dr. Michael LaitmanDans la mesure où vous voulez voir le groupe uni et complet, existant dans une garantie intérieure réciproque, vous influencez l’ensemble du groupe et lui donnez votre force, votre désir, l’attribut du don. Vous voulez imprégner les amis afin qu’ils soient remplis par cet attribut. Tel est le sens de « aime ton prochain, comme toi-même», car vous vous efforcez de les satisfaire comme vous-mêmes, d’ailleurs, ils sont encore plus importants pour vous.
Comment n’est-ce pas évident? Tout le monde peut le ressentir. Vous voulez imaginer que vos amis soient unis tous ensembles et que vous les remplissez à ras bord! Ici, vous ne pensez pas à votre intérêt ou à une perte personnel, mais vous ne pensez qu’aux amis, qu’à la Shekhina (Divinité). Et si vous ne pensez qu’à eux, vous ne rencontrerez aucun chute ou montée personnelle, mais vous continuerez à vivre leurs désirs.

Lorsque vous subissez une descente, la raison est que vos désirs sont enfermés. Votre ego ne ressent pas qu’il peut se réaliser d’une façon ou d’une autre. Il n’y a pas de plaisirs à poursuivre, et ainsi vous tombez en hibernation et attendez que votre état change avec le temps.
Ce statu quo se produit parce qu’aucun nouveau désir ne se révèle en vous. Si vous ressentiez un nouveau désir à ce moment, vous vous éveilleriez aussitôt et vous souhaiteriez recevoir le monde entier! Tout dépend du désir.

Il s’ensuit que si un grand désir se révèle à vous, vous êtes débordants d’énergie, si le désir est faible, vous êtes calme, mais si le désir disparaît tout à fait, vous mourez. Mais cela ne peut se produire que si vous travaillez avec votre propre désir.

Toutefois, si vous travaillez avec les désirs des autres, vous êtes sans cesse renouvelés. Ce désir ne dépendra plus de vous, mais vous aurez toujours les désirs des autres. Par conséquent, vous ne subira pas de montées et de descentes, mais plutôt, vous continuerez à monter toujours plus haut.

C’est-à-dire, les montées et les descentes auront une nature différente, déterminée non par le désir, mais par la lumière: Que pouvez-vous donner d’autre, que pouvez vous arracher d’autre au désir de recevoir et que pouvez-vous utiliser en vue de donner, de sorte que vous ajoutiez votre désir de donner au Créateur?

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 27/04/2011, Shamati n°1

Un ciel nocturne pour l’évasion

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, Beit Shaar HaKavanot (La Porte des Intentions), chapitre « En ce qui concerne l’Exode de Pâque »: Dans la nuit de Pâque, Zeir Anpin atteint le plus grand état, et donc, en cette nuit, une immense lumière est révélée, supérieure à la lumière du Shabbat.

Tout ce qui se trouve dans Zeir Anpin du monde de Atsilout est transmis à l’âme. Si nous ici, en bas, ne demandons pas et ne suscitons pas ZA, il restera dans son petit état constant, VAK, alors que Malkhout est juste un point. Quand il n’y a que la lumière du VAK dans ZA, Hassadim (Misericorde), Malkhout n’a rien parce qu’elle a reçu des désirs et ne peut être remplis avec la seule lumière de Hassadim.

Par conséquent, il s’agit d’un état préparatoire qui n’a rien à voir avec une quelconque action spirituelle pour le moment. Tous les autres états sont définis par la hauteur que peut atteindre ZA (à notre demande) au-dessus du petit état.

Le processus que nous subissons au cours de la Sortie d’Egypte, partant de notre état de soumission aux désirs situés en-dessous du Parsa, n’est pas simple et ne correspond pas à l’ordre habituel de travail: six « jours », suivi par le septième « jour », samedi. Le samedi est organisé « à la ressemblance au monde futur » et, selon le travail spirituel effectué au cours des six «jours ouvrables», le samedi nous amène «l’éveil du Ciel» et son résultat: des désirs corrigés.

Cependant, la Sortie d’Egypte est une «nuit», pas un jour comme l’est le samedi. C’est un signe de la révélation de la très grande lumière de Hokhma (la Sagesse), qui n’est pas couverte par la lumière de Hassadim. Par conséquent, elle n’est pas ressentie comme lumière, mais comme «la nuit égyptienne, » l’immense lumière de Hochma , qui ne peut pas émaner de nous.

Nous sommes constamment présents dans un océan de lumière, et nous sommes incapables d’établir une relation avec cette lumière (nous ne pouvons tout simplement pas la sentir, comme en ce moment), ou nous pouvons nous approcher de la lumière et obtenir exactement la même propriété, dont elle dispose. Puis, conformément à la loi de l’équivalence de forme, nous serons capables de la ressentir. Si je suis dans le même attribut de don que la lumière, alors entre nous, apparaît une sensation commune, considérée comme la révélation de la lumière, du Créateur, aux êtres créés.

Alternativement, il peut y avoir un état opposé, où je ne pense pas que j’approche la lumière, l’attribut du don, mais au contraire, je sens que je me rapproche de la réception, mon opposition à l’union. Cela ne se rapporte pas à un simple bénéfice matériel, mais surtout à un manque d’unité parmi les âmes, me faisant sentir l’obscurité. Cela a une signification spirituelle.
Nous traitons toujours avec ce qui se trouve au-dessus du niveau animal, c’est-à-dire avec le travail interne qui amène un résultat « positif » ou « négatif » , et une personne ressent des transformations soit comme une révélation de lumière ou d’obscurité. Toutefois, dans le pire des cas, une personne ne ressent absolument rien, ce qui signifie qu’elle ne travaille pas du tout. L’essence du récit de Pâque est un ordre inhabituel (Seder) de recevoir les lumières qui nous réveillent et nous conduisent hors d’Egypte.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 21/04/2011, Beit Shaar HaKavanot

Qu’est-ce qu’un besoin spirituel?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce qu’un besoin spirituel?

Réponse: Un besoin spirituel est le sentiment à l’intérieur de moi, que je manque d’aspiration pour le prochain, pour le Créateur. C’est la sensation d’être toujours sans connexion avec l’intérieur du système, que j’imagine comme étant notre volonté commune, un cœur uni « comme un seul homme dans un seul cœur. »

Je suis tourmenté pour connaître à quelle distance je me trouve encore de cet état et de la révélation du Créateur, à l’intérieur de ce cœur commun. C’est exactement sur ce point, que doivent porter toutes mes souffrances. Et je dois sans cesse essayer de vérifier et de voir à quel point j’aspire à cela  et à quel vitesse je désire atteindre cela.

De toute évidence, l’environnement doit m’aider à faire cela. Il doit être imprégné par l’atmosphère d’une recherche spirituelle commune, où simplement, nous nous évertuons tous à atteindre cet objectif. Et cela n’a aucun rapport, avec ce qu’il nous arrive dans notre vie ordinaire en ce monde. C’est une aspiration intérieure très profonde et une voie intérieure pour vérifier une personne et le groupe.
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 28/4/11, Écrits du Rabash

Le début de la naissance

Dr. Michael LaitmanJe pense que les jours d’union pendant la Pâque se sont très bien passés pour nous. Dans l’essentiel, nous avons révélé un moment très important dans le développement spirituel de l’homme, qui marque le début de sa naissance spirituelle, le début de la sortie hors de l’exil spirituel: Le «lieu» de l’unité du groupe, des amis, fut découvert en chacun de nous.

Cette sensation spirituelle du lieu unique doit se développer. Il s’agit de la nouvelle réalité. Quand une personne ne renonce pas à se préoccuper de ce «lieu», elle  accomplit rapidement des progrès pour sa réalisation. A la fin, il va devenir le lieu de la révélation du Créateur et se développera davantage en un point d’union complète entre l’être créé et le Créateur: le monde de l’Infini.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 24/04/2011, «parler à mots couverts »