Nous venons de terminer une excellente convention, et elle était bonne dans le vrai sens du terme. Certaines conventions fonctionnent juste très chaleureusement et gentiment, laissant derrière elle un patch chaud, comme une traînée chaude. Mais lors de cette convention, nous avons créé quelque chose de plus grand. Ce fut un rassemblement de gens ressentant la lumière et se réchauffant mutuellement. Naturellement, nous tiendrons encore de nombreuses conventions comme celle-ci et travaillerons de l’une à l’autre, et nous verrons à quel point nous changerons.

Mais si nous voulons vraiment progresser, alors nous devons constamment rechercher le meilleur état suivant, au lieu de simplement essayer de s’accrocher à cette chaleur, ce niveau, cette sensation ou ce degré de réalisation. Nous ne pouvons pas regarder en arrière. Ce serait comme la femme de Lot qui fut transformée en statue de sel. Nous ne pouvons pas prendre un exemple issu du passé. Nous devons regarder vers l’avant. J’espère que vous le ferez et que je ne ferai que cela.

Je suis sûr que ce Kli spirituel ou récipient croît en chacun de nous. J’ai ressenti cela. Mais ces récipients doivent encore s’unir et achever cette connexion nécessaire entre les uns et les autres, pour qu’ils arrivent au niveau minimum, le 125^e degré, alors ils seront comme un, ce qui signifie qu’ils s’unissent ensemble au 125e niveau. Il nous manque toujours cela, mais nous en sommes plus proches et sans aucun doute, nous y parviendrons.

Par conséquent, même si nous nous séparons, nous devons comprendre que ce qui existe dans notre monde-dans les coordonnées de temps, d’espace et d’action- est uniquement là pour nous amener au but. Par conséquent, nous devons comprendre que toutes ces conditions sont nécessaires, pour que nous nous rapprochions . Et si nous ajoutons notre union et garantie mutuelle à toutes ces conditions, alors ces conditions seront suffisantes. C’est ce que je vous souhaite.

De la leçon 7 au 12/06/11 à la Convention de Moscou

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Question : Je ne vois pas seulement le mal mais aussi le bien dans le monde. Je dois trouver le mal à l’intérieur de moi-même et le corriger, mais que faire du bien?

Réponse : En fait, le bien n’existe pas dans le monde extérieur. Celui-ci n’est qu’une photo de mon égoïsme. Si je vise correctement le but, je commence à remarquer la bonne racine  dans tout ce qui m’entoure, car je commence à la voir, comme la manifestation de la Lumière, le Créateur. Et cela ne se révèle qu’en fonction de mes efforts à atteindre le but à travers ce monde.

Je ne pense pas que vous devriez accorder une attention particulière à ce monde ou l’analyser. Commencez par aspirer au but à travers lui, et ce monde sera tiré vers le haut, il changera de forme.

Vous découvrirez qu’il n’y a rien de bon, si vous ne connectez pas votre correcte intention au bien. Il n’y a pas bien en soi et de lui-même. Il y a un immense désir corrompu, qui se transforme en bien grâce à l’intention de donner, grâce à l’intention de travailler dans l’intérêt des autres.

De la leçon 7 au 10/06/11 à la Convention de Moscou

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Chers amis, s’il vous plaît, posez des questions sur les textes des grands kabbalistes. 

Les commentaires entre crochets sont de moi.

L’essence de l’homme est désir de recevoir

La principale innovation, du point de vue de la création, qu’Il a créé comme existence de l’absence, s’applique à un seul aspect défini comme « le désir de recevoir ». Toutes les autres choses, dans l’ensemble de la Création, ne sont absolument pas des innovations ; Elles ne sont pas existence de l’absence, mais existence de l’existence. [Elles sont imposées au désir de recevoir par le désir de donner du Créateur. Pour cette raison, tout ne se compose que de ces deux désirs : le désir de recevoir de la créature , le désir de donner du Créateur , et leur combinaison s’appelle un «être humain».]
– Baal HaSoulam, « La Liberté »

Toute entité corporelle dans notre monde, c’est-à-dire, tout dans cet espace, que ce soit minéral, végétal, animal, un objet spirituel ou un objet corporel, si nous voulons distinguer l’unique aspect, propre à chacun d’eux, comment une chose se différencie de l’autre, même dans la plus petite des particules, ne représente rien de plus qu’un «désir de recevoir» [et en conséquence est perçue dans ce monde].
– Baal HaSoulam, « La Liberté »

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