Monthly Archives: février 2012

La racine supérieure des lettres

Dr. Michael LaitmanQuestion : Quelle est la racine supérieure des lettres noires ? D’où tirent-elles leur force ?

Réponse : De la pointe du Youd (la 10ème lettre de l’alphabet hébreu). Le Ari a écrit dans un poème :

Voici que, avant que les émanations aient été émanées et que les créatures aient été créées,

La simple Lumière Supérieure remplissait  tout la réalité.

Et il n’y avait aucune interruption, telle qu’un air vide, un trou,

Mais tout a été rempli avec cette simple, Lumière infinie.

Et il n’y avait aucune partie comme la tête, ou la fin,

Mais tout était une Lumière simple, équilibrée de manière égale et équitable,

Et  cela  a été appelé « la Lumière de Ein Sof (Infini) »

Et quand de Sa volonté simple, est venu le désir de créer des mondes et d’émaner les émanations…

Et puis le désir de recevoir a été révélé, quelque chose qui était opposée à la Lumière.

La Lumière est don sans réserve et amour. Et soudain, dans le don sans réserve et l’amour, quelque chose de noir commence à apparaître pour se différencier du don sans réserve et de l’amour. En fait, c’est une petite goutte, qui n’est pas semblable à la Lumière, quelque chose de distinct d’Elle, qui a été créé en Elle, et s’est précisément appelé « la créature ». Tout le reste s’est développé à partir de cela. Tout le reste a donc été déterminé par cette petite différence de la Lumière, qui a commencé à se développer en raison de la Lumière, et qui a commencé à se ressentir elle-même et à se familiariser avec son opposition à la Lumière.

Et ensuite on parle du quatrième niveau dans les phases de la Lumière directe, d’Ein Sof (infini), des restrictions et de la poursuite du développement de la créature. Mais rien ne change réellement : il y reste la même petite différence d’avec la Lumière. La seule chose qui grandit en elle est la sensation de combien elle est opposée à la Lumière. Mais en soi, elle est juste un peu différente de la Lumière.

Par conséquent, seul le Créateur a créé la pointe du Youd, et tout le reste s’est développé à partir de ce point. C’est la racine des lettres.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale, Le Zohar, du 01/02/2012

Des secrets à la simplicité, le chemin est long

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si j’aime entendre la lecture du Zohar  en hébreu, dois-je le faire ou dois-je en écouter la traduction?

Réponse : Oui et non. Si cela peut aider une personne à mieux comprendre l’hébreu, alors cela vaut la peine. Toutefois, si vous restez au même niveau, alors non, parce que finalement, en lisant Le Zohar nous avançons à travers le PaRDeS dans l’ordre inverse. Je traverse les différentes histoires en passant par le secret (Sod), par la littérature allégorique (Droush), puis par l’allusion (Rémez) et enfin par le sens littéral (Pshat).

Au début, je ne comprends vraiment pas de quoi il s’agit. Puis, en Droush, je commence à comprendre que le texte traite de certains attributs dans un récipient général, qui est rompu et qui doit être ainsi révélé. Le style utilisé pour transcrire cela est Droush et Remez, et à ce niveau, je ne fais aucune distinction entre eux. Ensuite je commence à progresser et au lieu de Droush et Remez, je commence à voir le réseau de connexions entre nous plus clairement.

Dans l’article « Les quatre mondes, » Baal HaSoulam écrit ce que sont ces quatre mondes : Assiya, Yetsira, Briya, et Atsilout: la révélation de la matière, la révélation de l’action, et la révélation de l’opérateur.

Nous avançons dans la lecture du Livre du Zohar jusqu’à ce que nous commencions à voir qu’il ne traite que de la connexion entre nous : dans quelle mesure elle atteint la correction grâce à la révélation du Créateur en elle, où se trouve le manque qui vient de nous, où est la correction, et comment ils fonctionnent ensemble comme des vagues allant et venant ? Et ainsi, peu à peu, le réseau entre nous est progressivement révélé, sous toutes ses différentes formes.

Tout cela se rapporte uniquement à notre connexion mutuelle, qui se construit, s’étend, et se révèle grâce à la révélation de la force du don, le Créateur. Elle comble le vide entre nous et ainsi, Le révèle. Notre désir de don et Sa révélation apparaît comme un tout.

Par conséquent, avant de pouvoir voir cette image, je ressens les difficultés que j’ai à la découvrir. Difficultés, qui commencent par le Sod, qui est le début du PaRDeS.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 31/01/12, Le Zohar

Ne vous arrêtez pas sur la voie de l’amour

Dr. Michael LaitmanLe but de la création est de parvenir à l’adhésion au Créateur. Nous découvrons l’adhésion au Créateur, avec l’aide de l’attribut de l’amour. C’est parce que le Créateur révèle à la créature l’attribut et l’attitude, qu’on appelle l’amour et qui s’expriment sous la forme du bien et de la bienveillance.

 

C’est la même chose dans notre monde, quand nous aimons quelqu’un, nous voulons lui faire du bien. C’est un signe extérieur d’amour. Mais si une personne n’a pas le désir de faire le bien, cela signifie qu’elle n’aime pas, mais plutôt qu’elle calcule ce qui est plus avantageux pour elle-même : elle donne afin de recevoir.

L’amour est au-dessus de tout calcul. D’abord, il y a l’amour, puis, comme résultat, vient le don. L’amour en soi est ce qui oblige une personne à donner, parce que celle-ci est remplie de cela. Quand j’aime et je ne peux pas donner, je souffre. C’est parce que l’amour vit du fait, que nous nous sentons bien, quand nous donnons aux gens que nous aimons.

Alors, pourquoi existe-t-il la Mitsva demandant que nous atteignions l’amour du Créateur ? Ce n’est pas clair pour deux raisons. D’une part, comment voudrais-je cela ? D’autre part, pourquoi est-ce une obligation ? Peut-on obliger quelqu’un à aimer ? Pourquoi cette idée prend la forme d’un commandement, de la Mitzva le plus importante ? Même dans notre vie, nous voyons que dans ce monde nous pouvons obliger une personne à tout faire, sauf à aimer. Si je suis obligé, ce n’est plus de l’amour plus.

Ceci soulève de nombreuses questions, que nous devrions laisser aux philosophes et à la place de cela, parlons-en en étudiant le système. Le système de la création fut créé par la Lumière supérieure, qui nous vient de la source de l’amour, de l’amour du Créateur à la créature. Cet amour est en soi absolu. Pour le réaliser, la Lumière supérieure émane de la source, sous forme de bien qui fait le bien et stabilise la créature, afin que tous les processus puissent prendre place pleinement en elle. Ceci se fait seulement à partir de l’amour du Créateur envers la créature.

Nous devons d’abord comprendre que tout ce qui nous arrive, les pires choses et les plus terribles, dont l’humanité a souffert tout au long de son histoire corporelle, et aussi aux niveaux des mondes spirituels – tout découle de l’amour absolu du Créateur pour nous. Nous devons, de notre côté, parvenir à la même attitude.

Cela est possible, parce que la Lumière qui nous développe vient exactement de la même source. Elle descend à travers les Massakhim (écrans), les filtres, et commence à influencer notre minuscule désir de recevoir, le petit grain d’égoïsme, inférieur, obscure, et mort. Peu à peu, la Lumière influence notre matière, à des niveaux plus élevés de l’échelle du développement et pousse ce grain à grandir. Le désir traverse les phases minérales, végétales et animales, jusqu’au niveau du parlant, dans lequel se déroule le même cycle, et ainsi de suite.

Tout cela vient de l’amour. Puis, à la fin du processus, que cela nous plaise ou non, l’amour résidera parmi nous. Mais cela fonctionne avec deux lignes : le manque et la satisfaction. C’est ainsi que nous progressons.

D’abord le Créateur doit peu à peu créer en nous des manques, des désirs, de haut en bas, ainsi que les satisfactions à chacun des niveaux et dans chaque état. La différence entre ces niveaux est de nature qualitative : Nous devenons plus sages, nous acquérons une meilleure compréhension et sensation, et nous passons de simples cellules séparées dans un corps à des êtres humains. Puis, avec le point dans le cœur, nous sortons et entrons dans les niveaux spirituels.

Tout cela découle de l’amour du Créateur et sans aucun doute nous y retournerons. Alors, pourquoi nous donne-t-on l’ordre de le faire ? Pourquoi existerait-il une demande alors que le résultat est prédéterminé ? Le commandement est que nous ne devons pas nous arrêter en chemin, nous devons constamment aller de l’avant. Si nous nous poussons à avancer de notre propre volonté, nous parviendrons sans l’ombre d’un doute à l’amour.

De la 4e partie du cours quotidien de la Kabbale 31/01/12,  « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

Clarifications avant l’attaque

Dr. Michael LaitmanNous devons constamment nous demander si chaque jour nous comprenons mieux: ce qu’est le besoin de rédemption, la préparation pour cela, et le récipient spirituel que nous devons préparer pour aller dans le désert ? Avons-nous un manque pour cela ?

Le manque devrait se composer de deux parties : Malkhout et KéterMalkhout est le besoin, il est ce qui me manque, et Kéter est le respect que j’ai pour ce manque, il me permet d’évaluer si ce désir est de la plus grande importance.

Nous avons besoin d’un Massakh et de la Lumière réfléchie, en d’autres termes, de la capacité de donner. Après tout, le Massakh en soi n’est pas encore l’attribut du don, et la Lumière réfléchie non plus ; ils ne sont que des conditions. Mais nous en avons besoin, parce qu’en dehors de cela, rien d’autre n’est exigé du récipient spirituel. Le remplissage viendra en fonction du Massakh et de la Lumière réfléchie,

On l’appelle un remplissage parce que le Créateur, la Lumière de Hokhma, se revêt ensuite dans le remplissage ; ce sera le résultat direct de la correction du récipient.

Le Massakh et la Lumière réféchie sont construits sur les désirs et ne peuvent exister sans sa profondeur et sa force (Aviout). Par conséquent, l’amour ne peut exister sans haine, sans un désir fort et profond, il est impossible de la surmonter. C’est ainsi qu’il faudrait construire cela: l’un dans l’autre.

Par conséquent, lorsque nous sommes sur le point d’attaquer, nous devons voir si nous avons effectivement révélé notre égoïsme, que nous devrions attaquer maintenant. Qui attaquons-nous ? Il n’y a rien d’autre que le désir de recevoir et le désir de donner, et nous devons clarifier cela avant d’attaquer.

De la préparation au cours quotidien de Kabbale 01/02/12

Europe: une nouvelle direction dans la lutte contre la crise

Dr. Michael LaitmanAux  nouvelles: «Les dirigeants de l’Union européenne (UE) ont finalisé un nouveau traité fiscal pour une discipline budgétaire plus stricte et se sont engagés à stimuler la croissance économique et l’emploi des jeunes dans les derniers efforts de la zone euro pour lutter contre la crise de la dette.» (Source: English.xinhuanet.com )

« Sans croissance économique, le problème de 23 millions de chômeurs dans l’UE ne peut pas être résolu. Par conséquent, les dirigeants européens proposent de s’appuyer sur la création d’emplois, surtout dans les industries des sciences de pointe intensives, les technologies énergétiques et numérique et l’e-commerce » (Source: rosbalt.ru )

Mon commentaire: Il est impossible de créer plus d’emplois, de développer le marché, et d’établir des lieux de travail artificiels là où ils auront à réduire encore davantage. Le nouveau programme européen est conçu pour retarder le temps

«Je suis noire et belle »

Dr. Michael LaitmanLe Livre du Zohar, Genèse, 183: L’obscurité est le noir dans la Torah, l’encre dans ses lettres. La lumière est le blanc dans la Torah, les parchemins sur lesquels les lettres sont écrites. Lorsque la lumière se revêt dans les ténèbres, il est écrit au sujet de la Torah, «Je suis noire et belle ». Lorsque la lumière- le blanc dans la Torah-part de là, la Torah dit: «Ne voyez pas que je suis noirâtre. »

Par la forme du livre, des lettres noires sur un fond blanc, nous voyons que c’est la couleur noire qui nous transmet toutes les informations. Bien que nous puissions dire le contraire: si nous entrons dans l’attribut du don sans réserve dans la lumière blanche de l’arrière-plan du livre, nous étudions la partie blanche en contraste avec le noir et non le noir sur fond blanc, mais blanc dans lequel il y a des petits trous noirs.

Par conséquent, deux choses ont été dites au sujet de la Torah: «Ne  voyez  pas que je suis noirâtre» et « Je suis noire et belle ». D’un côté, il y a la lumière, l’attribut du don sans réserve et d’autre part, il y a le désir, le récipient, l’attribut de réception. C’est pourquoi nous sommes dans un état de hauts et de bas quand nous ressentons et étudions le blanc en contraste avec le noir et vice versa.

Ceci est une étude dans laquelle on se complète l’un l’autre, et ainsi cela nous permet de voir non pas dans notre désir, et non pas dans l’attribut de réception, mais plutôt à partir de la perception de la partie supérieure, à partir de l’attribut du don sans réserve. Quand nous sommes dans notre propre désir, nous agissons à partir de nos lettres, à partir de l’obscurité sur le fond blanc de la lumière. Mais si nous sommes incorporés dans la partie supérieure, comme Galgalta ve Eynaim et HAP, nous apprenons de la Lumière de Ein Sof, car alors nous y sommes incorporés, et apprenons la Lumière blanche qui est dans les livres et non pas le noir.

Ainsi, nous apprenons un attribut en contraste avec l’autre, jusqu’à ce qu’ils se complètent et les lettres complètent le fond blanc et le blanc remplit la partie noire des lettres. Les lettres ne disparaissent pas, mais toute la Torah se tourne entièrement vers la Lumière, comme il est dit: « La nuit illumine comme le jour »

De la 2èmepartie du cours quotidien de Kabbale du 01/02/2012, Le Zohar

Contrainte ou réalisation?

Dr. Michael LaitmanLa règle biblique de «aime ton ami comme toi-même » ne parle ni du présent ni du passé. Même les religions ont abandonné cet objectif depuis longtemps comme quelque chose d’inaccessible et ont tourné leur attention vers les problèmes quotidiens: aider les gens dans certaines choses, en les protégeant contre d’autres, en offrant un soutien psychologique, et pas plus que cela.

Cependant aujourd’hui, nous pouvons voir que la nature nous y oblige. Cela signifie que nous devons expliquer à nous-mêmes et à tout le monde que sous l’influence des médias de masse et de la société, nous pouvons commencer à changer un être humain, à condition qu’il n’en soit pas de même que les mensonges pendant le régime soviétique.

Les mots justes y ont été dits, les buts corrects ont été fixés, mais ils n’ont pas été accompagnés par l’éducation des gens. Il y a  eu seulement beaucoup de paroles sur l’éducation et la création d’une nouvelle identité soviétique. «Un nouvel individu», «il n’y a jamais rien eu de ce genre dans le monde auparavant », et ainsi de suite, ces merveilleuses paroles correspondaient parfaitement à la méthodologie intégrale. Mais en réalité, tout cela n’existait pas. La seule chose qui existait était la contrainte, qui ne peut avoir sa place sous aucun prétexte! Cela ne peut être ni la peur,  ni les coups, une destruction ou une horrible pression, ou toute autre chose qui a été menée par le régime soviétique.

La transformation doit se faire non pas par la contrainte, mais par la réalisation. La réalisation viendra de la crise, et il n’y a pas d’autre façon sauf celle-ci.

Il s’avère que pendant le régime soviétique cela était nécessaire pour certains en petit nombre, mais pas pour tout le reste, aujourd’hui c’est le contraire: il est essentiel pour tout le monde car il n’y a pas d’autre moyen de sortir de notre état. Sinon, nous devrons faire face à des guerres mondiales et à la destruction mutuelle. Où d’autre pourrait nous conduire notre égoïsme? Nous comprenons tous que cela ne peut conduire que dans cette direction.

C’est pourquoi notre formation sociale suivante est soit le nazisme, le fascisme, et la destruction mutuelle ou bien c’est un mouvement conscient vers l’avant, où de nous-mêmes nous nous créons nous-mêmes à un nouveau niveau, c’est-à-dire que nous  travaillons  sur notre propre éducation.

D’une discussion « sur l’éducation intégrale » n° 5, 13/12/2011

Avertissements à Davos

Dr. Michael LaitmanAvis ( Sharan Burrow , secrétaire général de la Confédération Syndicale Internationale-CSI): « La secrétaire générale  de la Confédération syndicale internationale, Sharan Burrow, a déclaré« nous avons perdu une boussole morale »et a déclaré que si les gouvernements n’investissent pas dans les protections sociales maintenant, personne n’aimera le malaise social qui va suivre. »

Mon commentaire: Pour une raison quelconque, les riches n’ont aucun sentiment de peur. L’histoire se répète, alors ….

La prière du pauvre

Question: Qu’est-ce que la « prière du pauvre » qui ne va pas sans réponse ?

Réponse: La prière du pauvre est la supplique de quelqu’un qui comprend que personne ne peut l’aider, sauf le Créateur. Il sent qu’il n’a aucun droit, aucun mérite, pas  de bonnes œuvres, pas de support, et qu’il n’a rien. Même son égoïsme n’est plus un soutien et c’est ce qu’on appelle la pauvreté totale.

Dans ce cas, seul le Créateur (à travers le groupe) peut l’aider. Ce plaidoyer pour de l’aide est la prière du pauvre pour le strict nécessaire, seulement pour sauver son âme.

De la 1 ere partie du cours quotidien de Kabbale du 30/01/2012, Écrits du Rabash

Les abysses sous nos pieds

Dr. Michael LaitmanIl est impossible d’atteindre l’amour véritable, sans la haine à la base. Sans haine il n’y a que l’amour bestial, un jeu d’hormones: un coup vous êtes amoureux; un autre coup vous ne l’êtes plus. Dans notre monde, l’amour est en réalité une poursuite de la satisfaction. Quand vous voulez manger, vous aimez la tarte, et quand vous voulez fonder une famille, vous aimez votre conjoint et vos enfants. Ce sont simplement différentes sortes de garnitures qui peuvent être reconstruites si nous implantons certaines électrodes dans le cerveau d’une personne.

Le véritable amour se construit seulement au-dessus de haine. Sinon, il est impossible de le sentir. Dans notre monde, il n’y a pas d’amour ; nous parlons de l’amour humain, pas de l’attraction animale qui apporte du plaisir égoïste.

Question: Cela me rappelle les dessins animés où les personnages se trouvent en l’air au-dessus d’un abîme et ils continuent toujours de courir pendant un certain temps avant de regarder vers le bas.

Réponse: Exactement, ils découvrent qu’ils sont suspendus au-dessus d’un abîme, et ensuite ils tombent. C’est exactement ce qui se passe dans le monde aujourd’hui. C’est vraiment une belle description de la crise. C’est pourquoi les personnes au pouvoir ont peur de regarder en bas.

Question: Comment pouvons-nous tenir à quelque chose dans cette situation? Comment pouvons-nous atteindre le véritable amour ?

Réponse: En fait, je suis une petite personne et je ne ressens pas les choses sublimes, mais je suis déconcerté dans mon état ​​actuel. Alors, que dois-je faire?

La réponse est simple: Il vous faut un  groupe. C’est à la fois le diagnostic de la maladie et son remède.

 De la 4 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 31/01/2012, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »