Aux nouvelles (de Arguments et Faits) : « L’amour ne meurt pas. Les partenaires qui s’aiment beaucoup, même après des décennies de mariage, ressentent ce sentiment d’euphorie (causée par la sécrétion de la dopamine, l’hormone du plaisir), comme le font les couples fraîchement amoureux. La différence est ici : avec ceux qui n’ont pas été amoureux depuis longtemps, il a été observé qu’il y a augmentation de l’activité des régions du cerveau responsables de la passion et de l’excitation. Et avec les partenaires qui sont amoureux depuis une longue période, les activités dans les zones de calme et de suppression de la douleur sont devenues importantes.
Premier coup d’œil. L’amour s’éveille à un cinquième de seconde après contact avec les yeux, et s’exprime avec une forte stimulation dans 12 régions du cerveau. Le nombre d’hormones qui sont sécrétées dans le sang est différent, ce qui perturbe l’activité normale du système nerveux. De là vient l’expression : « L’amour fait perdre la tête. »
Une drogue qui n’est pas nocive. L’amour influence les gens comme cela : ils oublient des choses évidentes et perdent leur capacité à se concentrer, ce qui veut dire que l’amour influe sur le corps humain de la même façon que les drogues. La mémoire et la concentration deviennent moins actives quand une personne voit une image de l’objet de son amour. »
Mon commentaire : L’amour spirituel (pas celui qui est égoïste ou naturel, comme l’amour d’une mère pour son enfant ou l’amour pour une personne du sexe opposé, ce qui remplit l’ego), l’amour qui se crée en nous « artificiellement » avec le aide de la Lumière supérieure (la Lumière Environnante – Ohr Makif) selon une méthode particulière (la méthode de l’éducation intégrale), qu’en dépit de notre ego, l’on aime les autres, c’est dans ce genre d’amour que le sentiment d’un pouvoir supérieur se découvre parce qu’une personne commence à voir le monde à travers d’autres personnes, dans leurs désirs et leurs caractéristiques. De cette façon, la personne « laisse » son corps (les sens) jusqu’à ce que la création soit comprise comme un champ éternel de pouvoir et d’émotion
Baal HaSoulam, “La paix”: Maintenant que nous avons appris tout ceci, on peut comprendre une phrase obscure de la Mishna dans le chapitre 3-20 du Traité des Pères qui dit: «Il (Rabbi Akiva) disait, tout est donné sous caution et un filet s’étend sur toute vie. Le magasin est ouvert et le commerçant vend par paiements différés, le livre est ouvert et la main écrit et tous ceux qui veulent emprunter peuvent venir emprunter et les collecteurs reviennent régulièrement et chaque jour chacun rembourse bon gré mal gré, leurs droits sont toujours valables et leurs réclamations toujours justes et tout est prêt pour le banquet».
Question: Qu’est-ce qu’une réclamation juste?”
Réponse: Le jugement est selon les rapports des Lumières et les récipients. Il y a une loi que si la Lumière (+) et le récipient (-) sont à l’opposé les uns aux autres et il y a un énorme fossé entre eux qui est divisé en 125 degrés, le récipient a encore à se déplacer avec ses attributs vers la lumière à travers tous ces niveaux. C’est le premier principe, l’équivalence de forme.
On nous a donné 6000 années où nous pouvons aller par deux chemins pour arriver à l’équivalence de forme.
En outre, l’humanité est divisée en deux groupes:
Ainsi, il y a des règles qui ne sont pas déterminées par nous. Dans ce monde, on ne choisit rien, tous nos désirs sont gérés par le haut. La lumière vient et évoque une certaine carence dans le désir et ne nous laisse pas d’autre choix que d’essayer de l’accomplir. Pourquoi? On ne nous le demande pas.
Le désir vient en premier et l’esprit et les différents comptes sont le résultat. Ce sont les moyens qui nous permettent d’échapper aux souffrances puisque une carence qui n’est pas satisfaite et les souffrances sont en fait la même chose. C’est seulement plus tard que nous acquérons les carences qui sont ressenties comme des plaisirs grâce à l’aspiration à l’amour.
Ce développement peut être comparé avec le rouleau qui roule sur nous par derrière et nous oblige à courir en avant. C’est la lumière environnante (Ohr Makif) du premier type (OM I), général, qui brille sur tout le monde, protége et fait progresser tout le monde d’une manière obligatoire. Nous pensons que le monde est gouverné par des politiciens, l’élite, etc., mais en fait, comme il est écrit, « Les cœurs des ministres et du roi sont entre les mains du Seigneur. »
Mais en plus, il y a la lumière environnante du deuxième type (OM II). C’est notre Lumière, elle s’applique à ceux qui ont le point dans le cœur (•). Elle nous touche, nous fait avancer, nous fait nous lever pour étudier à 3 heures du matin afin de nous changer, pour aider l’humanité, etc
La loi opère ici aussi puisque on ne a pas demandé si nous voulions être réveillés ou non. Dans l’introduction à l’étude des dix Sefirot, point 4, Baal HaSoulam dit: «Le Créateur Lui-même met votre main sur le bon sort. »
Ce qui signifie qu’Il amène une personne à choisir l’environnement et lui dit: «. Choisissez vous-même une bonne partie dans mon terrain» Il la met sur la bonne partie et lui dit: «. Choisissez cela pour vous-même»
Vous renforcerez la lumière environnante en vous incorporant dans le groupe. C’est déjà la lumière très personnelle qu’une personne peut provoquer en créant ainsi le début de sa relation avec le Créateur.
Donc, quand je fais de grands efforts dans le groupe, je commence à établir la relation avec Lui seulement dans le groupe, car cela ne peut pas se faire en dehors du groupe. Seulement ici je peux me connecter à la source de la Lumière. Cela signifie qu’il ne s’agit pas de la Lumière ou les modifications qu’elle évoque, pas même sur le groupe, et certainement pas pour moi. La seule chose importante, c’est qu’elle me lie à la source, au Créateur. Tout le reste n’est que le moyen.
Et donc, si je construis une chaîne, je fais tout ce qui est nécessaire: j’évoque la Lumière, m’intégre dans le groupe et m’annule moi-même devant les amis. La chose la plus importante est de constamment développer et de renforcer ma connexion à la source de la Lumière. Ainsi, je travaille avec la lumière environnante privée conformément à l’arrangement privé qui est en accord avec le groupe et le développement dans le monde en général.
Question: Est-ce que cela signifie que je dois justifier totalement le jugement et comprendre que c’est correct?
Réponse: Il n’y a pas de jugement d’en haut. Le Créateur vous amène au groupe et vous dit « A vous de choisir. » En d’autres termes, devenir plus fort dedans, travailler avec les amis, et continuer à progresser.
Il «met la main sur la bonne part, » alors vous le choisissez ou pas? Si vous ne le faites pas, alors dans la même mesure que vous ignorez votre rôle, vous invoquez immédiatement les problèmes sur vous-même. Non seulement votre incomplétude personnelle est prise en compte ici, mais aussi le résultat négatif qui va affecter tout le monde. Tout cela revient à vous comme un boomerang et commence à faire pression sur vous. Ce n’est donc pas le Créateur qui nous envoie tous les problèmes. Seul l’amour vient de Dieu. Vous découvrirez cela plus tard.
Alors, pourquoi vous êtes-vous senti si mal? Parce que vous n’avez pas rempli votre rôle envers vous-même et envers les autres et ainsi vous vous êtes senti comme étant le résultat de vos échecs. A cause de votre manque de compréhension, vous pensiez que cela vient de Lui, mais en fait, c’est vous qui avez causé vos propres problèmes par vous-même. Quand vous voyez cela finalement, vous n’avez pas de plaintes au Créateur.
De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 28/07/13, Les écrits de Baal HaSoulam
«La foi au-dessus de la raison » signifie qu’une personne a repoussé les limites de la qualité du don en soi-même, en sortant d’elle-même. La foi est appelée don sans réserve, la propriété de Bina, la Lumière de Hassadim. Quand je suis à un degré spirituel, dans n’importe quel état, j’augmente ma possibilité du don et d’amour. Ceci est appelé «la foi», qui commence à prédominer, l’emporter sur la qualité de la réception, au-dessus l’égoïsme. La raison est la Lumière que nous recevons qui remplit notre désir égoïste. Mais la foi est la propriété du don, de l’état d’avancement spirituel.
Après le congrès à Saint-Pétersbourg en 2013, j’ai entendu beaucoup de gens dire que « c’était maintenant la première fois que nous avons senti que nous avons vraiment accompli quelque chose. » En effet, après ce congrès, nous avons senti pour la première fois l’unité, et pas chacun par lui-même, mais quelque chose de commun, une certaine masse commune qui reliait les uns aux autres en même temps, tout le monde en soi. En outre, nous avons constaté qu’il existe un lien entre ce qui se passe en nous et ce que nous étudions dans les sources primaires (en partie, dans le Livre du Zohar, en partie dans les articles de Baal HaSoulam et Rabash) sur les conditions de connexion d’une personne à l’intérieur du groupe, les conditions de notre unité.
Tout cela nous est devenu beaucoup plus proche. Nous semblons avoir confirmé la justesse de notre développement. Cela signifie que nous avons reçu de nouvelles connaissances. Et comment pouvons-nous aller maintenant dans la foi au-dessus de la raison acquise?
Dans cet état, bien sûr, je peux être heureux car maintenant je suis convaincu de la justesse de mon chemin: que j’ai un professeur qui ne me trompe pas, que j’ai dissipé mes doutes et résolu certains problèmes. Mais je suis tombé dans le désir de recevoir et j’ai eu un peu de la Lumière dans ces désirs. D’une part, il est bon que j’aie atteint cela, cela devait en être ainsi. Nous ne devons jamais douter que ce que nous recevons et ce dans quoi nous sommes, est de la façon dont il devrait être, et nous l’avons eu du Créateur. Et maintenant, une autre question se pose: Comment pouvons-nous aller plus loin?
Ensuite, je dois fermer les yeux sur tout ce que j’ai reçu et avancer vers la foi au-dessus de la raison: pour percer au niveau suivant par le fait que je ne veux pas regarder les connaissances acquises ou prêter attention à tout ce qui existe en moi aujourd’hui comme une preuve de la justesse de la voie. Je veux aller de l’avant les yeux fermés, seulement pour l’amour du don. Cela signifie que je ne devrais pas penser que j’ai la confirmation de la preuve que j’avance sur la bonne voie, ou si j’ai la confiance intérieure d’être dans le bon groupe avec le bon professeur ou non.
Si nous passons par la foi, ce sont des conditions complètement différentes, à l’opposé de la raison. Autrement dit, la propriété du don est à l’opposé de la propriété de réception, de la même façon que la propriété du Créateur est opposée à la propriété de l’être créé. Alors, la prochain degré que nous avons à couvrir, vers lequel nous devons monter, se réalise non pas par la raison ni avec notre confiance, mais au contraire, quand nous nous élevons au-dessus.
En d’autres termes, maintenant je veux aller seulement vers la propriété du don, ne prêtant aucune attention à rien, malgré tout ce que j’ai reçu lors du congrès, en dépit de la sensation qui m’a donné confiance, le fondement de la vie. Je m’intéresse seulement à cela, et je veux entrer là-dedans.
Du cours virtuel du 21/07/13
Question : Qu’est-ce que je peux faire pour toujours haïr le mal ?
Réponse : Pour dire qu’une chose est bonne ou mauvaise, nous devons la mesurer par rapport à quelque chose. C’est pourquoi il est dit : « Ceux qui aiment le Seigneur, haïssez le mal », ce qui signifie qu’ils aspirent toujours à atteindre une bonté de plus en plus grande. Selon les valeurs spirituelles, la bonté est le don sans réserve et le mal la réception. En fait, ils établissent un environnement qui leur dit constamment que le don est bon, et ainsi ils avancent. C’est pourquoi ils le perçoivent comme la haine du mal.
On y découvre la Lumière Supérieure, l’attribut du don sans réserve et de l’amour caché selon l’équivalence de forme. C’est pourquoi nous devons constamment créer et augmenter l’attribut du don en nous. L’attribut pur du don sans réserve n’existe pas chez l’être créé. Au lieu de cela, il y a l’attribut de réception avec l’intention de l’utiliser dans le but de donner. Si c’est la façon dont nous utilisons notre nature, dans l’intention de donner sans réserve, donner afin de donner autant que nous le pouvons, cela signifie que nous donnons sans réserve.
C’est comme un bébé qui n’a rien à donner à sa mère à l’exception de la joie qu’elle ressent quand il reçoit d’elle tout ce qu’elle veut lui donner. C’est pourquoi la réception reste la réception, mais l’intention dans le but de donner y est ajoutée.
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 25/06/13, Shamati n°54 « Le but du travail »
Une personne n’a pas la force de faire une seule action spirituelle. Nous devons avoir un regard lucide sur la réalité, comprendre que nous agissons dans le cadre des lois et des forces strictes, que nous devons organiser pour nous-mêmes. C’est pourquoi, si elle ne se connecte pas avec l’environnement correctement, afin de se connecter à travers lui à la source de la méthode de correction, c’est à dire,à l’enseignant, et à travers l’enseignant à la Lumière qui ramène vers le Bien, alorselle tournera constamment à l’intérieur de ses désirs et aspirations que l’enferment dans ce monde.
Elle ne pourra jamais aller au-delà des limites de ce monde. Et quand elle apprendra quelque chose, en fin de compte, elle restera avec la même nature avec laquelle elle est née et restera au même niveau. Il est possible d’atteindre un degré plus élevé seulement si la personne reçoit un nouveau désir additionnel, qualitativement, plutôt que d’augmenter ses besoins terrestres communs pour l’argent, la maison familiale, la puissance et la connaissance.
Elle peut obtenir tout cela dans ce monde. Mais si elle a besoin de passer du plan terrestre de «l’argent-famille-pouvoir-savoir» au suivant, une dimension supérieure, alors elle a besoin d’un désir tout à fait différent – la nécessité del’attribut de don – parce que notre monde est basé uniquement sur le désir de recevoir. Le monde spirituel est basé sur le don, auquel une personne doit être attirée et aspirer à la plus grande richesse: le désir qui pourra lui servir de levier, un tremplin.
Elle doit souffrir parce qu’elle n’est pas capable d’aimer et de donner, mais est-ce possible? Seule la jalousie envers d’autres personnes qui lui apparaissent grandes, attrayantes et importantes peut l’aider.Elle découvre qu’elles sont heureuses d’avoir la capacité de donner, elles trouvent quelque chose d’inhabituel dans cette propriété du don, et par rapport à elles, elle n’est rien.
Si elle a le point dans le cœur, elle commence à les envier. Sans ce point, elle n’a rien pour tenir le coup, n’a aucun organe de détection pour sentir qu’ielles ont quelque chose de spécial qu’elle ne possède pas. Elle ne sentira même pas qu’il lui manque quelque chose. C’est comme une personne qui aime la musique et rêve de devenir un musicien elle n’enviera pas celui qui veut devenir physicien. La physique et la poésie sont des mondes complètement différents.
Cela fonctionne aussi dans l’aspiration spirituelle. Ce n’est que si une personne a le point dans le cœur, qu’elle a au moins une première occasion d’envier les gens qui sont dans la propriété du don. Au début, elle est attirée, car cela semble mystique, promet des capacités surnaturelles, la puissance de l’esprit, la capacité de gérer sa propre vie et celle d’autrui, avoir du pouvoir sur l’ensemble de la création.
Autrement dit, au début, la propriété du don est vêtue de toutes sortes d’ornements matériels, pas au niveau physique « nourriture-famille», mais au niveau de « l’argent-pouvoir-savoir. » En substance, tout se résume à une chose: le pouvoir de domination (le pouvoir de l’argent, le pouvoir de la connaissance). C’est un désir purement égoïste, mais elle espère qu’elle va atteindre le succès dans la révélation du monde spirituel.
S’il a un fort désir, alors au départ il lui semble qu’elle progresse rapidement et avec succès, mais plus tard, elle découvre soudain qu’elle est loin derrière, et qu’elle ne peut pas vraiment communiquer avec les autres. D’autre part, l’homme entend que la connexion est le principal outil d’avancement. Il commence à détester cette méthode, mais n’a nulle part où aller.
Là, une bataille décisive a lieu, de laquelle nombreux sont ceux qui s’évadent. Mais il y a ceux qui restent. Ils augmentent leur point parce que, en raison de l’impuissance qu’ils ressentent, ils se rendent à l’environnement. Alors ils commencent finalement à comprendre que la spiritualité n’est pas dans l’argent, le pouvoir ou la connaissance, mais seulement temporairement, elle s’est revêtue de ces ornements matériels afin de conduire une personne plus loin.
Et maintenant, la spiritualité le tire plus loin vers le haut parce qu’il commence à apprécier la propriété du don et de l’amour pour l’autre en lui même. Il estime que cette force même, cette propriété est exceptionnellement élevée et unique, elle est au-dessus de ce monde et possède l’essence divine. Précisément ces forces du don dirigent le monde.
Peu à peu, la personne s’incline plus bas et annule sa nature égoïste, acceptant de s’annuler elle-même devant l’attribut de don. Tout ce travail a lieu au sein du groupe. L’influence de l’environnement est le seul facteur de ce changement de valeurs dans laquelle le don, et l’amour pour l’autre devient plus important pour une personne que les bonnes choses habituelles: la nourriture, l’argent, la famille, le pouvoir et la connaissance.
Elle est de plus en plus imprégnée du désir de donner de l’environnement, et donc elle arrive à l’étape du chemin qui est appelé «Lo Lishma. » L’homme investit tous ses efforts et fait tout son possible pour augmenter la part de « Lishma » dans « Lo Lishma « , c’est à dire qu’il donne et donne, désireux d’être impliqué dans la propriété du don, mais s’attend toujours à obtenir quelque chose en retour. Pour le moment, c’est encore le don égoïste, pour le bien de la réception, mais il se rapproche du don altruiste.
Ici, il a besoin de l’humilité, l’auto-annulation, la grandeur de l’objectif, du groupe, de l’enseignant, du Créateur. Tout cela devient très important pour lui, et à l’exception de cela, il n’y a rien d’autre … Tout ce dont il rêvait avant est progressivement dévalué: d’abord l’argent, après c’est l’honneur, puis le pouvoir. Sur qui a-t-il besoin de régner et pour quoi faire? Il veut que la Lumière supérieure règne sur lui. Autrement dit, ce n’est pas seulement le désir de se dominer soi-même, mais le désir de se prosterner devant la Lumière afin qu’elle puisse faire son travail.
L’homme découvre sa faiblesse en tout: Il ne peut ni s’annuler ni même acquérir la propriété de don sans réserve. Il ne trouve pas un seul petit morceau du don et de l’amour pour l’autre à l’intérieur de lui-même, mais il ne peut pas dominer son égoïsme non plus. Il sent qu’il est nu et impuissant. Parce qu’il est plus intéressé par la richesse, l’honneur et la connaissance, il ne lui reste rien sauf le point dans le cœur que l’on appelle le signe de l’alliance avec le Créateur. Supposons qu’il apprenne tout ce qui se passe dans le monde, tout de la science inventée par l’humanité. Mais tout cela est inclus dans la même lumière, et dans sa vraie forme directe, au lieu de la forme postérieure inversée, sur laquelle toute la science et la connaissance terrestre sont basées.
Comme conséquence, il reste dépendant uniquement de la Lumière qui corrige qui vient à lui à travers l’ensemble de l’échelle des mondes spirituels, par l’enseignant, à travers le groupe, à la condition sine qua non qu’il souhaite retourner à travers eux tout ce qu’il a au Créateur. La Lumière directe et la Lumière Réfléchie s’habillent l’une dans l’autre.
De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 24/06/13, Shamati N°175