Category Archives: Perception

Quand le rideau tombe

congrès, groupeLe Baal HaSoulam, « Introduction au livre du Zohar, » article 20 : Et le même « corps » dans sa mauvaise forme qui nous est donné dans le présent, néanmoins ceci ne doit pas abîmer notre essence ainsi et toutes ses propriétés qui sont sur le point d’être annulées complètement de sorte que tout le système d’impureté qui est sa source, et tout ce qui est à ce sujet doit être brûlé comme si cela avait déjà été brûlé et considérer comme si ça n’avait jamais existé.


L’essence de l’âme (Nefesh), habillé dans le corps, est seulement à ce stade du désir, mais le désir de donner sans réserve provient d’un système des quatre mondes de ABYA de la sainteté ; elle existe éternellement, parce que cette forme du désir de donner sans réserve est en équivalence de forme avec la source de vie et est immuable.

Nous existons dans la réalité de Ein Sof (infini) et tous les mondes (Olamot), ce qui signifie les dissimulations (Alamot), sont uniquement des filtres qui s’ajustent à l’image de Ein Sof pour nous ; le degré de dissimulation n’existe que dans notre perception et ils disparaîtront au moment où nous serons en mesure d’annuler notre « corps », le désir de recevoir pour lui-même.

Toutefois, cette volonté doit encore être révélée. Où existe-t-elle vraiment ? En fait, aujourd’hui tous mes désirs agissent réellement au niveau animal. Le désir réel de recevoir se révèle que lorsque je commence à travailler afin d’accorder et je découvre tout ce qui s’oppose à la volonté de donner sans réserve. S’opposant à la ligne droite, la ligne gauche est révélée ; contre la sainteté, l’impureté est révélée.

Ci-dessous, sous le seuil de la perception spirituelle, nous sommes ici dans le monde imaginaire où nos désirs, comme on dit, « tous regardent comme des bêtes. » Mais si par les travaux du groupe, à la diffusion, à propos des les amis, de l’humanité, et enfin pour le Créateur, nous révélons notre inclination vers En-Haut, puis nous révélons notre « corps » corrompu, ce qui signifie le désir de recevoir avec l’intention de recevoir.

Afin de corriger ce désir, l’intention doit changer à afin de donner sans réserve. Le désir de recevoir lui-même reste et au-dessus, je construis une volonté afin de donner sans réserve qui est appelée l’âme (Neshama). Son essence est dans mon don pour tout le monde. En donnant à tout le monde, en aimant tout le monde, je développe l’âme au-dessus de mon « corps ». Et sous cette forme, nous atteignons la correction.

Alors ce monde disparaît, et je peux voir tous les mondes, le monde de l’Infini.

Maintenant, nous existons aussi dans le monde de l’Infini. Et maintenant, également, tout dépend de mon intention. Rien n’est immuable et constant, comme tout est représenté et arrive seulement dans mes qualités.

De la 4ème partie de la Kabbale quotidienne leçon du 13/03/13, « Introduction au livre du Zohar« 

À propos de la mort et l’éternité

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam,«Introduction au Livre du Zohar« , point 24: Et puisque l’essence de l’âme n’est qu’un désir de donner, et toutes ses manifestations et ses possessions sont des remplissages de ce désir de donner, qui existe déjà dans le premier état éternel aussi bien que dans le troisième état qui se place dans le futur, il est immortel et irremplaçable. Plutôt, lui et toutes ses possessions sont éternels et existeront toujours. L’absence n’affecte pas quoi ce soit au départ du corps.

Question: Qu’est-ce que « le départ du corps » veut dire?

Réponse: Le désir de recevoir disparaît sous sa forme précédente, et c’est comme si vous aviez acquis un nouveau récipient à la place, le désir de recevoir pour donner sans réserve. Dans ce récipient vous découvrez le Créateur, la Lumière, votre vie éternelle. Toutes vos caractéristiques égoïstes prennent l’opposé des précédentes par la restriction et un Massakh (écran), l’intention et l’habillage de la Lumière qui retourne. Maintenant, ceci est votre vie.

Ainsi, le passage de l’intention de « afin de recevoir » à l’intention de « dans le but de donner » est appelé « le départ du corps physique ». Bien que le désir de recevoir ait été formé comme «quelque chose à partir de rien», il existe éternellement. Sans cela, il ne serait pas un être créé, le désir de recevoir la satisfaction et du plaisir. Il n’y a rien que nous puissions faire avec cela, mais seulement de le révéler ou de le dissimuler suivant les différents états.

En révélant un peu le désir, vous voyez « ce monde. » Der révélations plus grandes sont appelées «les mondes supérieurs. » Finalement, vous découvrirez toute la «sphère», dans sa pleine échelle (Σ), dans tous les sens, et vous relèverez vers l’ « intégrale « (∫) de zéro à Ein Sof (infini), ou vers le monde de Ein Sof.

Le désir de recevoir est divisé en « couches »: à partir de la phase de la racine jusqu’à la phase quatre. Nous pouvons restreindre (Tsimtsoum) le désir et alors vous ne pouvez l’utiliser en aucune façon. Vous pouvez aussi mettre un Massakh (écran) sur le désir, et alors vous pouvez l’utiliser et l’exploiter à la profondeur des différentes couches.

About Death And Eternity

Si vous utilisez le Massakh à l’Aviout (épaisseur) de la phase de la racine, vous ressentez le monde d’Assiya. Dans l’Aviout de la première phase vous ressentez le monde de Yetsira, dans l’Aviout de la deuxième phase vous ressentez le monde de Béria, etc.

En même temps, le désir de recevoir ne disparaît pas, mais c’est comme si vous travailliez toujours au-dessus. Bien sûr, vous restez toujours en lui, mais schématiquement nous le présentons comme une ascension. Nous pouvons dire que les attributs qui sont corrigés par le Massakh «descendent» et prennent leur place dans l’Aviout du désir de recevoir.

About Death And Eternity

De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 18/03/13, “Introduction au Livre du Zohar

Une porte vers l’inconnu

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « Introduction au Livre du Zohar« , article 26: Nous avons déjà dit que le premier état nécessite le troisième état, pour pleinement prendre forme comme cela est dans la Pensée de la Création – dans le premier état – n’omettant pas une seule chose.

Les trois états de la Création, l’état initial (1), l’état intermédiaire (2) et l’état final (3), obliger l’autre à exister. Au commencement la création est dans Ein Sof (infini). Dans le second état, nous (Nous) sommes dans notre monde. Ensuite le troisième état est la fin de la correction.

Pendant la transition du premier état au second état, nous passons par la brisure et les restrictions, et pendant la transition du second état au troisième état, nous traversons, nous-nous élevons et corrigeons. En outre, nous corrigeons GE sur le chemin, puis AHP de Aliya. Ainsi, nous avançons de la Lumière de Nefesh aux Lumières de NRNHY.

A Door To The Unknown

Nous devrions nous rappeler que tous ces états n’existent que dans notre perception, mais nous devons utiliser tout ce que nous avons jusqu’à ce que nous parvenions à un désir qui est rempli par une seule pensée. C’est parce que le désir est émotions (un cœur) et la pensée est l’esprit. Ils doivent se connecter en sorte qu’avec le lien entre eux, nous atteignons le Créateur.

Cela deviendra notre état final, et c’est notre objectif aujourd’hui. Nous ne savons pas ce qui vient après, mais il faut savoir qu’après la fin de la correction, nous irons dans une direction inconnue. La création se poursuivra puisque nous avons corrigé les récipients, nos désirs.

C’est comme une voiture en panne à réparer et apprendre à la conduire: Le travail est fait, les réparations sont terminées, et j’ai appris à conduire. Je suis assis dans ma voiture parfaitement réparée et quel est ce qui suit ? En quoi ais-je à corriger mes récipients pour cela?

Ainsi, l’équivalence de forme avec le Créateur n’est que le début. Puis Il m’ouvre la porte de Son palais m’y invitant…

A Door To The Unknown

Nous nous élevons à son niveau, et nous ne savons pas ce qui viendra. Je ne vois pas ce que les kabbalistes ont laissé entendre à ce sujet. Ils laissent entendre qu’il y a quelque chose après, en termes que nous pouvons comprendre. Nous ne pouvons tout simplement pas comprendre ces dimensions.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/03/13, « Introduction au Livre du Zohar« 

Dans la prison de son propre égoïsme

Dr. Michael LaitmanÀ mesure qu’on avance, une personne commence à sentir que tout ce qui est spirituel est en dehors de son corps, dans tout ce qui l’entoure dans la nature, aux niveaux minéral, végétal, et animé, chez les humains. C’est ce que le monde est, la zone que nous devons apprendre à traiter avec soin et amour comme un grand trésor, de façon à ce que le monde, qui est en dehors de notre corps, devienne très important pour nous.

Le sentiment de l’existence dans le corps physiologique se produit seulement dans notre imagination grâce à une combinaison de forces qui agissent sur nous. C’est pourquoi nous sentons comme si nous vivions dans le corps matériel, et, si une personne a une aspiration de vivre en dehors de son corps, dans tout ce qui l’entoure, cela est déjà le besoin de ressentir l’âme.

Ayant commencé à travailler sur ce sujet, une personne voit qu’elle doit concentrer tout son travail sur l’environnement correct, parce que c’est de là qu’elle peut obtenir de l’aide et du soutien. Un tel environnement est le groupe, en tant que représentants du monde extérieur, ceux qui peuvent me répondre, me séduire, et m’aider à sortir de moi-même.

Alors, je considère le groupe comme mon sauveur, qui me jette une corde pour me sortir comme d’un puits. Je ne m’associe pas avec mon corps et souhaite me sortir de là, donc je prends la corde. Le groupe, les amis qui sont en dehors de moi, m’aident à rompre d’avec mon corps.

Ainsi, en travaillant ensemble, nous nous aidons à tour de rôle à monter et sortir de nous mêmes. Après tout, seulement à l’extérieur de sa peau, en dehors de ses intérêts égoïstes, une personne commence à sentir que le groupe n’est pas un rassemblement de certaines personnes, mais la sainte Shekhina dans laquelle s’habille Le Créateur.

Le corps se compose de Klipat Noga, la partie qui me donne la liberté de choix, et la « peau de serpent », l’égoïsme le plus puissant qui me tire en arrière, de sorte qu’en essayant de sortir, je suis en mesure d’appliquer un effort suffisant orienté correctement.

Grâce à mon désir de sortir de mon égoïsme (l’amour de soi-même et toutes les pensées dans mon prore intérêt), de mon effort de sortir de moi-même et penser au groupe et au monde, j’éveille la force qui vient du groupe, du professeur, et du Créateur, ce qui me libère de cette prison. Tout cela est dû au travail mutuel, en réciprocité, dans le groupe, avec le professeur et les livres, et grâce à l’étude et la diffusion, qui sont tous les moyens dans lesquels la force du Créateur s’habille et m’aide à sortir de moi-même

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 13/03/13, Shamati N° 36

Dans l’étreinte de la liberté

Dr. Michael LaitmanEn  élevant à Bina, une personne (Malkhout) annule elle-même avant tout l’égoïsme qui se révèle en elle. Ibour (gestation) est un état terrible pour le désir de recevoir. Imaginez que vous retourniez dans l’utérus: Il ne peut pas exister un état plus terrible pour vous, vous n’avez pas d’air, de lumière et aucune liberté de mouvement. Vous êtes coincé dans un confinement étroit, comme dans un étau étreignant tous vos sens, de sorte que vous ne pouvez pas vous déplacer à l’intérieur de votre conscience ou à l’extérieur.

Pénétrer dans l’utérus spirituel est un sentiment terrible, la claustrophobie spirituelle … mais vous préférez cet état, parce que si vous êtes dedans, dans Bina, dans l’attribut du don, alors vous n’avez besoin de rien! Vous acceptez le sombre confinement solitaire comme la bonne terre promise, comme le ciel. La condition pour entrer dans le Ibour spirituel est de changer votre appréciation de Malkhout à Bina et de commencer à la valeur de l’attribut du don.

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 11/03/13, L’étude des dix Sefirot

La nuit se transformera en jour et le jour se transformera en nuit

Dr. Michael LaitmanLe succès d’une personne dépend de l’environnement dans lequel elle parvient à organiser pour elle-même. Dans cette mesure, elle commence peu à peu à changer son concept: le jour et la nuit sont, la lumière et l’obscurité. Elle commence maintenant à voir que ce qu’elle considérait précédemment pour être la lumière – son succès par rapport aux autres, le remplissage de ses désirs égoïstes pour l’estime de soi – aujourd’hui lui semble comme l’obscurité totale, comme un état terrible dont elle doit s’en échapper pour penser à donner aux autres, aux succès de son ami, et sur le don au sujet du Créateur.

C’est effectivement ce que devient la lumière et le jour pour une personne maintenant, au lieu de la lumière et du jour qu’elle ressentait avant dans son propre succès. Dans la mesure où elle peut annuler et se restreindre énergiquement, elle rencontre une forte résistance de la part de son corps, et plus elle voit l’importance de l’autre et du Créateur, plus elle avance. Finalement, elle remplit la mesure de son effort et reçoit assez de Lumière qui ramène vers le bien de sorte que le Massakh (écran) puisse naître en elle. Alors, une force de résistance vers le désir de recevoir commence à opérer en elle, et, grâce à l’équivalence de forme avec la lumière qu’elle a atteint, elle est récompensée par la première révélation.

Notre travail est de trouver les bons critères pour vérifier: Où est la journée et où est la nuit, où sont les ténèbres, et où est la lumière? Selon ces valeurs, je dois juger: Est-ce pour mon propre bénéfice ou pour le Créateur? Si je commence à comprendre que c’est totalement à l’opposé de mes critères précédents, c’est un signe que je suis déjà sur la bonne voie. Si je commence à avoir une lutte intérieure avec ce principe pour évaluer l’état, c’est un signe que je suis déjà avancé.

Si je prie pour que mon échelle de valeurs, le système de mesure de la lumière et des ténèbres, le jour et la nuit, soit modifiée de sorte que je sois en mesure de les voir spirituellement, alors c’est un état encore plus avancé. Quand j’adhère au don sans réserve de toutes mes forces et essaye de voir tous les états de ce point de vue, alors je suis prêt à me détacher du désir de recevoir. Si je ne cesse de demander que cela se produise, et si constamment j’ai l’impression que le Créateur m’envoie des interruptions afin de renforcer ma demande, je suis déjà près de Lui, afin de travailler effectivement dans Lishma (pour lui).

Donc, ce qui était auparavant l’obscurité se transforme en la lumière et ce qui était pour moi la lumière se transforme en ténèbres, et je l’ai effectivement traité. Tout se transforme vers l’état opposé: le jour et la nuit. Ce qui avait été l’obscurité de la nuit précédente se transforme en lumière du jour.

De la 1ère partie de la Leçon quotidienne Kabbale 12/03/13, Shamati N ° 16

Pellicules photos argentées

Dr. Michael LaitmanÀ un moment donné, le Créateur pétrit une personne comme une pâte, et la question est dans quelle mesure une personne se sent prête à le ressentir et à accepter un travail incessant du Créateur sur elle.

Il y a des périodes différentes, car à tous les niveaux, nous devons passer en revue tous les discernements: il y a toujours la nature, le végétal, l’animal et le « parlant. » Et il y a un certain temps que nous sommes endormis. Cela ne dépend pas de nous, mais fait plutôt partie du travail général sur l’ensemble de la création, qui comprend également nous. Nous pensons qu’une petite partie de ce qui se passe chez nous, donc il y a beaucoup de périodes où nous sommes inconscients de ce que nous traversons.

Premièrement, nous devons aspirer à reconnaître qu’il n’y a rien en dehors de Lui. Deuxièmement, vous devez vous annuler et essayer d’être objectif. Une « perspective objective » regarde à travers une « lentille » et non pas par vos propres yeux, il regarde à travers un autre outil indépendant qui est externe à ma vue subjective et qui peut agrandir ou réduire des détails différents et mieux cibler artificiellement, indépendamment de mes sentiments et préférences. C’est ce qu’on appelle une perspective subjective qui photographie la situation comme un appareil photo.

Nous devons sentir de nombreuses subtilités intérieures et discernements dans le but de devenir un tel objectif. Qu’est-ce que je veux photographier à l’aide de mon appareil photo? Je veux photographier le Créateur! Alors, quel genre d’appareil ai-je besoin pour cela?

Mon désir de recevoir est une pellucule dans un appareil photo avec lequel je prends une photo. Cette volonté doit être indépendante de moi et sous l’entière restriction, libre de mon approche subjective, de mon attitude. Je dois m’élever au-dessus, et puis elle reflétera la situation réelle et non pas l’image que j’ai faite et retouchée avec Adobe Photoshop. Il s’agit de la première phase du travail.

Tout dépend de la façon dont je peux être sensible à l’égard de toutes les formes et relations que le Créateur affiche devant moi, qui sont en constante évolution, à quel point je suis prêt à entamer un dialogue avec Lui en fonction de ce qui se passe pour moi et de me détacher autant que je le peux. C’est très difficile, car de me détacher de moi-même signifie en fait que je m’examine attentivement afin de toujours voir ce qui me lie à mon ego.

Dans la mesure où je fais ce genre de travail, je peux identifier l’image du Créateur plus clairement. Dans la mesure où je me neutralise à un moment donné, je laisse le Créateur imprimer Lui-même en moi, à être révélé dans mon film photographique, sur la couche sensible à la Lumière.

Cette sensibilité dépend de la « couche d’argent », le matériau utilisé dans la photographie, et il dépend de combien je me couvre et me cache. Puis, à l’intérieur, l’image du Créateur dans sa forme inverse peut apparaître dans ma matière, comme un négatif.

Je peux recevoir un tel vêtement que si je me dompte devant l’environnement. Je n’ai pas de manteau, aucun Massakh (écran), derrière lequel je peux cacher mon ego, je n’ai rien pour me couvrir. La seule chance est de me placer sous la protection de l’environnement, comme un bébé qui veut se cacher dans les bras de sa mère.

Mais un bébé ne le fait pas instinctivement à cause de son ego, le désir de faire le bien pour lui-même, alors que nous avons à faire beaucoup de travail contre notre ego afin de l’annuler, de me soumettre devant l’enseignant, le groupe, l’étude et la diffusion. Cela nous donnera le manteau.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 11/03/13, Shamati n °15

Les amis parmi lesquels je vis

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment puis-je passer de « je » à « nous »? Quelle est la signification de justifier le Créateur que lorsque une personne est heureuse, non parce qu’elle est efficace, mais parce que son ami a réussi?

Réponse: Le fait est que vous devez respecter l’ami et à travers lui sentir la réalité. Comment puis-je vérifier mon dévouement pour mes amis? C’est en fonction de la façon dont je me sens heureux quand ils sont heureux et que me sens triste quand ils sont tristes, de me mettre dans le groupe dans le seul but de les aider à atteindre le bon état.

Ici, je commence à découvrir à quel point je veux vraiment le contraire: ce feu de la haine et de l’envie est révélé en moi envers eux, et à quel point je ne peut pas vouloir quelque chose de bon pour eux parce que j’aime cet état Il y a beaucoup de travail que j’ai à faire ici, afin que ces examens m’amènent à la bonne conclusion: je n’ai que des amis au sein desquels je vis.

Si mon ami a un problème, je travaille avec le problème comme s’il était un obstacle permanent entre moi et le Créateur. Ça ne fait aucune différence. Je vais pouvoir m’annuler ici, mon « je », et d’autre part, je me sentirai grand en ce qui concerne les amis, ce qui signifie que je veux tout faire pour qu’ils se sentent bien, comme une bonne

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 10/03/13, Shamati n°6

Qui détermine le goût du pain du ciel (Manne) ?

Dr. Michael LaitmanLe Seigneur dit à Moïse, et a dit « J’ai entendu les murmures des enfants d’Israël. Dis-leur: Entre les deux soirs vous mangerez de la viande, et au matin vous vous rassasierez de pain; et vous saurez que je suis le Seigneur, votre Dieu. » (La Torah, Exode, « Beshalach », 16:11-16:12)

Afin de comprendre ce que la « manne » est, nous devrions envisager la comparaison suivante. Quelqu’un veut distribuer une nouvelle machine, une « imprimante 3-D », qui soit remplie de protéines, de pâtes, de légumineuses, de soja et bien plus encore. Il vous suffit d’entrer dans l’imprimante ce que vous voulez manger, et bientôt vous avez le plat désiré. Nous pouvons obtenir la saucisse qui est faite de soja et ça a le goût de la viande.

Cet appareil dispose de différentes cartouches: poivre, citron, etc. Lorsque la commande est passée, l’imprimante prépare la commande et vous la donne sur un plateau. Avons-nous commandé un barbecue épicé et fumé? S’il vous plaît, profitez-en! Préférons-nous les autres saveurs? Pas de problème! Tous ces « goûts » sont faits d’un ingrédient de remplissage, par exemple, le soja.

Donc, qu’est-ce que la « manne »? La Lumière supérieure n’a pas de caractéristiques particulières, toutes les propriétés sont mises en place par le consommateur. Après tout, les cartouches d’imprimantes ne possèdent pas de propriétés spécifiques; nous définissons les paramètres, nous avons choisi des combinaisons que nous voulons et les déterminons en définissant l’ordre. Donc, vous pensez que vous voulez de la viande le soir, et du pain le matin. Mais en fait, un seul produit va dans la machine, seul le consommateur détermine la saveur, la couleur et l’apparence.

De l’émission « Mystères du livre éternel », du 04/02/13

Heureux sont ceux qui cherchent le Créateur

Dr. Michael LaitmanComme il est chanté dans la chanson « Chanter pour Lui, chant pour Lui … herueux sont ceux qui cherchent le Créateur. » Tout notre travail en dépend, sommes-nous capables de nous examiner, dans la critique et dans les désagréables discernements intérieurs de sorte que, par nous-mêmes, en nos forces, nous révélions le mal avant même que nous tombions dedans par la contrainte, « en son temps »? Il est nécessaire de le révéler avant cela, en « accélérant le temps »: en nous engageant dans la connexion, même si c’est contre notre nature, en révélant le mal, et de trouver un remède avant le coup.

Parce que, dans la cure, il y a une partie du poison, une partie du serpent, de sorte que ce ne peut être agréable. Et si nous sommes capables de trouver le remède à l’avance, alors nous progressons en tant que travailleurs du Créateur, en Lui demandant.

Par conséquent, on n’a pas besoin d’avoir peur de la révélation du mal ou que le méchant soit révélé. La chose principale est de voir cette révélation correctement. Jusqu’à ce que tout le mal et les défauts soient révélés à la fin, nous ne viendrons pas au bien, nous le révélerons seulement avec la bonne préparation pour révéler la maladie afin de la corriger.

Parce qu’il ne fait aucun doute que tout le « mal » existent déjà. Si une pensée, un désir, une envie arrive à un homme, c’est un signe qu’il était déjà en lui avant. Mais si nous le révélons en nous préparant correctement, alors nous ouvrons cette « boîte de Pandore » et nous corrigeons rapidement et facilement tous les péchés, ce qui est appelé le chemin court et agréable. Mais si nous ne sommes pas prêts pour une telle révélation et n’en voulons pas, alors nous irons dans un long chemin douloureux et difficile jusqu’à ce qu’il soit enfin révélé.

Il est impossible d’empêcher totalement la douleur, mais il doit y avoir une douleur pour la guérison comme un homme qui va à la chirurgie, traité pour une blessure, ou qui reçoit des soins dentaires. Ce n’est pas agréable, mais nous sommes d’accord avec, par conséquent, tout dépend de la préparation. Et si une bonne préparation est faite, alors le groupe, la communauté et les groupes mondiaux sont prêts à voir la révélation du mal, et puis « Joyeux sont ceux qui cherchent le Créateur », et nous aurons de quoi Lui chanter à ce sujet .

De la préparation de cours quotidien de Kabbale du 25/02/13