Monthly Archives: août 2013

Tout commence du groupe

congrès, groupeNous devons construire notre travail selon un agencement précis.
1. Je ne peux pas me tourner vers l’ensemble, au grand public, avant d’être inclus dans le groupe (groupe de dix).
2. C’est seulement après être inclus en lui, que je reçois la lumière environnante (Ohr Makif).
3. Après que j’influence l’ensemble, les gens, que nous appelons «éducation».
4. Nous nous unissons à eux.
5. Je les apporte au groupe, ce qui s’appelle apporter les « nations du monde » à « Israël », et tous méritent la découverte du Créateur.
Dans le groupe je me transfert à l’ensemble (←) et de l’ensemble à nouveau vers le groupe (→), et au moyen de la lumière environnante nous recevons la lumière intérieure (Ohr Pnimi). Parce que maintenant nous avons un Kli, le désir de recevoir, avec l’intention.
Je suis simplement au milieu, la mise en œuvre de l’action. Je travaille dans un groupe avec Galgalta ve Eynaim (GE) et avec le public, qui est l’AHP, et je reste au milieu du tiers supérieur (1/3) de Tifferet où il y a libre choix.
Par conséquent, si je ne suis pas inclus dans un groupe, je n’ai nulle part où commencer. Chacun de mes pas doit commencer à partir de cette inclusion et c’est l’action la plus importante et la base de toutes les actions. S’il y a inclusion, alors on peut continuer à agir, s’il n’y a pas d’inclusion, alors il est impossible de continuer. Car après cela je n’agis pas avec mes propres forces, mais plus particulièrement avec la puissance de l’inclusion mutuelle que j’ai reçu du groupe, grâce à la soumission. Mon pouvoir individuel est égoïste et seulement à travers l’annulation de mon ego, grâce à l’inclusion aux amis (1), je peux recevoir d’eux la puissance du don avec l’aide duquel je me tourne vers le grand public (2).
Everything Begins From The Group
Et puis je travaille aussi avec lui comme  je l’ai fait avec le groupe de dix. Mon intégration dans la société est comme l’inclusion à mon bébé à qui je veux tout donner. Je ne dédaigne pas, plutôt, je baisse ma tête devant le public avec amour.
De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 20/08/13, Entretien relatif au groupe des Dix

A la base de tous les mondes supérieurs

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-il possible d’arriver au bon désir de spiritualité sans avoir à rencontrer des problèmes dans le monde matériel?
Réponse: Il n’y a pas de problèmes corporels. Le monde corporel n’existe pas séparément du monde spirituel. Tout appartient au monde spirituel. La forme corporelle que nous sentons maintenant semble corporelle puisque nous percevons sans la bonne intention, ce qui devrait être établi par nos propres efforts. Nous sommes simplement nés ainsi avec des désirs brisés.
Le sentiment dans le récipient brisé, sans aucune intention indépendante et uniquement selon le plan de développement du récipient, est appelé le monde corporel. Cela signifie que la matérialité est ce que je ressens sans faire d’efforts. Afin de sentir la spiritualité, je dois me concentrer d’une certaine manière et alors seulement, je serai capable de la sentir. Ces actions sont appelées des corrections.
Notre monde est en fait la base de tout le système du monde spirituel. Le système des mondes supérieurs se révèle sous la forme de connexions supplémentaires entre tous les éléments de la réalité. Ce réseau est appelé les mondes supérieurs.
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 12/08/13, Écrits du Baal HaSoulam

Un vaccin spirituel

Dr. Michael LaitmanNotre travail spirituel selon la méthode que nous recevons de l’étude de la Kabbale est semblable à un vaccin contre une maladie médicale, quand il est « donné » un corps sain un peu de maladie: Le corps produit des anticorps et peut résister à la maladie.
De même, notre désir est vacciné contre l’égoïsme: Nous  révélons son mal à l’avance avant sa pleine manifestation. Cela se fait par le travail en groupe, entirant la lumière supérieure qui corrige dans laquelle nous découvrons peu à peu nos propriétés égoïstes comme le mal. Et une personne ne va pas sur le chemin de la souffrance de l’égoïsme à la santé, la propriété du don et de l’amour des autres, mais en limitant son égoïsme à l’avance, travaillant  contre elle dans le groupe et l’étude, sous l’influence de l’OM, elle va vers l’objectif, la similitude avec le Créateur, c’est la révélation du Créateur à l’intérieur d’elle-même, par un court chemin de la correction Akhishena,en faisant  l’expérience de la maladie dans sa petite manifestation à l’intérieur d’elle-même, volontairement.
L’humanité a besoin de reconnaître son égoïsme naturel comme une maladie. La nature nous montre son défaut sur nous-mêmes. De longues souffrances sont nécessaires pour identifier la maladie et comment y remédier.
La Kabbale propose un chemin court et le type de correction à la place de ce chemin long et cruel. Mais même à l’avance, encore au stade précoce de son développement, nous devons le reconnaître comme étant mauvais, dont nous devons nous en débarrasser, réaliser la nécessité de se faire vacciner, c’est-à-dire passer par là à petite dose et ne jamais retomber malade, pour être en bonne santé, construire une nouvelle vie.
L’essence de diffusion est d’expliquer aux gens que peu à peu la cause de leurs problèmes est notre nature égoïste et comment la guérir au moyen de la méthode par un simple «vaccin».

Le vêtement spirituel

Dr. Michael LaitmanLa Torah, «Exode», 22, 25-26: Si tu prends le vêtement de ton prochain comme un gage, jusqu’au coucher du soleil tu devras lui rendre, car c’est sa seule couverture, c’est son vêtement pour sa peau. Avec quoi doit-il se coucher? Et cela doit être (car) s’il me crie dessus, je l’entendrai, car je suis compatissant.

Pendant les jours où la Torah a été écrite, les vêtements étaient très chers, alors  les gens faisaient la plupart des tâches ménagères nus de sorte que les vêtements ne soient pas usés. Il y a même des vêtements pendant deux siècles qui ont été transmis d’une mère à sa petite-fille, etc Dans la région où l’Etat d’Israël se trouve aujourd’hui, les gens avaient l’habitude de porter des vêtements faits de laine, qui prenaient beaucoup de temps à fabriqué et beaucoup de travail: le tissage, le tissu, la couture, etc Même aujourd’hui la laine tunisienne est très onéreuse.

Dans la spiritualité « vêtement » fait référence à un Massakh (écran) qu’une personne acquiert. Donc, si vous empruntez ce que vous avez à rendre le même jour car il est impossible de laisser une personne sans Massakh pour la nuit, ce qui signifie que dans un état de ténèbres. Il ne s’agit pas de la lumière du soleil, mais d’un état interne, quand une personne sent qu’elle est dans l’obscurité ou dans la lumière.

En d’autres termes, tant que la personne se sent dans la lumière qui la soutient et effectue un certain type de travail sur elle,  vous pouvez emprunter son Massakh et travailler avec elle. Mais quand arrive la nuit, vous devez le lui rendre.

Question: Que signifie « Avec quoi doit-il se coucher»?

Réponse:
Étonnamment, dans les temps anciens les vêtements étaient encore plus nécessaires pendant la nuit que pendant la journée. Selon la sagesse de la Kabbale, la « nuit », vous devez être protégés contre l’obscurité par un Massakh. C’est parce que le vêtement spirituel est une sorte de Massakh sur le désir de recevoir, qui acquiert ainsi une intention en vue de donner sans réserve.

Du « les secrets du livre éternel » de KabTV 27/05/13

La quantité qui se développe en une qualité nouvelle

Dr. Michael LaitmanLe désir de recevoir peut être modifié en taille (dans sa densité), à partir de la racine au quatrième niveau. Et chacune d’elle est divisée de plus en plus en sous-niveaux, et se termine donc avec 125 degrés ou niveaux. Et tout dans le monde est également mesuré selon la taille, selon la quantité, et la quantité influe sur la qualité.

Si nous prenons une certaine substance par exemple, ses caractéristiques sont établies par le nombre d’électrons, de protons et de neutrons dans l’atome. La qualité de la substance dépend de leur quantité. Si l’on ajoute des électrons, nous obtenons une nouvelle substance.

C’est ce qui arrive avec la substance immobile et la même chose peut être liée aux plantes, aux animaux et aux humains. Pour nous, il est plus difficile d’identifier cela en fonction de nos sensations, mais c’est ainsi. Tout dépend de combien d’effort nous faisons, sur le nombre de détails que nous recueillons de leur part. C’est pourquoi il est dit: «Il n’y a personne aussi sage que l’expérimenté», parce qu’il ajoute des détails tout le temps, jusqu’à ce qu’il atteigne une qualité nouvelle, une nouvelle compréhension et un nouveau ressenti.

Tout dépend des actions les plus simples. Rien n’existe en réalité hors de la  réception et du don sans réserve. Et en fait même le don sans réserve n’existe pas, mais plutôt, il y a une réception qui se transforme en don sans réserve grâce à l’intention. Tout est construit sur le « plus » et  le « moins ».

Par conséquent tout le travail est d’ajouter constamment de la quantité. Et la quantité qui est recueillie commence à exiger une nouvelle qualité, de comprendre le pourquoi et dans quel but je fais cela. Les questions commencent à être réveillées ce qui nous amène déjà à des actions plus qualitatives sur un nouveau niveau. Mais aussi nous devons ajouter à ces actions de plus en plus de quantité jusqu’à ce que nous atteignions une nouvelle qualité.

Par nos actions, nous attirons la Lumière qui ramène vers le bien qui agit tout le temps et ajoute une nouvelle goutte de changement tout le temps. A la fin de la question, « de nombreux centimes s’accumulent en une grosse somme » jusqu’à ce que nous atteignions la capacité de mener des actions intentionnelles qui sont évaluées non pas selon les actions elles-mêmes mais en fonction de l’intention.
De la préparation au cours quotidien de Kabbale 13/08/13

Entre deux qualités opposées

Dr. Michael LaitmanChaque loi de la Torah est comme la recherche d’une fréquence, comme dans une radio, que nous utilisons pour nous accorder avec toujours plus de précision. Nous augmentons constamment notre sensibilité envers le Créateur et ainsi nous rapprochons de Lui.

Nous avons un point dans le cœur dans notre ego, qui est la partie Divine d’en-haut. Je développe constamment ce point en étudiant, en travaillant dans le groupe et dans le bon environnement, et en conséquence mon ego grandit aussi pour me montrer son opposition à mon point dans le cœur. Ces deux attributs opposés et contradictoires se développent constamment en moi.

Bien sûr, je ne me préoccupe seulement que du positif, de l’augmentation du point dans le cœur où je ressens le Créateur, qui Il est, et quels sont Ses attributs. Cependant, la qualité égoïste grandit constamment à l’opposé de cela afin de l’équilibrer. Je trouve une différence entre ces deux attributs, la différence entre le Créateur et moi, et je travaille sur elle afin de haïr mon « je » égoïste qui est opposé à l’attribut du Créateur, à un point tel que la bonne demande pour la correction fondra sur moi, et ainsi la Lumière de la correction arrive.

Cela corrige réellement mon ego, le connecte au point dans le cœur, qui gonfle aussi. Ensuite, la ligne médiane se forme en moi, la connexion des deux points.

Il n’y a pas d’état sur le chemin spirituel où je puisse m’asseoir et rester dans la même situation alors que le temps est compté : cela n’existe pas, ce qui signifie que je suis celui qui est constamment en mouvement. C’est pourquoi je dois suivre la ligne droite immédiatement. Mais comment dois-je faire ? Ainsi, la ligne gauche qui vient du Créateur grandit constamment, et grâce à elle je dois aspirer à la ligne droite. Le Créateur perturbe mon équilibre vers le côté gauche, tandis que j’aspire à la ligne droite par rapport à cela.

De KabTV, « Les secrets du livre éternel » du 24/06/13

Quiconque s’afflige pour le public mérite la consolation du public

Dr. Michael LaitmanLa réalisation pratique de la sagesse de la Kabbale, c’est-à-dire la révélation du Créateur aux créatures dans ce monde, commence à partir de notre génération. Maintenant, nous avec toute l’humanité découvrons un Kli, un désir, pour la fin de la correction grâce à la crise mondiale et notre travail de diffusion en Israël et dans le monde entier. Même si nous recevons les petits manques des personnes, grâce à la connexion entre leurs manques et nos besoins, nous pouvons élever tout cela ensemble dans le monde spirituel.
Les gens veulent des choses simples matérielles, mais leurs désirs sont disposés de telle sorte qu’il est impossible de les corriger sans l’aide de la Lumière qui ramène vers le bien. C’est la forme de la crise actuelle, chaque déficience, quelle que soit sa nature, se révèle être brisée, égoïste et sans solution au niveau de ce monde.
Elle a besoin de lumière pour sa correction, car elle dérive de l’inclusion mutuelle entre tous et nécessite les bons contacts dans différentes directions entre les personnes et avec la nature végétale et animale. Tout cela doit être relié ensemble et être complété mutuellement et alors seulement, la correction aura lieu.
Par conséquent, il est clair que la crise ne peut être corrigée par des efforts humains. Au contraire, quand nous acceptons les lacunes de personnes et les élevons, nous effectuons un travail divin, servant d’intermédiaire entre le Créateur et les créatures et devenir ce qu’on appelle un «royaume de prêtres et une nation sainte. » Dans cette forme pour la première fois dans l’histoire, nous avons la possibilité de construire un Kli collectif terminé, un chas d’une aiguille, un Kli pour contenir la Lumière, en prenant les carences de l’AHP, en les reliant avec les désirs de donner de GE et en les combinant avec la prière (MAN) , les élevant à la lumière de Ein Sof (Ohr Ein Sof).
Il est dit que «quiconque s’afflige pour le public mérite la consolation du public. » C’est-à-dire, quelqu’un qui prend la peine et les besoins du public et les élève est le premier à mériter la Lumière qui ramène vers le bien, qui passe à travers lui vers ceux dont il se soucie.
De la préparation du cours quotidien de Kabbale 14/08/13

La personne est comme un instrument de recherche

Dr. Michael LaitmanTous les Saintes Écritures, la Bible, le Talmud, la Mishna etc ne parlent que d’une chose: Comment pouvons-nous comprendre notre nature et comment en essayant d’avancer progressivement vers le Créateur, nous pouvons Le découvrir par Lui ressembler et devenir Son égal.
Nous pouvons découvrir toutes les lois physiques de notre monde seulement en étant égal à elles. Nous inventons des instruments aveclesquels nous imitons la nature et alors nous faisons des découvertes. A ce moment, je ne change pas, je change l’instrument.
Ici, cependant je me change en tant qu’instrument, je suis l’instrument lui-même étudiant ce qui à l’intérieur de moi, se trouve en face du Créateur. Si ceux sont réellement mes désirs et des tendances, je commence à comprendre ce qui doit être changé en moi. Mais je ne peux pas me changer moi-même.
Tout mon travail est de voir quelle est profondeurde  l’écart entre le Créateur et moi et je devrais tourner ce manque en une demande à chaque fois, en une requête, une prière. Ensuite, si cette lutte est effectivement vraie, ce qui signifie que je veux quela force, la lumière supérieure me corrige, je reçois une réponse de cellle-ci par le sentiment de ces changements en moi.
Le travail spirituel est l’étude du problème de mon opposition au Créateur et mon rapprochement par une prière, une demande. Au moment où je demande et je demande qu’un certain attribut soit vraiment changé en moi, cette demande est réelle et l’attribut va changer. C’est parce que la lumière est constante et n’attend que le bon désir, clair et précis de ma part.
Il n’y a que cela! Dans notre monde, tout se résume au fait que nous devrions créer une société qui ne se préoccuppe seulement que des nécessités de la vie, alors que tout notre travail devrait être axé sur l’auto correction. Ensuite, nous nous élèverons au niveau du Créateur.
De « les secrets du livre éternel » de KabTV 24/06/13

Les juges et les princes

Dr. Michael LaitmanLa Torah, « Exode » 22:27 : « Vous ne maudirez pas un juge, ni ne maudirez un prince parmi ton peuple. »

Une personne qui est dans un état interne de libre arbitre possède une ligne droite et une ligne gauche, une en face de l’autre et elle doit connecter les deux sans annuler la ligne gauche en aucune façon, car la ligne gauche est le jugement (Din), tandis que la ligne droite est la miséricorde (Hessed).

Une personne doit comprendre que le juge et chaque personne qui fait face à des restrictions le fait pour son propre bien et pour son avancement. Par conséquent, elle devrait accepter tout jugement, en comprenant que c’est la façon dont elle doit se comporter et progresser.

En même temps, elle ne devrait pas avoir de réflexion critique et ne pas penser que le jugement est injuste. Le juge a toujours raison. C’est probablement parce que dans le passé, les juges n’étaient pas aussi corrompus qu’ils le sont aujourd’hui.

Un prince est le gouverneur du Créateur : c’est la force qui se révèle et vous fait avancer et qui est la plus grande force dans votre état actuel, de sorte que vous ne penserez en aucun cas que ce n’est pas le représentant du Créateur qui vous dirige à l’intérieur de vous. C’est toujours le Créateur qui est caché de cette façon (dans ce cas, dans l’image de Moïse). Donc, à chaque fois vous devez imaginer que vous êtes seul avec lui.

Question : Alors pourquoi les gens maudissent Moïse tout le temps ?

Réponse : La Torah parle de la façon dont une personne corrige son ego et combien il y a de descentes, d’ascensions, de désaccords et de malédictions constants dans le processus de correction. Ainsi, l’histoire de la Torah semble très ennuyeuse.

Bien que différents événements soient décrits, ils sont tous très similaires et selon le même modèle, les héros de chaque histoire passent en fait par les mêmes situations. Ils essaient de faire quelque chose, mais ils ne réussissent pas et il y a des argumentations, des problèmes et certaines explosions, puis il y a la punition et ainsi tout s’apaise et nous avançons jusqu’à l’événement suivant et puis tout se répète. Toute la Torah traite de ces états spécifiques.

De KabTV, « Les secrets du livre éternel » du 27/05/13

Il n’y a pas de bonheur dans la vie sur Facebook

Dr. Michael LaitmanDans les Nouvelles (de l‘Université du Michigan): « l’utilisation de Facebook prédit la baisse du bien-être au lieu d’une amélioration subjective, d’après une étude de l’Université de Michigan…
«En surface, Facebook constitue une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de base pour un lien social», explique le psychologue social UM Ethan Kross, auteur principal de l’article et associé à la faculté de l’Institut d’UM pour la Recherche Sociale (ISR). Mais plutôt que d’améliorer le bien-être, nous avons constaté que l’utilisation de Facebook prédit le résultat inverse – il le sape ‘…
« L’étude a montré que plus les gens ont utilisé Facebook pendant une période de temps, plus ils se sentaient mal par la suite. Les auteurs ont également demandé aux gens d’évaluer leur niveau de satisfaction dans la vie, au début et à la fin de l’étude. Ils ont constaté que plus les participants ont utilisé Facebook pendant la période d’étude de deux semaines, plus leur niveau de satisfaction de vie a diminué au fil du temps.
« Surtout, les chercheurs n’ont trouvé aucune preuve que l’interaction directe avec d’autres personnes via téléphone ou en face-à-face influençait négativement le bien-être. Au contraire, ils ont trouvé que les interactions directes avec d’autres personnes conduit les gens à se sentir mieux au fil du temps « .
Mon commentaire: L’ensemble du processus de notre développement vise à nous amener à la pleine désillusion et une compréhension de la nécessité de l’unité: Il est impossible de communiquer dans l’ancien et le nouveau chemin afin de nous diriger vers un nouveau type de connexion et d’interaction -spirituel (du don et de l’amour).