« Soyez forts, ayez un coeur courageux, vous tous qui espérez en le Seigneur ». (Psaume 31:25 )

Plus nous avançons vers le monde spirituel et acquérons de l’expérience, plus nous nous sentons faibles. Nous découvrons que nous ne sommes capables de rien. Pourquoi est-il dit que vous avez besoin de  » soyez forts et ayaez un coeur courageux, vous tous qui espérez en le Seigneur ?  »

Comment est-il possible si, au contraire, une personne révèle son impuissance ? Elle voit qu’elle n’est pas capable dans n’importe quelle action d’y faire face, elle ne peut pas surmonter toute perturbation. Si elle avance vraiment, alors par la suite elle révèle qu’elle est entièrement faite d’égoïsme, etne fait ses calculs que sur cette base, chaque moment elle choisit quelque chose de plus avantageux. Mais elle n’a jamais fait des calculs  » à l’extérieur « , en s’appuyant sur le Créateur, pour l’amour du don. Elle en est juste incapable.

En fin de compte, nous commençons à réaliser que s’il est possible de faire des changements, ce n’est que par l’environnement. Nous n’avons la liberté de choix que dans le choix d’un environnement de plus en plus fort à chaque fois, celui qui va nous affecter plus fortement, plus précisément, nous influencera d’une manière plus ciblée et va pousser, tirer, et nous organiser plus correctement, nous orientant vers l’objectif. La puissance avec laquelle l’environnement nous pousse en avant est également en hausse, ainsi que la précision de la direction. C’est-à-dire, l’environnement s’améliore à la fois quantitativement et qualitativement.

Baal HaSoulam , Shamati # 225  » S’éléver » : On ne peut pas s’elever au-dessus de son cercle. Par conséquent, il faut prendre de son environnement. Et on a pas d’autre conseil, sauf à travers beaucoup de travail et la Torah, c’est-à-dire attirer la Lumière qui ramène vers le bien, qui permettra de corriger le mauvais penchant. Ceci est possible de réaliser uniquement à travers l’environnement.

Par conséquent, la condition pour recevoir la Torah est la volonté d’une personne pour l’unité. C’est-à-dire , elle a déjà réalisé ce mal et compris qu’elle ne sera pas en mesure de faire quoi que ce soit sans connexion. Tout son espoir, son avenir, sa vie, sont dans ce cercle qu’elle construit autour d’elle.

C’est pourquoi nous devons comprendre qu’en raison de la diffusion, nous connectons un énorme cercle, fort, massif autour de nous. Vous pouvez être un héros en qualité et en quantité. La force de notre groupe est dans sa qualité et c’est pourquoi nous pouvons établir une connexion au Créateur à travers elle, à travers le sommet de la pyramide. Nous nous spécialisons dans ce domaine, à la différence de tous les autres pour qui ce sujet est obscur et ne sera jamais clair.

Mais si nous nous connectons au Créateur, en nous appuyant sur Lui  » de notre petit cercle, alors » ayez un cœur courageux», en raison des grands cercles. Cela nécessite également un  » héros en quantité », qui est une large diffusion qui nous fait avancer.

Nous ne sommes pas en mesure d’avancer par nous-mêmes, mais seulement en raison du grand cercle qui nous entoure qui nous permettra de nous élargir de plus en plus. De même, une personne doit être à l’intérieur de ce cercle, l’environnement, le groupe, le groupe est dans un cercle plus large. C’est l’environnement que nous devons construire pour nous-mêmes : cercle après cercle.Dans la mesure où nous nous occupons du public, ils vont nous pousser comme des enfants qui obligent leurs parents à avancer dans la vie, à l’organiser. Ainsi, les cercles que nous formons en raison de notre large diffusion de l’éducation intégrale vont nous faire avancer.

Ainsi, le héros en qualité et le héros en quantité s’unissent. Nous sommes dirigés vers le Créateur,  » vous tous qui espérez en  le Seigneur.  » Et « soyez forts et ayez un coeur courageux » avec l’aide du large cercle externe. Espérons que nous soyons en mesure de réaliser ces deux conditions – deux «héros».

De la préparation au cours quotidien de Kabbale 17/12/13

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Il n’y a pas de coïncidences dans la vie parce que nous évoluons dans un système de forces. Il y a eu une brisure et maintenant nous découvrons ses résultats, qui doivent être révélés. Ce n’est que par notre travail que nous pouvons déterminer le rythme de leur révélation et comment nous nous sentirons prêts lorsque nous recevons toutes ces données, les Reshimot brisées (réminiscences).

Si nous sommes prêts pour la révélation, alors nous l’acceptons volontiers car la révélation nous permet de nous élever au-dessus à chaque fois. Mais si nous ne sommes pas prêts pour cela, alors nous ressentons la révélation des Reshimot comme une descente, comme des états mauvais et désagréables. Cela peut être sous la forme de problèmes avec des amis, le monde, ou même des catastrophes et des guerres. La façon dont les Reshimot se révèlent dépend de nous, mais elles doivent se révéler puisque la brisure est déjà arrivée et maintenant tout se révèle par rapport à cela.

Pour le moment, une personne doit comprendre que tout est comme prévu, mais une personne a une chance de se préparer elle-même pour cela et de sanctifier les nouveaux états, ce qui signifie de les accepter sous la forme de « Je vais le hâter » (Akhishena), comme de bons états. Sa préparation détermine si elle comprend que tout ce qui arrive est pour son propre bien, et si elle va immédiatement surmonter les obstacles, s’élever au-dessus, et continuer son ascension. Ensuite, elle sera heureuse de ce qui arrive à chaque instant, peu importe ce qui est révélé.

Elle n’a pas peur de l’avenir, car elle s’est elle-même préparée pour ça : elle a un groupe, une connexion avec le Créateur. Elle a préparé le récipient, et maintenant elle n’a qu’à révéler les lacunes, les Reshimot brisés. Elle demande : « Où sont-ils ? » ce qui veut dire « Je me réveille à l’aube ». Cela signifie qu’elle attend les Reshimot brisées afin de leur faire face et de gravir la montagne du Seigneur.

Ainsi, elle ne se plaint pas à propos des évènements du présent, elle est prête à tout accepter et comprend que cela doit être révélé, car les parties de son âme brisée se révèlent. Elle ne doit pas regretter le passé non plus, bien que beaucoup regrettent leur passé, ressentant du désespoir, de la souffrance, étant déçus et se torturant eux-mêmes : « Pourquoi avons-nous fait cela, pourquoi avons-nous échoué ? » Ils regardent en arrière et regrettent les erreurs qu’ils ont fait dans vie.

Une personne ne comprend pas que c’était une révélation prédéterminée des Reshimot et peut importe ce qui s’est passé, ça s’est passé. Elle doit l’accepter comme venant de « Il n’y a rien hormis  Lui », de l’unicité de la Providence supérieure. Une personne part travailler le matin et doit travailler dur toute la journée, comme « si je ne suis pas pour moi, qui le sera ? » Mais le soir quand elle rentre chez elle, elle doit dire : « Il n’y a rien hormis Lui », si elle a travaillé ou pas. Le Créateur a tout arrangé, ce qui signifie que cela importe peu si elle se retrouve dans le même état dans la soirée.

Donc, nous ne pouvons pas regretter le passé. C’est la façon dont cela doit être et tout est prédéterminé. Peu importe si j’ai fait des efforts ou pas, ce n’est pas moi qui décide du résultat.

Il s’avère que nous avons à nous soucier de l’avenir et devons nous préparer. Mais là encore, tout ce qui doit être révélé sera certainement révélé car je dois révéler toutes les parties de mon âme. Mais tout dépend de moi : de comment j’accepte la révélation et si je suis prêt ou pas. J’ai besoin de bénir tout ce qui se révèle, comme il est dit : « Je suis heureux à propos des méchants qui se dévoilent ! »

De la préparation au cours quotidien de Kabbale du 18/12/13

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Question: Dois-je embrasser les amis comme c’est de coutume ici ?

Réponse: Il fut un temps où j’ai moi aussi été beaucoup repoussé d’étreindre les hommes. En général, ca ne concerne pas les personnes qui expriment leurs sentiments extérieurement. Cela m’a été très difficile. Très longtemps, je ne savais pas quoi faire.

Mais après cela, je me suis ressaisis et ai commencé à réfléchir: «Pourquoi est-ce nécessaire ? Où cela mène t-il ? Pourquoi est-ce un si grand combat intérieur en moi? Que faire si je dois vraiment sentir que ce sont mes enfants ou parents très proches ?  »

Si vous voulez embrasser une fille, alors c’est compréhensible, inné ; des désirs naturels vous attirent à elle. Mais avec les amis, vous n’avez pas des désirs de ce genre parce que vous ne les sentez pas comme étant proche de vous.

Mais si vous deviez trouver un homme qui est vraiment très proche de vous à partir d’un aspect interne, alors vous seriez attiré par lui d’une manière tout à fait naturelle sans surmonter les rejets. Par conséquent, tout dépend de ceci: combien est cette personne proche de vous.

Avec une fille, les relations de ce genre vont et viennent, ce qui est notre nature. Mais avec un ami, c’est différent. Lorsque vous commencez à sentir que sans lui vous ne pouvez pas atteindre le plus grand but dans la vie pour lequel nous sommes descendus dans ce monde et que lui seul peut vous aider, comme avec une équipe qui ne cesse de grimper une montagne, il vous tient et vous tire vers le haut, alors vous vous comportez acec lui autrement.

Du congrès virtuel de  Moscou  » unité sans frontières  » 1er Jour 13/12/13 , Lesson1

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