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Il n’y a rien à craindre en étudiant la sagesse de la Kabbale

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot»: La troisième question, qui est la peur que l’on va mal tourner, et bien, il n’y a pas de peur du tout ici. C’est parce que l’écart venant du chemin de Dieu qui s’est produit auparavant, fut pour deux raisons: soit ils cassèrent les paroles de nos Sages avec des choses qui leur étaient interdites de divulguer, ou parce qu’ils perçurent les paroles de la Kabbale dans leur signification superficielle, comme instructions corporelles, en violation «Tu ne te feras point de sculpture.
Par conséquent, jusqu’à ce jour, il y a eu effectivement une enceinte fortifiée autour de cette sagesse. Beaucoup ont essayé de commencer à étudier, mais n’ont pas pu continué par manque de compréhension et en raison des appellations corporelles.
Tout d’abord, cela appartient au passé, quand les gens n’étaient pas assez développés. Par conséquent, comme il est dit, « ils ont mangé des fruits verts», ce qui est très dangereux. Une personne non développée ne doit pas recevoir des informations qui ne sont pas adaptées à son niveau.
Nous voyons que la sagesse de la Kabbale est révélée à notre époque, qu’elle est apparemment très répandue et beaucoup de gens sont attirés par elle, chacun selon ses préférences. Il y a ceux qui tentent de l’utiliser pour guérir différentes maladies, il y a ceux qui la transforme en une religion, d’autres se tournent vers le mysticisme, new age, etc. Chacun construit sa sagesse, à moins qu’il fasse partie d’un groupe kabbalistique sous l’influence d’un vrai professeur qui sait de quoi il parle, et suit la méthode en se fondant uniquement sur les sources qu’il a reçues de son maître.
Malheureusement, il y a beaucoup de groupes qui étudient la sagesse de la Kabbale dans le mauvais sens, ou apprennent par cœur TES comme étudiant le Talmud de Babylone dans une Yeshiva, ou en essayant d’extraire certains pouvoirs mystiques de celle-ci. C’est l’inclination naturelle d’une personne qui veut des résultats immédiats – prendre la sagesse de la Kabbale et l’interpréter selon des termes familiers, comme toute autre science.
Une personne ne comprend pas qu’elle doit attendre jusqu’à ce que la sagesse de la Kabbale commence à la changer. Puis, après la mise en lace de ces changements, elle sera en mesure de commencer le programme de l’étude. Il est impossible de faire autrement, sauf en travaillant en groupe et en révélant la force supérieure, le fait qu’«il n’y a rien hormis Lui» et qu’il est «bon et bienveillant. »
Il y avait donc, et il y aura donc, de nombreuses erreurs en ce qui concerne l’étude de la sagesse de la Kabbale. Mais elles sont également incluses dans le plan de la création. Si une personne ne se corrige pas, mais il est toujours attiré par la correction, mais ne l’a tout simplement pas accompli correctement, alors il dirige toutes les forces qui étaient destinées à l’aider dans le processus de correction vers la direction opposée. En outre, d’autres le suivent dans cette étude vide. Puis, plus tard, après un long laps de temps, ils sont finalement déçus et acceptent cette sagesse, sans essayer d’en tirer profit, mais de façon loyale et rigoureuse de réaliser ce que les livres disent ou ce qu’ils entendent de l’enseignant.
Il est impossible de rester «libre» en étudiant cette sagesse, car la liberté à l’heure actuelle, c’est agir selon notre ego. La sagesse de la Kabbale, cependant, est la sagesse cachée, elle est cachée à une personne et chaque nouveau niveau révélé apporte tout d’un coup ces changements internes à une personne, dont elle ne peut même pas s’imaginer à l’avance. Par conséquent, il faut travailler à l’aveuglette ici, et effectuer toutes les conditions dont l’enseignant et les livres parlent.
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 28/11/12, «Introduction à l’étude des dix Sefirot»

Connaître le monde dans lequel on vit

Dr. Michael LaitmanQuestion : Quand une personne commence-t-elle à voir les « racines » supérieures des « branches » qui sont dans ce monde ?

Réponse : Il faut d’abord dire qu’en atteignant les « racines », une personne ne se détache pas des « branches ». Sa vision commence tout simplement à se développer par vagues, à partir du point de ce monde vers des cercles grandissants de plus en plus. Selon l’expansion, une personne se connecte plus fortement à ce qui se passe dans les racines, et comprend mieux les phénomènes de ce monde. Dans son ascension depuis le bas vers le haut, il comprend très bien ce qui lui arrive ici, puis d’une façon plus abstraite, il comprend le supérieur.

D’autre part, l’atteinte est différente de la compréhension : tout d’abord, une personne atteint un phénomène supérieur, puis à l’intérieur de celui-ci il comprend son parallèle dans ce monde.

Le Baal HaSoulam en parle dans « L’essence de la sagesse de la Kabbale » : La partie inférieure est étudiée à partir de l’enseignement Supérieur. Ainsi, il faut d’abord atteindre les Racines Supérieures, la façon dont elles sont dans la spiritualité, au-dessus de toute imagination, mais avec une atteinte pure. Et une fois qu’il a complètement atteint les Racines Supérieures avec son propre esprit, il peut examiner les branches tangibles dans ce monde et savoir comment chaque branche se rapporte à sa racine dans le Monde Supérieur, dans toutes ses ordonnances, en quantité et en qualité. Et une personne voit aussi comment toutes les branches sont connectées.

Dans l’ensemble, la réalisation et la compréhension s’influencent l’une l’autre. En même temps, la connexion entre les « branches » et les « racines » est très importante, et ce n’est pas par hasard que de grands kabbalistes ont consacré leur temps à étudier ce monde. Cela les a aidé à étudier le monde supérieur. Ils étaient des universitaires, des « encyclopédistes ». Le Rav Kook lisait des livres minutieusement dans la bibliothèque et le Baal HaSoulam apprenait la théorie des ondes, etc…

Ce n’est pas par hasard que nous sommes dans un monde matériel, corporel et c’est de là que nous nous élevons dans les niveaux spirituels. Bien que les informations à propos de ce monde, que les scientifiques découvrirent et révélèrent, ne servent pas à atteindre la spiritualité, elles ont encore aidé une personne à connecter toutes les parties de l’image générale en une seule.

Mais aujourd’hui, nous nous « tenons fermement sur le sol », et au contraire nous devons juste « pousser la tête au-dessus des nuages »…

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 27/11/12, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

Une interprétation simple du secret de la vie

Dr. Michael LaitmanLa seule chose que nous devons corriger est notre relation avec la Lumière Supérieure qui contrôle tout et gère la vie, comme il est dit “Il n’y a rien hormis Lui”. Il y a quatre langages qui parlent de la relation entre l’homme et la force supérieure : Pshat, Remez, Droush, et Sod (Torah, Mishna, Talmud, et Kabbale).

Ils appartiennent aux quatre niveaux du désir: inanimé, végétal, animal et parlant, et en fonction de cela la clarification se fait de quatre façons différentes. Dans ce cas, il y a déjà une division opposée dans laquelle la sagesse de la Kabbale est l’interprétation simple et non Sod (secret) dans laquelle tout est révélé à une personne. C’est à dire que nous avons besoin du langage de la Kabbale pour être sûrs d’avancer correctement.

Il s’agit d’un préalable indispensable, mais ce n’est pas suffisant, car la sagesse de la Kabbale peut être mal perçue. Mais au moins, une personne apprend de bonnes sources qui lui fournissent la bonne approche pour les écrits, même s’il y a des gens qui essaient d’extraire des secrets, le mysticisme, la connaissance abstraite, des bénédictions et des remèdes.

Mais encore, il est très important de s’en tenir au langage de la Kabbale et à l’approche kabbalistique et les conditions de l’étude, car c’est complètement différent de l’étude ordinaire des autres sciences. Ici, nous sommes totalement dépendants de la source, qui fait passer vers nous cette connaissance spirituelle. Si la source est réelle et fiable, nous avançons progressivement en fonction de notre effort et des conditions externes positives pour finalement atteindre l’ouverture des yeux.

Nous étudions à propos de nous-mêmes et notre nature en commençant à sentir un peu ce qu’est le don sans réserve, la force qui est à l’opposé de nous. Alors, par l’équilibre de ces deux forces, la force de réception et la force du don, nous commençons à sentir la création. Ainsi, nous atteignons le Créateur, par ses actes sur nous.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 27/11/12, Introduction à l’étude des dix Sefirot”

Croire ou jouer

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment est-il possible de déterminer que le Créateur est celui qui arrange les problèmes entre les amis, s’Il est caché et nous ne le voyons pas?

Réponse: Il n’y a rien hormis Lui. Nous avons simplement besoin de croire en cela et d’agir en conséquence jusqu’à ce qu’Il se révèle. Ensuite, nous verrons qu’il en est ainsi.

Comment puis-je agir d’une manière spirituelle? Quand je travaille sur la proximité, j’ai besoin d’agir de cette façon, comme si j’étais en face du Créateur. Dois-je croire cela? Non, je ne le crois pas.

Les personnes religieuses croient qu’elles prient le Créateur. Nous ne nous comportons pas comme ça. Nous essayons d’accomplir des actes de don sans réserve comme si le Créateur était en nous. Le Créateur est l’attribut du don sans réserve, et nous imaginons que Lui, pour ainsi dire, est en nous, et dans cette voie nous agissons.

De cette façon, nous invitons sur nous-mêmes Ses actes de la Lumière environnante, jusqu’à ce qu’Il soit vraiment révélé,revêtu, et agisse sur nous.

Ainsi, nos actes sont appelés un jeu car nous y jouons comme si nous étions déjà dans le monde supérieur, comme des petits enfants qui jouent à être des adultes,et de cette manière nous atteignons tous Ses attributs. Mais si un enfant ne joue pas à cela, il deviendra un adulte, et sera plus vieux, mais restera un enfant.

Ainsi, par rapport à diverses autres méthodes, nous ne faisons pasque de nous voir dans notre état futur, mais nous voulons le réaliser maintenant. Ainsi, il ne peut pas exister une telle situation le fait que proche de moi, il existe un autre groupe, et je ne veux pas entrer en contact avec lui. Comment pourrais-je imaginer un monde futur, mon niveau suivant, si dans le même temps, je ne veux pas être connecté à un autre groupe? Est-ce l’avenir?

De la Leçon virtuelle du 11.11.12

Connecter le monde entier au Créateur

Dr. Michael LaitmanLe point principal que nous devons garder en permanence comme objectif interne est le principe de «il n’y a rien hormis Lui. » Le Créateur est la raison de chaque état, de chaque pensée, de chaque perception, de tout ce qui se passe. Il n’y a qu’une seule force qui me gère et gère le monde autour de moi, et seulement cela.

Il est tout ce qui signifie afin qu’ à travers ma relation avec le monde, à chaque instant,dans chaque cas etdans chaque action, tant en interne qu’en externe, j’atteigne la compréhension que «il n’y a rien hormis Lui»dans le cercle global. C’est ce qu’on appelle l’adhésion à l’intérieur du récipient général. C’est notre travail, et c’est ce sur quoi nous nous concentrons.

Cependant, le monde est grand, et,oui, nous commençons par le groupe (1), et seulement ensuite nous passons au reste du monde (2). Je dois me connecter au groupe à travers des cas et des problèmes différents, et cela devrait être la chose la plus importante pour moi maintenant. Quand je me tourne vers le groupe, je dois également me rappeler que le mondeest comme la deuxième partie de mon travail.

Connecting The Whole World To The Creator

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 23/11/12, «Le rôle de la nation israélienne »

La dissimulation n’est pas dans le Créateur, elle est en nous

congrès, groupeQuestion: Comment peut on influencer tous les groupes du monde, de telle façon qu’ils ressentent ce que nous ressentons? Comment pouvons-nous leur transférer nos sentiments? Quel genre d’intensité, de relations et connexion sont requises ?

Réponse: Nous sommes vraiment en relation avec tout le monde. S’ils nous ressentent ou pas, soit dit en passant, n’est pas notre problème puisque tout arrive en relation avec le Créateur.

Il nous touche, il est complètement révélé en nous. Le Créateur Lui-même n’est pas dissimulé. Quand nous disons que le Créateur est caché, Il ne l’est pas. C’est nous qui Le cachons à cause de nos attributs non corrigés. Il n’a rien à nous cacher. Nous l’exprimons simplement de cette façon. Mais en réalité, la dissimulation est en nous et non dans le Créateur.

C’est également comme ça par rapport à d’autres groupes. Quand nous étudions, organisons des ateliers, dans tout ce que nous faisons, cela inclut tous les groupes mondiaux. Quand nous essayons de l’intégrer en nous, même si nous ne pensons pas à chaque instant (parce que nous non plus n’y pensons pas à chaque moment), nous ne pouvons pas l’inclure en nous. Nous avons encore seulement un petit désir, un petit Kli(récipient/désir).

Mais quand nous commençons à nous connecter entre nous, on peut simultanément saisir un milliard de pensées, les sentiments d’un milliard, et ils ne s’annulent pas mutuellement. C’est comme si nous étions maintenant très petits, comme un octet d’information, et sur celui-ci, par exemple, il est possible d’écrire 0 ou 1 et rien de plus. Mais quand nous avons une connexion énorme de ces 0 et ces 1, ce qui signifie de tous les types d’unités d’information, alors nous serons en mesure d’énumérer et d’inclure en nous l’humanité tout entière, et alors nous allons essayer de le faire.

Du Congrès de Géorgie 6/11/6, Atelier N° 2

La réalité est créée par les actions

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, L’Essence de la Sagesse de la Kabbale : « Comme il n’y a pas de perception que ce soit du Créateur, il est donc impossible d’atteindre l’essence de n’importe laquelle de Ses créatures, même les objets tangibles que nous ressentons avec nos mains. »

Nous percevons le Créateur selon le principe : « Venez et voyez ». Je ne sais pas ce qu’est l’essence du Créateur, mais je peux « Venir et voir ». Pour ce faire, j’effectue certaines actions et à travers elles je connais le Créateur, comme il est dit : « Par Vos actions nous allons vous connaître ». Toute la réalité, toutes Ses actions et les manières par lesquelles il se révèle sont le résultat de notre auto-correction et par cela nous Le percevons dans nos sensations. Je perçois tout dans mes récipients parce que c’est là que je découvre différents phénomènes, y compris le Créateur.

Le « Créateur » est le niveau le plus élevé que je puisse atteindre. Il est don sans réserve et amour qui contrôlent l’ensemble de la réalité. Je découvre la loi de faire du bien à Ses créatures, le Bien qui fait le Bien; je découvre le phénomène qui réside dans tous les récipients, dans toutes les parties, dans toute mon âme et tous mes désirs. Je vois et perçois qu’Il est le premier, l’original. Il s’avère qu’avant même que je commence à comprendre, à percevoir et à ressentir, il y avait quelque chose déterminant mes pensées, mes désirs et mes actions.

Mais comment se peut-il que d’abord je perçoive cela et qu’ensuite je reconnaisse et admette qu’Il existait en premier. Est-ce possible ? Oui. Dans l’action elle-même je perçois et je découvre qu’Il était le premier. Ainsi, tout ne provient que d’actions. Dans la spiritualité je ne peux pas reconnaître et identifier quelque chose qui ne bouge pas et n’agit pas.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/11/12, « L’essence de la sagesse de la Kabbale »

La répetition des malheurs

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, «L’essence de la sagesse de la Kabbale »: … cette sagesse ( la Kabbale) est ni plus ni moins qu’une séquence de racines qui descend vers le bas par voie de cause et conséquence, par des règles fixes et déterminées, s’entrelaçant en un but unique et exalté, décrit comme «la révélation de Sa Divinité à Ses créatures dans ce monde »…

La sagesse de la Kabbale révèle à toute l’humanité en général et à chacun de nous en particulier un chemin obligatoire d’avancement étape-par-étape conforme aux lois absolues de la nature, et nous mène de l’état actuel à la fin de la correction. La Kabbale explique quels outils nous aident à suivre cette voie et quelles sont les forces qui agissent sur nous alors que nous devons inévitablement progresser conformément à la volonté de la nature, ainsi que lorsque nous nous auto-développons par notre participation consciente et délibérée et notre volontaire contribution au processus. Nous découvrons toutes les parties de la réalité, de l’état actuel à la fin de correction, dans le système appelé «la sagesse de la Kabbale. »

Par conséquent, aucune autre science est plus importante, ou plus importante pour nous, surtout maintenant que nous avons déjà terminé le développement sur les niveaux inanimé, végétal, et animal. Auparavant, nous ne pouvions pas apprendre la sagesse de la Kabbale et l’utiliser, c’est pourquoi elle a été cachée. Cependant, dès que nous devenons capables de la mettre en œuvre et apporter son développement naturel et en temps opportun afin d’accélérer ce processus, en d’autres termes, dès que nous avons volontairement accélérer notre croissance, le comprenons et sommes conscients de cela, à ce stade, la sagesse de la Kabbale se révèle à nous et nous oblige à la mettre en œuvre.

Ici, bien sûr, nous devons admettre que nous ne pouvons pas continuer à nous développer de la façon que nous l’avons fait jusque là, parce que nous avons atteint la période de développement consciencieux et attentif, à chaque étape du chemin. Sans notre prise de conscience et la participation active, nous n’avancerons pas d’un état à un autre, ni nous monterons à un niveau supérieur. Au stade « parlant »du développement, il est absolument impossible d’avancer « automatiquement » comme sur les niveaux inanimé, végétal, et animal, quand nous grandissions sous l’influence de forces qui nous y obligeaient.

C’est similaire à la transition du CP au CE1: Si je ne suis pas prêt pour cela, je serai passer au CE1 ou CE2  dans le même grade. Je vais être puni pour cela, je ne vais pas être autorisés à jouer à des jeux, manger des gâteaux, etc., jusqu’à ce que je termine toutes les leçons. Je dois finir la première année de mon propre chef.

Cela ne fonctionne pas comme lors des étapes précédentes du développement, qui ne nécessitent pas d’apport personnel. Il ne faut pas avancer comme un animal, mais comme un être humain, en acquérant de la sagesse et le sens de consciemment participer au processus.

Si l’humanité continue à agir comme par le passé, elle déclenchera de nouvelles catastrophes pour enfin comprendre la nécessité du progrès conscient. Nous devons sentir et comprendre les règles de notre développement, voir l’objectif devant nous, et le poursuivre.

C’est pourquoi le monde n’avancera pas sans la sagesse de la Kabbale, ni ne se développer sans le prendre de nous et l’utiliser en conséquence. Dans le cas contraire, cela ne se produira pas. Les malheurs vont se poursuivre et les gens vont souffrir jusqu’à ce qu’ils finissent par entendre et comprendre notre message. C’est l’exigence de notre ère.

Nous, en revanche, devons montrer l’attitude la plus amicale, sympathique et douce lorsque nous présentons une méthodologie kabbalistique sous des formes diverses d’offrir notre méthodologie, pour rendre plus facile pour tout le monde de l’absorber. Nous devons nous concentrer sur l’utilisateur, comme il est dit: « Éduquer un enfant selon son propre chemin »

Néanmoins, tant que le peuple d’Israël et du monde entier n’entrent pas en étroite connexion avec la sagesse de la Kabbale, les catastrophes continueront afin de motiver tout le monde à la rechercher.

De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 14/11/12, “L’Essence de la sagesse de la Kabbale”

Des secondes interminables

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-ce que la reconnaissance du mal est un processus incessant?

Réponse: Oh! Nous devons encore arriver à cela! Alors vous verrez comme une seconde peut s’étirer. Cela n’a simplement pas de fin ; cela disparaît tout simplement. Le temps n’est pas compressé dans un point comme ils disent dans notre monde, mais plutôt il s’étire de telle façon qu’il disparaît.

Cela n’est pas comme les gens l’imaginent habituellement, que le temps s’accélère comme dans la technologie où nous allons du hertz au kilohertz, au mégahertz, aux fréquences laser, et comme ça de suite. Non! Ici tout arrive de la façon inverse. Le temps s’arrête progressivement. Cependant, pendant une seconde vous pouvez traverser un très grand nombre d’états. Cette seconde ne s’arrête toujours pas

De la Congrès de Georgie 6/11/12, 4ème cours

Des noms avec un contenu intérieur

Dr. Michael LaitmanLes choses réelles se trouvent même dans l’ensemble de la réalité matérielle devant nos yeux, mais nous n’avons ni la perception ni l’image de leur essence. Tels sont l’électricité et le magnétisme.

Néanmoins, qui peut dire que ces noms ne sont pas réels lorsque nous expérimentons de façon satisfaisante et vivace leurs actions? Nous ne pourrions pas être plus indifférents au fait de n’avoir aucune perception de l’essence de l’objet lui-même, à savoir l’électricité elle-même.

Dans l’ “Introduction au Livre du Zohar Baal HaSoulam nous donne l’exemple de l’eau, qui peut être refroidi jusqu’à ce qu’elle devienne solide ou qui peut être amené à l’état de vapeur et ne peut pas être vu. En d’autres termes, nous ne pouvons pas juger selon notre perception si quelque chose existe ou pas, peu importe ce qu’elle est. Cela est particulièrement vrai dans nos moments où nous avons découvert des fréquences différentes, des phénomènes quantiques, des bactéries et d’autres phénomènes qui ne peuvent pas être ressentis.

En fait, nous voyons que c’est beaucoup plus compliqué que l’image qui est représentée par nos cinq sens grossiers. Je ne peux plus limiter le monde à ces sens limités. En fait, le monde entier en fait n’est pas de la matière, mais des vagues et de l’énergie, et moi aussi je suis comme ça.

En étudiant des phénomènes différents, nous les nommons en fonction de nos sentiments. Dans le passé, par exemple, une personne regardait une montagne et dit:« Ce serait une bonne idée de cultiver des oliviers sur les pentes de cette montagne». Depuis lors, cette montagne est appelée  » Mont des Oliviers ». Y a t-il uneatteinte spirituelle dans tout cela? Non, mais d’un autre côté, l’idée ne vient pas par hasard non plus, sinon selon l’ordre des Lumières des récipients (Kélim). Il n’y a aucun hasard, les noms proviennent toujours de quelque atteinte, dans ce cas, une atteinte matérielle. Les kabbalistes découvrent des phénomènes de la réalité spirituelle dans leurs sentiments, et les appellent par leur nom en conséquence. Qui plus est, ces noms sont remplis d’un riche contenu intérieur qui est stabilisé dans différents aspects, de traitement et de composants.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/11/12, “De l’essence de la sagesse de la Kabbale“