Category Archives: Cours quotidien de Kabbale

La génération la plus importante

Dr. Michael LaitmanQuestion : Est-ce que les innombrables réincarnations de l’humanité depuis des millénaires n’ont produit aucun effet spirituel ?

Réponse : Tout est pris en compte, tout a son propre compte, mais notre génération est incontestablement plus importante que les précédentes. En effet, elles étaient une préparation pour aujourd’hui. Rien n’est arrivé pour une raison jusqu’à maintenant, les gens n’avaient pas l’indépendance dans le vrai sens spirituel.

En fait, il ne s’agit pas de corps, mais des mêmes âmes. Le point dans le cœur a des cycles de vie, de plus en plus évidents, et aujourd’hui nous sommes enfin en mesure de le mettre en lumière.

De plus, l’influence qui amène les gens à cet état, de sorte qu’ils deviennent indépendants plus tôt, passe à travers nous vers un auditoire externe. Il est dit : « Tous Me connaîtront, du plus petit jusqu’au plus grand. » En d’autres termes, tout le monde doit grandir spirituellement, identifier la racine de son âme, et connecter sa « cellule » avec le « corps » commun de manière consciente, avec sensibilité, efficacement et réellement.

Ainsi, tout le monde a sa place dans la communauté et les différences surviennent uniquement dans l’ordre de pénétrer dedans. Et cet ordre est déterminé par les paramètres du système.

Question : Mais tout le monde ne viendra pas au groupe ?

Réponse : En fin de compte, tout le monde, bien entendu. En effet, notre état ​​final est l’unité, la même qu’avant la brisure. Nous y revenons juste progressivement, si on le souhaite, selon ses propres efforts.

Sur ce chemin, vous ressentirez ce qui est en haut et ce qui est en dessous. Au-dessus de vous, vous trouverez les Kabbalistes de toutes les générations : la partie active du système. Et en dessous se trouvent ceux qui ne sont pas parvenus à la réalisation correcte et ceux que vous devez aider.

Par conséquent, chacun de nous est comme un canal de communication, comme un vaisseau sanguin qui transfère les forces revitalisantes à d’autres cellules.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 26/11/13, Écrits du Baal HaSoulam

Analyse et synthèse du monde de l’âme

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment est-il possible d’identifier le mal et d’en développer de la haine ?

Réponse: Il est impossible d’identifier le mal si vous n’êtes pas dans un groupe, dans le point de connexion, dans une certaine forme de connexion. Nous devons respecter en permanence  cette forme de connexion et aller plus profondément en elle, clarifie, analyser, apprendre, tester et essayer de pénétrer son essence intérieure.

Dans notre contexte, je découvre le système spirituel intérieur. Lorsque les parties séparées commencent à se connecter correctement, puis en leur sein est découverte la structure spirituelle qui est construite à partir de deux forces qui sont opposées, mais complémentaires. Donc, je construis déjà la connexion en moi-même et avec cela j’assemble mon âme, colle le Kli ensemble. Toutes ses parties sont un désir de recevoir, mais elles sont reliées entre elles de manière à se compléter les uns les autres, c’est-à-dire en vue du don.

Dans la mesure où je rentre et approfondis cette clarification, à la fois dans l’analyse et la synthèse de cette structure, qui est composée de parties opposées, avec ceci je clarifie tout ce qu’il y a et toutes les réponses. Par conséquent, nous devons viser constamment à une connexion à l’intérieur de chaque personne, pour essayer de les voir reliées, ce qui est appelé mon désir de découvrir le monde spirituel, car l’ensemble de l’humanité est connecté à l’intérieur, mais que nous n’identifions pas.

Cette aspiration à identifier cette connexion, à se trouver en elle, à vivre en son sein et de se sentir , est appelée mon désir pour le Créateur. Car la force qui relie toutes les pièces à l’intérieur est la plus grande puissance.

Dans notre contexte, je découvre qu’  » il n’y a rien hormis Lui.  » Je ne fais pas que connecter l’ensemble de nos parties ensemble en assemblant le puzzle de l’âme collective, mais plutôt, j’essaie de découvrir le Créateur en elle. Il est celui qui disperse toute la création dans les parties de sorte que je les rassemble de nouveau de retour en une seule image et Le verrai. Dans le puzzle que j’assemble, je construis l’image du Créateur.

Dans les puzzles traditionnels, les arbres, herbe et le soleil sont représentés et dans ce puzzle, le Créateur. Si j’arrive à la lumière de Hassadim, alors avec son aide, je suis prêt à me connecter et à assemble ce puzzle. Ses pièces ne seront plus opposées et ne se rejeteront pas. Et quand je commence à travailler avec une réception afin de donner, ces pièces seront prêtes à adhérer les unes aux autres comme les pièces d’un aimant.

Et de la coopération mutuelle de ces parties, de leurs relations  » pour » et « contre » la connexion, je construis la forme du Créateur. Il n’est possible de construire ceci que de cette façon. Il est impossible de Le découvrir que par une force positive du don n’ayant rien qui agit contre. Par conséquent, ce n’est que par la brisure que nous sommes en mesure de révéler le Créateur.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 26/11/13 , question et réponse avec le Dr Laitman

Un rapide progrès sur « un coussin d’air »

Dr. Michael LaitmanQuestion: Où est-il possible de trouver le pouvoir de bénir le mal comme le bien ?

Réponse: Bien sûr, nous n’avons pas de tels pouvoirs, nous n’avons que le désir de recevoir pour nous-mêmes. Nous avons besoin du  » soutien », du  » soutien de la Torah» et de la lumière. Il est nécessaire d’essayer d’être éclair » tout le temps, ce qui vous maintiendra et vous donnera l’esprit, l’élévation, une base solide, comme si vous êtiez sur un coussin d’air.

Un homme lui-même ne dispose pas de ces moyens. Mais dans la mesure où il s’humilie pour le groupe et les valeurs les amis, les valeurs et loue le Créateur, d’avoir la capacité d’accepter tous les mauvais événements qui lui ont été envoyés intentionnellement comme un moyen pour lui d’avancer vers le bien. Il ne blâme pas le Créateur de lui avoir envoyé des problèmes et différents maux tout le temps. Au contraire, il peut remercier le Créateur de prendre soin d’une personne comme cela en ce sens qu’Il lui donne de plus en plus d’exercices afin de le faire progresser, de grandir.

Ne pas vivre dans le ventre de son désir de recevoir, mais dans la raison, dans le  » système de contrôle », qui accepte des décisions objectives , est un grand accomplissement qui n’est possible que grâce à l’appui de l’environnement. Même dans notre monde tout est arrangé d’une manière identique. Si une personne ne prend pas en charge l’environnement, la personne tombe rapidement à un état ​​de demi – sauvage.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 26/11/13 , question et réponse avec le Dr Laitman

Moïse est le centre du groupe

congrès, groupeQuestion: Pourquoi  la connexion aux amis n’est pas mentionnée dans l’article du Rabash «Viens à Pharaon ?  »

Réponse: Nulle part dans les articles de Shamati, dans d’autres articles, ou dans toute la Torah, le Talmud, la Mishna, etc il y a une explication sur la façon dont le groupe devrait fonctionner. Le seul endroit dans la Torah qui en parle est le rassemblement au Mont Sinaï. Il n’y a pas d’autre endroit où cela est mentionné car il est évident qu’il s’agit d’une condition essentielle. Il n’y a pas d’autre endroit où le Créateur peut se révéler.

Nous sommes dans ce monde dans lequel nous pouvons nous rapprocher sur le plan physique en nous rassemblant en un seul lieu géographique et faire certaines tâches collectives. Ainsi, nous pouvons créer les conditions nécessaires à la reconnaissance de la nécessité d’être connecté, d’être uni, d’étudier ensemble et de diffuser. Le but de toutes ces activités est d’atteindre la connexion dans laquelle l’adhésion au Créateur se révélera.

Ces choses sont si bien comprise à l’avance que nous n’avons même pas besoin d’en parler. Si vous n’avez pas rejoint un groupe, alors vous n’avez pas les conditions dans lesquelles vous pouvez commencer à lire un texte kabbalistique. Vous ne comprendrez même pas ce que vous lisez, sur qui, pour quoi et comment le réaliser, vous ne comprendrez rien.

Seul le Rabash décrit et explique de manière systématique et cohérente toute la méthode de travail du groupe dans ses vingt premiers articles qui sont sur la société. Il ne parlait pas ou n’en discutait pas dans ses leçons, mais seulement a écrit à ce sujet dans ses articles. Il n’a pas parlé avec nous de l’amour des amis et de ​​la connexion, mais seulement de ​​Pharaon, Moïse, etc, de la même manière que tous ses articles sont écrits. Les articles sur la société sont totalement différents de tous les livres de la Kabbale à partir d’Adam HaRishon jusqu’à présent, et ils sont très spéciaux.

Il n’y a pas de telles explications précises sur ce que nous avons à faire et les règles du groupe. C’est parce qu’il était évident que ces règlements étaient bien connus et compris et sans eux  il n’y a pas de raison de commencer l’étude. Tout d’abord, vous devez organiser l’endroit que vous pouvez travailler et alors seulement, attirez la Lumière qui ramène vers le bien. Sinon, où allez-vous l’attirer ?

Question: Mais il est dit que le Créateur dit à Moïse : «Viens à Pharaon !  » Qui va ? Dois-je aller par moi-même ou avec les amis ?

Réponse: Moïse est une somme, c’est la somme de tous vos amis. Ce n’est pas une personne, mais plutôt le centre du groupe dans lequel vous êtes en contact avec le Créateur. Il ne s’agit jamais d’une certaine personne. On n’existe pas dans le monde spirituel ; on est seulement une partie brisée d’un récipient qui ne contient rien. Le Créateur apporte la partie brisée au bon endroit et dit :  » Prends-la ».

C’est ici que vous pouvez trouver la puissance par laquelle vous pouvez vous replacer dans ce puzzle géant, dans la mosaïque générale, à l’endroit qui vous est destiné et compléter ainsi le récipient. En vous insérant à votre place, vous aidez les autres parties à trouver leur place et à compléter le puzzle.

Mais si vous êtes simplement assis quelque part par vous-même et étudiez sans aucun lien avec les autres et sans même une connexion virtuelle, alors vous n’avez aucune chance de réussir. Vous étudierez tous les textes théoriquement et c’est tout. Vous n’aurez pas l’occasion de découvrir le bien et le mal. Vous manquerez des conditions nécessaires.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 25/11/13 , Écrits du Rabash

Une place pour les rires et les larmes

Dr. Michael LaitmanLe Créateur dit à Moïse: ( «Exode» 07:26 ) : « Viens à Pharaon  » (ensemble). Je vais aussi venir avec toi afin de changer ta nature et la transformer de la réception au don. C’est juste toi qui doit me le demander. Mais il n’ajoute pas : «Va, rejoins un groupe, car sans cela, Je ne me révèlerai pas, c »est évident.

Si la personne n’est pas inclue dans le centre d’un groupe et n’est pas connectée aux amis, elle ne peut pas se tourner vers le Créateur. Le Créateur se trouve dans le centre du groupe. Nous ne nous tournons jamais seul vers le Créateur, mais par la connexion aux autres.

Moïse est l’image générale du groupe. Par conséquent, il est appelé le chef du peuple, symbolisant l’accord général, l’unité du groupe. Par conséquent il a un lien avec le Créateur et il peut prier et demander et tout faire pour tout le peuple.

Afin de commencer le processus de correction de l’âme, je dois penser que je suis connecté à tout le monde ensemble en une seule image. Tout commence avec notre tentative de nous connecter et de découvrir que nous ne sommes pas prêts à le faire, comme il est dit , «J’ai créé le mauvais penchant. J’ai créé la Torah comme une épice  » L’entrée en Egypte commence avec la découverte que nous sommes pas prêts à nous connecter, nous n’en voulons pas peu importe les conditions et nous sommes prêts à vendre notre cher frère Joseph, l’essentiel est de ne pas se connecter.

Ainsi, la vraie nature égoïste commence à être découverte dans une personne, que « ma mort serait mieux » que le don, que l’amour de l’autre  et me préoccuper de lui. Et ce n’est que le début, que l’entrée en Egypte. Après cela, il y a encore quatre cents ans d’esclavage en Egypte, c’est-à-dire, passer à travers toute l’épaisseur de la recherche du plaisir. C’est à nous de travailler sur toutes les couches de notre ego afin de décider à la fin que, en dépit de tout cela, nous voulons nous connecter.

Puis viennent les sept années de famine et la personne vit les plaies d’Egypte parce que nous voulons nous connecter et n’y parvenons pas, nous essayons encore et encore sans succès. Jusqu’à finalement nous désespérons et crions au Créateur ,  » Au secours!  » Nous sentons un immense demande de l’aide du Créateur.

Mais ceci  est toujours à propos de la connexion et jamais à propos d’une personne isolée. Si nous parlons de quelque personnalité, ce n’est qu’à partir de l’aspect de son lien avec l’ensemble dans sa forme unique et particulière. Par conséquent les images apparaissent comme dans le Livre du Zohar : Rabbi Yossi, Rabbi Abba, Rabbi Elazar et Rabbi Shimon. En fait peu importe de qui il s’agit, parce cela ne parle que de la qualité de sa relation avec les autres.

Il en est de même avec l’histoire de Moïse et Jéthro, sur le buisson ardent. Ce ne parle que de la société et non de l’homme qui s’enfuit dans le désert. Où pourrait-il échapper à son ego ? Cela parle de la personne qui est au sein du groupe. La Torah ne parle que des relations entre nous, tout  » reste dans la famille », au sein du groupe.

C’est comme un feuilleton où tous les événements se produisent dans une chambre. A propos de cette « pièce », il est dit , tout se passe ici : Le désert, les guerres, la division de la mer Rouge, tout semble dans cette salle, dans les relations entre les personnes.

Après cela, nous découvrons que rien ne se passe vraiment à part cela! Toute la réalité que nous voyons maintenant est imaginaire, fausse et illusoire. Au contraire, nous voyons en fait une unité qui a été cassée, brisée, divisée en fragments, distancée de l’autre. C’est l’image de notre monde, au lieu d’une seule personne, il y a une multitude de gens, des plantes, des animaux, d’innombrables formes d’existence différente. C’est ainsi que les quatre aspects d’un seul désir, une seule entité, nous apparaissent.

Mais si la personne veut saisir correctement la situation, c’est à elle de savoir que ce n’est que dans le groupe qu’elle a l’occasion de voir la vérité. Le groupe est comme un microscope, un instrument, qui, si l’on regarde à travers lui, nous pouvons voir ce qui se passe. Nous n’avons pas d’autre instrument dans toute la réalité. Grâce à une consolidation de plus en plus grande parmi les amis, c’est-à- dire, par le choix d’un meilleur environnement, la personne oriente l’instrument de mieux en mieux et se rapproche de la vérité.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 25/11/13 , Écrits du Rabash

La sagesse de la Kabbale est en train de se révéler

congrès, groupeLe Baal HaSoulam, « De l’enseignement de la Kabbale et de son essence » : « Je suis heureux d’être né dans une telle génération lorsqu’il est permis de communiquer la sagesse de la vérité. Et si vous demandez : « Comment puis-je savoir que c’est permis ? », je répondrai que j’ai reçu l’autorisation de divulguer. Jusqu’à présent, les moyens par lesquels il est possible de s’engager publiquement et d’expliquer en détail chaque mot n’ont pas été révélés à une sage…

Et c’est ce que le Créateur m’a donné dans toute sa mesure. Nous estimons que cela ne dépend pas de la grandeur du sage, mais de l’état de la génération, comme nos sages l’ont dit, « Le petit Samuel était digne, etc…, mais sa génération était indigne. » C’est pourquoi j’ai dit que mon être récompensé par la manière de divulguer la sagesse est dû à ma génération. »

Ainsi, nous pouvons comprendre les événements historiques dans lesquels il nous a été parfois permis de révéler la sagesse de la Kabbale comme dans le cas de Moïse, les prophètes, la Grande Assemblée, Rabbi Shimon, et une chaîne de Kabbalistes individuels durant le temps de l’exil jusqu’aux jours du Ari, qui a reçu la permission de la révéler et donc d’atteindre la hauteur spirituelle qu’il a réalisé. En outre, il y avait beaucoup de Kabbalistes qui n’ont pas reçu une telle permission car l’époque dans laquelle ils vivaient n’était pas bonne pour la révélation. Ils ont effectué des corrections par eux-mêmes parce qu’ils étaient dans le système supérieur du don sans réserve, mais ils ne pouvaient pas promouvoir ce qu’ils ont fait.

Dans le même temps, le processus a avancé jusqu’au temps du Baal Shem Tov qui a médiatisé les messages kabbalistiques par ses actions, et non pas en écrivant des livres. La question n’est pas de savoir s’il le voulait ou non, cela n’a rien à voir avec les désirs du Kabbaliste. Chacun effectue la mission qui lui a été donnée.

Enfin, dans le siècle dernier, le Baal HaSoulam a également reçu la permission de révéler la sagesse. Nous vivons déjà dans une génération où tout le monde est autorisé à étudier la sagesse de la Kabbale : il est permis de la faire connaître et de l’enseigner aux autres. Toutes les limitations ont été supprimées, comme le Baal HaSoulam nous le dit dans le début de L’Étude des Dix Sefirot. Il est dit que grâce à cette sagesse, les « enfants d’Israël » sortiront de l’exil.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 27/11/13, Écrits du Baal HaSoulam

Discerner le mauvais penchant et le surmonter

Dr. Michael LaitmanAuparavant, nous étions connectés et nous nous entendions avec autrui assez bien. Tout était tout simplement génial!

Tout d’un coup, nous nous sommes séparés et détachés les uns des autres. Actuellement, nous nous efforçons de nous reconnecter. Un désir supplémentaire nous est révélé  maintenant. Il nous empêche de nous reconnecter. En fait, ce désir est le « mauvais penchant .  » C’est une conséquence de la lumière qui pénètre dans le récipient.

Ce désir n’a pas été créé comme « quelque chose de rien », mais c’est plutôt en raison de la brisure, il a été initié par le contact de la lumière supérieure avec le désir de recevoir. A l’origine, elle était très petite, propre et mineure. Il s’agissait de la quatrième étape qui appartenait au monde de l’Infini. Cependant, lorsque la lumière est entrée dans la quatrième étape, elle a créé un fragment supplémentaire qui n’a pas été couvert par un écran (Massakh). Il y avait beaucoup plus de plaisir pour la lumière que la quatrième étape n’avait prévu de recevoir pour l’amour du don. Cette situation a provoqué la brisure et a créé la  » charge de travail  » à laquelle nous faisons face aujourd’hui.

Plus tard, ce processus a atteint notre monde et cette fraction supplémentaire de la volonté a été caché. Cela explique pourquoi la spiritualité nous est cachée. Alors maintenant, nous travaillons dur et nous nous efforçons d’atteindre les choses qui sont au-dessus de nous ; nous avons commencé à rechercher le désir supplémentaire qui a déjà été créé en nous.

Nous n’avons pas besoin de travailler avec un désir authentique qui est une partie de l’infini, car il a été fait directement par le Créateur. Nous avons seulement à travailler sur la partie supplémentaire du désir. Pour cela, nous devons le révéler. Le «désir supplémentaire » est en fait le «goût », l’aspiration , la nécessité , la «faim », l’« appétit » que nous ressentons envers la Lumière.

Comment pouvons-nous le rechercher? Ce n’est possible que dans le groupe, que si une « colle » remet ensemble toutes les particules brisées et reconnaît la présence du mauvais penchant, ce qui signifie le désir supplémentaire qui a été créé à la suite de la brisure des récipients. La brisure s’est produite exactement quand les plaisirs dont la Lumière est composée sont entrés dans le désir initial qui était une partie de l’Infini, façonnant ainsi un désir qui se manifeste comme le « mauvais penchant ».

Donc, cela signifie que le mauvais penchant est en fait le récipient que nous avons. Tous les «goûts» en sortent. C’est pourquoi il est dit que «celui qui ne connaît pas le goût du péché (violation ) n’apprendra pas le goût des commandements .  » Il y a un moment où on doit obtenir une sensation de ce que  » la méchanceté  » est et en«tirer du plaisir».

Cela concerne nos relations avec les gens autour de nous plutôt que de nos sensations internes. Si on se sent paresseux ou découragés, si l’on reste sur le canapé toute la journée et ne répond pas aux appels téléphoniques, cela n’a rien à voir avec le mauvais penchant. Il n’existait pas auparavant. Il est apparu maintenant à cause des relations négatives entre les parties du désir de recevoir, qui sont désireuses de se reconnecter. Même si l ‘«infrastructure » du mauvais penchant couvre les niveax minéral, végétal  et animal, nous le révélons au niveau parlant sous la forme fragmentée, des parties détachées de l’âme générale d’Adam HaRishon.

Auparavant, Adam était un « ange » et est resté dans Galgalta ve Eynaim. Maintenant, nous pouvons le détecter en raison du mauvias penchant. Cela signifie que nous avons vraiment le mauvais penchant ! Sans lui, nous ne serons pas en mesure d’avancer !

C’est pourquoi le Baal HaSoulam écrit que nous devrions être heureux quand notre négativité se présente, car c’est une partie de notre âme. Nous devons travailler sur le mauvais penchant et l’utiliser pour nous connecter, nous unir et fusionner avec l’autre de sorte que nous puissions révéler l’attribut du don en son sein. Il doit être originaire de chacun de nous et le Créateur. L’aspiration devrait s’adresser à notre amour commun mutuel plutôt que notre don personnel au Créateur ou Son don à nous.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 13/11/13 , Shamati # 3  » A propos de l’atteinte spirituelle « 

Les murs renversés

Dr. Michael LaitmanRabash , Lettre 43 , à propos de la fête de Hanoukka : Il est dit dans la chanson  » Puissant rocher de mon salut :  »  » Les Grecs se sont réunis contre moi aux jours des Asmonéens. Ils ont pénétré les murs de mes tours et ont souillé toutes les huiles.  » Pour éviter les pensées parasites et les désirs indésirables d’entrer dans le cœur, il est nécessaire de construire un mur pour se prémunir contre toute l’extériorité.

Ce mur est appelé la foi et uniquement avec son aide, un homme a la possibilité de s’échapper. La Klipa greque se manifeste dans le fait que le peuple d’Israël a été guidé par l’esprit de la philosophie proverbiale. Et c’est contre la foi …  » Ils ont pénétré les murs de mes tours et ont souillé toutes les huiles,  » en d’autres termes, l’illumination et la vitalité, qui étaient venues à cause de la foi, se sont fermées aux fils d’Israël.

C’est une lettre très importante. Elle nous permet d’avoir la bonne attitude à l’égard de la vie dans notre principale guerre, la guerre contre la philosophie qui veut prendre la place de la sagesse de la Kabbale.  » Vous n’avez pas à atteindre quoi que ce soit,  » il dit   » Il suffit de réfléchir, imaginer quelque chose. En effe , vous avez l’esprit et de l’imagination et c’est suffisant. Il n’y a pas d’atteinte, donc, étutiez, imaginez, discutez et c’est assez .  »

Cette approche des Grecs nous conduit à une forme abstraite, d’ailleurs, pas même celui à qui la science de la Kabbale a parlé, ne s’est revêtu une fois dans la matière et ne s’en est soustrait et donc ceci n’est pas discuté. Non, leur forme abstraite ne s’est pas revêtue dans la matière parce qu’ils n’ont jamais eu d’atteinte spirituelle. Au lieu de cela, semblable à beaucoup d’autres religions et croyances, les Grecs ont déformé textes qui ne parlaient que d’une chose : la révélation du Créateur à la créature.

Pendant ce temps, c’est toute la science, nos ancêtres ne parlaient que de cela; seulement cette connaissance Moïse l’a reçu sur ​​le Mont Sinaï et a écrit la Torah sur sa base. Il s’agit de la révélation du Créateur à  » Israël  » : pour ceux qui sont dirigés directement à Lui (Yashar El) et viennent à la similitude des propriétés, à l’adhésion à Lui. C’est alors que l’être humain atteint le Créateur dans ses récipients, les désirs, corrigés par la Lumière qui ramène vers le bien (la Torah).

Si nous lisons les sources originaires, croyant qu’elles ne contiennent pas d’atteinte , que nous avons juste besoin de les étudier et de suivre les ordres du Créateur, selon ce que nous comprenons de l’écriture, par cela nous déformons complètement la Torah et au lieu d’aller vers l’adhésion au Créateur, nous nous accrochons à notre réflexion. C’est une véritable catastrophe.

Et ainsi de génération en génération, jusqu’à la fin de la correction, la guerre est engagée entre ceux qui atteignent et ceux qui imaginent,  » les maudits philosophes », comme le Baal HaSoulam les appelle. Nous aurons aussi à nous engager dans cette bataille et y prendre une part active, ne laissant rien au hasard. C’est dans cette guerre que nous divulguons l’insignifiance de l’approche philosophique qui permet de discuter et philosopher de ce que l’on ne sait pas, de ce qu’il n’a pas atteint, par un peu de la réalisation spirituelle.

Cette guerre est contre tous les concepts qui contredisent la sagesse de la Kabbale. En fait, une personne n’a rien à faire dans ce monde sauf révéler le Créateur. Elle ne devrait rien faire d’autre. C’est pourquoi, si nous parlons de la philosophie de la vie, une approche de l’existence humaine et non des départements de philosophie où ils ont des discussions vides sur la base de leurs propres chimères, alors cette approche doit viser uniquement à l’objectif de création, à aucun autre but .

Nous allons partir d’ici à Hanouka, la fête qui symbolise cette guerre et notre réussite. Hanouka est une fête très spirituelle : Tout tourne autour de «l’huile », autour de la lumière. Et nous devons interpréter correctement son essence : Même si nous sommes peu à l’échelle mondiale, mais si nous connaissons le secret de  » la jarre d’huile  » et nous l’allumons, elle illumine le monde entier.

Nous avons juste besoin de construire toutes les conditions correctement afin que les perturbations deviennent la  » mèche  » pour une personne et que la flamme de la bougie soit intacte. Ainsi, une personne vient au premier degré spirituel qui est appelé « Hanouka » les paroles de la Torah «Gare-toi ici » ( Hanou – ko) .

En outre, il est nécessaire de promouvoir ce miracle et par conséquent, il est d’usage d’allumer les bougies de Hanouka à la fenêtre, de sorte que tout le monde les voit. Cela symbolise notre diffusion parce que nous apportons au monde le message de la façon arriver à la lumière.

Mais quand est-ce qu’une personne s’y éveille? Quand elle découvre « l’épaisseur  » de son désir. Et si elle travaille correctement, elle découvre que « les Grecs ont violé les murs de ses tours.  » Si elle ne dispose pas de ces troubles, alors elle n’a rien à surmonter.

Venir à la Lumière n’est possible que par la révélation du mal quand il viole les murs, à travers la guerre et la victoire. Et même après cela, il est nécessaire de trouver une jarre d’l’huile et l’allumer, de sorte qu’il y ait un miracle.

Ainsi, à la fin, tout se passe par le biais de la Force Supérieure – un miracle …

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 28/11/13 , Écrits du Rabash

Le Livre du Zohar et la nouvelle génération

Dr. Michael LaitmanQuestion: Dans le cadre de la diffusion à grande échelle, nous sommes essentiellement engagés avec la méthode intégrale. Mais avec cela, nous avons adopté une version du Livre du Zohar avec le commentaire du Baal HaSoulam. Quel est le rôle du Livre du Zohar vis à vis du grand public ?

Réponse: Je suppose que le temps viendra et avec lui, l’intelligence et la compréhension viendra, après des conférences d’introduction et des événements que nous organiserons sur le thème de l’éducation intégrale, nous pouvons amener les gens à la source, à la sagesse de la Kabbale. Car c’est seulement à partir de là que nous tirons la connaissance, la compréhension, la puissance, la vérité et l’objectif.

Dans tous les cas, nous devons le faire, nous devons révéler la science, la sagesse, la logique et la base conceptuelle aux gens. D’où, comment et pourquoi avons-nous notre méthode ? C’est à nous d’expliquer l’action des forces naturelles scientifiquement, pour expliquer que le Créateur est une caractéristique et non une croyance en une sorte d’esprit.

Donc, progressivement nous éduquons la génération, nous enseignons la psychologie intérieure de groupe, nous avançons à travers l’apprentissage et nous parlons des forces qui agissent en nous, du bénéficice qu’il est possible de produire de la connexion. Et c’est ainsi que nous faisons prendre conscience aux gens ce qu’est la sagesse de la Kabbale.

Tous les articles sociaux du Rabash expliquent comment nous connecter correctement afin de découvrir en nous une sorte de nouvelle sensation qui peut être appelée le Créateur. C’est ce que le Baal HaSoulam écrit dans ses articles. Comment nous intériorisons la compréhension de notre réalité dans la conscience, dans un cadre, qui peut être commandé et compris à travers les filtres de notre absorption ? Tout cela est une matière scientifique, très empirique.

Il n’est pas fortuit que le Baal HaSoulam ait rejeté la philosophie dans tout ce qui est basé sur la science spirituelle. Donc, nous voulons aussi agir de façon rationnelle et amener le monde entier à une approche de ce genre. Tout d’abord, c’est à nous d’être conscients de la bonne façon. Mais pour l’essentiel, le but est précisément de les transformer en connaissances communes.

Et ici, il est logique que par une approche rationnelle vous montiez en permanence à un état inconnu. C’est précisément la bonne approche : à chaque étape, nous nous échappons de nos limites précédentes. Nous ne sommes pas prêts à le faire nous-mêmes, mais il y a un niveau plus élevé d’où nous tirons la force qui nous développe et nous attire à elle.

C’est un fait scientifique. Selon les données scientifiques c’est ce qui se passe dans l’évolution de la nature dans notre monde.

Et pour expliquer cela aux gens, nous avons besoin du Livre du Zohar, même simplement le lire dans un cercle avec l’étude scientifique rationnelle des lois de l’évolution, les religions, les croyances, la substance de la création, la perception de la réalité et ainsi de suite. Vous verrez que notre réaction à l’étude séparée sera correcte et utile si elle est la préparation pour la lecture du Livre du Zohar et à un niveau inférieur, de L’étude des dix Sefirot.  »

Dans Le Livre du Zohar se trouve l’intensité dont nous avons besoin, il est si fort que nous devons la recevoir en » petites portions « . Et puis nous, nous-mêmes, allons commencer à découvrir ce dont ce livre parle.

Nous vivons dans une génération qui est prête à découvrir ce que les kabbalistes,en commençant avec Rabbi Shimon jusqu’au Baal HaSoulam, n’ont pas découvert. Cela leur a été refusé en raison de la période de l’exilqu’ils ont dû traverser. Mais nous, à partir d’aujourd’hui, selon ce qu’a écrit le Baal HaSoulam, nous sommes au seuil de la rédemption, car c’est la première fois que nous sommes prêts à utiliser le potentiel du Livre du Zohar.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 24/11/13 , Écrits du Baal HaSoulam

Une ligne pour s’élever au degré humain

Dr. Michael LaitmanIl est écrit: « Un millier vient étudier, mais un seul sort à la lumière   » Pourquoi est-ce que l’homme est récompensé de la Lumière ? En outre, ce rapport existait dans le passé, mais maintenant tout a changé. Et pourtant, nous voyons que les gens n’ont pas de patience. Ils ne peuvent pas accepter que l’ensemble de leur vie leur est donné dans le seul but de venir à la lumière et entrer dans une dimension supérieure. Sinon, il n’y a aucune raison de vivre sur cette terre.

Nous sommes tous en ligne pour nous élever au niveau de l’homme, à un degré spirituel. Mais nous ne sommes pas d’accord avec cela, pensons qu’il a d’autres activités importantes en dehors de cela et donc quittons ce chemin . Tout dépend de l’importance de l’objectif et il est mesuré par le nombre de « chute », c’est-à-dire des « entrées et sorties », dont il est dit: « Et de Sion la Torah sortira.  » C’est quand une personne « sort» de la spiritualité, son désir pour elle est réveillé en elle.

En raison de la volonté, développée dans ces entrées et sorties et en particulier les sorties, une personne attire la Lumière qui ramène vers le bien. Peu à peu, son cœur est d’accord pour accepter les modifications. Des efforts sont accumulés, s’ajoutant sur un compte, jusqu’à ce qu’ils forment une grande somme, c’est-à- dire, le paiement de la première correction dont une personne a besoin.

Le même processus se répète à tous les autres degrés, seulement la personne a de l’expérience et sait comment agir : comment surmonter par la foi au-dessus de la raison, sous quelle forme travailler. Elle croit en le conseil des sages, comprend que le progrès n’est possible que par la garantie mutuelle, la connexion et l’unité. Ainsi, elle se concentre correctement sur ses efforts et peut atteindre plus tôt le montant nécessaire sur son compte spirituel.

Il est dit que  » toutes les portes sont verrouillées, sauf la porte de larmes.  » « Les larmes  » (Dmaot) indiquent la nécessité de «paiement» ( Damim), c’est-à- dire des efforts ainsi que la douleur, comme un grand désir que la Lumière Supérieure puisse affecter et corriger : lui donner une intention pure de donner, une personne qui ne peut pas l’atteindre par soi-même.

Et que les exemples des amis aident à cela.

De la préparation pour le cours quotidien de Kabbale 27/11/13