Category Archives: Kabbale

La source de toute existence

Le Baal HaSoulam, Les Écrits du Baal HaSoulam, Volume 1, « La Qualité de la Sagesse Cachée en Général », Ce Principe Supérieur est Défini en Celui qui est Un, Seul et Unique : Il est évident que le supérieur est un. Il comprend toute la réalité et tous les temps (passé, présent et futur) car on ne peut pas donner ce que l’on n’a pas. Si toute la réalité et l’existence de la réalité n’avaient pas été incluses en Lui, elles ne seraient pas sorties de Lui, comme cela est évident pour tout scrutateur, et sans nous soucier du fait que nous trouvons des dysfonctionnements dans les usages de l’existence de la réalité.

En effet, sachez que ceci est l’étude que les sages de l’appel caché appellent « un ». Le premier à l’étudier fut Abraham le Patriarche (ceci est expliqué dans le Livre de la Création et est donc attribué à Abraham, le Patriarche). Cela signifie qu’il n’y a pas deux autorités ici (bonne et mauvaise) mais seulement bonne.

Le principe fondamental de la sagesse de la Kabbale est qu’il n’y a qu’une seule force, un seul but, un seul chemin et un seul mouvement dans l’univers, c’est-à-dire une seule source, à côté de laquelle rien n’existe. D’où l’affirmation : « Il n’y a rien hormis Lui. »

Tout ce qui nous semble exister en dehors de Lui est en fait Lui. Le fait que quelqu’un, quelque part et d’une manière ou d’une autre, voit que quelque chose est supposé exister ne constitue qu’un léger désalignement, une différence par rapport au centre, lorsque vous devez combiner deux lignes pour qu’elles atteignent exactement le point de la cible. Alors, la personne commencera à nouveau à ressentir qu’il n’y a rien hormis le Créateur.

Tous les écarts par rapport au concept de « un, seul et unique » nous sont donnés afin que nous nous efforcions de façon répétée de le confirmer et de nous fondre avec lui. C’est le but de notre développement. Le développement, c’est entrer et se dissoudre dans cette unité.

Cela ne rentre pas dans notre esprit, notre mémoire, ni dans nos capacités analytiques, car pour cela, nous devons complètement revoir notre approche, notre vision du but, du monde, de l’espace, du temps, du mouvement et, en général, de toute chose. Nous devrions tout rapporter à une seule et unique sensation : j’existe ou Lui seul.

Question : Donc, je n’existe pas ? Y a-t-il uniquement Lui ?

Réponse : Bien sûr, je n’existe pas. J’existe seulement lorsque je diffère de Lui ou lorsque je fusionne avec Lui.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 27/01/2019

La préparation d’en haut et notre travail

Il est écrit : « Celui qui est en deuil de Jérusalem est récompensé de voir sa joie. » Cela signifie que nous devons prier pour le public, mais que devrions-nous demander ? Le public a-t-il un désir de spiritualité ? Le fait est que tous les désirs existant dans le public appartiennent à une personne travaillant sur la correction. Les désirs sont à l’intérieur des gens, et un kabbaliste doit développer des intentions. Le désir et l’intention sont deux catégories distinctes ; ils n’existent pas au même endroit. Lorsqu’un kabbaliste travaille avec un écran, la restriction et la Lumière réfléchie, les désirs commencent à se mettre en place et changent en fonction de l’intention avec laquelle il veut utiliser les désirs.

L’intention s’appelle Rosh (tête) et le désir s’appelle Gouf (corps). Nous travaillons dans Rosh, sur l’intention, pour qu’elle convienne au Gouf, et alors nous pourrons utiliser le Gouf, ce qui signifie le désir. La disparition d’une telle compatibilité après son existence s’appelle la destruction du Temple. Si une telle compatibilité entre l’intention et le désir est rétablie, alors c’est la construction du Partsouf spirituel, sa naissance.

Le récipient est l’intention de donner sans réserve. Toute la correction consiste à atteindre l’intention correcte. Les désirs existent. Ils sont juste arrangés de manière incorrecte, non dotés de l’intention correcte. Il n’y a pas de nouveaux désirs. La brisure, la restriction et la dissimulation se produisent tous afin que nous puissions examiner les désirs et commencer à les connecter. Comme un bébé qui est né et qui commence à grandir, nous corrigeons la brisure et développons notre âme. (1)

Nous travaillons sur l’intention de le faire afin de donner sans réserve, dans le but d’apporter du contentement au Créateur. Pour donner sans réserve au Créateur, il est nécessaire de concentrer l’intention correcte et de sélectionner parmi les désirs brisés ceux qui seront en mesure de travailler sous son contrôle. Ce faisant, nous construisons le Partsouf spirituel, l’extension de notre don sans réserve.

C’est pourquoi il y a eu des brisures, des préparatifs pour la correction qui n’étaient pas de notre faute. Il n’y a presque pas de travail de l’inférieur en cela. L’exil égyptien, le désert, la destruction du Premier Temple, l’exil babylonien, puis le Second Temple également détruit, et la sortie de ce dernier exil : comment tout cela a-t-il pu arriver ?

C’était juste une préparation d’en haut. Maintenant, il ne nous reste plus qu’à faire une correction finale. Seul le travail en vue de la correction finale est considéré comme le travail de la personne ; tout le reste était une préparation. (2)

De la 1ère partie de la Leçon quotidienne de Kabbale, « Le 9 Av », le 11/08/2019

(1) : à 32 minutes et 20 secondes
(2) : à 37 minutes

Le long chemin vers la question à propos du sens de la vie

Question : Dans la parabole du bouclier et de l’épée, le roi offre une arme à son fils sans lui apprendre au préalable comment l’utiliser, puis il se cache. Pourquoi n’a-t-il pas montré à son fils comment combattre des ennemis sachant qu’ils l’attaqueraient ?

Réponse : Vous ne vous sentez pas comme cela dans ce monde ? Ne ressentez-vous pas que vous avez été jeté ici et que vous existez sans savoir pourquoi et comment, et pour quelle raison ? Tout à coup, on vous dit qu’il existe une sagesse de la Kabbale qui vous aidera à vous ressentir dans le monde supérieur et à apprendre le but de votre existence.

Après tout, vraiment, vous êtes perdu et vous ne savez rien. C’est bien entendu notre état dans le monde matériel. Par conséquent, commençons en premier par définir que nous sommes vraiment dans un tel état.

Maintenant, une autre question : pourquoi recevons-nous un état dans lequel nous existons comme des animaux, ne sachant pas où nous sommes, pourquoi et pour quelle raison ?

Nous nous développons au fil de milliers d’années comme des animaux jusqu’à ce que nous devenions progressivement des êtres humains. Ensuite, nous continuons à nous développer pendant des milliers d’années jusqu’à ce qu’à partir de soi-disant humains grandisse quelque chose qui commence à poser des questions telles que : « Pourquoi est-ce que j’existe ? », « Qui suis-je ? », « Quel est le but de la vie ? », « Quel est le sens de la vie ? », « Que m’arrive-t-il avant la naissance et après la mort ? » Des dizaines de milliers d’années s’écoulent jusqu’à ce que l’humanité commence à réfléchir et à poser des questions car à chaque génération, l’égoïsme grandit et nous développe progressivement. Maintenant nous pensons : pourquoi tout cela est-il nécessaire ? En avons-nous vraiment besoin ? Il y a beaucoup de questions qui se posent et auxquelles il est très difficile de trouver des réponses.

Pourquoi ne recevons-nous pas une réponse tout de suite ? Nous devons d’abord comprendre notre question. Croyez-moi, ce n’est pas si simple. Pendant longtemps, peut-être même quelques années, vous serez tourmenté jusqu’à ce que cette question mûrisse pleinement en vous. C’est uniquement à ce moment-là que vous y verrez la réponse.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 07/04/2019

A quoi sert la solitude ?

Question de Facebook : Pourquoi la solitude nous est-elle donnée et comment la corrige-t-on ?

Réponse : La solitude vous est donnée pour que vous ressentiez que tout est entre vos mains, personne ne fait pression sur vous, vous êtes responsable de votre condition et vous pouvez tout faire.

Commencez à utiliser correctement votre solitude et vous verrez à quel point c’est bon parce qu’en réalité cet état vous est donné par le Créateur afin que vous puissiez vous tourner vers Lui.

Extrait de KabTV, « Réponses aux questions de Facebook » du 10/03/2019

Le bouclier et l’épée : le travail sur les désirs

Question : Les métaphores du bouclier et de l’épée correspondent-elles aux lignes droite et gauche ? Dans ce cas, qu’est-ce que le don sans réserve et qu’est-ce que la réception ?

Réponse : Le bouclier est fondamentalement la restriction du travail avec vos désirs. L’épée, c’est lorsque vous transformez ces désirs égoïstes en désirs altruistes, en frappant vos ennemis avec elle. C’est-à-dire que vous les battez, les conquérez, de sorte qu’au lieu de travailler pour recevoir, ils travaillent pour le don sans réserve.

Question : Est-ce que la dizaine a aussi un bouclier et une épée ?

Réponse : Bien sûr. Cela signifie qu’avant de les obtenir, les gens devraient se rassembler dans la dizaine. Avant cela, rien n’est donné à qui que ce soit séparément.

La Kabbale ne parle pas d’une seule personne, mais de dix personnes, qui se réunissent en un seul organisme. Autrement, elles ne pourront pas s’annuler mutuellement et commencer d’une manière ou d’une autre à devenir comme le Créateur.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 07/04/2019

Je suis responsable de ma personne

laitman_549.01La nation d’Israël est un groupe inhabituel, car notre connexion n’est pas à un niveau corporel, et par conséquent elle est très instable. Cela nous connecte apparemment quelque part au-dessus, mais nous ne ressentons aucun lien entre nous. Tout cela est dû à nos grands ego qui nous séparent les uns des autres. Il n’y a pas de connexion naturelle, physique, matérielle ; il n’y a qu’une connexion spirituelle qui échappe à nos sens.

Le Baal HaSoulam écrit que seuls les problèmes communs nous unissent, comme des frères d’infortune. Ainsi, nous ressemblons à une poignée de noix à l’intérieur d’un sac uni uniquement par le sac, ce qui ne les laisse pas se disperser. De ce fait, notre seul espoir est une éducation publique, un mouvement vers l’unité nationale capable de susciter l’amour de la nation au sein du peuple, afin que nous nous ressentions comme un seul corps.

Nous ne devons pas nous sentir comme des frères d’infortune, comme nous le faisons aujourd’hui, mais nous devons ressentir la connexion naturelle et éternelle qui existe en chacun de nous et dont personne ne peut se cacher. C’est la Lumière supérieure qui nous unit ensemble. Les autres nations sont connectées instinctivement par la nature même, ressentant un sentiment d’appartenance à leur nation. Mais pour le peuple d’Israël, cette connexion nécessite notre participation, nous devons l’attirer d’en haut par nous-mêmes.

Cet amour existait parmi nous à l’époque d’Abraham, le fondateur de la nation d’Israël. Mais après la destruction du Temple, cela a commencé à s’estomper et a été complètement perdu au cours des années d’exil. Nous devons reconstruire cet amour maintenant pour qu’il soit naturel et spirituel. Après tout, il n’y a pas d’amour corporel entre nous et nous ne voulons pas de liens mutuels comme les autres nations. Il ne reste plus rien de l’amour national après les deux mille ans d’exil. (1)

Je dois tout faire pour réveiller le groupe. Quelle que soit leur réponse, je continue de tout faire pour les unir : prier discrètement pour mes amis et faire divers actes que tout le monde peut voir, en montrant l’exemple. Ce faisant, je ne dépend de personne à part du Créateur, je lui demande donc de me donner la force et le désir. Ensuite, je me tourne vers mes amis et j’essaie de les inspirer. Je suis responsable de moi : « Si je ne suis pas pour moi, qui est pour moi. » (2)

Extrait de la deuxième partie de la Leçon quotidienne de la Kabbale, Écrits du Baal HaSoulam, Journal, « La Nation », le 17/07/2019

(1) : de 1 minute à 1 minute et 19 secondes
(2) : à 12 minutes

La femme dirige, l’homme réalise

Question : Une femme peut transmettre intérieurement son désir à un homme. Beaucoup de femmes souhaitent que leurs hommes soient plus proches du Créateur. Que signifie faire passer ce désir ?

Réponse : Si une femme veut quelque chose d’un homme, elle l’obtiendra toujours. Le monde est arrangé de cette façon.

Le désir d’une femme n’est pas annoncé à haute voix. Vous savez vous-même comment influencer un homme tranquillement, sans ouvrir la bouche mais d’une manière telle qu’il se sente frappé à la tête. C’est l’action correcte de la part d’une femme. C’est intentionnellement arrangé de cette façon dans la nature. Nous, les hommes, devons accepter cela et même être heureux que les femmes aient l’occasion de nous guider sur la bonne voie.

Si une femme veut que son mari s’oriente vers la compréhension du sens de la vie, alors bien sûr, c’est une femme spéciale et une épouse formidable. Par conséquent, nous devons apprécier ces femmes et les placer comme des exemples pour les autres. Et bien sûr, nous devrions apporter de l’aide d’une certaine manière pour que les maris les apprécient et leur obéissent. Je souhaite à celles qui ne sont pas mariées de trouver de tels maris.

Question : Peut-il y avoir une exagération excessive du côté des femmes ?

Réponse : Non. Une femme a une attitude maternelle très claire. Elle sait se comporter vis-à-vis de son mari. Si elle aspire au but de la création, elle pourra vraiment le diriger. Il s’avère donc qu’un homme réalise et qu’une femme dirige.

D’après mes quarante années d’expérience, je peux affirmer que si une femme dans la famille reconnaît la grandeur du but et ce que fait le groupe, alors le mari étudiera certainement et n’ira nulle part. Cependant, si la femme est contre cela, à la fin il arrête d’étudier et part.

Ici, tout dépend de la femme. Le désir des femmes dans le monde est beaucoup plus fort et plus décisif que celui des hommes.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 14/04/2019

Mon interview relative à la Kabbale en Afrique francophone

Ce vendredi 8 août, Terrence Imoma mon étudiant , m’a interviewé dans le cadre de l’étude et la diffusion de la Kabbale en Afrique.

 

 

 

Israël 2019: passé, présent, futur

Dr. Michael LaitmanMon article publié dans le Times of israël en français

Ceux qui n’apprennent pas de l’histoire sont condamnés à la répéter. Il y a 2000 ans, Jérusalem a été conquise et détruite. Aujourd’hui, la capitale d’Israël est encore au cœur des conflits internationaux qui pourraient remettre en cause la légitimité de l’Etat Hébreu.

Tisha BeAv – L’histoire qui se répète ?

9 Av – Tisha BeAv – marque la destruction du Temple et le début du long exil des juifs.

L’histoire ne semble pas clémente pour Israël en cette date qui fut celle de la signature du décret d’expulsion des Juifs d’Angleterre par le roi Édouard Ier d’Angleterre, le 9 av 5050 (1290), celle de l’application du décret d’expulsion des Juifs d’Espagne le 9 av 5252 (1492), ou encore le 9 Av 5701 (2 août 1941) où le commandant SS Heinrich Himmler a reçu l’approbation officielle pour la solution finale.

Quoi qu’il en soit, cette période de deuil pour Israël est l’occasion de mener une réflexion sur notre passé, et encore plus important, sur notre futur.

Alors que s’est-il passé à Jérusalem, il y a 2000 ans ?  

Le Talmud nous dit que la cause de la destruction du Temple fut la haine gratuite et infondée au sein d’Israël.

L’histoire retiendra que ceux sont les Romains qui ont attaqué la ville et ont détruit les entrepôts remplis de nourriture et qu’ils ont brûlé le Temple, tué des Juifs et exilé les survivants à Rome.

Cependant, selon Flavius Josèphe, contemporain des faits, les événements ont eu lieu de manière différente. Dans son livre La guerre des Juifs, il relate la guerre civile entre les deux factions juives les Sicaires et les Zélotes (descendants des Pharisiens).

Cette guerre civile peu racontée nous montre avec quelles violence et cruauté, les Juifs se sont entretués.

F. Josèphe nous parle un passage peu glorieux de l’histoire de notre peuple : il nous décrit les ventres des enfants hypertrophiés par la famine, il rapporte le récit d’une mère qui aurait tué et mangé son propre enfant pour survivre car les révolutionnaires juifs avaient brûlé les réserves de vivres de leurs adversaires. Les Romains ont attendu patiemment, sur l’ordre de l’empereur Vespasien, qu’il ne reste plus qu’un camp (les Sicaires) pour intervenir et conquérir ce qu’il restait à l’être de la ville.

Ainsi, il y a 2000 ans des rivalités liées au pouvoir, comme le sacerdoce et la royauté, ont été des raisons qui ont contribué à briser l’unité du peuple juif, ce qui l’a fait courir à sa perte ou du moins à son long exil.

Israël 2019 – une haine gratuite qui nous coûte cher

Entre les rivalités pour le sacerdoce et les rivalités politiques et sociales qui divisent le peuple d’Israël aujourd’hui, il est difficile de ne pas faire le parallèle.

Les manifestations, les émeutes, les violences sont devenues monnaie courante et à à peine un mois des élections, la haine ne semble pas se calmer, mais risque au contraire de prendre des proportions considérables. Chacun campe sur ses positions, refusant d’écouter l’autre.

Alors, va-t-on continuer à faire l’autruche en disant que le peuple juif n’est pas divisé qu’il est solidaire, uni ? Il ne l’est pas, sauf en temps de menace existentielle.

Il convient cependant de rappeler qu’à sa racine, les juifs sont un peuple uni, comme une famille, derrière un idée qui est “aime ton prochain comme toi-même”.

Aujourd’hui, à défaut de parvenir à s’aimer, à réveiller cet amour fraternel, nous pourrions donc commencer par ce qu’a dit Hillel “Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse”. Cela serait déjà un premier pas vers une union et une unité, qui sont absentes au sein du peuple d’Israël et qui pourtant ont toujours été sa force.

Pour que l’histoire ne se répète pas, il faut commencer par changer le présent. Nous devons tous nous sentir concernés et responsables de notre avenir, en Israël comme à l’étranger et garder à l’esprit que le peuple d’Israël doit son élection à ce que ses patriarches lui ont appris: tolérance, amour et fraternité. 

 

Y a-t-il une fin à l’étude de la Kabbale ?

Question : Y a-t-il une fin à l’étude de la Kabbale ?

Réponse : Non. La fin de l’étude repose dans l’infini. Même après avoir quitté ce monde, nous poursuivons notre atteinte dans le monde supérieur, en dehors de nos corps. Alors ne vous inquiétez pas, tout est encore devant nous.

Question : A quel état final une personne devrait-elle arriver ?

Réponse : L’état final est une connexion complète avec tous les êtres créés et avec le Créateur dans une union unique, dans un désir commun.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 10/03/2019