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Lorsque la force de la Lumière apparait soudain

Dr. Michael LaitmanQuestion: la Kabbale établit que le monde entier réside en moi. Quelle est donc cette force extérieure du Créateur qui descend sur moi?

Réponse: Je ne sais pas de quelle force extérieure il s’agit. Je sais seulement que tout d’un coup quelque chose se produit en moi, et qu’une nouvelle propriété  y apparait. En quoi est-elle différente de la pensée et des désirs qui apparaissaient en moi avant? Etaient -ils également nouveaux pour moi?
Mais il est absolument clair pour moi que cette propriété émergente en moi en ce moment, qui est considéré comme la force du don, est quelque chose de totalement nouveau et différent de toute ma nature. C’est complètement à l’opposé, l’inverse par rapport à elle, et se déroule sous une forme unique qu’il est foncièrement différente de toutes mes expériences précédentes.

Pour m’y connecter, je m’élève au-dessus mon ego, ayant déployé des efforts énormes. Je dois me couper de mon égoïsme, m’arracher, et constamment lutter avec moi-même afin de ne pas tomber dans les calculs égoïstes.

Ce n’est que sous la condition que je me coupe de mon calcul égoïste que je commence à atteindre la force qui maintenant me tire vers elle, qui agit en moi en m’invitant à la rejoindre au lieu de rester dans mon égoïsme. C’est la force du don sans réserve.
Ce pouvoir qui se déroule en moi est radicalement différent de toutes mes forces précédentes, des pensées, aspirations et toute ma *nature. Je ressens ceci car il exige que je me coupe de tout ce que j’étais avant!

La nuit de la sortie d’Egypte

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie remercier le Créateur?

Réponse: Après tous les efforts qui me sont nécessaires pour la diffusion, les études, et le groupe, je parviens au désespoir, et puis je commence à percevoir mon désir égoïste séparément de moi-même. C’est comme la façon dont une personne malade ressent le lieu de la maladie et sa source – la zone douloureuse à l’intérieur d’elle, qu’elle discerne et cherche à isoler.

Puis on commence à travailler pour sortir d’Egypte, pou isoler son désir égoïste. Une personne tente de se séparer de lui, mais ne peut pas le faire. C’est ainsi que les deux premières plaies égyptiennes passent.

Après, une personne commence à sentir que tous ces changements par rapport à son mauvais penchant sont évoqués par le Créateur. Comme la Torah nous dit, le Créateur informe Moïse qu’Il a donné plus de force à Pharaon, afin de monter et de Se projeter au-dessus de lui.
Une personne commence à voir et à comprendre que le Créateur fait tout le travail à l’intérieur d’elle. Il le mène, hors du calcul égoïste, et le diminue ensuite, et puis une personne retombe. Puis le Créateur l’emmène une fois de plus et plus tard une personne tombe à nouveau. C’est ainsi que chaque fois, une personne acquiert la connaissance et la sensation du fait que sauf si le Créateur effectue ces actions sur elle, elle restera toujours en Egypte, à l’intérieur de son désir égoïste.

Ces impressions s’accumulent, devenant de plus en plus claires et plus fortes, jusqu’à ce qu’une personne crie, soit prête à tout – même à lancer l’obscurité pour son égoïsme -tout pour le fuir. C’est « l’obscurité égyptienne » la nuit de la sortie d’Egypte. Il n’y a pas de ténèbres en une personne plus grande que celle-ci, mais s’il sait qu’il suit le Créateur, alors elle préfère cette obscurité. Bien sûr, elle ne le préfère dans le désir de plaisir, mais à cause du Créateur s’Il marche devant elle.

Et le moyen d’atteindre ceci, n’est que par un travail méticuleux.

Des étapes en chemin

Dr. Michael LaitmanTou Bichvat, « Le Nouvel An des Arbres», symbolise le fruit du travail spirituel, la croissance. Sur la première étape de notre chemin spirituel nous tournons l’intention égoïste Lo Lishma en une intention altruiste Lishma, le don sans réserve pour l’amour de don inconditionnel. Une fois qu’une personne acquiert la propriété de Bina, elle devient un «arbre des champs ».Ensuite une personne change vers l’état de la réception pour l’amour du don sans réserve, et l’arbre nu des champs commence à porter des fruits. Ceci est le résultat du travail d’une personne, de son degré. Maintenant, il utilise son «arbre» pour cultiver des fruits, remplir les âmes, et se relie à elles comme à la source du don sans réserve, comme le Créateur. De cette façon, la personne devient égale au Créateur et termine la correction.

Nous, les kabbalistes, voyons l’achèvement de l’ouvrage entier de l’homme dans Tou Bichvat. Dans l’ensemble, toutes les fêtes ont un double rôle: elles incarnent une certaine partie de notre chemin, et en même temps elles contiennent un certain élément en elles qui symbolise son achèvement.

Pâque [Pessakh], la célébration de la sortie d’Egypte, signifie que nous voyons déjà comment nous abandonnons l’égoïsme et pourquoi. Après tout, il est impossible de le laisser sans connaître le but. Chavouot, la fête du don de la Torah, est également plus que l’acquisition des moyens de correction: Nous savons pourquoi nous la recevons. Rosh Hashana, le nouvel an juif, est le commencement de tous les changements, et le but final est déjà planifié dans le plan initial. Le Jour du Grand Pardon, Yom Kippour, une fois de plus nous rappelle pourquoi nous passons par la chaîne de corrections. La même chose s’applique à Hanouka et Pourim.

Toutes ces coutumes de notre monde symbolisent les étapes, les jalons sur le chemin de notre correction spirituelle. C’est de là qu’ils viennent.

Ils ne semblent pas être spéciaux. A Tou Bichvat nous mangeons des fruits et des – Quel petit indice! Pourim ressemble également plus à des vacances pour les enfants. Mais en réalité, ce sont les fêtes les plus importantes, et leurs résultats sont les plus convaincants. C’est parce qu’ils font référence aux résultats, le fruit de nos efforts.

Pourim représente la correction finale, la fin du chemin. Ensuite, les deux forces, le positif et le négatif, se soutiennent mutuellement et participent à la réalisation de l’objectif final. Tou Bichvat symbolise aussi la maturation du fruit, et la différence entre eux est dans le niveau de perception. L’arbre des champs est le niveau végétal, tandis que Pourim est à des degrés plus élevés.

L’objet de la correction est la femme à l’intérieur

Dr. Michael LaitmanQuestion: Y a-t-il jamais eu un couple, mari et femme, dans l’histoire de la Kabbale qui a révélé le Créateur, précisément dans leur relation avec l’autre? Et ont-ils laissé des sources derrière?Réponse: Des couples de ce genre ont existé à travers l’histoire: Adam et Eve, Abraham et Sarah, Isaac, Jacob et Ésaü, avec leurs femmes, et ainsi de suite. La partie féminine est toujours dans l’image parce que sans elle, il n’y a aucun contact, aucun accouplement (Zivoug de Hakaa), aucun lien entre le Créateur et la créature.

Le seul but de la partie masculine en nous est de corriger la partie féminine en nous. Pour cette raison, du point de la correction de la création, c’est la partie féminine qui a besoin de correction. L’objet de la correction est la femme. La force de la correction, c’est l’homme. La Lumière de la correction passe par l’homme dans le but de corriger la partie féminine. Lorsque la partie féminine est corrigée, elle donne naissance à l’état suivant de la partie masculine.

Plantez-vous dans un sol fertile et vous grandirez

Dr. Michael LaitmanUne personne ne se développe pas par ses propres efforts, mais en raison de l’influence de l’environnement. Pour ce faire, elle doit interagir avec le groupe de manière efficace, de manière spirituelle.Une personne souhaite que le groupe la fertilise avec l’amour des autres, la proximité, et la connexion avec tout ce qui se trouve en dehors de son égoïsme. Elle doit voir cette réalité «au-delà de l’égoïsme » plus importante qu’une réalité «dans les limites de l’égoïsme ».

Ce n’est qu’après un tel calcul, lorsque l’environnement devient plus important pour moi que je ne le suis à mes yeux, que je commence à absorber ses forces vitales, au lieu d’enfermer l’attention sur moi-même. Et puis, je commence à croître.

Ce travail est non-stop. Il ne cesse d’émerger dans une personne de nouveaux Reshimot (gènes spirituels d’information), des désirs et des pensées. Elle doit être capable de les traiter à chaque seconde, en retournant continuellement à l’analyse et à la réalisation de ce qui compte vraiment: l’extériorité ou l’intériorité.

Il est essentiel de s’attacher à des textes kabbalistiques, à l’enseignant, et au groupe. Comme nous informent les kabbalistes, ces instruments calibrent correctement la personne. Puis, avec leur aide, on peut s’élever au-dessus soi -même, au-dessus du calcul visant à des fins personnelles.

En cultivant à l’intérieur de la graine du don sans réserve, une personne entre dans l’« utérus du Supérieur », se place sous son influence, et se soumet à sa force, son programme et son but. Pa rapport à ses propres pensés et ses désirs, ils se réduisent à néant. C’est la seule façon d’évoluer: comme une graine dans le sol et un embryon dans l’utérus de la mère. On doit soi-même s’annuler devant l’environnement afin qu’il puisse l’influencer librement. Telle est la loi du développement spirituel.

Ainsi, progressivement, nous précisons pour nous-mêmes ce que le monde spirituel est par rapport au monde matériel. Nous acquérons une propriété de plus en plus grande de don sans réserve au-dessus de notre désir égoïste, nous nous formons comme un embryon, poussons comme un jeune plant, et devenons finalement un arbre qui portera le fruit du don sans réserve.

Pour toute chose il y a une saison

Dr. Michael LaitmanAujourd’hui, la sagesse de la Kabbale doit être révélée au monde. De nos jours, chacun doit savoir quel est le but de la vie et comment atteindre la racine de la création. Atteindre la racine peut être comparé aux fruits, où la vie spirituelle d’une personne et son développement spirituel sont assimilés à la tendance d’un arbre à porter des fruits.Dans une de ses lettres, le Rabash explique comment « entretenir » le désir en utilisant l’analogie de l’entretien d’un arbre dans notre monde. Nous le cultivons dans les quatre stades de HaVaYaH jusqu’à ce que nous acquérions le désir de donner sans réserve, après quoi nous commençons à employer le désir de recevoir pour donner sans réserve. C’est le «fruit», qui signifie la fin de la correction de l’homme, sa maturité.

Mais en attendant, après avoir fait face à la question du sens de la vie, une personne vient à la sagesse de la Kabbale, l’endroit qui est représenté par les individus ayant des questions similaires. Il s’agit de la période définie comme « Lo Lishma » (pas en Son nom). L’approche de la personne est toujours égoïste, mais maintenant elle désire obtenir le monde spirituel et recueillir un « fruit » supérieur, ce qui répond à la question de ce qui est le but de la vie. En raison de la nature de l’homme, il ne comprend pas comment il peut être obtenu autrement.

C’est ainsi que nous semons la graine dans le sol, et elle commence à évoluer. Tout d’abord, une personne marche sur le chemin frappé par l’égoïsme comme il l’a toujours fait et s’appuie sur elle-même, en voyant un bel avenir devant elle. Mais après un certain temps (parfois quelques années), elle éprouve un sentiment évoqué par la Lumière qui ramène vers le Bien : elle commence à sentir ce qu’est vraiment sa nature égoïste.

Puis, elle découvre que le monde spirituel ne peut être atteint en utilisant ses sentiments et son esprit habituels ; elle se rend compte que cela ne peut être atteint que par opposition à ce qui a été jusqu’à présent. Et une personne semble perdre ses ailes. Elle ne peut pas aller de l’avant avec détermination, ouvrant toutes les portes, comme elle le faisait avant. À ce stade, elle doit commencer à travailler avec elle-même apparemment de l’extérieur, c’est-à-dire dans l’environnement: dans le groupe, avec un professeur et des textes kabbalistiques.

Il faut tendre de l’intérieur vers l’extérieur, et alors seulement, ayant complété un cercle, une personne peut se traiter comme une graine plantée dans le sol. Elle apprendra à cette graine à pousser de sorte qu’elle puisse germer et ne se dessèche pas dans le sable. Elle lui offrira des conditions stimulantes : les minéraux, l’humidité et la lumière, tout ce qui est nécessaire à sa croissance. Et c’est seulement alors que sa graine germera.

L’humanité en transition

Dr. Michael LaitmanNous existons à l’opposé de la propriété du don sans réserve du Créateur : c’est-à-dire le désir égoïste de plaisir. Sur le chemin spirituel, tous les désirs qui, progressivement, se déroulent en nous, des désirs plus légers aux plus lourds, doivent être transformés dans le but de donner sans réserve.Contrairement aux niveaux minéral, végétal, et animal, alors que nous, les humains, évoluons, notre égoïsme le fait tout autant. Toute notre histoire est une croissance non-stop du désir de plaisir et d’une chaîne de tentatives de le satisfaire. C’est notre nature. Par conséquent, nous ne cessons de vouloir que ce désir soit réalisé, rempli.

Donc, cela continue ainsi jusqu’à ce qu’à un moment donné de son développement l’homme arrive à la question: « Pourquoi ai-je besoin de cela ? » Son désir termine sa phase quantitative de l’évolution et se transfère vers le qualitatif. Maintenant, une personne n’a pas besoin seulement d’une meilleure voiture, d’une plus grande maison, et d’un monde plus confortable. Elle commence à poser des questions pour savoir pourquoi les choses se passent ainsi : « Pour quoi faire? Pourquoi? Qu’est-ce qui se passe avec moi et qu’est-ce que cela m’apporte ? »

De nouvelles questions s’élèvent au-dessus du niveau précédent de l’évolution. Au niveau humain, nous commençons à évaluer et à analyser la vie, n’étant pas satisfait du rôle d’une personne qui y « va -pour », qui, sans y penser, sert le désir égoïste. Dans les générations précédentes, de telles questions étaient très peu envisagées pour atteindre la source des événements, l’essence du processus et sa finalité. Ces personnes sont appelées des kabbalistes, du mot hébreu «celui qui reçoit» (Mekabel) car ils reçoivent la révélation de la gouvernance supérieure, avançant de ce fait. Comme les autres, ils ne se sentaient pas une vocation à répondre à de telles questions.

Dans la sagesse de la Kabbale qui aide une personne à trouver des réponses aux questions sur le but de la vie (la source et le but), il est écrit que le temps viendrait où de nombreuses personnes souhaiteraient savoir pourquoi vivons-nous. Dans leur s désirs égoïstes qui émergent progressivement, les masses vont commencer la transition à partir du niveau animal, de la vison d’une bonne vie, dans la mesure de l’homme, à la question de savoir pour quoi vaut-elle d’être vécue.

Les kabbalistes ont marqué le moment où une telle transition devait commencer: la fin du 20e siècle. Et c’est vraiment arrivé. Aujourd’hui, « les questions prioritaires» proviennent d’un grand nombre de personnes à travers le monde et dans une certaine mesure parmi toute l’humanité. Nous voyons comment le désespoir croissant, l’abus de drogues, le taux de divorce, et la crise de l’homme en général démontrent que les questions concernant la finalité de l’existence arrêtent notre développement égoïste normal, et ils exigent que nous cherchions des réponses. C’est alors seulement que nous trouverons la force pour continuer le voyage.

La nature des barreaux spirituels

Dr. Michael LaitmanAu début de notre chemin, au cours de milliers d’années en fonction du temps de notre monde corporel, nous avons été influencés par l’évolution des Reshimot (gènes spiritues), qui s’éveillent en nous et nous forcent à les réaliser.Par rapport à la nature, nous résidons dans un état considéré comme «ce monde» et devons passer par ce degré. Avec chaque nouvelle incarnation, un autre, un plus grand désir de plaisir s’éveille en nous, qui est un Reshimo plus exalté que nous sommes censés actualiser tout en essayant de le combler au maximum.

Lorsque tous les gènes d’information (Reshimot) qui appartiennent à la partie du chemin appelé « ce monde » expirent, nous commençons à expérimenter un autre type de Reshimot. Le premier de ces Reshimot est appelé  » un point dans le coeur .  »

À ce stade, nous sommes censés réaliser ce Reshimo basé sur les nouvelles conditions, un nouveau modèle: non pas selon le désir de plaisir de ce monde, mais selon le désir de donner sans réserve, qui est maintenant en train de se réveiller dans l’humanité. De cette façon, on avance, toujours contre notre volonté, sous la pression des gènes (Reshimot ) qui s’éveillent en nous.

Une personne ne peut rien faire d’autre que ce que son âme exige d’elle, car ses Reshimot sont préprogrammées avec tout ce qui va se produire. Quant à nous, nous sommes simplement un désir qui est complètement régit par ces gènes (Reshimot), semblable à un ordinateur qui est programmé avec un logiciel et des données.
Mais la nature des étapes spirituelles en nous reste constante. Notre volonté de plaisir est divisée en 125 parties ou degrés sur lesquels nous nous élevons. Et jusqu’à ce que nous ayons fini de corriger chaque partie précédente du désir de plaisir, en ayant fait toutes les transformations nécessaires à un degré donné, il est impossible de passer à l’échelon suivant.

La nature des barreaux spirituels est une loi stricte, et il n’y a pas d’astuces qui puisse nous aider à nous échapper et à nous cacher d’elle ou de lâcher un peu de mou. Tout dépend uniquement de la façon dont nous sommes impatients de répondre à ses conditions.

Le conduit de la Lumière du Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie «se réjouir de la joie d’un ami et pleurer sur sa douleur », et comment pouvons-nous y parvenir?Réponse: se réjouir de la joie de l’ami c’est se sentir heureux que nous atteignions notre but spirituel ensemble, que nous soyons sur le chemin ensemble. C’est quand je ressens l’aspiration de l’ami à l’intérieur de moi et que je ne sens pas ma propre présence ou l’avidité personnelle vers le but, mais plutôt combien j’aspire à elle avec eux. En fait, mon « moi » disparaît, se dissout dans les autres. C’est ainsi que j’atteins la vie éternelle, aussi.

Le « moi » d’une personne n’existe plus. Il ne fonctionne que comme un conduit de la Lumière du Créateur vers tous les autres. Ainsi, il s’avère que tous nos « moi » disparaissent. Et au lieu d’eux, il se dégage un tout solidaire, multiplié par le nombre de «moi» qu’ils avaient l’habitude d’être.

Définitions utiles pour l’étude du Talmud des dix Sefirot

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce que le « Zivoug ?  »

Réponse: Le  » Zivoug « est une connexion selon l’équivalence de forme, la similitude des propriétés. Cette action n’est pas fondée sur ce que chacun de nous est habituellement, mais plutôt sur la façon dont nous sommes devenus similaires les uns aux autres, après les corrections.

Au début, nous étions complètement séparés et opposés. Ensuite, nous avons effectué des corrections et à la mesure de ces corrections nous arrivons à un « Zivoug « (accouplement).

Question: Qu’est-ce que la «Parsa »?

Réponse: La « Parsa » est une cloison qui sépare les désirs de réception de ceux du don sans réserve par la force de Bina. Une personne doit d’elle-même souhaiter que cette séparation ait lieu en elle. Et puis, elle attire la force de Bina, le don sans réserve, la force du Créateur, de sorte qu’elle sera protégée et sauvée en séparant en elle le don sans réserve de la réception. C’est ce qu’on appelle «distinguer le jour de la nuit, la lumière de l’obscurité ».