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Le monde n’est pas limité par l’égoïsme

747.01Si nous pouvions aller au-delà de notre intention étroitement focalisée – faire tout uniquement dans notre propre intérêt (consciemment et inconsciemment, par n’importe quel effort, par la force, par tous les moyens) – nous commencerions à ressentir le monde non pas avec nos cinq sens, mais comme à travers les sens de quelqu’un d’autre.

La perception du monde à travers les organes sensoriels d’autrui nous donne une image complètement différente, non égoïste, au-dessus de l’image égoïste, que nous appelons le monde supérieur. Après tout, dans la mesure où nous commençons à sortir de nous-mêmes, à sortir de notre intention dans  notre propre intérêt et à intégrer une intention qui n’est pas pour nous-mêmes, nous découvrons qu’auparavant nous servions la force dans notre propre intérêt et que maintenant nous servons la force dans l’intérêt des autres.

L’intention dans l’intérêt des autres est appelée Lishma.

Cette possibilité d’agir dans une forme absolue et non dans notre propre intérêt, nous amène au degré d’éternité, de perfection et nous donne la possibilité d’exister dans un monde différent, dans un espace différent.

Question : Où est le Créateur ici ?

Réponse : Le Créateur est la force générale du don et de l’amour, qui dans ce cas apparait à une personne puisqu’elle commence à l’acquérir en dehors d’elle-même. Dans cette mesure, partiellement, elle se familiarise avec ce grand champ, cette grande force qui l’entoure dans une nouvelle dimension, dans un nouveau monde, qui s’appelle le Créateur.

Extrait de « États spirituels » de KabTV

La splendeur du livre du Zohar

567.04Le livre du Zohar est un commentaire de la Torah. Lorsque vous l’étudiez, son effet le plus important est de faire briller la lumière supérieure sur vous. C’est pourquoi on l’appelle « Zohar » – « splendeur ».

Cette lumière vous éclaire et vous amène à un état où vous commencez à flotter au gré des mots, des lettres et des phrases. En fonction de ce que vous lisez, vous changez intérieurement. Vous ne recevez pas des impressions comme si vous lisiez un roman, mais vous changez.

Ainsi, vous vivez les phases de toutes les métamorphoses décrites dans le Livre du Zohar et vous atteignez la fin de la création, son but, l’adhésion complète au Créateur.

Question : Au cours de la période initiale d’étude, lorsqu’une personne ne ressent pas l’influence du Zohar, celle-ci se produit-elle néanmoins ?

Réponse : Oui. Il l’influence, mais nous ne le ressentons pas encore. Par conséquent, la période initiale est appelée la période de préparation. On étudie, on lit, on entend, on essaie de comprendre.

Question : La préparation n’est-elle pas encore une action ?

Réponse : Non, ce n’est pas une action. Ce n’est que le développement intérieur de forces, de qualités et de pensées en vous, que vous commencerez à ressentir par la suite. En attendant, elles se développent en vous de manière latente.

C’est une période assez longue et pas simple, car une personne ne comprend même pas à quel point tout doit radicalement changer en elle.

Extrait de l’émission « La force du livre du Zohar » de KabTV #8

La solidarité pour la connexion entre nous

115.06Question : Les gens ne seront pas en mesure de découvrir la force supérieure si je ne me porte pas garant pour eux. Quelle est ma caution ?

Réponse : Dans le fait que vous, en tant qu’aîné, en tant que personne plus expérimentée, prenez sur vous tous les états, toutes les possibilités, afin de les mettre en relation avec vous-même et avec le monde entier.

Nous sommes interconnectés. Cette solidarité provient du système intégral dans lequel nous nous trouvons. C’est-à-dire que l’état entier de l’univers, des mondes, n’est qu’un seul, unique, système intégral

Et chacun de nous agit depuis le point où il se trouve dans ce réseau, comme une araignée qui tisse une toile. Chacun de nous est une petite araignée dont dépend le bon fonctionnement de tout le réseau. J’agis à partir de mon point, tu agis à partir du tien, et lui à partir du sien, et ainsi de suite. Si nous interagissons tous correctement, le réseau atteint son état maximal, parfait.

Question : On peut comparer cela à notre corps, dans lequel les différents organes semblent se porter garants les uns des autres.

Réponse : Oui. Absolument basé sur le même système.

Question : Dans le corps, cela se passe-t-il inconsciemment, comme programmé ? Devons-nous le faire consciemment ?

Réponse : Nous devons consciemment amener ce système défectueux à l’état correct où nous sommes tous solidaires les uns des autres, où nous nous complétons.

Question : Quelle est la raison pour laquelle personne ne connaît une information aussi importante ? Pourquoi le programme le prévoit-il ainsi ?

Réponse : Lorsque nous naissons dans ce monde, nous n’en savons rien. Nous avons des parents, des éducateurs et des professeurs qui nous enseignent. Nous vivons, nous existons, nous nous développons d’une manière ou d’une autre, et ce n’est qu’ensuite, entre 15 et 20 ans, que nous commençons à avoir un rapport créatif, voire pratique, avec le monde.

Il en va de même ici, tant dans la vie spirituelle, lorsqu’une personne vient à la Kabbale et commence à l’étudier, que dans l’humanité tout entière, qui traverse des milliers d’années de son développement.

Et ce n’est qu’à notre époque, à partir du 20ème siècle, que nous entrons dans un état où nous pouvons déjà découvrir ce système, les lois par lesquelles il existe, et commencer à comprendre comment nous devons agir pour amener ce système à un équilibre complet. Et avant cela, nous étions comme des enfants, nous nous développions inconsciemment.

Question : Peut-on dire que la loi de la solidarité est la loi de l’existence d’un organisme vivant ?

Réponse : Oui.

Extrait de l’émission « les états spirituels » de KabTV, 17/12/18.

Tout est perçu dans les sensations

962.2Le Créateur est une qualité du monde supérieur. Sa principale caractéristique est la qualité du don.

Nous ne pouvons pas dire qui Il est ou ce qu’Il est. Nous parlons seulement de la façon dont nous Le percevons. Dans la mesure où je commence à ressentir la qualité du don, je commence à atteindre le Créateur.

De la même manière, je ne peux rien dire d’une table, par exemple. Je peux dire qu’elle m’apparaît dans mes sentiments comme telle ou telle chose. Il en va de même pour le Créateur.

Par conséquent, le Créateur est appelé Bo-Ré. Bo, viens, c’est-à-dire change-toi en quelque sorte, et , vois. Bo-Ré, viens et vois. En d’autres termes, tout est perçu précisément dans nos sensations.

La sagesse de la Kabbale fonctionne de telle manière qu’elle forme en nous la qualité du don, et dans la mesure où une personne la ressent déjà en elle, elle commence à ressentir le Créateur. Elle dispose de nouveaux outils, appelés Kélim, des récipients, avec lesquels elle ressent le Créateur et le monde supérieur.

Extrait des « États spirituels » de KabTV

L’univers tout entier est une manifestation des noms du Créateur

239Question : Il est dit : « Lui et Son nom sont un. » Il est le plus haut pouvoir, le Créateur. Et quel est ce nom ?

Réponse : Son nom est l’état entre nous dans lequel le Créateur va se manifester. On l’appelle un nom parce que c’est ainsi que nous commençons à Le comprendre et à Le ressentir. De la même manière que vous comprenez une personne lorsque vous parlez d’elle, l’appelez par son nom. Après tout, vous pouvez la ressentir.

Question : Chaque fois que nous établissons une certaine connexion, le Créateur se manifeste-t-Il et Lui donnons-nous ce nom ?

Réponse : Oui. Par conséquent, nous disons « untel, untel, untel », c’est-à-dire que nous Lui donnons différents noms. C’est pourquoi nous disons que le Créateur a plusieurs noms. Pratiquement l’univers entier n’est que les noms du Créateur, Ses manifestations.

Question : Ainsi, tous les mots de la Torah sont Ses noms. Le nom est-il une manifestation du Créateur dans la connexion entre nous ?

Réponse : Tout ce qui est écrit dans la Torah est une manifestation de certaines sensations et propriétés entre les gens, dont le but est de parvenir à une relation correcte et bonne entre eux. Alors ils ressentent, ils atteignent le Créateur entre eux, et ils écrivent à ce sujet.

Extrait de « Les États Spirituels – Lui et Son nom sont Un » sur KabTV, le 24/05/2021

Équilibrer toutes les forces de la nature

624.04Question : Comment les forces négatives et positives, qui sont constamment en conflit, se manifestent-elles dans notre monde au niveau humain ?

Réponse : Dans notre monde, nous ne ressentons presque pas les forces positives, sauf de manière très limitée entre les amis, les proches, les parents et les enfants. Sinon nous les ressentons dans les instincts de la nature, qui nous impose de bonnes relations parce que sinon il n’y aurait pas de vie ni de continuité. Aux autres niveaux de la nature, nous ne voyons pas ces forces parce que nous ne les apportons pas dans notre monde.

Question : Cela signifie qu’il existe une force positive et une force négative, qui sont équilibrées, par exemple, à un niveau minéral, et donc la Terre peut exister.

Mais il y a eu une période où ces forces n’étaient pas en équilibre, et il y avait une lutte constante entre elles. Il en va de même pour l’humanité. Et comme conséquence de cela, des guerres constantes sont menées où les forces du bien et du mal sont constamment en guerre les unes contre les autres. Que se passera-t-il lorsqu’elles parviendront à l’équilibre ?

Réponse : Les forces du bien et du mal ne  s’équilibreront que lorsqu’une personne interviendra dans leur rapport, leur opposition, et équilibrera toutes les forces de la nature. La nature agira alors pour le bien de tous ceux qui la respectent.

Question : Nous pouvons dire que notre désir pour le Créateur, c’est-à-dire pour le don sans réserve, n’est pas encore complètement formé, et par conséquent, les guerres et les conflits surgissent ?

Réponse : Oui. C’est la relation entre nous qui détermine tous les états de la nature à tous ses niveaux et notre relation avec le Créateur.

Extrait de l’émission « les états spirituels » de KabTV, 21.05.21.

« Travailler sous le soleil »

426Le Livre du Zohar, VaYetze, Point 15 : « De ce fait, tout ce qui est en bas, en dessous du soleil, n’est pas la foi, pas de la Kedousha [sainteté]. C’est pourquoi il est écrit « qu’il n’y a pas de profit pour l’homme dans tout son travail sous le soleil », car nous ne devons pas adhérer sous lui.

« S’élever au-dessus du soleil » signifie être dans la qualité du don sans réserve, c’est-à-dire ne pas dépendre de la lumière qui remplit vos désirs égoïstes.

Hevel, la qualité du don sans réserve, Sort de Pé du Partsouf spirituel, de l’état appelé « la bouche de notre âme », de l’adresse extérieure de l’âme. Lorsque vous vous élevez au-dessus du soleil, vous générez en vous cette qualité appelée la lumière du soleil.

Alors n’attendez pas qu’un miracle se produise.

Question : Et que signifie la phrase : « Il est écrit : qu’il n’y a pas de profit pour l’homme dans tout son travail sous le soleil  » ?

Réponse : Il n’y a aucun avantage.

Commentaire : Engels a dit que le travail a créé l’homme lui-même.

Réponse : L’homme, oui. Mais ce n’est pas le travail dont parlait Engels. Il s’agit ici de travailler à devenir comme le Créateur, comme la lumière du soleil qui fait le vide en nous, nous donne envie qu’elle nous remplisse, et en même temps nous en serions nous-mêmes la source. La vérité est que ce travail est très simple. Cela se résume à une seule règle : « Aime ton prochain comme toi-même. Nous devons souhaiter y parvenir avec toutes nos qualités égoïstes et notre compréhension. Si nous pouvons le faire exactement selon les instructions kabbalistiques, alors nous deviendrons vraiment éternels, parfaits.

Extrait de « La force du livre du Zohar » de KabTV #13

« Celui qui vient pour vous tuer »

426Question : Il est dit dans la Torah : « Celui qui vient pour vous tuer, tuez-le en premier. » Qu’est-ce que cela signifie dans notre travail intérieur ?

Réponse : S’il existe un programme dans la nature pour atteindre l’amour, la connexion, et que quelqu’un s’y oppose, alors vous devez le détruire. Nous avons un programme clair pour corriger le monde, rapprocher tout le monde, et si quelqu’un s’y oppose, faites-lui la guerre.

Question : Il s’avère que toutes nos forces spirituelles doivent d’une manière ou d’une autre se manifester dans la matière de notre monde. En d’autres termes, si je n’ai pas réussi à corriger une partie de mon égoïsme et qu’il a déjà commencé à se manifester sous la forme d’un ennemi extérieur qui m’attaque dans le monde matériel, alors il y a une loi claire : je dois me battre contre lui.

Pourquoi la guerre intérieure seule ne suffit-elle pas ?

Réponse : Mais comme vous ne pouvez pas y faire face, alors vous compensez par une bataille extérieure. De plus, une guerre extérieure doit être beaucoup plus forte et féroce qu’une guerre intérieure, car vous devez en quelque sorte corriger vos propriétés.

Question : Que se passe-t-il si je ne mène qu’une guerre extérieure sans guerre intérieure ?

Réponse : Cela ne servira à rien. Les guerres peuvent durer des centaines, des milliers d’années et ne serviront à rien. D’ailleurs, je dois dire que toutes les guerres qui sont menées dans le monde peuvent être considérées comme juives.

Extrait de « Les États Spirituels » sur KabTV, le 14/05/2021

Quand atteignons-nous l’amour du Créateur ?

959Question : Y a-t-il une différence entre l’amour de son prochain et l’amour du Créateur ?

Réponse : Dans notre correction, il y a une différence, comme il est dit : « De l’amour des êtres créés à l’amour du Créateur ». Il ne peut y avoir l’un sans l’autre. Premièrement, nous devons régénérer l’amour de notre prochain.

Et puis nous atteignons l’amour du Créateur. Nous révélons qu’Il est parmi nous. Si je commence à entrer en relation avec les autres avec un sens du don et de la responsabilité de leur condition, alors l’amour apparait, c’est-à-dire qu’aimer son prochain est la cause, et aimer le Créateur est l’effet.

Extrait de « Etats spirituels, La journée de l’amour- TouBe-Av » de KabTV 29/05/2021

Cinq façons de traverser les moments difficiles

426Question : Il existe cinq façons de survivre à des moments difficiles lorsque vous vous sentez si mal que vous ne savez pas quoi faire.

La première façon est de vous entraîner à être heureux. Ils disent que c’est une habitude d’être heureux. Qu’en pensez-vous ?

Réponse : Je pense que c’est tout à fait correct.

Question : Pouvez-vous vous entraîner à être heureux malgré en dépit des coups reçus de toutes parts ?

Réponse : Et alors ? Il y a des circonstances, des forces qui vous donnent des coups. Chantez, juste chantez ! C’est la chose la plus importante pour un homme. Parce qu’il ne sait pas vraiment ce qui est bien et ce qui est mal, comment aborder la vie correctement, comment changer sa vie, et si ce qui vient est pour son bien ou pas.

Par conséquent, il doit accepter tout cela comme un bien et traiter tout ce qui arrive comme un bien nécessaire. Alors comment peut-il s’y retrouver ? En chantant !

Comme dans la chanson : « Réveille-toi et chante ! Réveillez-vous et chantez ! Essayez-le pour une fois dans votre vie… »

Commentaire : La deuxième façon est de comprendre que le mal compte autant que le bien ?

Ma réponse : Absolument ! Rien n’est bon ou mauvais, mais seulement relatif à une personne. Si une personne modifie légèrement son calibrage intérieur, elle verra le bien au lieu de tout le mal. Et peut-être, l’inverse.

Commentaire : On dit que le mal est important, il s’avère que le mal est ma réussite.

Ma réponse : Bien sûr. Il ne peut y avoir de bien sans mal, ni de mal sans bien. Nous devons apprendre à tout aborder correctement. C’est parce qu’au-delà de notre compréhension et de notre classification du mal et du bien, nous devons accepter que le monde entier n’est que bien absolu !

Question : Qu’est-ce que je fais quand quelque chose de mauvais m’arrive et que je le ressens comme néfaste ?

Réponse : Grâce à cela, vous obtenez une vision objective du monde. Vous vous élevez au-dessus de votre évaluation égoïste, et donc vous pensez que tout est bien et qu’il n’y a rien au monde que la force du bien, le bien absolu !

Voir le monde de cette façon est vraiment un bonheur et une grande opportunité.

Question : Est-ce possible ?

Réponse : Oui !

Commentaire : La troisième : il vaut mieux abandonner que de se cogner la tête contre le mur.

Il y a des circonstances contre lesquelles vous ne pouvez rien faire. Rien ! Mais vous vous battez tout le temps, vous vous battez toujours et essayez de prouver votre point de vue, de renverser la vapeur. Ce sont des moyens de traverser des moments difficiles, pour montrer que je veux traverser cette période difficile.

Ma réponse : Le mieux, comme l’a dit Rabbi Akiva, est de baisser la tête sous chaque vague qui approche, et ainsi vous serez conduit à terre.

Je n’appelle pas cela « abandonner ». J’appelle cela « être raisonnable sur ce qui se passe ».

Commentaire : Quatrièmement : déplacez votre attention de vous-même vers les autres.

Ma réponse : Ce n’est pas une mauvaise chose de prêter attention aux autres et de voir que leur condition, en général, n’est pas meilleure que la mienne. Pourquoi je ne ferais attention qu’à moi ? Pourquoi est-ce que je critique l’attitude de la nature ou de la société à mon égard ? Que deviennent les autres ?

Si je regarde la société, je me perçois déjà d’une manière complètement différente. C’est-à-dire que la souffrance de la société réduit ma propre souffrance. Faites attention à ce qui se passe dans la société et vous serez alors en mesure d’évaluer votre état de manière plus objective.

Question : Puis-je, lorsque je me sens mal et que je suis dans une situation difficile, en venir à avoir de la compassion pour autrui?

Réponse : Vous en êtes encore plus capable. Parce qu’alors vous commencez à comprendre ce que les autres ont, à sympathiser et à vous rapprocher d’eux.

Question : Est-ce que cela qu’on appelle sortir de soi ?

Réponse : Oui. Mais ce n’est pas pour échapper à votre propre souffrance. Cela vous aide à voir plus objectivement ce qui se passe dans le monde.

Question : L’attitude envers les autres est-elle objective ?

Réponse : Bien sûr. Vous pouvez déjà les regarder d’une manière différente

Commentaire : Cinquièmement : aimer, ne pas craindre. C’est ce qu’ils disent. En fin de compte, toutes les émotions se réduisent à deux principales : l’amour et la peur. De plus, l’amour et la peur ne peuvent pas exister dans l’âme en même temps. Si vous choisissez d’aimer, vous chassez la peur de votre âme.

Ma réponse : Absolument. L’amour remplace tout. Par conséquent, il est important d’essayer de remplacer tous nos autres sentiments par celui-ci.

Question : C’est-à-dire que je peux vraiment avoir peur, avoir peur, et je peux en sortir grâce à l’amour, n’est-ce pas ?

Réponse : Oui. Et vous ne ressentirez aucun sentiment négatif.

Commentaire : On dirait que c’est le conseil principal, en fait.

Ma réponse : Oui.

Question : Est-ce vraiment possible ? Une personne en a-t-elle la force?

Réponse : Absolument ! Nous avons donc trouvé comment vivre correctement.

Extrait de « l’actualité avec Michael Laitman » de KabTV, le 12/4/21