L’Essence des offrandes Sacrificielles

Dr. Michael LaitmanLe Zohar, Chapitre « VaYetze (Et Jacob Parti) – Partie 2, »point 373: Avec toutes les offrandes, il n’est pas dit, « Observe, » comme il est écrit, « Devriez-vous observer à offrir, » puisque qu’observer [(Tishmeru) c’est « garder, » (Shamor)] c’est Noukva, qui doit serapprocher en haut, à ZA, coomme il est écrit, « vous observerez pour M’offrir » offrir la Noukva en son temps, dans la droite et gauche [lignes] de ZA, qui sont Abraham et Isaac.Toute l’essence des offrandes sacrificielles est de se rapprocher, de construire la ligne du milieu en classifiant les désirs. A chaque fois que c’est possible, les désirs devraient servir au rapprochement et à la connexion. Ceux qui sont impossible à utiliser ainsi devraient être écartés en tant qu’obstructions et remplis. On doit connecter la ligne droite et la ligne gauche pour que le « Nuées de feu » et la Lumière Réfléchie s’élève au Créateur. Tous les discernements sont opérés uniquement pendant les « offrandes sacrificielles » de notre égoïsme

Désirez, et la Lumière viendra

Dr. Michael LaitmanLe Livre du Zohar nous est révélé maintenant parce qu’il est la source qui peut porter toutes les corrections et nous faire avancer.
De la même manière qu’un train ou une voiture ne peut bouger sans électricité ou pétrole, nous ne pouvons pas avancer sans le Livre du Zohar qui nous donne de l’énergie, du « carburant » pour l’avancement.
De plus, Le Zohar nous révèle où nous nous situons, qui nous sommes, où nous allons, et dans quel but. Il nous révèle le chemin en entier. En essence, il est la Lumière qui illumine tout l’espace qui nous entoure pour que nous puissions voir où nous sommes. Le Zohar est la Lumière qui nous donne une opportunité de ressentir qui nous sommes et ce que nous représentons dans nos têtes et dans nos cœurs, comment nous sommes organisés, comment nous ressentons, pensons et prenons des décisions. C’est la Lumière qui illumine le but devant nous pour que nous puissions comprendre vers quoi nous avançons, à quelle vitesse, ce qui se passe, et quoi faire ensuite.
Le Zohar est la Lumière qui donne la force, la Lumière qui nous corrige. et la Lumière qui nous avance sur le chemin. Il fait tout. Toutefois, nous devons éveiller la Lumière et ce n’est pas facile. Quand nous l’avons tirée, il n’y a plus rien à faire car elle sait comment tout arranger et exécuter. Nous avons seulement besoin de l’éveiller.
Nous croyons que la science de la Kabbale demande de nous des efforts impossibles. Toutefois, tout le travail est déjà entre nos mains. Après tout, la Lumière a besoin de venir nous influencer. La Lumière se nomme la Lumière Réfléchie car elle ne peut pas revêtir une personne directement, clairement, ouvertement. Elle fait cela indirectement et nous ne ressentons que les résultats de ses actions mais pas la Lumière elle-même.
Dans quelles conditions tire-t-on la Lumière? Elle est tirée en fonction de la loi de l’équivalence de forme ou la loi de l’égalité: la Lumière vient dans la mesure où je veux devenir similaire à elle. Quelle est cette action que je dois faire pour devenir similaire à elle? Cela s’appelle le groupe qui a été mis devant moi, et de prime abord je le haïs. De la même manière que je suis opposé à la Lumière, je suis aussi opposé à ce Kli (le récipient spirituel) nommé le « groupe ».
Dans la mesure où je tente de m’unir avec le groupe, de le pénétrer, la Lumière me touche au même exact degré. Je me situe en-dessous, « en-dessous du groupe », et cela est au-dessus, « au-dessus du groupe ». Il s’avère que je travaille à m’unir avec les amis, et dans la mesure où nous nous unissons la Lumière nous influence et nous corrige. Elle nous unit et la Lumière (le Créateur) est révélé dans notre unification.
Si tel est le cas, alors tout dépend de moi. La Lumière attend de ma part que je fasse cet effort. Je suis incapable de m’unir avec les autres; j’ai seulement besoin de le désirer et de faire l’effort. Ensuite cela se produira.

Donc, avant de lire Le Livre du Zohar, la plus forte source de Lumière Réfléchie, j’ai besoin de penser au fait que je dois m’unir avec les autres, préparant ainsi le récipient (Kli) pour la Lumière qui collera cela ensemble et se révélera en lui. Après tout, la Lumière est seulement révélée dans l’union, à l’endroit de l’ancienne brisure.

Visions ou monde spirituel?

Dr. Michael LaitmanLe Livre du Zohar, Chapitre « VaYechi (Et Jacob vécut), » Article 170: Au départ de l’âme de l’homme, toute ses proches et ses amis dans le monde de vérité marchent avec son âme et lui montre le lieu d’Eden et le lieu de la punition.
Question: Les gens qui ont vécu une mort clinique parlent de visions qu’ils expérimentent, qui sont à bien des égards semblables aux descriptions du Livre du Zohar. Ces gens toutefois, ne connaissent pas la moindre chose au sujet de la sagesse de la Kabbale.
Réponse: Le fait de comprendre la Kabbale n’aide pas une personne à voir le monde spirituel. Le monde Supérieur ne peut être ressenti que par une âme corrigée. Qu’une personne étudie ou non la Kabbale n’y change rien. Ce qui est important est de savoir si une personne désire se corriger.
Nous pouvons considérer les expériences de mort clinique de deux manières. D’un côté, quand une personne tombe dans un état clinique, cela est un gros coup pour le corps physiologique, qui n’est rien de plus que le désir de se combler. Notre corps ne nous apparait que comme quelque chose qui prend de l’espace, mais en réalité ce n’est que le désir d’être comblé d’un certain type de satisfaction.
Si ce désir ressent le vide ou la souffrance, il ne veut naturellement pas ressentir le lieu (désir) où il ressent la douleur. Il veut réduire ou restreindre ce lieu, vivre moins intensément, déconnecter ses sens, se droguer, et ainsi de suite. Toute personne qui ressent une souffrance émotive ou matérielle veut la limiter, c’est à dire, restreindre sa perception du monde, jusqu’au degré du désir de cesser de vivre.
Mais en éprouvant la souffrance et en voulant la surmonter, pour fuir ce lieu rempli de noirceur, de douleur, de coups, de guerres et de maladies, signifiant, que pour s’élever au-dessus de la terrible souffrance de ce monde, une personne fait essentiellement une action spirituelle. On ne le fait pas dans le but de donner ou parce que l’on est attiré par la spiritualité, mais parce que la souffrance nous met tellement de pression que cela nous force à sortir, comme le noyau d’une cerise, et on est dirigé vers le haut.
Ceci est le chemin de la souffrance, mais ce n’est pas du progrès parce que l’on ne se rapproche pas du but. En fait, on ne sait même pas qu’il y a un but; on fuit simplement comme un animal sous les coups de bâtons. Mais d’une manière ou d’une autre, on s’élève au-dessus de son ego, le désir d’avoir du plaisir. On veut l’annuler, tout en pensant: « Je ne veux rien, qu’on me laisse simplement tranquille! »

 

Imaginons que l’on vole un milliard de dollars et que l’on se fait prendre et que l’on est condamné à la prison à perpétuité. À ce moment-là, on ne désire plus que du pain et de l’eau et de se retrouver chez soi. C’est tout ! Toutefois, avant on voulait un milliard de dollars ! Le désir se réduit, comme s’il montait par la « foi au-dessus de la raison ». Il est prêt à être dans la qualité du don sans réserve, à rejeter le plaisir et à se restreindre pour ne pas éprouver la souffrance que procure la punition.
Et c’est là que les gens commencent à ressentir la vérité; une connexion avec le Créateur leur est révélée, du moins dans une certaine mesure. Cela se dissipe toutefois très rapidement, et les gens sont incapables de percevoir pleinement ou de retenir cet état parce qu’il leur manque leurs propres Kelim (récipients spirituels) permanents. Et ainsi, la sensation se dissipe.
Dans 99.9% des cas, la sensation de quelque chose de outre-monde a rapport avec les expériences psychosomatiques de ces gens. Puisqu’ils vivent dans la souffrance, la confusion, la brume émotionnelle, et des systèmes internes faussés, cela relève simplement de leur imagination.
Le but de la création n’est pas qu’une personne ressente le monde spirituel dans un état de mort clinique. Nous devons ressentir la spiritualité dans un état normal et fonctionner en elle comme des chercheurs qui ont le savoir, la connaissance, la sensation et le pouvoir. Nous devons en venir à être comme le Créateur.

Poussé en avant par la langue du serpent

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi tous les plaisirs disparaissent-ils immédiatement ? Je suis tellement heureux quand j’achète une nouvelle voiture, mais une semaine plus tard, je m’y habitue et je ne m’en soucie plus. Quelles est la cause du départ du plaisir ? Si la Lumière et le récipient sont tout ce qui existe, alors le plaisir ne devrait-il pas être éternel? Pourquoi faut-il qu’il disparaisse ? 

Réponse: C’est parce que le Kli (récipient) change. La voiture ne disparaît pas, mais mon désir devient plus grand et le plaisir reçu de la possession de la voiture ne le comble plus. Le changement du désir est quantitatif et non qualitatif. Dans la spiritualité, la croissance est qualitative plutôt que quantitative.
La voiture garée près de ma maison est encore belle et neuve, mais elle ne me passionne plus comme avant, même si à peine une semaine s’est écoulée. Cela se produit car un désir supplémentaires (la «langue du serpent primordial») s’est formé l’intérieur de vous, obligeant l’être humain en vous à se poser la question : «Qu’est-ce que cet achat me donne? » Vous ne vous rendez même pas compte que vous avez cette question, mais néanmoins elle s’éveille en vous et détruit tout votre plaisir.

Après la brisure ou la chute de l’Arbre de la connaissance, un point de connexion avec le Créateur a émergé dans toutes sortes de plaisir. Quand le désir est comblé, ce point demande si vous avez atteint le plaisir éternel. Il vous oblige à vous mettre immédiatement à chercher un autre moyen de vous combler. Nous avons progressé de cette manière dans toute l’histoire, et nous ne nous serions pas développés pour autre chose. C’est ce qui distingue une personne d’un animal: la naissance de nouveaux désirs.
Un besoin inconscient de devenir semblable au Créateur n’a cessé de nous pousser en avant à partir du moment nous sommes sortis des cavernes jusqu’à ce jour, ce qui est le résultat du péché originel. Nos désirs (Adam et Eve) seraient restés comme des animaux, si l’être humain qui est en nous n’avait cessé de croître. Nous commençons à ressentir de la honte par rapport au Créateur, car nous nous rendons compte combien nous sommes différents de lui. La honte est ce qui nous amène à poser la question, « Qu’est-ce que je gagne de cela ? » Inconsciemment, nous pensons à nous-mêmes, «Pourquoi ai-je besoin d’une voiture si je suis en train d’essayer d’atteindre le Créateur? » Même si nous ne sommes pas au courant de notre connexion avec le Créateur, ce vide qui nous ronge à l’intérieur vient de Lui.

Nous permettre de contourner toutes les souffrances

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si tout dépend dans le monde des personnes qui s’engagent dans le développement spirituel, cela signifie-t-il que nous sommes responsables de toutes les souffrances qui se produisent dans le monde?
Réponse: Non, nous ne causons pas de souffrance dans le monde. Au contraire, nous tirons la Lumière et transférons la souffrance d’un niveau corporel à un niveau de souffrance spirituelle. En conséquence, au lieu de souffrir à cause des guerres, des maladies et de tous les autres problèmes, nous souffrons du fait que nous manquons de spiritualité. C’est ce que la science de la Kabbale donne à une personne. Une personne «souffre», mais ce n’est pas une véritable souffrance puisque c’est la souffrance de l’amour.
Si j’étais invité pour un repas dans quelques heures, alors j’éviterais de manger maintenant pour garder mon appétit pour le repas. De même, la compréhension dont j’ai besoin pour préparer mes Kelim spirituels est appelée la souffrance de l’amour. Toutefois, même lorsque nos Kelim sont vides, nous sommes en mesure de ressentir une légère illumination dans l’attente de notre prochaine réunion avec les personnes que nous aimons. C’est ce que nous devons apporter à l’humanité: nous avons besoin de leur montrer qu’il existe une solution pour les coups qui se développent dans la nature.

Actuellement, nous entrons dans une période de problèmes écologiques qui peuvent causer des souffrances et la mort des milliers de personnes. Nous sommes témoins de catastrophes naturelles qui éclatent partout dans le monde, y compris en Chine, Europe, Russie et l’Amérique. Le seul moyen de nous sauver de ces catastrophes est de préparer nos Kelim spirituels. Nous n’avons pas besoin de préparer nos Kelim dans un sens corporel, en attendant des décennies de souffrances avant de finalement se rendre compte qu’il ya une raison et un but à la souffrance, et que nous avons un choix. Il y a deux chemins qui mènent vers le même but, le chemin de la Lumière et le chemin de la souffrance.
Pourquoi devrions-nous souffrir en vain? Si nous attirons la Lumière, alors elle révélera comment nous sommes opposés à Elle et nous souffrons à cause de voir un meilleur état par rapport à celui que nous connaissons actuellement. C’est ce que la science de la Kabbale offre à une personne: le chemin de la Lumière au lieu du chemin de la souffrance.

Les kabbalistes à propos des kabbalistes, Partie 16

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre parenthèses sont de moi.Les sources Kabbalistiques : Le Livre du Zohar

Nous n’avons pas trouvé un seullivre de la sagesse de la vérité qui précède Le Livre du Zohar de Rashbi, car tous les livres de la sagesse antérieurs à son [Livre du Zohar] ne sont pas classés comme des interprétations de la sagesse. Au lieu de cela, ce sont de simples allusions [des explications abrégées et incomplètes], sans aucun ordre de cause à effet, comme le connaissent ceux qui trouvent la connaissance, et cela bien au-delà de la compréhension de ses mots [de façon aléatoire et imprécise].

 Baal Ha Soulam « Parlez à mots couverts »

Qui perce un trou dans le bateau?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si des pensées étrangères viennent à moi même pendant la lecture du Zohar, cela signifie que je perce un trou dans le bateau? 

Réponse: Ces pensées étrangères ne sont pas les vôtres, mais « viennent  » à vous de quelque part. Ils ne dépendent pas de vous, le Créateur les envoie. Alors, détendez-vous. Vous n’êtes pas en train de percer un trou dans le bateau commun seulement avec les pensées qui surgissent en vous.

 

Ce que vous allez faire avec ces pensées «étrangères» est important cependant, ce qui signifie, allez-vous rester avec elles et continuer à penser à elles. Si oui, vous serez vraiment en train de faire un trou dans le bateau. Ou peut-être vous résisterez à ces pensées et les jetterez loin de vous à chaque moment donné, tout en souhaitant rester ensemble avec vos amis qui utilisent toutes leurs forces pour mener ce bateau vers l’objectif? Cela dépend précisément de vous.

C’est toujours le cas dans la Kabbale: Nous travaillons sur ce que le Créateur nous envoie, au-dessus des circonstances (Reshimot) qui émergent. Nous ne les choisissons pas, et nous ne sommes pas jugés selon elles. Seule notre réaction à leur égard dépend de nous, et nous devrions être jugés sur cette base.

Il y a cinq mondes entre-nous

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie révéler le Zohar dans notre sensation commune? 

Réponse: Rien n’est révélé dans une personne, mais seulement dans sa bonne connexion avec les amis dans le groupe. Mes dix premières Sefirot, le premier récipient spirituel (Kli), est mon aspiration à sortir de moi-même et à m’unir avec les autres (le groupe). Mon état d’esprit est déterminé par en quoi je vais essayer de créer cette union.
Il y a vous et moi Entre nous, il ya cinq mondes: Assiya, Yetzira, Beria, Atsilout, et Adam Kadmon. Lorsque je me rapproche de vous jusqu’à ce que la distance entre nous disparaisse mon état est appelé le Monde de l’Infini. Mais pas la vôtre. Le Monde de l’Infini, c’est quand vous et moi, de mon côté, devenons comme un tout. Par conséquent, la mesure où je suis capable de me rapprocher de vous détermine le degré spirituel où je me trouve puisque que tous les 125 degrés son entre nous.
Nous pouvons vaincre la distance entre nous ensemble. C’est beaucoup plus efficace parce que ce qui importe, c’est l’union entre nous, plutôt que vous ou moi. Je n’ai pas besoin de vous accepter, de recevoir de plaisir de vous, ou de m’unir avec vous. Nous devons nous unir ensemble. Cette union est en fait le Créateur, le troisième volet, comme il est écrit: «Israël, la Torah, et le Créateur ne font qu’un.

La bataille et l’union des contraires

Dr. Michael LaitmanÉtat n°1 (notre état présent) est le « don sans réserve » de soi-même, qui se compose de notre plaisir et de l’accomplissement désiré. État n° 2 (l’Etat que nous souhaitons atteindre) est l’adhésion au Créateur, qui constituera notre plaisir. Et c’est là que réside la contradiction.Dans «le don sans réserve » pour soi-même, l’action elle-même, le travail et la récompense sont tous dans une seule direction, en une seule ligne. Par conséquent, c’est appelé la Lumière Directe, et tout est clair pour nous ici: le début, la fin, et la réalisation de cet objectif final est dirigée dans une seule direction: vers moi.

Mais si je veux prendre plaisir à adhérer au Créateur, alors apparaît le problème de l’intention opposée au résultat. J’ai besoin de corriger l’intention, et c’est contre ma volonté! L’adhésion au Créateur doit se transformer en réception de plaisir pour moi. Et je dois en profiter puisque c’est le plan de la création. Pourtant, le plaisir devrait provenir du don sans réserve, ce qui m’est complètement opposé !

Le but de la création est le plaisir, et la correction de la création est le don sans réserve. Toutefois, ces deux conditions se contredisent. C’est le principal obstacle et la difficulté de notre perception, qui ne cessent de bloquer notre chemin, nous privant de la possibilité de réaliser ce qui était prévu.

Nous avons à faire de grands efforts et à accomplir un travail énorme, d’une part, et pourtant, d’autre part, son résultat ne dépend pas de nous, il est donné d’En haut. En attendant, nous ne révélons notre désir qu’à travers notre travail. Nous ne parvenons pas au but, mais nous obtenons plutôt le Kli, le récipient qui peut le con tenir.

Par conséquent, ces deux opposés (l’adhésion au Créateur et le plaisir qui en découle) ne se réuniront qu’à partir de l’adhésion avec Lui. Et seule la Lumière Supérieure, qui change notre nature, peut nous amener à cette adhésion.

Nous avons besoin de changer de l’état dans lequel le cœur contrôle la personne (et pour cette raison la Kabbale considère une telle personne comme « méchante ») à un état où un être humain en nous gouverne au-dessus du cœur et alors une personne est appelée «juste ». Et il n’y a qu’une seule solution pour y parvenir: le groupe kabbalistique, qui est un modèle, un exemple, et le cadre dans lequel nous pouvons nous observer et voir dans quelle mesure nous correspondons à cet objectif ou non.

Le groupe est capable de me convaincre que je n’ai pas quelque chose de plus précieux que l’adhésion au Créateur! D’un autre côté, cependant, j’arrive à la conclusion que ne je suis capable de rien, et seul le Créateur peut m’aider. De cette façon, j’arrive au désir nécessaire, une prière.

Toutefois, en ce moment il nous manque ces deux pôles opposés: Keter et Malkhout, la Lumière Directe et la Lumière Réfléchie, la correspondance inverse de la Lumière et du désir. Tout cela n’est contenu que dans le Kli corrigé qui a une intention contre le désir.

Nous avons besoin de construire ce modèle des 10 premières Sefirot en nous-mêmes pour la première fois. Ensuite, nous avons la structure interne, comme une première cellule d’un nouvel organisme, à partir de laquelle l’embryon de l’âme se développe.

Le tournage du film « Le Zohar » a commencé!

Dr. Michael LaitmanBnei Baruch a commencé à filmer « Le Zohar, » un long métrage historique basé sur le script écrit par Semion Vinokour. Il y a eu des mois de préparation pour cet événement: un groupe de décorateurs dirigé par Gia Basilaia a conçu les costumes, qui sont à la hauteur desstandards des meilleurs studios cinématographiques mondiaux ; tous les attributs de l’armée romaine ont été recréés à fond; une ancienn route en pierre a été trouvée. La scène a été filmée avec la participation des étudiants de Bnei Baruch d’Israël.Une étude approfondie du Livre du Zohar renforce le désir de diffuser la connaissance sur le livre et de raconter l’histoire de sa création et de son importance sans précédent pour l’humanité. Ce film est une occasion unique d’atteindre cet objectif. Réfléchissons ensemble à la réussite de ce projet!

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