Category Archives: Sources kabbalistiques

L’homme qui est venu pour nous conduire vers l’ascension


L’ensemble de la sagesse de la Kabbale nous est parvenue du Livre du Zohar et des œuvres du Ari. Si le le Baal HaSoulam n’avait pas été là, nous ne serions pas en mesure d’étudier. Le Livre du Zohar est plein d’allégories et d’histoires compréhensibles uniquement par une personne qui a atteint le même degré de spiritualité et qui est capable de déchiffrer ses indications.

Quant au Ari, lui-même n’a jamais écrit quoi que ce soit, seulement il parlait. Tous son travail a été écrit par Chaim Vital son disciple et toute la collection d’essais en plusieurs volumes est basé sur ce que le Ari a exposé plus d’un an et demi après. Son groupe a existé peu de temps, il l’a enseigné et il s’est éteint.

Par des différents chemins, ce matériel est passé par diverses personnes qui ont réalisé la compilation des livres venant de lui. Une partie de ces livres a été gardée dans un lieu tenu secret, l’autre a été enterré dans la tombe de Chaïm Vital puis récupéré un peu plus tard, quand la tombe fut ouverte. La troisième partie a été transmise à travers les générations passant de main en main, et qui sait ce qu’il en a été fait.

Le Ari a exposé l’ensemble du système en général, et si une personne n’a pas les travaux complets, elle ne peut pas comprendre ce matériel et, elle ne peut pas en faire la synthèse de façon correcte. C’est pourquoi, bien que ces documents aient été recueillis par les Kabbalistes, beaucoup de ces travaux étaient manquants, et l’ordre exact n’a pas pu être suivi.

Par conséquent, le Baal HaSoulam a ajouté ses commentaires aux œuvres du Ari afin que nous puissions suivre une progression naturelle de la plus simple à la plus complexe en étudiant de la façon correcte, pour comprendre les écrits du Ari. Nous ne serions pas capables de comprendre quoi que ce soit sans ces commentaires. Dans la Kabbale, ce qui est très dangereux, parce que vous ne comprenez pas ce qui est décrit, est de supposer, d’imaginer tout et rien.
Nous devons donc être reconnaissants de l’excellent travail que le Baal HaSoulam a accompli: Nous n’aurions rien réalisé sans lui. Parfois les gens me demandent: «S’il ya tant d’autres kabbalistes, pourquoi ne pas étudier leurs œuvres » Mais nous n’avons pas besoin de quelqu’un d’autre pour étudier parce que tous ont écrit à partir de leur degré spirituel le plus élevé, par exemple, les kabbalistes tels que Gaon de Vilna ou Ram’hal. Nous ne pouvons pas baser nos études sur leurs œuvres, car les Kabbalistes ne les retranscrivent pas pour les gens ordinaires comme nous afin que nous puissions les comprendre, les utiliser et les accomplir par nous-mêmes.

Les kabbalistes sur l’approche de l’étude de la sagesse de la Kabbale, la partie 7

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît poser des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.

L’importance de l’intention au cours de l’étude

S’il a l’intention d’étudier la Torah, afin de recevoir le don de la Torah, appelé « Lumière qui ramène vers le bien», alors son étude est bénéfique. Cependant, quand il oublie le but de l’étude de la Torah, la Torah n’est pas un instrument complétant le travail de faire le désir du don sans réserve.. C’est l’essence des mots, «la Torah sans travail » [dans l’intention d’être corrigé par la Lumière de la Torah] est révocalbe » [est vide de sa Lumière].
– Rabash, Les barreaux de l’échelle, « Qu’est-ce que la Torah et le travail sur le Chemin du Créateur »

Une des merveilles de l’étude des secrets de la Torah est quand un homme étudie ces concepts avec amour, même s’il n’est pas capable de percevoir les choses avec son intelligence, elles élèvent néanmoins son essence, par conséquent, ces choses brillent de leur Lumière sur lui.
– Rav Kook Raiah, Orot HaTorah [Lumières de la Torah], chapitre 10, article 10

Les kabbalistes à propos de l’étude de la sagesse de la Kabbale, partie 6

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît poser des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.
L’importance de l’intention pendant l’étude.
Avant l’étude, chacun doit clarifier l’objectif avec lequel il a maintenant l’intention d’étudier la Torah, c’est-à-dire clarifier son intention.
– Rabash, Les barreaux de l’échelle, « Qu’est-ce que la Torah et le travail sur le Chemin du Créateur »
Il faut fournir de grands efforts avant de s’engager dans l’étude de telle sorte que l’étude apporter la lumière de la Torah qui ramène vers le bien.
– Rabash, Les barreaux de l’échelle, « Qu’est-ce que la Torah et le travail sur le Chemin du Créateur »
Le but de l’étude de la Torah est d’arriver à sentir le donneur de la Torah. Un tel disciple est appelé «Israël».
– Rabash, Les barreaux de l’échelle, « Qu’est-ce que la Torah et le travail sur le Chemin du Créateur »

La formule pour revenir à la bonté

Dr. Michael LaitmanUne personne qui ouvre le Livre du Zohar l’ouvre pour révéler le Créateur. Par définition, la science de la Kabbale est la méthode pour révéler le Créateur à la création dans ce monde. Sinon pourquoi la Kabbale et l’ensemble de la Torah nous auraient été donnée ? Le Créateur est révélé dans le désir de donner et dans l’amour pour une personne. Ce désir est égal aux qualités du Créateur, et le Créateur se révèle en elle conformément à la loi de l’équivalence de forme.

Ainsi, le Créateur est l’attribut du don et de l’amour, la force du don et de l’amour, « le Bien qui fait du bien. » Comment, alors, pouvons-nous atteindre le désir de donner et d’aimer, le Bien qui fait le bien ? En nous connectant les uns aux autres en dépit des forces égoïstes de chaque individu, se repoussant l’un l’autre et en construisant un réseau de bonne connexion entre nous au-dessus du réseau de haine. En construisant un réseau dans lequel chaque personne est bonne et fait le bien, donne et aime les autres.

Mais comment pouvons-nous faire si chacun de nous n’est qu’un petit égoïste ? Nous lisons le Livre du Zohar, qui parle de nos états corrigés, dans lesquels nous sommes reliés par une bonne connexion entre nous, et nous désirons que cela devienne vrai à l’intérieur de nous. Dans ce cas, nous recevons une impression de ces bons états, qui existent déjà dans l’infini. Cette impression, l’influence des forces de nos états corrigé sur notre état actuel est appelé « lumière environnante» ou «la lumière qui nous ramène vers le bien. »
Alors, selon la formule : «J’ai créé le mauvais penchant et j’ai créé la Torah comme une épice, parce que la Lumière en elle ramène vers le bien», nous revenons à la source – le Bien qui fait du bien. Ainsi, nous révélons le Créateur, le Bien qui fait le bien, notre racine.

De la 2e partie du cours quotidien de Kabbale 26/5/11, Le Zohar

Les kabbalistes à propos de l’étude de la sagesse de la Kabbale, Partie 4

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.L’importance de l’intention pendant l’étude

Au cours de la pratique de la Torah, chaque personne doit orienter sa tête et son cœur dans le but de révéler le Créateur [l’attribut du don sans réserve et de l’amour]. Et chaque personne est capable de le faire, comme il est écrit: « vous avez fait des efforts et vous n’avez pas trouvé, ne croyez pas. » … Cependant, dans ce cas on n’a besoin de rien d’autre, sauf de l’effort.

– Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot » Point 97

« Il est un remède merveilleux pour ceux qui s’engagent dans la sagesse de la Kabbale. Bien qu’ils ne comprennent pas ce qu’ils apprennent, par le grand désir de comprendre, ils éveillent sur ​​eux-mêmes les lumières qui entourent leurs âmes. »
– Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot, » Point 155

Les kabbalistes sur l’approche de l’étude de la sagesse de la Kabbale, Partie 1

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît, posez des questions sur ces passages de grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.

Le remède dans l’engagement dans la sagesse de la Kabbale

Pourquoi sommes-nous tous obligés d’étudier la sagesse de la Kabbale ? C’est parce que, bien que ceux qui l’étudient ne comprennent pas ce qu’ils apprennent, grâce à leur aspiration et leur grand désir de comprendre ce qu’ils apprennent, ils éveillent sur eux-mêmes les lumières qui entourent leurs âmes.

– Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot, » Point 155

Il est écrit dans le Zohar: «Avec cette composition, les Enfants d’Israël [ceux qui aspirent à sa révélation] seront rachetés de l’exil [Sa dissimulation]. » … Ce n’est que par la diffusion de la sagesse de la Kabbale dans le peuple que nous obtiendrons le salut total [le rachat des souffrances de ce monde].

– Baal HaSoulam, «Introduction au livre, Panim Meirot ouMasbirot, » Point 5

Quand une personne s’engage dans la sagesse de la Kabbale, citant les noms des Lumières et les récipients liés à son âme, ceux-ci l’influencent immédiatement dans une certaine mesure … et à chaque fois lors de l’engagement … le rapprochent d’arriver à la perfection.
– Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot, » Point 155

Les kabbalistes au sujet de la Torah et des Commandements, Partie 48

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.Les travailleurs du Créateur qui rendent la Torah aride.

Mais si une personne d’Israël dégrade la vertu de la Kabbale, qui traite de la correction de nos âmes, au sujet de la réalisation mécanique des rites religieux, … il humilie et déshonore les Enfants d’Israël et renforce les destructeurs du monde dans les pays du monde, qui considèrent Israël comme superflu, comme si le monde n’avait pas besoin d’eux, Dieu ne plaise.

– Baal HaSoulam, « Introduction au Livre du Zohar, » Point 69

J’ai rencontré les kabbalistes les plus renommés de Jérusalem, des personnes qui avaient déjà usé leurs années à plonger dans les écrits du Ari et du Zohar et qui les connaissaient presque par cœur …. Je leur ai demandé s’ils avaient étudié avec un professeur qui avait atteint l’essence intérieure des textes. Ils ont répondu: «Mon Dieu, non! Il n’y a ici aucune internalité que ce soit, mais des textes précis, qui nous ont été donnés, et rien de plus que cela. « … » Le Ari a reçu la composition de ces matériels d’Élie, et il savait l’intériorité, car c’est un ange. « Voici que ma colère s’est déversée sur eux, car ma patience d’être avec eux avait pris fin.
– Baal HaSoulam, «Introduction au livre « De la bouche d’un sage »

Les kabbalistes de la Torah et les commandements, Partie 45

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît, posez des questions sur ces passages de  grands kabbalistes. Les commentaires entre parenthèses sont de moi.

Seule la lumière de la Torah corrige une personne

Nos Sages ont dit: «J’ai créé le mauvais penchant, j’ai créé la Torah comme une épice«  (Babba Batra, 16). Nos sages ont dit au sujet de l’épice: «Si seulement ils Me quittaient et gardaient Ma Torah, la Lumière les corrigeraient» (Yerushalmi, Hagiga, 6b). Ainsi, il y a une puissance dans la Torah pouvant corriger une personne, se référant au mal dans l’homme, c’est-à-dire transformer le désir de recevoir en un désir dans l’intention de donner.

– Rabash, Les barreaux de l’échelle, « l’homme est créé dans la Torah »

Nous voyons que le but de créer les mondes et les âmes n’avait qu’une seule intention: que tout soit corriger pour devenir dans le but de donner, c’est ce que l’on nomme Dvekout [adhésion], « l’équivalence de forme ».  Le Créateur dit à propos de la Torah « J’ai créé le mauvais penchant, j’ai créé l’épice. « En d’autres termes, une fois que la personne a reçu la Torah comme une épice [médecine], le mauvais penchant [égoïsme] est corrigé pour devenir dans l’intention de donner, comme il est écrit dans le Zohar, « L’ange de[égoïsme] la mort doit devenir un saint ange [celui de l’amour]. »
– Rabash, Les barreaux de l’échelle, « Qu’est-ce que la Torah et le travail sur le Chemin du Créateur »

Les kabbalistes sur la Torah et les commandements, partie 36

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands  kabbalistes. Les commentaires entre corchets sont de moi.

Seule la lumière de  la Torah  ramène la personne vers le Bien.

La Torah se réfère à la Lumière [de la correction] revêtue  dans  la Torah [dans l’aspiration d’atteindre l’attribut du don sans réserve  en se connectant avec des amis, à être comme un], ce qui signifie, comme nos sages  ont  dit: «J’ai créé le mauvais penchant, J’ai créé la Torah comme une épice ». Il s’agit de la  Lumière en elle, puisque la Lumière en elle  la ramène vers le Bien  [crée dans une  personne l’attribut du don sans réserve].
– Baal HaSoulam, Shamati [J’ai entendu], article n ° 6,  « Qu’est-ce que  le  soutien dans la Torah dans le Travail. »

La Torah est la seule épice qui  annule [qui  ramène au Bien  par la  Lumière supérieure ] et  soumet  [remplace la nature de l’homme  avec la nature opposée , celle du Créateur, pour passer de l’égoïsme au don sans réserve et à  l’amour] le mauvais penchant, comme nos sages ont  dit , «La lumière en elle les  a ramenésvers le Bien « .
– Baal HaSoulam, «L’enseignement de la Kabbale et son essence »

Quand les justes s’unissent

Dr. Michael LaitmanDès que les justes [ceux qui veulent justifier le Créateur] s’unissent, la haine mutuelle s’intensifie immédiatement [l’égoïsme] qui cause des combats et des querelles.
– Le livre, Noam Élimélech 

Quand dix d’Israël [qui tendent vers le Créateur] s’unissent afin d’acquérir la propriété de l’amour et du don sans réserve, par leur force de leur unité, la propriété de l’amour et du don sans réserve est attirée sur le monde.
– Leib Alter Aryeh Yehuda, Le langage de la Vérité