Category Archives: Sources kabbalistiques

Quand les justes s’unissent

Dr. Michael LaitmanDès que les justes [ceux qui veulent justifier le Créateur] s’unissent, la haine mutuelle s’intensifie immédiatement [l’égoïsme] qui cause des combats et des querelles.
– Le livre, Noam Élimélech 

Quand dix d’Israël [qui tendent vers le Créateur] s’unissent afin d’acquérir la propriété de l’amour et du don sans réserve, par leur force de leur unité, la propriété de l’amour et du don sans réserve est attirée sur le monde.
– Leib Alter Aryeh Yehuda, Le langage de la Vérité

Un voyage autour du monde avec le Livre du Zohar

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous amener nos mouvements intérieurs à correspondre avec le texte du Livre du Zohar ?

Réponse: Par rapport aux autres sources kabbalistiques, c’est effectivement facile à faire avec le Zohar, car la vitesse et la lecture du texte sont telles que tout ce que vous avez à faire est de vous sentir comment «couler » avec lui. Mais cela ne signifie pas que vous entendez le son comme le bruit d’une rivière qui s’écoule.

« Couler ensemble avec lui» signifie que vous essayez très calmement, comme il est écrit: «Les paroles des sages se font entendre dans le calme ». Vous allez ensemble avec les auteurs du Zohar sans aucune résistance, en organisant vos mouvements intérieurs pour les adapter au son des mots. Si vous avez raté quelques mots et ne les entendez pas, ne vous inquiétez pas et continuez avec les mots suivants. Ainsi, vous continuez avec le flot comme un copeau de bois sur les ondes, en répétant toutes les nuances de l’eau.

C’est ainsi que nous devrions permettre à nos qualités, nos désirs et sensations de couler ensemble avec le texte du Zohar comme sur la surface de l’eau, en essayant de répondre à ce flux, en essayant de trouver où sont à l’intérieur de nous ces qualités et ces désirs que Le Zohar décrit. Mais nous devons aller les chercher très simplement et facilement. La chose la plus importante est de laisser passer ce flux à travers vous. Après tout, nous sommes juste un récipient ou Kli par lequel la totalité de ce flux de mots doit entrer en nous.

Lors de la lecture du Zohar, nous ne cherchons pas à activer l’esprit ou à discerner les définitions intérieures. Même dans les endroits où le Zohar semble utiliser des termes techniques, scientifiques, en utilisant le langage de la Kabbale, nous devrions également essayer de laisser ce texte passer à travers les sensations plutôt qu’à travers l’esprit, signifiant essayer d’écouter nos propres sentiments et impressions, en essayant de ressentir à quel point chaque mot résonne en nous, peu importe la langue que le Zohar utilise

De la 2e partie du cours quotidien de Kabbale du 9/3/2011,Le Zohar

La méthode de première-main

Dr. Michael LaitmanLes kabbalistes diffèrent les uns des autres dans leurs degrés de développement, leur degré de compréhension et de réalisation. Naturellement, cela est également lié aux types d’âmes qui descendent dans notre monde à chaque génération.Dans sa prophétie, le Baal HaSoulam écrit que le Créateur lui dit: «Prends cette épée en main …. » Essentiellement, cette épée est un signe que le Créateur lui a donné le pouvoir de corriger l’énorme manque d’harmonie humain. «Les bonnes choses passeront par ton biais, car jusqu’à présent, je n’avais pas d’homme fidèle, comme toi …».

Dans une de ses lettres, le Baal HaSoulam écrit que le Ari est un grand kabbaliste qui nous a révélé la méthode de correction. Nous sommes incapables d’apprécier leur véritable hauteur. Par exemple, selon le Baal HaSoulam, Rabbi Akiva était naturellement plus élevé que le Rashbi. Toutefois, Rashbi nous a plus révélé que Rabbi Akiva, et il est plus précieux à nos yeux parce que nous recevons plus de son enseignement.

De même, le Ari est également très grand et importante pour nous. Il a développé la méthode de notre correction parce que son âme se rapporte au type du Messie, le fils de Joseph (Yossef ben Machia’h). Le Baal HaSoulam écrit que, depuis lors, il n’y a pas eu une seule personne qui ait été en mesure de bien comprendre la méthode du Ari. Il y a eu de nombreux sages, mais le Baal HaSoulam a été le premier à recevoir le mérite de l’âme d Ari.

Cela ne dépend pas des forces de la personne, ni de sa sagesse, ou encore de ses efforts dans l’étude .C’est activé par le but intérieure évoqué par le système des âmes, et c’est pourquoi le Baal HaSoulam dit qu’il l’a simplement mérité, alors que beaucoup d’autres avant lui ne l’avait pas mérité.
Nous ne comprenons pas cela. Nous ne voyons que d’une façon ou d’une autre, toute personne dans le monde a son propre destin qui est appelé sa «chance», sa racine. Nous avons besoin d’être heureux d’avoir reçu l’instruction d’une personne qui a été la nouvelle incarnation de l’âme du Ari, afin de nous donner la méthode de correction dans les temps modernes.

C’est pourquoi nous utilisons les travaux du Baal HaSoulam. Lorsque vous vous préparez pour la leçon, il est très important de sentir que vous êtes sur le point d’étudier la source principale, la source la plus haute et la plus authentique.

Même si nous ne comprenons pas le monde spirituel, il nous apparaît parfois comme quelqu’un qui a eu de la chance dans le monde corporel, comme quelqu’un qui a été de l’avant par hasard. Le succès prend beaucoup de force et d’effort pour certains, et la fortune semble sourire à d’autres.

Selon la Kabbale, nous comprenons que cela vient de la racine de son âme. C’est pourquoi un enseignant méritant comme le Baal HaSoulam est un motif de grande joie et une base pour l’assurance. Nous recevons l’aide d’une âme particulière qui fonctionne comme un moyen pour le Créateur de nous influencer et pour nous connecter avec Lui.

En fin de compte, nous recevons la force d’En Haut par l’ensemble du système corrigé des âmes, et nous nous assurons de la transmettre aux âmes non corrigées, à toute personne qui n’a pas encore trouvé le contact avec la Force qui corrige et nous comble.

Valoriser les moyens autant que le but

Dr. Michael LaitmanL’homme par nature ne prendre seulement en considération que son propre désir égoïste. Partout où il peut le jeter, quelque soit la valeur qu’il peut apporter à ses yeux, il ne considère que ce qui est important pour son ego. Voilà comment une personne évolue.L’avancement par les ordres du désir de recevoir est menée à l’échelle du «doux ou amer. » Sans le savoir, une personne se tourne toujours dans la direction du déroulement de l’égoïsme. Elle exécute les ordres internes de l’égoïsme inconsciemment, n’ayant aucune idée d’où ils viennent. Voilà comment nous vivons notre vie, sans libre arbitre, obéissant à l’exhortation interne de nos Reshimot (Gènes d’information) égoïstes.

Si on présente à une personne la possibilité d’établir une connexion avec le Créateur et d’entreprendre un autre type d’analyse, à l’échelle du «vérité ou mensonge », alors pour l’exécuter, elle doit immédiatement organiser le soutien de cette analyse pour elle-même.

Le soutien est l’environnement. Sans lui, une personne restera toujours dans les expériences du « doux ou amer » et continuera certainement à choisir plutôt le doux que l’amer, sous diverses formes, selon le degré du développement de son égoïsme. Et elle aura toujours une illusion de progrès, même si en réalité, à chaque fois, elle choisit juste une douceur plus raffinée.

Si une personne veut vraiment se développer vers l’indépendance, elle ne peut le faire que si elle contre balance les sensations de «doux ou amer » avecl’analyse de la «vérité ou mensonge ». Cette analyse doit être effectuée selon les critères externes qui reposent hors de son l’égoïsme, qui ne peuvent être fournis que par l’environnement.

Dans ce cas, tout est dans les mains de la chance: est-ce qu’une personne entendra ce que l’indépendance implique en tant que chance de former et de mettre en œuvre? Si elle le fait, au moins dans à un petit degré, elle s’annule devant l’enseignant, les livres kabbalistiques, et le groupe (l’environnement).

Il met cela en face de lui, puis se rend compte que son avancement dépend uniquement de la prise de conscience de l’importance de la hauteur à laquelle il élève son point de vue sur l’importance de cet environnement par rapport à la douceur des désirs égoïstes.

Telle est la nature de notre travail. Un homme est-il en mesure d’employer la puissance de nos études, la prière, et l’analyse dans son intégralité et accepter l’avis de l’environnement correct ? Après tout, ce n’est pas quelque chose d’extérieur, et pas seulement les visages des amis. Il forme une image interne de l’environnement et est prêt à baisser la tête devant eux. Et puis, en vertu de l’environnement, l’homme reçoit une prise de conscience de la grandeur du Créateur.

Au départ, il n’y a que deux: un homme et le Créateur. Et maintenant, il commence à actualiser ce principe. Si l’environnement (les moyens) est aussi important pour lui que le But (le Créateur), il commence à travailler avec cet outil correctement.

Le travail d’une personne est de valoriser l’environnement aussi haut qu’il valorise le Créateur. Et cela nécessite un travail constant. Si une personne valorise l’environnement parce que cela l’amène à l’atteinte du Créateur, alors c’est dans cette mesure qu’elle avance.

Par conséquent, on peut se tester dans la pratique: qu’est-ce qui le motive à chaque instant? Est-ce une exhortation interne, telles que des sensations de «doux ou amer » ou des valeurs absorbée par l’environnement, telles que celles de la «vérité ou mensonge»? Et la «vérité» est la grandeur du Créateur. C’est ce pourquoi une personne travaille : la force intégrante de l’amour et du don sans réserve, à laquelle elle veut se connecter à jusqu’à ce qu’au point d’adhérence totale.

Par conséquent, l’avis de l’environnement doit être ferme et constant de sorte qu’il peut obliger chaque ami à se rappeler du but (l’atteinte de la grandeur du Créateur) et sur les moyens (l’atteinte de la grandeur du groupe. Si l’environnement pense à cela et place cette analyse comme étant obligatoire avant tous les amis à chaque instant, de ce fait, il fournit un grand soutien à tous.

Ici commence la garantie mutuelle, et une personne reçoit une chance de parvenir à la révélation du Créateur.
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 14/02/2011, Écrits du Rabash

Les kabbalistes sur la Torah et les commandements, Partie 30

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît poser des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.Qu’est-ce qu’une prière?

Nous devons comprendre ce que nos sages ont dit: «L’homme ne doit pas se trouver avoir une dette» (Shabbat, 119). Par conséquent, on ne peut pas corriger ses actions, car on ne verra jamais que ses actions sont corrompues et exigent une correction. Ainsi, il faut toujours rester corrompu.

Le fait est que l’on sait que l’homme a été créé avec une nature de vouloir seulement du plaisir. Par conséquent, dans tout ce qu’il apprend, il souhaite savoir comment il peut avoir du plaisir. Ainsi, si une personne souhaite du plaisir, elle évitera naturellement d’apprendre d’autres choses que ce que son cœur désire, car c’est sa nature.

Pour cette raison, celui qui souhaite se rapprocher du Créateur et apprendre des choses qui montrent les moyens par lesquels donner sans réserve au Créateur, doivent prier le Créateur de lui donner un cœur différent, comme il est écrit, « Crée pour moi un cœur pur, ô Dieu ». Cela signifie que quand il a un autre cœur, lorsque le désir dans le cœur est un désir de donner sans réserve, alors dans tout ce qu’il apprend, il va naturellement voir les moyens qui ne montrent que la façon de donner sans réserve au Créateur.

Toutefois, il ne verra jamais contre le cœur. Il est dit à ce sujet, « Et je vais enlever le cœur de pierre en vous, et je vous donnerai un cœur de chair. »
– Rabash, les barreaux de l’échelle, « L’homme apprend uniquement où son cœur désire »

Les kabbalistes sur la Torah et les commandements, partie 23

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre parenthèses sont de moi.Qu’est-ce qu’une prière?

Cependant, la prière doit être une prière entière, c’est-à-dire du fond du cœur. Cela signifie que l’on sait à cent pour cent qu’il n’y a personne au monde qui peut l’aider, sauf le Créateur lui-même.

Pourtant, comment sait-on cela, qu’il n’y a pas personne pour l’aider sauf le Créateur Lui-même? On peut acquérir cette conscience précisément si on a exercé tous les pouvoirs à sa disposition et que cela ne l’a n’a pas aidé. Ainsi, on doit faire toutes les choses possibles dans le monde « pour atteindre le Créateur. » Ensuite, on peut prier du fond de son cœur, puis le Créateur entend sa prière.
– Baal HaSoulam, Shamati, l’article n °5 « Lishma est un éveil d’En haut, et pourquoi avons-nous besoin d’un éveil d’en bas »

Faire de la musique avec le vent supérieur

Dr. Michael LaitmanIl y a un très gros problème dans la Kabbale: cette science est décrite en utilisant un langage allégorique. Elle est écrite d’une façon très difficile. En utilisant des exemples et des expressions étranges, les kabbalistes s’adressent à nous, les gens de ce monde, en essayant de nous dire la façon de tenter d’entrer dans le Monde Supérieur. Ils essaient de nous dire quelque chose sur le monde d’En-Haut, sur les qualités auxquelles devrions aspirer.Ce langage n’est pas ttès simple. Nous devons toujours essayer de le traduire dans la langue des sentiments jusqu’à ce que chaque mot vienne résonner avec le bon ressenti d’une personne. Chaque mot doit « tirer » sur une corde à l’intérieur de moi, donnant lieu à une réponse intérieure.

D’ici là, le texte n’est pas clair pour nous. Il est absolument externe, ne nous touche pas, et nous ne le percevons pas ni ne l’adaptons à l’intérieur de nous, et n’agissons pas en conformité avec lui. Nous devons trouver la façon de ressentir ce que l’auteur veut nous transmettre. C’est la chose la plus importante. Lire un texte kabbalistique, c’est comme accorder un instrument de musique. Si nous nous accordons correctement, cet instrument va commencer à jouer par lui-même.

Il est écrit que le roi David avait une harpe accrochée au mur, et à minuit, lorsque le vent du nord balayait la salle, la harpe jouait. Nous sommes pareils. Si nous nous accordons correctement à la force extérieure, nous allons commencer à sentir son influence et son désir, et les faire correspondre à des qualités, pour atteindre une résonance avec elle et être « vibrante » comme elle. C’est ce que nous devons atteindre.

Les Kabbalistes sur la Torah et les commandements, partie 17

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands Kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.La Torah développe la connaissance du mal dans une personne.

En conséquence, que doit-on faire pour venir à aimer le Créateur? À cette fin, il nous est donné le remède [Segula] de nous engager dans la Torah et les Mitsvot [Kabbale] pour la Lumière qui ramène vers le Bien. Là il y a la Lumière, qui permet à chacun de ressentir la gravité de l’état de séparation. Et lentement, lorsque quelqu’un a l’intention d’acquérir la Lumière de la Torah, est créée en lui la haine pour la séparation. Il commence à sentir la raison qui fait que lui et son âme sont séparés et loin du Créateur. [Seule la partie intérieure de la Torah, la Kabbale, est capable d’attirer la lumière qui attire le Bien. Ensuite une personne ressentira qu’il est un égoïste et désirera vraiment se corriger.]
– Baal HaSoulam, Shamati, article n °34,

Un messager entre deux pôles

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi lors de la lecture du Livre du Zohar ne devons-nous pas seulement nous concentrer sur notre relation mutuelle, mais aussi avons-nous besoin d’écouter les commentaires sur le Zohar ?Réponse: Tout d’abord, si nous lisons le texte original du Zohar, nous n’avons pratiquement rien qui passe. Par conséquent, nous avons besoin de commentaires. Un commentaire est comme un lien abrégé avec la source authentique, soit dans la forme extérieure, dans les degrés, ou dans plusieurs critères en même temps. Mais il nous relie à l’original.

Le Zohar en soi est aussi un commentaire sur la Torah. La majeure partie du Zohar est basée sur des citations tirées de la Torah, qu’elle transforme en une forme différente. Le Zohar commente-t-il ces passages à un niveau inférieur à celui de la Torah écrite par Moïse ou non? Je ne veux pas en discuter, mais une telle question se pose.

Le commentaire du Soulam réduit-il le degré du Livre du Zohar en le rendant plus proche de notre compréhension? Nous comprenons peu de cela. Ce qui suit pourrait être dit : chaque commentaire comprend deux points extrêmes. Au plus haut point, les auteurs du Zohar partagent la révélation de Moïse à son niveau, sinon ils ne seraient pas en mesure de faire de commentaire.

Mais ils écrivent le commentaire lui-même avec à l’esprit le lecteur, ce qui signifie dans une forme simplifiée et à un moindre degré de l’échelle spirituelle. Après tout, tout l’avantage de révéler la Torah réside dans l’utilisation de corriger la volonté de profiter, telle que décrite par le verset: «J’ai créé le mauvais penchant, et j’ai créé la Torah comme une épice car la lumière en elle ramène vers le bien »

Par conséquent, l’auteur d’un commentaire doit se tenir sur deux niveaux: au niveau où il reçoit la source, et à un degré moindre, sur lequel il souhaite faire passer cette source, mais sous une forme plus appropriée, adaptée au degré du récepteur. Tel est l’objectif de chaque commentaire.

Par conséquent, jusqu’à maintenant, rien ne peut remplacer le commentaire du Soulam car d’une part, le Baal HaSoulam a atteint le degré du ARI ayant ainsi reçu l’incarnation de l’âme du ARI et ayant atteint le degré des écrivains du Zohar’. D’autre part, il a rapproché le Zohar de notre degré, en l’expliquant dans les trois lignes, dans la langue de la Kabbale, en utilisant les définitions des Partsoufim, les mondes, les Sefirot, les Reshimot, et ainsi de suite.

Nous n’avons pas besoin d’autre chose que d’essayer de l’actualiser sur nous-mêmes. Cependant, maintenant tout le monde est censé être proche de la transformation des âmes. Ainsi, pour rendre le Zohar plus facile à comprendre pour les masses, nous avons un peu affiné le texte du Zohar à partir de nombreux symboles qui auraient pu être un obstacle pour un profane, afin de lui rendre la lecture en elle-même plus facile.

Mais nous n’avons jamais ajouté de commentaires de notre propre initiative et nous facilitons seulement la lecture mécanique du texte pour aider une personne à comprendre le texte. Nous l’avons simplement mis à travers une sorte de «filtre» qui extrait de luila langue araméenne ainsi que quelques références et versions variées. C’est, en substance, ce que nous avons fait avec le livre Le Zohar pour tous. Espérons que dans cette forme, le Zohar est encore plus prêt à l’emploi pour la correction des âmes.

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît poser des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.
La Torah Développe la reconnaissance du mal dans une personne
Quand on s’engage dans la Torah [attire sur soi la Lumière de la correction de l’égoïsme], on sent son éloignement [de la spiritualité] dans la mesure de son effort.
– Baal HaSoulam, Shamati, article n °56  » La Torah est appelée Indication »
Car s’engager dans les Mitsvot [le travail sur son égoïsme qui consiste en 613 désirs égoïstes] et les travaux pour amener la satisfaction à notre Créateur développent rapidement ce sens de la reconnaissance du mal [découvre l’égoïsme caché dans nos 613 désirs].
– Baal HaSoulam, «L’essence de la religion et son but»