Le Baal HaSoulam, « La Paix » : Bien que j’ai déjà prouvé que l’on doit travailler pour le bénéfice des gens, où est la preuve que ce doit être fait pour le Créateur ? En effet, l’histoire elle-même a pris soin de cela pour nous et nous a préparé un fait établi, suffisant pour une appréciation complète et une conclusion sans équivoque.
Suffit-il de s’inquiéter simplement à propos du monde quand nous nous approchons du public ? Est-ce suffisant de construire une société heureuse, intégrale, globale, dans laquelle tout le monde travaille ensemble dans la collaboration et coopère l’un avec l’autre ? Ou toutes nos actions devraient-elles viser à ravir le Créateur, à tel point que sans cela, nous ne pourrions pas lever le petit doigt et traverser aucune difficulté pour cette humanité souffrante ou prêter la moindre attention à ce qui se passe ? S’il est impossible de faire plaisir au Créateur, alors laissons le monde entier brûler.
Je présente ceci sèchement et durement à dessein, bien qu’un certain nombre le comprendra. Après tout, c’est effectivement le niveau supérieur qui détermine tout ce qui concerne le niveau inférieur. Si nous aspirons et nous concentrons sur le but de la création, cela signifie que nous avons un désir qui lui correspond, un point dans le cœur qui est relié au but de la création et non à de jolies envies sociales universelles. Notre travail sur le chemin de la fin de la correction est essentiellement de compter sur le principe « Israël, la Torah, et le Créateur sont un. » Cela signifie que si le Créateur ne fait pas partie de nos plans, nous n’aurons aucun succès dans ce que nous faisons et toutes les belles initiatives se transformeront en vaines tentatives d’établir le communisme ou des kibboutzim, et rien que cela.
De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 08/09/13, Écrits du Baal HaSoulam « La Paix »
Dans les Nouvelles: (de Brainpickings): «Une petite fille de New York nommé Phyllis a écrit une lettre au grand Albert Einstein en 1936
L’Église Riverside
19 janvier 1936
Mon cher docteur Einstein,
Nous avons soulevé la question: les scientifiques prient-ils? dans notre classe d’école du dimanche. Il a commencé par demander si nous pouvions croire en la science et la religion. Nous vous écrivons aux scientifiques et à d’autres hommes importants, pour d’essayer d’avoir notre propre réponse à votre question.
Nous nous sentirons très honoré si vous voulez répondre à notre question: les scientifiques prient-ils, et que prient-ils pour?
Nous sommes en sixième, classe de Mlle Ellis.
Respectueusement vôtre,
Phyllis ‘
Seulement cinq jours plus tard, Einstein a répondu – n’est-ce pas beau quand les géants culturels répondent à la curiosité sincère des enfants? – Et sa réponse parle de la même qualité spirituelle de la science que Carl Sagan vantera des décennies plus tard,et que Ptolémée a fait des millénaires plus tôt. Six ans plus tôt, Einstein avait exploré ce même sujet, dans un langage beaucoup plus compliqué et d’une hallucinante rhétorique, dans sa conversation avec le légendaire Tagore le philosophe indien.
Le 24 janvier 1936
Chère Phyllis
« J’ai essayé, dit Einstein, de répondre à votre question le plus simplement possible. Voilà ce que cela donne : la recherche scientifique est fondée sur l’idée que tout ce qui existe est déterminé par les lois de la nature, y compris, bien sûr, les actes des humains. Pour cette raison, le chercheur scientifique sera difficilement enclin à croire qu’une prière puisse influer sur les événements par un simple vœu adressé à un être surnaturel.
Il faut reconnaître, toutefois, que notre connaissance actuelle de ces lois est fragmentaire et imparfaite et que, d’une certaine manière, cette croyance en l’existence de lois fondamentales régissant la nature repose, elle aussi, sur une manière de foi. Il n’en reste pas moins que cette foi est largement justifiée par les succès de la recherche scientifique. D’autre part, tout individu réellement passionné par l’évolution de la science est convaincu de la présence d’un esprit derrière les lois de l’univers, un Esprit bien supérieur à celui de l’homme, et devant lequel on doit se montrer fort humble. » ”..
Très cordialement
Votre A. Einstein
Mon commentaire: Voici une vraie opinion kabbalistique de l’existence d’une force supérieure dans le monde qui ne peut pas être vénérée mais révélée.
Vous avez déjà besoin de rechercher par vous-même de meilleurs systèmes pour vous rappeler mutuellement que toutes nos activités sont effectuées uniquement pour le plaisir du Créateur. Mais vous devez commencer à ressentir cela à partir de l’intérieur du matériau comme si l’air soudainement s’épaississait et que vous pouviez « comprendre » les forces qui opèrent en son sein, le « remplissage » qui remplit les espaces entre vous.
Nous sommes à l’intérieur de la création et la seule différence est l’étendue de la réalisation de la connexion entre ses parties que vous voyez et ressentez maintenant. Dans cette image entière, qui est saisie par nous à travers les cinq sens, un seul ajout est absent, et c’est le lien entre toutes ses parties, le domaine de la connexion qui unit tout et transfère toute information émotionnelle et intellectuelle.
Ce champ qui se révèle dans la connexion entre nous est appelé le monde supérieur, qui connecte toutes les particules qui sont ressenties par nous. Et le Créateur est la Lumière générale, la Lumière de NRNHY (Nefesh, Rouakh, Neshema, Haya, Yekhida) que l’on découvre, qui est comme un courant électrique circulant dans le réseau. Mais le programme qui se révèle à nous, c’est déjà le Créateur.
Il y a toutes sortes de signaux, de « courants électriques », qui circulent entre les parties, toutes sortes de processus individuels qui, pendant ce temps, appartiennent tous au système lui-même, à la Lumière de NRNHY. Et l’élément qui les relie : la pensée générale qui transmet ce programme, qui maintient tout ce matériel et qui le gère, c’est le Créateur.
Mais tout cela se révèle dans ce monde. Ainsi, il est dit que la sagesse de la Kabbale est le système de la révélation du Créateur aux créatures de ce monde, parmi les parties avec lesquelles nous arrivons maintenant à être en contact. Le corps physique meurt, et si vous n’êtes pas inclus dans ce système, alors il ne reste plus rien de vous, excepté les Reshimot (gènes d’information) qui ne se sont pas réalisés. Prenez cela en considération.
De la préparation au cours quotidien de Kabbale du 26/08/13