Écrits du Rabash, 1984, «Le but de la société»: nous nous sommes réunis ici pour mettre en place une société pour tous ceux qui souhaitent suivre la voie et la méthode du Baal HaSoulam, le chemin par lequel on gravit les degrés de l’homme, pour ne pas rester comme un animal… Et c’est pourquoi nous nous réunissons ici pour établir une société où chacun de nous suit l’esprit du don sans réserve comme le Créateur.Qu’est-ce que « le don sans réserve au Créateur»? Tout le monde est perturbé par ces termes. Et en général, le Rabash écrivit ses articles dans une langue à laquelle nous ne sommes pas habitués. Nous devons réécrire ces mots pour qu’ils se fassent entendre clairement. « Donner sans réserve au Créateur » signifie réveiller la force générale de la nature (car le Créateur, c’est la nature) et acquérir la force du don sans réserve à la ressemblance de la nature, en équivalence de forme.

Le Baal HaSoulam donne un exemple de situation avec un client et un hôte. Je peux révéler le don inconditionnel de l’hôte dans la mesure où je souhaite lui donner sans réserve. Mais comment puis-je désirer cela ? Après tout, il est invisible à nos yeux et je ne vais pas le révéler jusqu’à ce que je dévoile mon désir profond de lui donner sans réserve.

Je ne peux le révéler qu’à l’intérieur de mon aspiration vers lui. Avec mon désir de donner sans réserve, par la réalisation de l’équivalence de forme ou le même «style» que l’hôte, j’enlève la dissimulation et je « soulève le voile ».

Pour ce faire, j’ai reçu la société, le groupe où je peux pratiquer le don sans réserve. Puis, à la même place, parmi les amis, je découvre l’hôte, le Créateur, et je continue à Lui donner sans réserve à travers le groupe et avec le groupe. C’est ainsi que nous le révélons.

C’est notre travail: nous voulons nous unir entre nous afin de révéler la force générale de la nature, la force du don sans réserve qui est à l’intérieur de nous, dans le groupe. Là, à l’intérieur, il se révèle à nous, et là en lui nous découvrons le monde spirituel composé de cinq niveaux ou cinq mondes. En lui nous découvrons les Partsoufim, les niveaux, les Sefirot et bien plus encore.
Du 5e cours à la Convention WE ! , Le but du Groupe

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Chers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands  kabbalistes. Les commentaires entre corchets sont de moi.

Seule la lumière de  la Torah  ramène la personne vers le Bien.

La Torah se réfère à la Lumière [de la correction] revêtue  dans  la Torah [dans l’aspiration d’atteindre l’attribut du don sans réserve  en se connectant avec des amis, à être comme un], ce qui signifie, comme nos sages  ont  dit: «J’ai créé le mauvais penchant, J’ai créé la Torah comme une épice ». Il s’agit de la  Lumière en elle, puisque la Lumière en elle  la ramène vers le Bien  [crée dans une  personne l’attribut du don sans réserve].
– Baal HaSoulam, Shamati [J’ai entendu], article n ° 6,  « Qu’est-ce que  le  soutien dans la Torah dans le Travail. »

La Torah est la seule épice qui  annule [qui  ramène au Bien  par la  Lumière supérieure ] et  soumet  [remplace la nature de l’homme  avec la nature opposée , celle du Créateur, pour passer de l’égoïsme au don sans réserve et à  l’amour] le mauvais penchant, comme nos sages ont  dit , «La lumière en elle les  a ramenésvers le Bien « .
– Baal HaSoulam, «L’enseignement de la Kabbale et son essence »

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