Daily Archives: 30 avril 2011

Un livre de prière est a saga de la vie spirituelle

Dr. Michael LaitmanLa réaction de l’âme aux états qu’elle traverse se reflète dans les mots écrits par les kabbalistes. Cette réaction est recueilli dans le livre de prières intitulé Siddour (l ‘«ordre» des états subis). Nous ne comprenons pas ce que les prières décrivent, ni les impressions de l’âme enregistrées dans les appellations, les lettres, leurs combinaisons, ou dans l’agencement des mots dans les phrases.
Tout le livre de prières est organisé, de sorte que pour toute âme ressentant des transformations dans un état précis, ce processus est exprimé dans les mêmes termes de la prière. Il n’est pas nécessaire d’articuler les mots à haute voix. L’âme les ressent à l’intérieur, la prière deviendra sa construction interne.

Chaque lettre est un certain ordre, une séquence de forces recevant et donnant. En plus, dans les lettres se trouvent des « marques de voyelles, » le remplissage, un TANTA complet (Ta’amim, Nekoudot, Taguin, Otiot ou lumières, points, couronnes au-dessus des lettres, et des lettres), les états que nous traversons.

Nos désirs internes se modifient et prennent toutes sortes de formes, qui inspirent en nous des sentiments différents. À leur tour, lors de leur transfert sur le papier, ces sensations reçoivent une forme spécifique d’éléments spirituels dans les lettres, les mots et les phrases.

En d’autres termes, une prière est l’expression extérieure de sensations spirituelles internes. Une personne n’a pas vraiment besoin d’un livre de prières. S’il ressent de tels états internes, ceux-ci deviendront sa prière.

Un livre de prières est nécessaire, afin d’examiner la forme des lettres et de la visualiser (si nous sommes déjà capable de le faire) quels états nous devons subir, pour imaginer ce qui nous attend plus loin. Si je suis déjà dans le monde spirituel, alors selon ce que je lis dans le livre de prières, je peux un peu percevoir ce qui m’arrivera, les états dans lesquels je vais entrer.

Dans ce monde, j’ai l’habitude des émotions humaines variées. Ainsi, lors de la lecture d’un roman par exemple, je peux ressentir en moi les événements décrits. C’est pareil pour le monde spirituel.
De la 3eme partie du cours quotidien de Kabbale 21/04/2011, Beit Shaar HaKavanot

Un ciel nocturne pour l’évasion

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, Beit Shaar HaKavanot (La Porte des Intentions), chapitre « En ce qui concerne l’Exode de Pâque »: Dans la nuit de Pâque, Zeir Anpin atteint le plus grand état, et donc, en cette nuit, une immense lumière est révélée, supérieure à la lumière du Shabbat.

Tout ce qui se trouve dans Zeir Anpin du monde de Atsilout est transmis à l’âme. Si nous ici, en bas, ne demandons pas et ne suscitons pas ZA, il restera dans son petit état constant, VAK, alors que Malkhout est juste un point. Quand il n’y a que la lumière du VAK dans ZA, Hassadim (Misericorde), Malkhout n’a rien parce qu’elle a reçu des désirs et ne peut être remplis avec la seule lumière de Hassadim.

Par conséquent, il s’agit d’un état préparatoire qui n’a rien à voir avec une quelconque action spirituelle pour le moment. Tous les autres états sont définis par la hauteur que peut atteindre ZA (à notre demande) au-dessus du petit état.

Le processus que nous subissons au cours de la Sortie d’Egypte, partant de notre état de soumission aux désirs situés en-dessous du Parsa, n’est pas simple et ne correspond pas à l’ordre habituel de travail: six « jours », suivi par le septième « jour », samedi. Le samedi est organisé « à la ressemblance au monde futur » et, selon le travail spirituel effectué au cours des six «jours ouvrables», le samedi nous amène «l’éveil du Ciel» et son résultat: des désirs corrigés.

Cependant, la Sortie d’Egypte est une «nuit», pas un jour comme l’est le samedi. C’est un signe de la révélation de la très grande lumière de Hokhma (la Sagesse), qui n’est pas couverte par la lumière de Hassadim. Par conséquent, elle n’est pas ressentie comme lumière, mais comme «la nuit égyptienne, » l’immense lumière de Hochma , qui ne peut pas émaner de nous.

Nous sommes constamment présents dans un océan de lumière, et nous sommes incapables d’établir une relation avec cette lumière (nous ne pouvons tout simplement pas la sentir, comme en ce moment), ou nous pouvons nous approcher de la lumière et obtenir exactement la même propriété, dont elle dispose. Puis, conformément à la loi de l’équivalence de forme, nous serons capables de la ressentir. Si je suis dans le même attribut de don que la lumière, alors entre nous, apparaît une sensation commune, considérée comme la révélation de la lumière, du Créateur, aux êtres créés.

Alternativement, il peut y avoir un état opposé, où je ne pense pas que j’approche la lumière, l’attribut du don, mais au contraire, je sens que je me rapproche de la réception, mon opposition à l’union. Cela ne se rapporte pas à un simple bénéfice matériel, mais surtout à un manque d’unité parmi les âmes, me faisant sentir l’obscurité. Cela a une signification spirituelle.
Nous traitons toujours avec ce qui se trouve au-dessus du niveau animal, c’est-à-dire avec le travail interne qui amène un résultat « positif » ou « négatif » , et une personne ressent des transformations soit comme une révélation de lumière ou d’obscurité. Toutefois, dans le pire des cas, une personne ne ressent absolument rien, ce qui signifie qu’elle ne travaille pas du tout. L’essence du récit de Pâque est un ordre inhabituel (Seder) de recevoir les lumières qui nous réveillent et nous conduisent hors d’Egypte.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 21/04/2011, Beit Shaar HaKavanot

Enfants du monde, unissez-vous!

Dr. Michael LaitmanNous mettons au point la méthode de correction au cours de nos leçons quotidiennes. Nous le faisons à partir des sources primaires et de leurs explications, sous forme de questions et réponses. Nous créons un système éducatif dans le même cadre.

 

Un canal spécial de diffusion de la Kabbale pour le monde entier s’ouvre ici. Après tout, l’éducation est un terrible casse-tête pour tous les parents ou, un mal au coeur. Tout le monde est préoccupé par leurs enfants dans toutes les régions du monde, du Nord et du Sud de l’Amérique, d’Asie, d’Afrique, de Russie et d’Europe, de Chine et du Japon. Le problème de l’éducation se réveille partout à divers degrés.
C’est pourquoi le monde est prêt à entendre nos développements dans ce domaine. Nous communiquons avec l’UNESCO, l’organisation suprême responsable de l’enseignement à travers le monde. Nous avons été très bien perçus, et nos représentants ont déjà participé à deux événements à New York et Moscou.
Nous avons découvert que le monde se tue à résoudre ce problème, mais personne n’a la solution. L’UNESCO attend beaucoup de nous, et ils sont inspirés par la quantité de nos documents sur ce sujet. Il est vrai qu’aujourd’hui, notre matériel a brisé toutes les frontières. Chaque semaine, nous produisons 50-100 pages de nouveaux textes. Dans le même temps, nous travaillons sur un nouveau livre qui sera publié sous l’égide de l’UNESCO. Plusieurs autres grands projets sont en attente.
Il ne fait aucun doute que si nous parvenons à créer une «bonne» génération, à leur tour, ils sauront comment élever leurs enfants. Pour cette raison, tout le problème est de trouver un moyen de former une génération, recevant une éducation au lieu de la connaissance pure, ce qui nous donnera la capacité de transformer les enfants en êtres humains au sens plein du terme.

Ils connaitront la raison et le but de leur existence, ils sauront comment communiquer l’un avec l’autre, pourquoi ils commencent avec la rupture, et pourquoi ils ont besoin de se corriger. En bref, ils sauront comment avoir une attitude correcte envers le monde.
Ensuite, nous réalisons avec le groupe des programmes d’éducation de nos enfants. Nous le corrigeons et trouvons de nombreuses nouvelles approches en cours de route. Par exemple, nous avons découvert que les enfants sont capables de très bien enseigner à un autre enfant. Par exemple, un enfant de quatorze ans peut enseigner à celui de dix ans.

C’est parce que les jeunes voient les plus âgés comme des modèles, et veulent leur ressembler, tandis que les plus âgés sont fiers de leur rôle. En fin de compte, la différence d’âge crée un lien fort. Dans l’ensemble, les enfants, qui grandissent selon la nouvelle méthode sont complètement différents

Dans l’essentiel, la Kabbale est un ensemble de sciences de l’éducation; nous l’utilisons pour nous éduquer. Toutefois, cela devient très évident concernant les enfants. Qu’ils grandissent dans nos bras, dès leur enfance, n’est pas une faute. La question dépend de nous, parce qu’ils sont déjà prêts à recevoir de nous une méthode d’éducation spirituelle.

L’étude des dix Sefirot explique la croissance de la personne spirituelle en nous. Nous pouvons élever un enfant selon les mêmes principes que nous utilisons pour l’amener au fil des ans (degrés) vers la maturité, et pas seulement physiquement, mais spirituellement. C’est la méthode que nous essayons de développer, de construire et de réaliser.

Cet été, nous envisageons d’ouvrir un camp d’été de deux semaines pour les enfants du monde entier. Le programme sera diffusé sur Internet afin que chaque enfant puisse se connecter à des activités communes, car cela va se passer au cours des vacances d’été. Nous allons essayer dans l’avenir de soutenir l’union des enfants, si bien qu’ils finiront par devenir le nouveau groupe, international, virtuel et aussi physique.
De la Leçon 6, 03/04/2011 Convention WE!