S’attaquer au chômage des jeunes ?

Dr. Michael LaitmanAux infos (de CNBC): «Les jeunes devraient travailler gratuitement pendant deux ans au maximum pour acquérir de l’expérience, ont déclaré, jeudi, les jeunes et les chefs d’entreprise  lors du Forum économique mondial de Davos.

« Une nouvelle résolution des Nations Unies consacrant l’importance d’un couple d’années de travail volontaire des jeunes fut demandé instamment par des délégués, y compris Maurice Lévy, Président et Directeur exécutif de Publicis Groupe, dans le cadre d’un débat animé sur CNBC – un débat modéré pour éviter une  génération perdue de jeunes chômeurs …

«Le monde a besoin de 600 000 000 nouveaux emplois dans la prochaine décennie pour faire face à une population croissante et aux effets de la crise financière, selon les chiffres publiés plus tôt cette semaine par l’Organisation internationale du Travail. »

Commentaire : De cette façon, les capitalistes veulent mettre le problème du chômage sur les épaules de la société. Par ailleurs, l’Etat devrait soutenir les chômeurs. Mais le monde n’a pas besoin de nouveaux travailleurs, au contraire ; le chômage va augmenter. Une personne devrait être engagée, non pas dans un travail inutile, coûtant beaucoup plus que les prestations de chômage, mais dans un travail qui aide vraiment la communauté : dans l’éducation de  chacun sur la coopération et la garantie mutuelle, qui apportera un équilibre avec la nature et un bénéfice pour le monde.

Notre objectif est d’atteindre l’harmonie avec la nature

Dr. Michael LaitmanNous sommes nés avec le seul désir égoïste d’avoir du plaisir, et tout le reste dans la vie n’a pas d’importance pour nous. Il en va de même pour un bébé, en sortant du ventre de sa mère, il pense à lui, il ne sent que lui-même et ne sent pas le monde qui l’entoure. Après quelques semaines, il commence à ouvrir les yeux, à entendre, à progressivement activer ses organes de perception, et à percevoir d’autres personnes. Et ainsi il obtient ce qu’il veut de la vie, de son environnement (principalement grâce à sa mère), pour satisfaire tous ses besoins.

Nous devons comprendre que ce désir égoïste donné à la naissance fut reçu dans le but de, grâce à l’habitude devenant une seconde nature, pouvoir construire au-dessus une autre forme altruiste : la forme du désir de donner et de l’unité.

Maintenant, nous sommes dans un état opposé ; nous sommes séparés, chacun de nous veut gagner au détriment de l’autre, et aucun de nous prend l’autre en considération, et, en outre, nous sommes tous dans l’opposition et le désaccord les uns avec les autres. Cependant, la nature a délibérément créé en nous une telle qualité négative, afin qu’en utilisant le pouvoir que nous avons à notre disposition, nous construisions entre nous une sorte de forme de connexion positive, précisément en partant de cette qualité négative.

Nous la construirons avec compréhension et conscience. De cette façon, nous parviendrons à l’unité en créant l’image d’un être humain semblable à cette loi générale de la nature qui est dirigée vers le don sans réserve : une loi douce, et aimante.

Nous réaliserons alors que cette loi n’est pas mauvaise, que toutes ces forces maléfiques, dont nous ressentons les effets sous forme d’adversité (comme le divorce, la toxicomanie, le terrorisme, la peur de la menace d’une guerre atomique, les conflits entre pays, les maladies, les problèmes environnementaux, économiques et les crises financières), et qui nous semblent être des impacts négatifs de la nature, nous nous rendrons compte qu’ils sont tous nécessaires pour que nous puissions les compenser avec les forces de l’attribut du don, les forces de notre amour et de notre unité. Aujourd’hui, si nous percevons les effets de cette loi comme négatifs, c’est uniquement parce que nous nous opposons à elle.

Cela arrive dans notre vie quotidienne. S’il fait froid ou chaud, je dois comprendre ce qu’il faut faire afin d’équilibrer ces anomalies et amener la température à un état normal. Si j’étais immergé sous l’eau, je sentirais une forte pression. Si je montais très haut dans les montagnes, je sentirais un manque d’oxygène, et je trouverais qu’il est difficile de respirer. Je compenserais alors ces écarts afin de m’équilibrer avec la nature.

Quels moyens pouvons-nous utiliser pour parvenir à une harmonie avec une nature démontrant ces diverses adversités ? Nous sentons des coups venir de toute part. L’humanité se sent unie sous la menace commune qui est en train d’arriver.

Nous comprenons que nos qualités sont opposées aux qualités de la nature et nous devons compenser cela et travailler à l’encontre de nos qualités.

Si, à un certain moment, la nature exerçait un impact négatif sur nous, nous nous surpasserions, nous nous corrigerions, et nous y répondrions en fonction de nos capacités, nous percevrions de tels impacts de manière positive et équilibrée. Alors, les problèmes environnementaux seraient résolus, les familles seraient réconciliées, les connexions entre les pays seraient renforcées, l’économie serait plus solide, et notre vie deviendrait heureuse et confortable.

On nous donne ces opportunités, afin de faire progressivement des changements en nous-mêmes et entre nous. Sur ce chemin, nous nous approcherons de la nature générale et ne nous sentirons en totale harmonie  avec elle.

De KabTV «Une nouvelle vie » Episode # 4, 01/01/12

Un cadeau se situe dans le cœur

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment puis-je offrir un cadeau à mes amis, si nous sommes connectés virtuellement?

Réponse: Donnons-nous des cadeaux matériels aux amis quand nous les rencontrons en personne? Un vrai cadeau est dans le cœur. Si nous avons vraiment des cadeaux pour nos amis, alors ils vont le sentir. Celui qui donne un cadeau est appelé supérieur et celui qui le reçoit est appelé inférieur. Et ils sont appelés amis quand le récepteur se sent donneur du cadeau et l’accepte avec amour et joie, car il comprend que c’est une expression de l’amour de l’ami envers lui, et en recevant le cadeau il réagit réciproquement avec amour.

Un cadeau n’est rien d’autre qu’un stratagème, et c’est pourquoi il est peu important qui donne et qui reçoit ; les deux sont égaux. Si nous pouvons construire ce type de relation entre nous, alors nous nous ressentirons l’un et l’autre comme une mère qui ressent son enfant de loin. Après tout, l’amour est plus puissant que la distance. 

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 29/01/2012, Écrits du Rabash

Une maladie congénitale: la haine des amis

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment puis-je me tenir dans le groupe alors même que j’ai l’impression de les haïr ?

Réponse: ce n’est pas terrible. Tout le monde ressent cette haine. Voyez  ce qu’il est dit au sujet des élèves de Rabbi Shimon: des gens si grands et combien de haine a été révélée entre eux. Nous devons regarder cela comme un médecin qui traite une maladie, et traiter comme un fait donné sans blâmer personne.

Nous devons accepter la haine naturelle et essentielle, et nous devons vivre avec elle. Nous devons connaître notre nature et en même temps essayer de nous élever au-dessus et de construire les relations spirituelles entre nous.

Partout où notre travail commun avec l’aide de la Lumière a lieu au-dessus de nos ego, c’est là où nous traitons la haine comme un médecin traite un patient. Quand un médecin examine le patient, il ne prend pas en compte sa personnalité, mais plutôt examine la maladie et la guérit. Voilà comment nous devrions agir.

L’ego nous est donné d’en haut afin qu’avec son aide, au-dessus, nous allons construire cette connexion avec l’autre. Si vous ne sentez pas la haine des amis à l’intérieur de vous, vous ne l’avez simplement pas encore découverte. 

De la 1erepartie du cours quotidien de Kabbale du 29/01/2012, Écrits du Rabash

 

Des villes russes introduisent des « boîtes dépôt » pour bébés

Dr. Michael LaitmanAux  nouvelles (Tiré du «  Daily Mail en ligne »): «  Des boîtes anonymes de  dépôt pour bébés ont été introduites pour la première fois en Russie.

«Le territoire de Krasnodar dans le sud de la Russie a acheté cinq de ces boîtes  appelées «dépôt de bébés » au  début de Novembre afin que les  mères puissent  déposer leurs enfants non désirés de manière anonyme.

«Les trois premières ont été installées à Sotchi, Novorossisk et Armavir, et  avant  la fin du mois un enfant avait déjà été  abandonné.

« Le mouvement visait à fournir des conditions sanitaires pour les enfants non désirés, au lieu de« les  laisser  dans  les conteneurs à  ordures », a déclaré à RIA Novosti responsables de la santé.

«C’est une opération miroir des mesures prises en Afrique du Sud, où des « coffres-forts à bébé » anonymes ont été introduits par une œuvre de  charité pour les  enfants au printemps de  l’année dernière.  »

Mon commentaire: Comme les prophètes le prédisent, à l’avenir, sauf si nous corrigeons notre nature, nous allons atteindre un état ​​où nous allons « utiliser » les nouveau-nés, jusqu’à les consommer comme un produit sain d’alimentation. C’est ce à quoi  notre égoïsme développé va nous amener.

Les chefs d’entreprise préviennent : « ce n’est pas une crise mais une catastrophe »

Dr. Michael LaitmanAux  Nouvelles (Tiré de « BBC news »): «Davos est utilisé pour  des fanfaronnades de dirigeants politiques. Mais quand les chefs d’entreprise de tous les coins de la terre,  parlant en général discrètement,  mettent en garde contre non «pas une crise, mais une catastrophe »,  quand ils appellent quelque chose  un« cancer dans la société », vous savez que  nous avons un problème.

«Le monde, disent-ils, est« assis sur une bombe à retardement, sociale et économique » Le monde est  déchiré par le  chômage des jeunes.

« Les chiffres sont criants: dans certains pays du monde arabe, jusqu’à 90% des 16-24 ans sont au chômage. Aux États-Unis, le taux de chômage des jeunes est de 23%. En Espagne, près de 50%. Au Royaume-Uni 22%.

«Au niveau mondial, quelque 200 millions de personnes sont au chômage. 75 million ont  entre 16 et 24 ans, et chaque année environ 40 millions de jeunes entrent sur le marché du travail.

« Les chefs d’entreprise lors du Forum économique mondial (WEF) savent pourquoi c’est important: les jeunes qui ont été au chômage pendant une longue période gagneront moins pendant toute leur vie.

« Ils seront moins employables. Ils n’auront pas les compétences dont  les entreprises ont besoin. Ils sont plus susceptibles d’avoir des problèmes de santé à long terme. Et cela peut causer des troubles sociaux.

« Il y a un terme pour cela: la génération perdue. Ou comme le présente un professeur d’une école de commerce : « Le chômage craind. Le chômage des jeunes craind encore plus. »

« La jeunesse a perdu une ligne de  perspective sur  leur avenir. »

Mon commentaire: Les jeunes chômeurs vont changer le monde. Lors de la diffusion de la méthode de correction du monde, nous devons nous adresser particulièrement à  eux. Le sentiment de désespoir est apparenté à la recherche de nouvelles choses, et ils comprendront la nécessité d’apprendre de la nature. [

De l’eau fraîche pour une âme assoiffée

Dr. Michael LaitmanQuestion : Est-ce que la proximité d’une personne à la spiritualité se mesure par l’amour ressenti dans son cœur ? Et si nous ne ressentons pas d’amour, cela veut-il dire que nous ne sommes pas dans la spiritualité ?

Réponse : La spiritualité commence quand une personne ressent que c’est à l’intérieur de sa connexion mutuelle avec les amis, qu’elle distingue du reste du monde entier pour cette raison. Là, elle sent sa nouvelle et différente existence, qui diffère de la précédente – à l’intérieur de cette connexion, dans laquelle il n’y a pas d’autres calculs que la connexion et la mutualité, où ensembles, ils enlacent tous le Créateur.

Ils embrassent la qualité même du don régnant en eux, qu’ils désirent découvrir. Ils veulent sentir autant de joie grâce au don que s’ils s’immergeaient dans l’eau fraîche après une éreintante et chaude journée. De la même manière, nous voulons ressentir la qualité du don nous remplir.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 29/01/12, Écrits du Rabash

Tête et corps – Pensée et action

Dr. Michael LaitmanLe Partsouf spirituel se compose d’une tête (Rosh) et d’un corps (Gouf). Le Gouf met en pratique les décisions de «Rosh ». La partie qui tend à acquérir la similitude avec les forces supérieures démontre son intention, sa puissance, son besoin, et qui met en œuvre ses propres décisions est appelée la «tête».

Initialement, le Créateur créa un seul désir, le désir de recevoir. Il n’avait ni tête ni corps. Sous l’influence de la Lumière, le désir lui-même se reconstruisit ; il traversa quatre phases et arriva à un point où il commença à comprendre qu’il lui fallait devenir semblable à la force supérieure et qu’il lui fallait acquérir l’attribut du don. Le système qui émerge et crée en lui une conséquence de cette décision, est appelée «tête» (Roch).

Ces processus ont eu lieu dans un seul désir ; il est considéré comme la tête à la condition que ses parties soient connectées au niveau de la pensée, de l’intention, et avec la reconnaissance de l’importance d’un tel lien. Les mêmes désirs qui sont activés par une telle intention sont appelés le corps. Il y a une partie du corps qui est capable d’exécuter les décisions de la tête ; c’est la partie interne, Tokh. En outre, il y a une partie qui n’est pas capable de le faire,  Sof.

La division de la tête et du corps (Rosh et Gouf) a lieu dans le même désir. Dans notre corps physique, ceci se manifeste par le fait que la tête se trouve au-dessus du corps. Cette position reflète un processus spirituel : d’abord, la tête prend une décision, et ensuite elle commence à être mise en œuvre à travers le corps.

Tout se passe au sein d’un seul désir, mais les connexions entre les désirs qui sont de nature plus sophistiquée (comme les pensées, les intentions, et les clarifications) sont considérées comme la tête. Une épaisseur importante (appelée Aviout) est ajoutée au réseau que nous appelons la tête, à toutes ces liaisons et fils qui sont responsables des calculs et des clarifications ; et tout l’ensemble est appelé un corps.

Auparavant, le désir n’était qu’un corps. Cependant, juste après la première restriction (Tsimtsoum Aleph), il décida qu’il voulait se construire à nouveau; pour cela, il lui faut une tête. Le corps lui-même se restreint, car il ne pouvait pas accepter de se sentir opposé au Créateur; à ce moment, il choisit d’acquérir une nouvelle tête.

Les pensées, les aspirations, les intentions et les plans qui conduisent le désir vers la Lumière sont appelés la tête. À ce stade, elle commence à recevoir le pouvoir de la Lumière pour l’amour du don et devient ainsi similaire à la Lumière.

Si l’on regarde l’échelle spirituelle, nous ne voyons que des têtes. Les corps sont à l’intérieur. Nous ne voyons que les têtes Partsoufim, l’un sous l’autre. Les corps sont nécessaires seulement pour mettre en œuvre des décisions qui sont prises par la tête et aussi pour donner naissance à une autre tête !

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 16/01/12, « Etude des dix Sefirot »

Lorsque le supérieur vous soulève dans ses bras

Dr. Michael LaitmanQuestion : Lors du cours d’hier, j’ai ressenti une grande pesanteur. Ensuite, je suis sorti et je fus tellement perdu que pendant longtemps je ne comprenais pas où j’étais. Comment est-il possible de vivre et de passer par de tels états ?
Réponse : En effet vous savez que nous devons passer par une naissance spirituelle. La naissance est un renversement complet, comme une révolution. Une personne doit passer par un certain nombre d’états, à travers lesquels elle acquiert une nouvelle vision : elle voit tout de manière habituelle, comme les autres, et en même temps, elle voit aussi de l’autre côté, un monde à l’envers. Et ceci n’arrive pas une seule fois, mais plusieurs fois.

Elle doit s’habituer à se détacher de sa nature animale et à exister sans en percevoir le monde à travers son corps. Ce n’est pas du mysticisme, mais un travail spécial, que nous laissons à la lumière le soin d’effectuer sur nous. Nous ne savons pas quand nous tomberons dans ces états, il est difficile de les prévoir et de les localiser à l’avance. Mais cela arrive, afin de vous donner de l’enthousiasme, le sentiment qu’il est possible de voir le monde d’une manière, qui diffère de vos habitudes.

Si une personne travaille de manière intensive avec des livres authentiques, qu’elle attire à elle la lumière qui corrige, et tente de se connecter au groupe, elle traversera alors des états comme ceux-ci. Il n’y a rien de spécial ou de dangereux à ce sujet. Cela ne produit aucun résultat indésirable, mais est uniquement fait dans le but d’habituer la personne à voir le monde et toute la réalité de manière objective.

La manière objective est la même forme que je revêts. L’objectivité en soi n’existe pas. Même le Créateur, comme il nous paraît, n’est pas objectif, car Il voit tout selon le don, tandis qu’actuellement nous voyons tout à travers notre égoïsme. Mais pour nous apprendre à voir la réalité à partir de deux points de vue, ils nous sont transmis au moyen d’exercices comme ceux-ci.

Dans notre monde corporel il n’existe pas de telle « division », puisque nous ne quittons jamais ce seul monde, qui fonctionne selon les principes de la réception égoïste. Ainsi, il est impossible d’expliquer à quelqu’un qu’il peut y avoir une autre perception. Il voit cela comme de la psychologie sophistiquée.

Mais avec nous, cela se passe d’une façon matérialiste, puisque nous changeons notre substance avec les autres. Quand la Lumière, qui corrige, opère sur une personne, Elle lui donne une base qui s’appelle le désir de donner. Et la personne commence déjà à voir le monde à travers ce désir.

Et en attendant, cela arrive non seulement au détriment de la personne elle-même, mais aussi l’éduque simplement, la secoue un peu, et la réveille, comme un adulte prenant un bébé dans ses bras et permet ainsi à l’enfant de voir soudain un nouveau monde d’en haut. Un monde grand et vaste. Lui-même, demanda à être soulevé et maintenu en place afin de se sentir adulte comme tout le monde, et même plus que cela, puisque tout devient visible devant lui.

Mais mérite-t-il cette hauteur ? Non, nous sommes ceux qui le soulevons et qui lui montrons que quelque chose d’autre existe en dehors de la perception enfantine, afin d’éveiller un désir et une envie en lui de l’atteindre.

Et des exercices de ce genre nous sont parfois donnés d’en haut, avec l’aide de la Lumière environnante. Habituellement, ils se produisent soudainement. Dans ces exercices, il y a parfois des états qui nous sont incompréhensibles, et qui ne sont donc pas agréables et nous troublent fortement. La personne ne comprend absolument pas comment tout cela peut se retrouver à l’envers et s’inquiète parce qu’elle ne sait pas ce qui lui arrive.

Ils veulent simplement vous montrer maintenant, qu’il existe d’autres formes de perception, différente des formes auxquelles vous êtes habitués. Dans ce monde il existe autre chose que ce que vous avez ressenti les dernières décennies de votre vie. Cela arrive ainsi pour tout le monde.

Nous passons par ce genre d’états, jusqu’à ce que nous nous habituions à eux. Au début, ils sont considérés comme des exceptions et comme incompréhensibles dans la mesure où vous ne savez pas quoi faire avec eux. Ensuite, vous vous êtes déjà habitués à l’existence de cette inversion. Vous commencez même à l’identifier sur les amis, lorsqu’ils perdent l’équilibre et vivent le passage d’état en état.

Ainsi nous avançons. Vous vous y habituez et anticipez que vos états intérieurs changeront aussi rapidement et fréquemment que possible, car à travers eux, vous prenez la forme des relations avec la réalité. Après tout, toute la réalité est en vous et dépend de votre état.

Ainsi nous progressons jusqu’à la Makhsom (barrière), où vraiment un véritable changement se produit. Et tout ce qui arrive jusque-là est conçu pour s’y préparer. Prenez-en l’habitude !

Vous devriez être heureux d’avoir déjà commencé à vous sentir autrement qu’une bête, et que des changements fondamentaux et hautement qualitatifs se produisent dans vos attributs, dans la perception que la Lumière qui corrige vous apporte. Personne ne vous hypnotise, mais c’est tout simplement le véritable début d’un sentiment de changements internes.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 23/01/12, Shamati # 148

L’ONU met en garde d’une autre crise économique mondiale

Dr. Michael LaitmanRapport (Situation économique mondiale et perspectives, briefing mensuel ,  Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (DAES) ): « L’économie mondiale est au bord d’une autre récession majeure. La croissance de la production a déjà considérablement ralenti de 2,8 pour cent en 2011. Sur des hypothèses de base relativement optimistes, les Nations Unies prévoient une croissance du produit mondial brut (PMB) de 2,6 % pour 2012 et 3,2 % pour 2013. Si la crise de la dette souveraine européenne devait échapper à tout contrôle et si les faiblesses de l’économie américaine interagissaient pour créer une spirale descendante, l’économie mondiale pourrait plonger dans une récession à double creux. Alternativement, la coordination des politiques qui stimule la demande globale et plus directement le traitement du chômage pourraient améliorer les perspectives de croissance économique. »

Mon commentaire: Qui a dit que le taux de croissance économique est une indication d’une crise? De combien plus doit-il grandir? La croissance doit être qualitative et non quantitative! Il est nécessaire d’arrêter de produire, vendre, acheter et jeter sans réfléchir, juste pour encore produire, vendre, acheter, et jeter. Il est nécessaire de réguler l’économie de la planète pour produire tout ce qui est nécessaire pour satisfaire chacun, et pas plus que cela.

Nous devrions cesser de considérer une augmentation de la cadence de production comme la croissance, mais plutôt la croissance est notre capacité à satisfaire les besoins de chacun pour la nourriture, la médecine,  la chaleur, la sécurité et le logement. Nous devons libérer les gens du travail inutile et nuisible et les obliger à consacrer le temps libre à l’apprentissage de l’intégration, les nouvelles règles de la communauté mondiale-la garantie mutuelle. Sinon, nous devrons faire face non pas à une seconde crise, mais à une crise sans fin jusqu’à ce que nous nous réveillions.