La source de la force

Dr. Michael LaitmanQuestion: La fatigue de la vie indique-t-elle que je dois passer à un nouveau niveau? D’où vient la sensation d’être fatigué ?

Réponse: La fatigue vient d’un manque d’importance du but .Cela est dû au fait que vous ne recevez pas assez de points positifs de relance du groupe. Si vous l’aviez été, alors vous seriez allumé.

C’est le devoir du groupe d’élever chacun de ses membres. Depuis que le groupe comprend tout le monde, vous devez tous travailler ensemble sur la volonté commune et l’aspiration. Ensuite, chacun aura la force d’avancer. C’est appelé la « garantie mutuelle » quand on se connecte tous afin de donner à l’autre la force pour atteindre l’objectif de la création. 

Du cours sur les  fondamentaux de la Kabbale du 30/10/2011

Comment peut-on voir qu’il est bon de donner sans réserve?

Dr. Michael LaitmanIl y a deux façons par lesquelles la nature nous fait avancer : à notre insu ou consciemment, c’est à dire par la Lumière (la Torah), ou par la souffrance. Le chemin sur lequel nous avançons sans savoir est celui de la douleur. Parce que notre nature est un désir de recevoir, on avance et on se développe progressivement d’un degré à l’autre sous l’influence d’une sensation bonne ou mauvaise. Alors qu’est-ce que nous ressentons comme bon ou mauvais?

Nous avons été créés par la Lumière, qui nous a créés avec un désir d’être remplis. Grâce à notre processus de développement, nous atteignons  progressivement tout ce qui est dans la Lumière, dans le Créateur, comme bon et tout ce qui est en contraste avec ce que nous percevons comme mauvais.

C’est un très long chemin, et pour longtemps, selon notre nature, tout semble à l’opposé de nous. Mais comme le pouvoir du don sans réserve nous l’enseigne, nous commençons à comprendre que notre égoïsme est mauvais et qu’il est responsable de tous nos échecs, et combien cela pourrait être merveilleux si nous étions dans l’attribut du don sans réserve, ce qui pourrait nous élever au-dessus de tout mal .

Ce réveil vient progressivement à chacun de nous et pour toute l’humanité. C’est par la souffrance que nous apprenons par les coups que la force nous pousse par derrière.

Dans le même temps, on nous donne l’occasion de hâter notre développement par nous-mêmes et de progresser vers la réalisation du bien. Le bien est seulement le don sans réserve, et nous devrions faire différents exercices  et utiliser différents outils afin de développer la sensation de la reconnaissance du mal en nous, non pas comme un résultat des coups mais plutôt à travers l’environnement.

Pour ce faire, nous devons être plus sensibles au bien et au mal, au don sans réserve et à la réception, à l’amour d’autrui et à la haine. Je peux me préparer avant même que le coup arrive, en travaillant avec l’environnement afin que je puisse commencer à comprendre que donner sans réserve est bon et que la réception est mauvaise.

Après tout, c’est la façon dont est la nature. Le Créateur a déterminé le but de la création: l’adhésion au Créateur, à Ses qualités, c’est tout, « comme il est miséricordieux, vous l’êtes aussi. » Donc, nous devons ressembler à Ses attributs dans tous nos attributs. Cela signifie que je dois me transformer et  comprendre que ma nature est mauvaise et que la nature du Créateur du don sans réserve est bonne.

Les astuces et les moyens que j’utilise afin de voir  combien est bon le don sans réserve, sont appelés « Mitsvot » (commandements), « l’œuvre de Dieu ».Travailler avec l’environnement nous permet de voir le don sans réserve comme bon et l’égoïsme comme mauvais.

C’est pourquoi l’âme a été brisée en plusieurs âmes individuelles  et que nous pouvons, grâce à notre travail commun, atteindre cette connexion et l’amour des autres, ce qui est le bien. De l’amour des autres nous atteignons l’amour du Créateur. C’est l’expression particulière et générale d’un même phénomène.

Toute la descente de haut en bas, ce qui signifie toute la préparation qui a été faite pour nous a été nécessaire afin que nous soyons capables de l’utiliser et de nous développer de manière indépendante et consciente, de sorte que nous finissions par atteindre le but.

De la 1 erepartie du cours quotidien de Kabbale du 06/11/2011, « Ce qu’il faut attendre de l’assemblée des amis »

Quand les serpents se rendent

Dr. Michael LaitmanLe Zohar, Chapitre «  Pekoudé » (Comptes), «point 528: Quand un homme décède de ce monde, cet animal sort des quatre séraphins volant. Ils volent devant lui et ils ne laissent pas tous ces évocateurs de jugement et sentence l’approcher. Il y a plusieurs messagers de paix autour de lui, qui sont les séraphins. Quand ils voyagent et sont vus, ces serpents et séraphins qui sortent du serpent qui a causé la mort au monde entier, se rendent.

Le serpent, les bêtes, et les anges, tous ces éléments sont des forces internes du niveau inférieur à celui de l’homme. Nous parlons ici de la forme dans laquelle ces forces et penchants sortent de chacun de nous, comment avec leur aide nous nous connectons entre nous, entre toutes les âmes, et créons  progressivement un réseau entre nous, qui devient de plus en plus corrigé et vient ainsi de plus en plus près du réel Malkhout de l’Infini qui nous sert toujours en tant que critère. Ainsi, dans l’ensemble de ces actions, nous avons besoin de voir les forces de connexion entre nous. 

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 01/11/2011, Le Zohar

Des milliers de noms pour l’amour

Dr. Michael LaitmanLe Zohar, Chapitre « Pekoudé »  (Comptes), «point 525: Ce sont les séraphins à six ailes, qui sanctifient leur maitre trois fois par jour. Ils sont méticuleux avec les justes comme une mèche de cheveu, et se tiennent pour punir – dans ce monde et dans le monde à venir – ceux qui offensent l’homme de qui ils ont appris ne serait ce qu’une seule chose dans la Torah, et ne sont pas respectueux à son égard

Quand nous commençons à remonter de ce monde vers les degrés de connexion spirituelle, nos relations reçoivent ces noms sacrés, soit du côté de la bonté ou du côté du mal. Soit j’aime ou je déteste, et il y a des milliers de noms qui découlent de mon amour ou de la haine: les anges, les séraphins, les démons et esprits, qui venaient de la gauche ou de la droite, soit par haine ou par amour, et les connexions entre eux.

Dans l’ensemble, on nous a parlé de deux forces. Après tout, il n’y a rien, sauf la force de la réception et la force du don sans réserve. C’est seulement que dans notre monde, nous  leur trouvons en quelque sorte des noms simples, en utilisant le langage parlé. Mais dans la spiritualité ils ont des noms précis, en fonction des actions qu’ils accomplissent, des  forces et de l’épaisseur (Aviout) du désir,  qu’ils activent, et selon les résultats qu’ils apportent.

Mais dans l’ensemble, on parle ici des deux formes de nos relations : l’attirance et le rejet, la connexion et la  séparation. Et entre eux, il y a notre libre choix, nos efforts et les efforts dans l’utilisation de ces deux forces, afin de renforcer constamment notre Kli (récipient) spirituel, jusqu’à ce que toutes les forces de l’éclatement révèlent le lien entre nous, qui est 620 fois supérieur à ce qu’elle était avant l’éclatement. 

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 01/11/2011, Le Zohar

Questions sur ses amis, l’écran, et ma langue

Dr. Michael LaitmanQuestion: Après avoir lu le message «  L’influence de l’Environnement sur ​​les décisions et la mémoire » je me demande où les notions d’intégrité individuelle et le terme existentiel de la vie authentique entrent dans cette équation. Si vous n’êtes pas certain (le sommes-nous) de la vérité de votre perception de la mémoire, comment voulez-vous être en mesure de déterminer si vous avez fait une exacte appréciation du choix des amis au sein de la dynamique sociale? Assurément je ne peux pas limiter mon activité à des amis que je rencontre dans les séminaires de Kabbale? Que dois-je faire dans ma relation aux gens que je rencontre chaque jour dans mes expériences de vie courante ?

Réponse: En nous développant spirituellement, nous prenons de la distance par rapport à tous les gens qui ne sont pas impliqués dans cette affaire. Conformément à la loi d’équivalence de forme, ils cessent d’être vos amis.

Question: Quelle est la différence entre un écran (Massakh) et une intention?

Réponse: L’écran est la véritable intention (travail)

Question: Nous devons choisir nos mots avec soin. « Je pense que VOUS devriez faire ceci » n’est pas la même chose que: «Nous serions tous mieux si nous faisions cela. » Nous devons être prudents en spécifiant qui est le dispensateur de l’information car parfois cela fait que les gens se sentent perturbés à cause des mots. Quand quelqu’un dit : «Vous ne l’avez pas encore atteint, vous saurez quand vous y serez », il fait  se sentir mal comme si il  en savait  plus. Cela crée du ressentiment.

Réponse: Vous avez raison, mais je suis un enseignant, et c’est ma langue pour ceux qui veulent apprendre.

Monter à la vitesse de la lumière

Dr. Michael LaitmanLa haine est ce désir brisé qui sera révélé comme amour dans l’instant suivant. Il  va se révéler parce que la Lumière brille et influe sur le désir.

Cependant, quand il n’y a pas de Lumière, une personne semble aimer tout le monde, tout comme le disent beaucoup de gens. Ils ne mentent pas. Ils sont dans de telles ténèbres qu’il  leur semble vraiment que c’est ainsi, mais apparemment, c’est ce qu’on peut lire  à propos  de personnes  justes comme Rabbi Shimon et ses étudiants qui ont brûlé du feu de la haine mutuelle.

Comment pouvons-nous comprendre cela? Une personne religieuse dirait que c’est impossible. Ne sont-ce  pas des gens très pieux, purs, tout en vêtements blancs, incapable de haine?

Il est écrit: «L’opinion de la Torah est opposée à l’opinion des masses ». L’opinion de la Torah ce sont des rayures noires et blanches de hausse et de baisse, et la religion essaie de garder une personne dans un état d’équilibre afin que tout soit bien d’un jour à l’autre.

Toutes mes expériences précédentes ne vont pas m’aider, même si il est écrit que «L’expérience nous rend sage ». Toutes les expériences précédentes ont été reçues dans des désirs plus superficiels par rapport aux nouveaux désirs qui se révèlent de plus en plus importants à chaque fois.

Si je suis sous l’influence d’un désir plus fort, l’expérience que j’ai reçue d’un désir plus profond ne va pas m’aider. Je vais me frapper  la tête contre le mur !

Rien ne peut être fait jusqu’à ce que je détermine la profondeur de mon désir. Nous avons seulement augmenté la vitesse de déroulement et amélioré notre approche pour accepter tous les désirs comme voulus. Ce n’est pas grave que ce soit un bon ou un mauvais désir ; la chose la plus importante est d’avancer plus vite.

Le nombre de hausses et de baisses a déjà été enregistré dans chaque désir en chacun de nous en fonction de la racine de son âme. Si vous aviez vu cette échelle intérieure en vous, vous auriez appris combien vous avez laissé passer jusqu’à ce degré, combien  au degré suivant, et ainsi de suite.

Vous n’êtes pas en mesure de changer ces étapes, seulement de les accélérer. Nous ne sommes pas autorisés à les voir parce que, dans le but de travailler et d’augmenter la vitesse, vous n’avez pas besoin de connaissances, et, si vous aviez su ce que vous étiez censé passer à l’avance, vous ne seriez pas en mesure de surmonter cette difficulté. De votre état  d’en-bas, vous ne comprenez pas la rapidité avec laquelle vous pouvez vous élever au-dessus, qui est, tout simplement, la vitesse de la lumière. 

De la  2 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 3/11/2011, Le Livre du Zohar

Pas de guerre!

Dr. Michael Laitman

Question:

Que pouvons-nous faire maintenant pour éviter qu’une guerre arrive dans le monde?

Réponse: Nous devons nous unir! Dans notre monde, tout ce que nous pouvons faire est d’attirer une plus grande révélation de la Lumière. Tous les changements dans le monde surviennent en raison de l’influence de la Lumière Supérieure, qui  peut seulement être attirée par les moyens de la similitude des qualités. Nous devrions prêter attention à savoir si il y a une unité entre nous et les autres groupes, si nous sommes dans un état d’unité constante, de proximité, de similitude desqualités, de buts, pensées et désirs.

Ici, je ne veux pas dire nos désirs corporels. Je parle de notre aspiration vers le Créateur et si nous sommes unis dans notre désir de Le révéler.

Si nous comprenons que cela ne peut être fait que de cette manière, alors notre proximité et notre unité attireront une plus grande révélation de la Lumière. D’abord cela va provoquer que des bonnes choses vont se produire entre nous et plus tard cette bonne volonté va se répandre dans le monde. 

Fondements du cours de  Kabbale  du 30/10/2011

La participation personnelle est requise

Dr. Michael LaitmanIl y a un désir de recevoir et il ya un désir de donner. La création toute entière n’est rien d’autre qu’une opposition de l’un à l’autre. Le désir de donner gère le désir de recevoir, afin de l’amener à l’identification de soi et le rendre équivalent à la volonté de recevoir. C’est le programme initial du désir de donner sans réserve.

La nature du bien, selon la science de la Kabbale, est la bienveillance (faire le bien).Comme le Créateur est parfait, dans cette mesure, il a un programme d’amélioration de la création. Et il existe un seul chemin vers la perfection: La création doit ressentir l’état du Créateur. Il a créé la création comme opposée à lui-même, séparée de Lui, et Il guide la création à travers une séquence d’états par lesquels la création atteint la sagesse du Créateur et ressent ce qu’il y a dans le Créateur.

Mais il ne suffit pas de comprendre et  de resentir, la création atteint la nature du Créateur d’elle-mme y compris tout ce qui est dans la création et sa gestion. Ainsi, la force de donner est appelée «Lumière» et la force de réception « un récipient » . La similarité de leurs qualités est appelée « une intention de don sans réserve » ou «un écran». En raison de l’intention altruiste et par la nature de son action, le désir de recevoir devient celui du don sans réserve. Si il reçoit pour plaire à quelqu’un, c’est, en fait, il commet un acte de réception en utilisant le don sans réserve comme un moyen: il n’a pas d’autre moyen pour établir des contacts et donner quoique ce soit à quelqu’un .

Comment peut-on participer au processus? Comment pouvons-nous obtenir plus de compréhension? Comment pouvons-nous atteindre le degré du Créateur? Comment sentons-nous Ses actions? En bref, comment pouvons-nous devenir comme Lui? Après tout, c’est le but  – devenir comme Lui.

Nous ne comprenons pas encore ce que signifie «faire plaisir au Créateur», mais «l’équivalence avec le Créateur » est plus proche de notre compréhension actuelle égoïste.Etre comme lui signifie accorder sans réserve, comprendre le don sans réserve,  prendre sur soi, gouverner la création … Tout est là.

Mais en fait, être comme Lui, c’est comprendre en premier lieu l’ensemble du programme et le déroulement complet des actions assumées par lui du début à la fin. Une telle compréhension nécessite que l’ensemble soit démonté puis remis ensemble.De cette façon, nous révèlons l’écart entre le Créateur et la création avec la connexion qui les met en équivalence. En cela, la Lumière et l’obscurité, le plus et  le moins, le positif et le négatif se connectent  à tous les niveaux.

Dans le processus de notre développement, sous l’influence constante de la lumière, un récipient acquiert des formes diverses jusqu’à ce qu’il atteigne le « dernier arrêt » – l’équivalence complète de qualités avec le Créateur. Mais le récipient  doit passer par ces états de changements séquentiels avec compréhension, en étant  d’accord, en les désirant, et même en agissant de manière indépendante.

Ainsi, nous avons besoin de réaliser notre opposition au Créateur, nous voulons changer et devenir comme Lui, comprendre le programme qui va nous changer, l’adopter par notre propre désir, et réaliser toute la chaîne d’actions séquentielles nous-mêmes, sur nous-mêmes et à en même temps à tous les niveaux de la création en dessous de nous : minéral, végétal, et animé.

Nous devons réaliser cette ascension de la brisure vers la correction avec notre participation personnelle complète. Selon les modifications requises pour le moment, nous devons gagner l’esprit et le sentiment, devenir inclus dans le programme commun, et faire les actions pour invoquer et guider les forces nécessaires.

C’est seulement de cette façon que nous pourrons atteindre l’équivalence de forme avec le Créateur et devenir comme Lui en force, compréhension et tout le reste. C’est le plus haut degré de notre développement. 

De la  4 ème partie  du cours quotidien de Kabbale du 7/11/2011 , « Matan Torah (Le Don de la Torah) »


La fierté vous force à vous frapper la tête contre le mur

Dr. Michael LaitmanQuestion : Nous voyons des exemples terribles de haine et d’hostilité dans l’histoire. Quel genre de haine devons-nous révéler afin de nous unir au-dessus d’elle et ainsi nous élever vers le monde spirituel ?

Réponse : Nous ne pouvons pas juger le passé avec ses épouvantables catastrophes et ses guerres fratricides. Les Juifs se sont battus les uns les autres plus férocement que les Romains ou les Grecs, qui les ont attaqués. C’est ainsi que l’analyse de la brisure se fait. Le bien et le mal se mélangent, les désirs s’entremêlent avec les intentions; toutes les catastrophes et les problèmes se produisent sur terre uniquement pour clarifier tout cela.

Cela fait partie de la correction ! Tout au long de l’histoire de l’humanité, nous voyons tout le sang versé et combien de personnes ont été tuées, des milliards ! Des guerres furent menées en permanence, de partout, les gens se sont infligés, les uns et les autres, de terribles souffrances ! Jusqu’à aujourd’hui, des conflits quotidiens et constants et des disputes se produisent partout dans le monde, et tout cela est la clarification du désir de recevoir du plaisir, qui doit se révéler et parvenir à la conclusion qu’il faut le corriger.

En conséquence, il découvre qu’il doit se corriger et devenir un désir commun. Et quand il s’aperçoit qu’il est incapable de faire cela de sa propre force, il commence à penser : Quel type de force pourrait l’aider à ce sujet ?

Dans un premier temps, une personne, naïvement, essaie de tout corriger par ses propres forces, et cela demande beaucoup d’efforts et de temps. Et peu importe combien de fois l’on explique à une personne que ce n’est pas elle qui fait les corrections, ça n’aide pas. Il faut atteindre le désespoir et frapper sa tête contre le mur un millier de fois pour finalement se dire : «Oh, maintenant je comprends que je suis incapable de le faire tout seul ! J’ai besoin d’une force extérieure, le Créateur, la Lumière qui corrige !  »

Maintenant, la personne comprend et ressent en elle, dans le désir qu’elle a clarifié après s’être cogné la tête dix fois contre le mur, que la rédemption ne viendra que de l’extérieur. Elle commence alors à travailler dans ce sens et à cherche la lumière de la correction.

Mais elle cherche la lumière d’abord seule, se cogne la tête encore dix fois, jusqu’à ce que tout à coup, elle réalise que la lumière n’est révélé que dans la connexion avec les autres.

Nous devons passer par tout cela. Il n’y a rien que nous ne puissions faire à ce sujet.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 03/11/2011, Le Zohar

La connaissance qui s’accumule dans le cœur

Dr. Michael LaitmanQuestion : Je sens que je ne comprends absolument pas, ni ne perçois, ni ne ressens L’étude des dix Sefirot. Que dois-je faire ?

Réponse : J’ai écrit dans l’un de mes livres qu’en 1982, j’ai étudié le chapitre qui parle de la structure du monde d’Atsilout (bien que ce ne fût pas la première fois). Cela fait près de trente ans, et je ne peux toujours pas dire que je comprends absolument tout. …

Atsilout est le monde de la correction. Vous n’êtes pas capables de comprendre la complexité de ce système, car vous ne voyez pas au-delà de ce monde. Vous ne sentez pas combien la création, comprenant des mondes entiers et Einsof, est grande et immense ! Nous ne réalisons pas ce que c’est, parce que nous sommes habitués à fonctionner uniquement au sein de notre petit cercle, et parce que nous jugeons tout le reste en fonction de ces mesures.

Nous étudions L’étude des dix Sefirot, afin d’attirer la Lumière supérieure. Plus nous en parlons, plus tôt nous comprendrons que nous sommes aussi composés des mêmes pièces. Cela nous aide à être certains de nous trouver la bonne voie et à attirer la Lumière. Nous avançons à travers des montées et des descentes, des demandes (MAN) et des réponses de l’En-Haut (MAD).

La clé de toute cette étude est d’arriver à la simple solution qu’il vous faut la Lumière qui corrige, ce qui vous révélera ce système supérieur, ce réseau. Alors seulement, vous serez en mesure de comprendre ce qui se passe. Sinon, vous ne ferez que mémoriser mécaniquement des mots.

Si vous étudiez uniquement pour accumuler des connaissances dans votre tête, alors vous ne faites que perdre du temps. Vous pouvez jouer avec les mots et prétendre être un sage, mais nous étudions pour penser à notre union et notre connexion au cours des études et pour rechercher la Lumière qui nous donnera la vie.

Maintenant, quand j’apprends quelque chose sur l’embryon spirituel, je dois vouloir devenir cet embryon ! C’est tout ce dont j’ai besoin. Sinon, à quoi sert de lire: « SAG donne», sans savoir ce qu’est le don, ou « l’écran du quatrième niveau», sans percevoir cet écran. Si nous n’attirerons pas la Lumière, c’est une lecture vide. Cela peut même vous éloigner d’avantage de la vérité, parce que vous croyez avoir déjà grandi et avoir désormais tout compris.

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 31/10/2011, TES