Monthly Archives: mars 2014

Une base stable pour le groupe

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment le travail de groupe sur sa connexion en vue d’adhérer au Rav sans permettre à des virus externes de détourner toute la société?

Réponse: Le groupe doit apprendre la méthode de la correction sur le chemin spirituel du Rav, mais le réaliser en soi. La connexion entre les amis doit procurer à tout le monde une telle puissance, une telle fondation, qu’ils seront également prêts à se tenir à leur place sans le Rav. Ils ont besoin du Rav seulement pour être en mesure de progresser constamment dans la bonne direction.

Mais sur le plan qui a déjà été atteint, le groupe doit déjà être dans une telle connexion mutuelle qu’il crée une base stable de sorte qu’ils n’ont besoin de personne; dans la connexion entre eux, ils découvrent le Créateur et de cette manière ils progressent.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 27/02/14, sujet de la leçon: « le professeur »

Le secret des caractères purs

Dr. Michael LaitmanL’ordre inverse des lumières et des récipients est une loi qui agit du début du monde jusqu’à sa fin. Il découle du fait que plus le récipient-désir est grand et « rude », plus la lumière qui se découvre en lui est grande. Autrement dit, la lumière se découvre dans la partie fine à l’aide de la partie « rude ».

La partie « fine », « transparente » par laquelle commence la croissance – c’est Keter. Et la partie « rude » – c’est Malkhout. Ainsi Malkhout détermine la grandeur de la lumière qu’il y aura dand Keter.

Cette loi est la même pour les dix Sefirot quelle qu’elles soient: d’une petite cellule, d’une partie du monde, du monde entier ou bien de toute la réalité qui existe.

Mais au fond de l’ordre inverse des lumières et des récipients résident deux lois:

Premièrement, selon la grandeur du désir je découvre le Créateur.  Autrement dit, je manifeste mes goûts en fonction de mon appétit.

Deuxièmement il existe la loi de l’équivalence de forme: plus mon récipient est « transparent », plus la lumière qui lui correspond est grande et haute.

Il s’avèret que j’ai une partie du récipient « rude » à l’aide de laquelle j’attire et je découvre les lumières et j’ai une partie du récipient « transparente » à l’aide de laquelle je ressens ces lumières.

De là découle un grand nombre de conséquences qui nous désorientent complétement.

Par exemple, pour atteindre des sommets dans un art quelconque, les artistes doivent travailler beaucoup dans des situations très difficiles, « dures « , « terre à terre ». De loin on peut penser qu’ils volent dans de hautes sphères, mais en réalité ces gens là sont très « difficiles ».

Après tout, « quelle que soit la hauteur où l’homme s’élève, son mauvais penchant s’élève toujours au-dessus. » C’est ça la conséquence de l’ordre inverse des lumières et des récipients – même ici dans le monde matériel.

Pour obtenir quelque chose de sublime, de raffiné, il faut passer par tout les états dans vie – et ce n’est qu’alors que l’on sera capable de créer vraiment une oeuvre d’art. Ce n’est qu’en se « salissant » sufisament bien que de cette saleté on pourra atteindre le sommet.

C’est pourquoi si on faisait connaissance de plus près avec les natures fines, on verrait en elles quelque chose de tout à fait différent de ce qu’on croyait – car il y a de tout en elles.

Ainsi la « finesse  » et la « rudeur » sont interdépendantes. Après tout « l’essence de l’essence et « l’existence ex-nehilo » sont en correlation inverse. D’une part, l’essence de l’essence doit se manifester et d’autre part,  » l’existence ex-nehilo » doit découvrir son essence et le pôle opposé qui lui manque. C’est de là que vient la compréhension.

Nous avançons plus loin, nous nous salissons en tombant dans la boue, les générations descendent de plus en plus bas dans le gouffre – et c’est exactement ces états qui nous préparent pour la compréhension la plus pure. En ce qui concernel’esxistence ex-nehilo », je découvre la lumière en fonction de « l’épaisseur « , « de la rudesse » de mon désir, tandis qu’en ce qui concerne « l’essence de l’essence » je découvre la lumière en fonction de ma transparence.

Ainsi mon désir contient deux parties : la partie « rude » qui attire la lumière et une partie « transparente » qui la reçoit.

De la leçon sur « L’introduction au livre du Zohar », 27.02.2014

 

Travailler avec les gens adoucit même le « cœur de pierre »

Dr. Michael LaitmanQuestion : Est-ce que le souci intérieur que nous ressentons en ce qui concerne la souffrance du public est le bon indicateur pour la construction du Kli spirituel ?

Réponse : Lorsque nous investissons nos forces dans le travail avec le public, nous voulons réussir pour des raisons égoïstes. Il est donc facile pour nous de continuer ce travail. Nous investissons tellement dans ces gens que nous les sentons déjà comme s’ils étaient des parents et nous voulons leur succès. Par conséquent, la diffusion élargit nos récipients. Si nous sommes « cuits » uniquement au sein du groupe, en fin de compte il va dégénérer et rester dans un état statique. Nous allons trouver de plus en plus difficile de prendre des mesures les uns envers les autres et de se rapprocher les uns des autres. C’est vraiment ce qui se passe.

Mais si nous prenons soin des gens, nous commençons à être concerné par leur avancement et leur succès. Il est raisonnable que nous avancions ensemble avec nos élèves, même si chacun d’eux avance en fonction de son niveau. Et quand vous venez de vos étudiants vers les amis, alors vous vous reliez déjà à eux différemment, pas comme avant.

Il est très difficile de parvenir à une connexion immédiate et forte directement avec les gens qui sont au même niveau que vous afin d’être comme un seul homme avec un seul cœur. Mais c’est seulement après que vous vous soyez préoccupé des gens qui sont à un niveau plus bas que vous, que vous vous adoucissez et obtenez le sentiment du don sans réserve à l’intérieur de votre désir de recevoir, et à la suite de cela, vous passerez à cette inclination d’un désir de donner sans réserve envers les amis.

De la préparation de cours quotidien de Kabbale du 25/02/14

Nous avons besoin de tout le monde

congrès, groupeQuestion : Je sens que tout le monde est déjà uni et connecté, tandis que je n’ai pas réussi à atteindre cela en aucune façon. Comment est-il possible qu’à partir de ce vide je puisse demander pour les amis et qu’est-ce que j’ai besoin de demander exactement ?

Réponse : Sans votre participation active, nous n’atteignons rien. Vous devez demander, dans toutes sortes de mots, d’être inclus ensemble avec nous dans le système collectif. Et nous devons montrer que sans vous, nous n’atteignons pas cette harmonie qui est impératif pour nous de découvrir le Créateur. Si le Créateur choisit un montant particulier de personnes pour participer au récipient collectif au sein duquel Il veut être découvert, alors nous devons le faire.

Le système spirituel est construit selon le principe de l’acceptation et de l’équilibre mutuel qui coule vers la fin de la correction. Il y a toutes sortes de composants en cela qui complètent le système. Mais en dépit de tout, si la personne est liée à nous sous une certaine forme, alors nous devons lui montrer que sans une participation active de sa part, nous ne pouvons rien atteindre, nous avons besoin d’elle.

De la Semaine Mondiale du Zohar, « Congrès de l’Éducation Intégrale », Jour Trois, Atelier n°5 du 04/02/14

Se noyer dans la Lumière de Bonté

Dr. Michael LaitmanSi vous voulez ressentir un peu l’état spirituel, vous pouvez imaginer que vous vous noyez dans une mer de Lumière et que vous restez sans oxygène, comme un poisson nageant dans l’eau. La Lumière Supérieure m’enveloppe de tous les côtés et répond immédiatement et automatiquement à chacun de mes mouvements. Je lève à peine une « main » ou un « pied », soit le moindre mouvement dans mon cœur, et j’appelle immédiatement la réponse de la Lumière Supérieure.

C’est ainsi que je devrais vivre tout le temps, du matin au soir, de la nuit jusqu’au matin, et sentir que je suis dans une mer de Lumière Supérieure qui remplit toute la réalité. C’est la seule force, « Il n’y a rien hormis Lui. » Il est bon et bienveillant et répond à chaque mouvement que je fais dans le but de m’amener à l’objectif de la meilleure façon possible.

Je suis dans cette Lumière dans chaque mouvement de mes désirs : dans le minéral, le végétal, l’animé et le parlant, et ainsi j’appelle immédiatement une réponse de la Lumière, je dois en tenir compte.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 21/02/14, Écrits du Baal HaSoulam

A quoi devrions-nous nous attendre lors de l’étude du Livre du Zohar?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quelle est la bonne intention que nous devrions avoir quand nous ouvrons le Livre du Zohar?

Réponse: Le Livre du Zohar a été écrit à la suite de la connexion entre les âmes et il fonctionne et nous influence dans le bon chemin si nous nous connectons. Même si je le lis par moi-même, il me touche en me poussant à me connecter. Mais il est impossible de comprendre ce livre, sauf si vous êtes connectés à d’autres personnes.

Ce n’est pas seulement une compréhension intellectuelle, mais une révélation. Je sens combien je surmonte mon ego et commence à sentir les autres dans ma relation avec les autres. Je  sens de nouveaux pouvoirs et de nouveaux attributs dans la connexion auxautres, et je découvre le monde supérieur.

Le Livre du Zohar me donne le sentiment des autres en révélant un champ de force d’amour et de don entre nous qui est le monde spirituel. C’est le meilleur résultat que nous devrions attendre de l’étude du Livre du Zohar.

De la Semaine mondiale du Zohar  « Congrès mondial du Zohar , » 1er jour 05/02/14, Leçon 1

Qu’est-ce qu’une question en spiritualité?

Dr. Michael LaitmanUne question en spiritualité est un désir ( Hissaron, manque) qui déclenche la Lumière Supérieure. La lumière descend et remplit ce désir. C’est ce qu’on appelle une vraie question ou la prièr .

Cependant, jusqu’à ce que cette véritable question soit formée, on passe par un éventail de questions préliminaires que l’on appelle  » une prière avant une prière.  » En d’autres termes, avant que l’on atteigne vraiment la prière, demande, on subit de nombreuses petites, privées  questions inexactes jusqu’à ce qu’une bonne question émerge enfin.

En général, toutes les questions se résument à une chose :  » Quel est le sens de la vie ? Vaut-il la peine de vivre ? Si oui, pour quoi faire?  » C’est la seule question qui existe réellement. Un homme demande des milliards de questions différentes et en conséquence ne reçoit qu’une réponse partielle. Mais à la fin de la correction, tout va se transformer en une énorme question à laquelle, une gigantesque réponse parviendra- L’accouplement complète ( Zivoug a Shalem ).

Question: Quel genre de questions faut-il vous apporter et celles qui doivent être clarifiées dans le groupe ?

Réponse: Il est préférable de venir à moi avec une question collective. Si vous avez une question qui implique l’ensemble du groupe, s’il vous plaît posez la moi.

Commentaire : Pour l’instant, quand je trouve des réponses à mes questions dans le groupe, je pense qu’elles sont correctes.

Réponse: En effet .  » Jusqu’ici  » C’est de cette façon pour tous les niveaux, pour moi et pour tous. Les réponses qui étaient juste à ce degré deviennent incorrectes lorsque nous atteignons un nouveau niveau parce que Keter du Partsouf inférieur appelle Malkhout du supérieur.

D’une leçon en Russe du 10/02/14

Comment pouvons-nous éveiller le Créateur ?

Dr. Michael LaitmanQuestion : Comment l’inférieur peut-il hâter son propre développement et contraindre le supérieur à fonctionner en permanence sur lui ?

Réponse : D’une part, tout ce qui arrive à l’inférieur vient du supérieur, comme il est dit : « Je suis le premier et Je suis le dernier. » Si Il est le premier et le dernier, alors qu’est-ce que je dois faire ? Comment puis-je m’accorder à Lui ?

La seule façon de s’accorder au supérieur se fait à travers le groupe et non par soi-même. Je ne peux pas le faire par moi-même. Le groupe est mon supérieur et si j’éveille les amis, j’éveille aussi le Créateur de cette façon. C’est notre unique travail. Si je veux accélérer ma progression, mon développement, et améliorer mon état, je ne peux le faire qu’à travers le groupe.

Tant que je suis tout seul, il n’y a aucun moyen que je puisse donner au Créateur. Quand je suis seul, je reste passif dans ma relation avec le Créateur, tout comme les parties minérale, végétale et animée de la nature. Si j’essaie de me connecter au Créateur par moi-même et que j’étudie la sagesse de la Kabbale dans le but d’y arriver, je reste au niveau du minéral, du végétal et de l’animé.

Si je veux éveiller le Créateur et Le forcer à prendre soin de moi, je dois le faire à travers le groupe parce que le récipient du don sans réserve sur le Créateur est la connexion entre les gens. La même chose se produit dans le passage d’un niveau à l’autre. Au niveau suivant, je vais devoir atteindre une connexion avec tout le monde « au carré » par rapport au niveau précédent. Sur les niveaux supplémentaires, la connexion se développe dans le troisième degré, le quatrième degré, etc…

Cela signifie qu’à chaque fois je dois éveiller le Créateur par mon propre pouvoir, qui est plus étroitement connecté au groupe. Si je ne l’augmente pas à chaque fois, je reste tout seul, et ainsi je suis complètement dirigé par le Créateur, par différentes illuminations, ce qui est le niveau du minéral, du végétal et de l’animé, tout comme Il exploite l’ensemble de la nature et des gens dans ce monde.

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale du 21/02/14, Talmud Esser Sefirot

Une égalité difficile

Dr. Michael LaitmanQuel est le rapport entre une partie et l’ensemble? Comment un petit groupe réuni par Abraham dans l’ancienne Babylone a été en mesure d’influencer le développement de l’ensemble de l’humanité? Pourquoi tout tourne autour de ce groupe et le groupe-même continue ses circuits?

Le problème de notre monde est que nous évaluons l’humanité quantitativement comme du bétail: nous comptons des milliards, des millions – et nous en sommes satisfaits. Nous ne sommes pas en mesure d’effectuer des calculs qualitatifs.

En conséquence dans notre monde il existe un conflit éternel entre la quantité et la qualité. <<Nous sommes tous égaux! » – proclamons – nous. Mais comment est-ce possible lorsque la fortune d’une personne est comparable à celle d’un milliards d’autres? Ou bien lorsque la santé d’une personne vaut celle d’un millier d’autres? Et en général, en quoi sommes-nous égaux? Dans le fait que nous ayons tous un corps? Est-ce le critère d’après lequel il faille évaluer les gens?

Nous ne pouvons pas apprécier chacun selon des étalons justes. Que comparons-nous exactement? Les sensations? L’esprit? Comment se comparer les uns les autres?

En fait l’égalité n’existe pas. Tout le monde nait avec son ensemble de qualités particulières et chacun est unique. Et bien que nous aimerions vraiment que tous les êtres humains soient égaux , dès le début nous sommes différents. Baal HaSoulam l’explique dans l’article <<La paix dans le monde>> : il faut faire un grand travail avant de parvenir à une véritable égalité entre nous .

La même chose s’applique à la voie spirituelle. En effet d’après notre prédestination spirituelle, nous sommes aussi complétement différents.

Chacun a ses qualités, à chacun « son lot », son style, sa mission dans le système global. Ce système est comme un corps unique où chaque cellule est importante, mais toutes les cellules et tous les organes se différent les uns des autres.

De là nous pouvons comprendre le rôle du groupe d’Abraham, qui a eu sa nouvelle destination, contraire aux autres peuples. En effet c’est le désir égoïste qui dirige Babylone, un désir qui se développe et qui se renforce de plus en plus, tandis que le groupe d’Abraham, au contraire, développe le désir de donner. c’est-à-dire, l’égoïsme grandit, mais à condition que l’altruisme se développe au dessus, par le biais de la foi au-dessus de la raison.

L’avancement des étudiants d’Abraham est très différent par rapport à l’avancement des autres peuples: les deuxièmes développent la compréhension tandis que les premiers – la foi. Pour cette raison à l’époque où le groupe d’Abraham effectuait sa mission correctement, ce n’était pas la science qu’il développait, ni les traditions culturelles du peuple, tels que la musique, la danse, etc Tout ceci n’était pas très important, tous les efforts principaux étaient investis dans le développement spirituel. Tout n’était concentré que sur ça.

Cependant, plus tard, d’autres peuples ont commencé à récolter différents « bénéfices » en développant sur cette base des sciences, la culture, des arts. Par exemple, les anciens philosophes grecs ont puisé les bases de leurs approches de la Kabbale –  et ils l’ont reconnu par la suite.

Quoi qu’il en soit, la spécificité des relations entre la partie et l’ensemble, entre un peuple peu nombreux et l’humanité entière, comme nous le voyons, a persisté tout au long de l’histoire et se poursuivra dans l’avenir.

Nous aussi, tout comme Abraham, rassemblons les amis du monde entier, les appelant de prendre le chemin commun vers le Créateur. Et pourtant, nous resterons toujours une petite minorité – c’est ainsi que cela sera pour équilibrer la puissance quantitative de l’humanité avec notre puissance qualitative.

Ces deux parties doivent être équilibrées entre elles. Par exemple, si on donne une grande force à un enfant inconscient, il va causer beaacoup de dommages aux autres, et si on lui donne de l’entendement sans lui ajouter de force, il ne pourra pas se réaliser. Et c’est pour cette raison que tout doit être mis en équilibre, afin que le corps, l’esprit et les sens aient une bonne corrélation dans leur croissance.

De même pour nous, nous pouvons même être réduits avec la croissance du monde. Il est dit: « Tout le monde Me connaîtra, des plus petits aux plus grands » – ils Le connaitront à travers nous, mais des millions ne nous rejoindront pas. Cela arrivera à la dernière étape …

De la leçon sur « L’introduction au livre du Zohar » du 02.03.2014*

 

Toucher le don sans réserve

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce qu’une personne sent lorsque l’attribut du don se revêt  au lieu de l’attribut de réception? Sort-elle dans les rues remplis d’amour pour ceux qui passent, comme si elle jouissait de la vue sur les montagnes et les lacs pendant qu’elle conduit ? Est-ce un sentiment permanent , ou qui passe immédiatement  tout comme le plaisir que je ressens d’un beau paysage ?

Réponse: Le remplissage que vous obtenez dudon passe, puis revient à nouveau alors que les états changent constamment. Pourquoi pensez-vous que cet état , ce sentiment devrait rester ? Le plaisir que vous ressentez de la beauté de la nature est beaucoup plus long que le sentiment spirituel. Chaque état ​​spirituel se termine dès le moment où vous le sentez. Cela signifie que vous l’avez déjà atteint. Vous n’avez pas besoin de le sentir plus d’un instant afin de répondre, et c’est tout.

Si je reçois une chance de me comporter avec les autres en me  préoccupant plus que de moi-même, cela ne signifie pas que je dois les embrasser et les enlacer. Je ne peux même crier contre une personne si elle ne fonctionne pas correctement , cela ne fait aucune différence. L’attitude intérieure appartient uniquement à la connexion de nos âmes. C’est comme votre attitude envers votre propre enfant , que vous aimez à l’intérieur, tandis qu’à l’extérieur, vous faites tout ce qu’il faut afin de l’éduquer , jusqu’à ce que l’intériorité et l’extériorité ne fassent qu’une.

L’amour soulève toujours une personne au dessus des autres , car il la prépare pour le don et le don n’est possible qu’à partir d’un grand envers un petit. C’est un sentiment d’appartenance , mais pas un sentiment égoïste comme à l’égard de votre propre enfant. Il est impossible de le décrire . Il est dit : « Goûtez et voyez comme le Seigneur est bon .  » Il n’y a rien avec quoi nous pouvons comparer ce sentiment dans le monde corporel .

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 24/02/14 , Questions et réponses avec le Dr Laitman