Monthly Archives: août 2012

Le coût économique du réchauffement climatique : cela blesse les pays pauvres et fonctionne pour les riches

Dr. Michael LaitmanDans les Nouvelles (Nouvelles du MIT): « Même les hausses temporaires et locales de températures endommagent de manière significative la croissance économique à long terme dans les pays en voie de développement, selon une nouvelle étude coécrite par un économiste du MIT.

«Suite aux données météorologiques au cours du dernier demi-siècle, l’étude constate qu’à chaque augmentation d’un degré Celsius dans un pays pauvre, au cours d’une année donnée, réduit la croissance économique d’environ 1,3 %. Toutefois, cela ne s’applique qu’aux pays en voie de développement ; les pays riches ne semblent pas être affectés par les variations de température.

« Des températures plus élevées diminuent substantiellement la croissance économique dans les pays pauvres », déclare Ben Olken, professeur d’économie au MIT, qui participa à la recherche. Alors qu’il est relativement facile de voir comment les sécheresses et un temps chaud peut nuire à l’agriculture, l’étude indique que les périodes chaudes ont des effets économiques beaucoup plus étendus.

«Ce que nous disons, c’est que les effets s’étendent au-delà de [l’agriculture], » ajoute Olken. « Ils influent sur l’investissement, la stabilité politique et la production industrielle. »

Mon commentaire: La Nature (la force supérieure, qui est la même chose) est un système unique et se manifeste donc par son impact sur l’humanité de bien des façons, parfois de manières contradictoires, et qui nous semblent, du moins, sans aucun lien.

L’époque de la maturité

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam: «Le temps d’agir»: Pendant longtemps maintenant, ma conscience m’a chargé de révéler et de créer un texte fondamental sur l’essence du judaïsme, la religion et la sagesse de la Kabbale, et de le diffuser parmi le nation, afin que les gens puissent connaître et bien comprendre ces matières élevées dans leur véritable sens.

Nous devons comprendre à quel point il est difficile pour un kabbaliste à agir en dehors de son cadre. Après tout, il y a d’importantes restrictions sur les révélations de la sagesse de la Kabbale.

Même maintenant, alors que cette sagesse n’a été encore que peu dévoilée, nous voyons que l’humanité a acquis de la sagesse de la Kabbale les fondements du niveau animal de l’existence dans de nombreux aspects. Elle a enrichi le monde par des méthodes différentes à travers l’histoire : par les philosophes grecs et par différents élèves qui répandirent la sagesse. Suite à cela naquirent les religions : d’abord le judaïsme, puis le christianisme, puis l’islam. Différentes croyances parmi les gens d’Orient découlent d’elle à l’époque d’Abraham.

Finalement, tout découle des miettes de la sagesse de la Kabbale, qui parle des forces opérant dans le monde et qui conduit une personne à la correction prédéterminée.

Sur cette base, les gens ont mis en place des approches philosophiques, des études métaphysiques, différentes doctrines théologiques, etc. Plus tard, ces modèles sont devenus de grands obstacles sur le chemin de la vérité. Les gens devinrent confus car ils prirent des descriptions systématiques détachées de la sagesse de la Kabbale et en firent des systèmes et des concepts différents selon leur entendement. Ainsi, ils tentèrent de confirmer leur propre exigence de vérité et de pouvoir, en niant l’exactitude de la Kabbale. Nous devrions apprendre de ces exemples : Les gens ont une perception systématique de la sagesse de la Kabbale et la transforment en quelque chose qui leur est bénéfique.

Pour cette raison, il était interdit de révéler la sagesse de la Kabbale. Après tout, si la Lumière est versée dans un récipient non préparé, appelé «fruit immature», cela empêche de recevoir la vérité ; ceci inspire la haine envers Israël et éloigne le peuple de la correction.

En conséquence, les sages étaient très prudents et ne révélaient pas la sagesse de la Kabbale. Même si une personne en avait entendu parler, elle ne pouvait obtenir aucune information à ce sujet. Ce n’est qu’au cours des trente dernières années que commencèrent à apparaître des livres de Kabbale dans les magasins mais pas partout. Avant, il était tout simplement impossible de les trouver.

En outre, les kabbalistes fixèrent des limites sérieuses quant aux étudiants potentiels et même répandirent des rumeurs négatives pour empêcher le peuple juif de s’approcher de la sagesse de la Kabbale. Si une personne n’y est pas destinée, si elle n’a pas un véritable désir brûlant, elle ne doit pas s’approcher de cette sagesse. D’abord, elle doit passer par certaines phases du développement, puisque nous sommes tous des parties d’un désir général qui mûrit peu à peu.

Aujourd’hui seulement, le temps où il n’y a plus rien à craindre est venu. Au contraire, nous devons répandre la sagesse de la Kabbale, ce qui signifie agir par des moyens opposés.

Dans l’ensemble, le Baal HaSoulam fut le premier kabbaliste à révéler cette sagesse aux masses. Il écrivit beaucoup pour le grand public, y compris le journal « La Nation » et d’autres articles. Qui sait quelles pensées, quelles préoccupations et quels efforts cela lui en a coûté, car il vivait à Varsovie au début du siècle dernier, quand il décida qu’il n’y avait pas d’autre choix et que nous devions nous tourner vers tout le monde.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 23/08/12, «Le temps d’agir»

Une promenade dans les montagnes

Dr Michaël LaitmanQuestion: Quel conseil on peut donner à une personne qui est fatiguée  des hauts et des bas? Y a t-il un répit sur ce chemin, ou cela va continuer de la même manière jusqu’à la fin de la correction?

Réponse: Plus vous allez avancer, plus la fréquence des hauts et des bas va augmenter et ils vont devenir de plus en plus puissants. Mais vous devez vous convaincre que c’est un plaisir pour vous.

Tout dépend de l’attitude. Quelle est la différence si je suis sorti pour me promener ou si je marche sur le même chemin, mais je dois me forcer. Tout dépend comment je vois le chemin.

Il y a des gens qui escaladent les sommets des montagnes en faisant des efforts considérables, au péril de leur vie, mais c’est amusant pour eux, c’est un plaisir pour eux. Et il y a des gens qui font le travail et ont les conditions plus légères, mais c’est un tourment pour eux. Tout dépend de notre perception.

Et en fait, dans le progrès de l’homme il y a un moment où il a peur des chutes. Elles le plongent dans une telle obscurité et désespérance qu’il ne veut pas d’elles. Comme on dit: « Je ne veux pas ni de souffrance, ni de récompense pour elles. » Il ressent de la douleur dans tout son corps, les ténèbres, la confusion, il se sent si mauvais comme si le corps était atteint d’une maladie ou pire encore. Tout cela est pour qu’il développe son attitude envers les hauts et les bas, et décide qu’il veuille les utiliser pour construire ses relations avec le Créateur au-dessus d’eux.

De la leçon sur Les Écrits du Rabash, 24/07/2012

Comment pouvons-nous obliger le Créateur à nous aider?

congrès, groupeDans l’atelier précédent, nous avons abouti à la conclusion que nous ne pouvons rien faire par nous-mêmes. Nous avons essayé de faire tout ce qui est en notre pouvoir, mais cela ne menait à rien. C’est vrai! Cela n’a conduit à rien! Il n’y a aucun espoir que cela mènera à quelque chose! Pourquoi? Parce que nous n’avons effectivement aucun pouvoir. Ceux qui disent que nous ne pouvons rien faire énoncent réellement un fait.

Nous ne sommes que des égoïstes, et nous ne pouvons travailler qu’au sein de notre ego. Nous ne pouvons rien faire en dehors de l’ego, ce n’est pas en notre pouvoir. Nous ne pouvons rien faire au-dessus de l’ego, nous ne pouvons pas réellement avancer et nous rapprocher de quelqu’un d’autre. Nous ne pouvons le faire que lorsque nous y voyons un certain avantage.

Que pouvons-nous faire? Demander au Créateur! Rien d’autre ne peut nous aider car c’est la seule force au monde qui fait tout. On nous a donné la chance de découvrir ceci, de découvrir qu’Il est la seule force qui fonctionne et personne d’autre.

Donc, tout notre travail se résume à une demande d’atteindre un désir qui va vraiment L’obliger à nous aider.

Mais il n’est pas facile de parvenir à un tel désir. Il se développe progressivement. Nous devons y penser quand il grandira afin que nous puissions crier ; il faut le demander à chaque fois. Cette demande doit inclure tous nos désirs, y compris les plus petits, peu importe ce qu’ils peuvent être.

Ils ne sont pas réels intentionnellement, tout comme les enfants qui pleurnichent, crient, pleurent et obtiennent ce qu’ils veulent, peu importe quoi, en utilisant notre amour pour eux. Nous devons nous comporter de la même manière avec le Créateur, pour apprendre de ce monde comment nous devons nous comporter.

Toutes les requêtes, les demandes, la mendicité, et les plaintes sont généralement appelées «prière».

Une prière est aussi un sentiment dans le cœur. En fait, ce n’est pas une demande mais un sentiment dans le cœur quand une personne se vérifie et peu importe ce qu’elle voit, elle veut se tourner vers le Créateur avec ce qui est dans son cœur. Peu importe si elle est bonne ou mauvaise, peu importe quoi que ce soit : Prenez-le et faites ce que Vous avez à faire avec moi!

Il peut y avoir différentes prières: les prières graves et celles moins graves, des prières emphatiques, quoi que ce soit; ce qui est important, c’est de prier. Tout est atteint seulement par la puissance de la prière, la puissance de la demande. Plus elle est forte, plus elle est solide, plus elle est insistante, mieux c’est.

Du congrès de Kharkov « S’unir pour s’élever « , 17/08/12, Atelier n°3

Les points de contact

Dr Michaël LaitmanQuestion: Nous faisons dans notre groupe de réunions de femmes, mais il semble parfois que certaines femmes sont plus occupées par leurs propres problèmes. Et les hommes disent franchement qu’ils ne sentent pas notre besoin. Nous avons essayé de faire des réunions ensemble, mais elles n’ont pas très réussies. Sur quelle base nous devons nous réunir avec un groupe d’hommes? Comment cela doit se passer?

Réponse: Il faut se réunir pour discuter principalement des questions économiques, comme dans la famille: qu’est-ce que nous faisons avec notre local, avec nos leçons, avec les enfants etc. Il est nécessaire de parler. Les réunions générales doivent être organisées.

Tout le reste c’est un travail intérieur. Il doit être séparé chez les hommes et chez les femmes. Les femmes doivent créer en elles-mêmes le vecteur de leurs aspirations dirigé à travers les hommes vers le  Créateur. C’est la meilleure chose à faire.

Vous verrez alors à quel point ils se changeront eux-mêmes, deviendront plus sérieux. Vous devez les considerer à la fois comme ceux qui conduisent et comme ceux qui ont besoin d’être conduits. Comme nos enfants, d’une part, ils sont plus petits que nous, mais d’autre part ils nous tirent en avant. Ici c’est la même chose. Un groupe de femmes avance par son aide aux hommes, à travers les hommes elles reçoivent la lumière, ou plutôt elles la reçoivent dans la connexion entre les deux groupes – tout le travail se passe généralement à l’intérieur.

De la leçon n°4 du Congrès de Kharkov 17.08.2012

Comment puis-je me dissuader que je suis une bonne pâte ?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Ma question porte sur les qualités de réception et de don sans réserve. Au sein de ces deux propriétés, de leur fusion symbiotique, je me sens comme un altruiste complet. Comment puis-je arriver à comprendre que ce n’est pas ce que je suis?

Réponse: Cela n’est pas nécessaire! Pas du tout! Vous êtes un altruiste complet. Continuez à agir de cette façon dans le groupe de tout votre cœur, et peu à peu vous comprendrez que vous êtes un égoïste complet.

Question: Quelle est la différence entre le don spirituel sans réserve et le don sans réserve dans le monde matériel?

Réponse: Il n’y a pas de don sans réserve dans le monde matériel: C’est un désir égoïste de recevoir déguisé d’utiliser une autre personne. Je fais une faveur à un autre parce que celam’est bénéfique, il va aussi faire quelque chose de bon pour moi.

En fait, nous ne sommes pas en mesure d’effectuer des actions de don sans réserve. Quand avez-vous jamais donné quelque chose à quelqu’un? Cela est-il jamais arrivé?

Commentaire: Toujours, tout le temps.

Réponse: Il vous a simplement manqué de ne pas voir que toutes vos actions sont motivées par l’égoïsme. Continuez à le faire, mais dans le groupe. Parce qu’en dehors du groupe, rien de cela n’a d’importance.

Commencez à le faire sérieusement dans le groupe, ainsi qu’à étudier, en collaboration avec la diffusion, en collaboration avec l’apprentissage, donnez à vos amis,  impliquez les dans quelque chose. Mais donner sans réserve ne signifie pas les mener à la baguette. Donnez-vous ! Commencez à le faire, et vous verrez tout à coup que tout le monde est mauvais, qu’ilsne veulent rien, vous verrez où vous êtes, etc.

Commentaire: Je suis en train de le faire, mais cela ne m’aide pas à arrêter de me voir comme un altruiste.

Réponse: L’absence de lien avec le groupe: je n’ai plus rien à dire. C’est la seule chose qui mène à la réalisation du vrai mal.Cela n’arrive pas tout seul, donc je suis un égoïste, tant pis. Mais le mal dirigé contre le Créateur ne se manifeste que par l’intermédiaire du groupe.

Du congrès de Kharkov « S’unir pour s’élever », le 17/08/12, Cours  n°3

Un ordinateur peut-il remplacer un enseignant?

Dr. Michael LaitmanAux nouvelles (tiré de BBC News) : « Le professeur Sugata Mitra, de l’Université de Newcastle, a voulu savoir ce qui se passe quand les adultes restent à l’écart et laissent les enfants utiliser un ordinateur sans surveillance.

Cette année, le professeur Mitra mène une série d’expériences dans divers endroits à travers le monde, dont le Brésil et l’Inde, où les enfants ont accès à des ordinateurs sans professeur pour les guider.

Un de ces lieux est une classe dans une « école de seconde zone » dans Kiddapore à Calcutta, en Inde. L’école est gérée par une ONG pour donner aux jeunes issus de milieux défavorisés un meilleur accès à l’éducation.

A Kiddapore, le professeur Mitra a demandé aux enseignants de rester derrière et de laisser la souris (de l’ordinateur, ndt)enseigner. Les enseignants ont observé l’impact sur le comportement.
En particulier, un élève qui avait mal agi aidait les jeunes enfants à utiliser leur PC, et se comportait comme un professeur.

Ce n’est pas la première fois que le professeur Mitra a demandé à des universitaires et des éducateurs de réfléchir à deux fois à leur rôle d’enseignant.

En 1999, il a lancé une série d’expériences connue sous le nom de « Trou dans le mur »dans un bidonville de Delhi, en Inde.
En donnant l’accès à des ordinateurs, Mitra a observé que les enfants avaient commencé à apprendre l’anglais et, de façon naturelle, se retrouvaient dans des groupes d’apprentissage organisés. »

Mon commentaire : C’est l’antique tradition de l’étude de la Torah et de la Kabbale. Les étudiants doivent d’abord écouter le professeur et ensuite discuter du matériel étudié ensemble. Le Talmud est étudié par plusieurs étudiants dans un groupe de discussion sans professeur.
Nos ateliers (sadna) sont organisés de la même manière : l’enseignant ou l’animateur propose un thème ou une question, qui est ensuite discuté par un groupe de deux à dix élèves. S’il y a plus de dix élèves, un autre groupe est créé.

Si vous voulez faire du monde un monde meilleur, soyez-vous même une meilleure personne

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, la Nation: Le seul espoir est de mettre en place une éducation nationale entièrement nouvelle pour nous-mêmes, de découvrir et d’enflammer une fois de plus l’amour naturel national qui a été affaibli en nous. …

Il y a une condition préalable à tout travail et tout acte. Parce qu’au début, la fondation doit être construite de manière suffisamment saine pour supporter la charge qu’elle est censée supporter.

Tout d’abord nous avons besoin d’éducation. A notre époque, cela est bien entendu dans un sens large: On doit dire au peuple juif ce que l’ego humain est et comment il se développe, comment une nation est formée, et ce qu’il est, car il ne s’agit pas de sa nationalité, mais son appartenance à la force supérieure. Nous devons expliquer ce qui se passe dans le monde aujourd’hui, pourquoi nous sommes parvenus à la crise générale et comment nous devons y remédier.

L’éducation est la condition préalable à toute correction. Si nous avons déjà une idée globale de la situation générale, alors, aujourd’hui, nous devons tous regarder ses caractéristiques de base afin de commencer la correction.

Nous devons montrer aux gens qu’ en nous corrigeant nous nous levons au niveau de la ressemblance au Créateur. La corruption n’est pas quelque part à l’extérieur, elle est en nous. Nous ne devrions pas fixer quelque chose d’extérieur, mais nous-mêmes. L’environnement naturel n’est pas corrompu, non pas l’économie, mais nous sommes ceux qui sommes corrompus. Après tout, l’image externe est une projection illusoire de nos attributs internes.

Nous devons rapprocher les gens de cette perception de sorte qu’au lieu de corriger le monde, ils commenceront à se corriger. Ensuite, ils vont enfin être heureux, individuellement et comme un tout.

De la 4eme partie du cours quotidien de Kabbale 21/08/12, Le Baal HaSoulam, La Nation

De l’intérieur vers l’extérieur

Dr. Michael LaitmanL’humanité peut être divisée en cercles ayant un centre commun.

Le cercle interne, la source, est composée d’étudiants d’Abraham qui ont quitté l’ancienne Babylone et dont beaucoup d’autres gens d’autres nations et de différentes parties du monde ont font partie. Aujourd’hui, après quatre exils, à la veille de la 4ème rédemption, un cercle de « ceux qui ont quitté l’actuelle Babylone  » est formé de l’ensemble de l’humanité. Ces gens-là veulent réaliser le même objectif et, ensemble, selon leur désir, ils sont appelés «Israël», ce qui signifie tout droit vers le Créateur.

En plus de cela, il y a une autre partie qui appartient à la catégorie d ‘«Israël», qui est ceux chez qui le même Reshimot (réminiscences), les mêmes « signes » qui ont été laissés dans le passé quand ils étaient dans l’ascension spirituelle, se sont enracinés. Les trois lignes sont cachées dans leur base, ils ont expérimentés les ascensions et les descentes en passant par une série de réincarnations, et ils doivent se corriger dans notre monde, car ils appartiennent aux étudiants d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.

Donc, il y a trois types de personnes qui appartiennent au groupe d ‘ »Israël » aujourd’hui:
• A l’intérieur Bnei Baruch (BB).
• Autour d’eux, il ya nos amis des nations du monde, de partout dans le monde.
• À l’extérieur, il y a ceux qui sont appelés Juifs, qui sont divisés en deux parties: religieux et non religieux.

Ils doivent tous de accomplir la correction qu’ils le veuillent ou non. Certains d’entre eux sont réveillés aujourd’hui, ce sont nos amis, le Kli mondial (en rouge). Mais dans l’ensemble, tout le monde est obligé de le faire.

A l’extérieur, le monde entier, toute l’humanité, ou les nations du monde qui nous entoure.

De la 4eme partie du cours  quotidien de Kabbale 21/08/12, Les Écrits du Baal HaSoulam « La Nation »

Dans le monde spirituel il n’y a pas de fatigue!

Dr. Michael LaitmanQuestion: Vous avez dit qu’il n’y a pas pire chose que la « léthargie » .Comment pouvons-nous nous concentrer sur l’objectif afin de devenir un moteur éternel ?

Réponse : Cela ne dépend que de l’importance du but. En fait, il n’y a pas de fatigue. Supposons que vous ayez un petit enfant et que vous vous en occupez 24 heures par jour pour le nourrir, le changer, et tout le reste. Ceci, bien sûr, est un travail très dur, mais c’est la fatigue physique dans notre monde.

Dans le monde spirituel, si une personne avance, elle se nourrit de la Lumière et ne se fatigue pas. Cela ne veut pas dire qu’elle ne dort pas ou ne mange pas, et ainsi de suite. Elle a besoin de faire tout cela, mais le détachement, la fatigue mentale, n’existent pas. Bien sûr, elle dort physiologiquement, mais seulement parce que c’est essentiel pour son corps.

Autrement dit, si nous sommes rechargés par la Lumière supérieure, constamment à la recherche d’un moyen d’être entièrement focalisés droit dessus, alors nous répondons toujours à nos besoins physiologiques normaux: le montant de base de calories, le sommeil, et ainsi de suite. Ce sera toujours à un niveau normal, et ce ne sera pas un problème. Mais il faut l’observer! Les kabbalistes disent qu’une personne a besoin de 60 respirations en dormant.

Nous sommes dans un champ de forces. Vous pouvez penser que c’est du mysticisme, mais en réalité c’est une science, de la physique et des vecteurs. Comment puis-je me concentrer sur ce domaine, en raison inverse du carré de la distance entre nous, c’est-à-dire de la direction, la direction de l’angle, de sorte que je prenne l’énergie de celle-ci? Tout obéit aux mêmes lois qui opèrent dans notre monde avec une certaine forme d’énergie comme les radiations, par exemple.

Cependant, une fois encore, nous nous heurtons au problème de la garantie mutuelle : allez-vous soutenir vos amis? Parce qu’une personne en un instant peut perdre la direction, et puis rien ne fonctionne. En un instant, elle peut se trouver dans un espace incompréhensible! Et alors n’importe quelles interruptions externes, idiotes, à l’esprit étroit, commencent à l’influencer.

Donc, la chose la plus importante est de créer le besoin du groupe pour soutenir en permanence chacun de ses membres. Par la suite, il n’y a rien à craindre. Vous réussirez toujours.

Du congrès de Kharkov « S’unir pour s’élever », 17/08/2012, cours n°2