Monthly Archives: juillet 2013

Avancer rapidement en faisant du sur place

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, « Marcher sur le chemin de la vérité», Lettre 17: … pour que cela soit toujours un objectif pour vous entre la droite et la gauche. C’est parce qu’il y en a un qui marche  et qui est pire que celui qui est assis sans rien faire. C’est lui qui dévie de la route, car le chemin de la vérité est une ligne très mince …

Tout d’abord, nous devons nous assurer que nous connaissons la bonne direction pour pouvoir effectuer des actions visant à la direction correcte, précise et clarifiée. Si je ne suis pas sûr de ce que je dois faire, c’est que je ne sais pas quelle est la bonne direction. Si je sais quoi faire, je dois encore vérifier si c’est la bonne direction.

Il s’avère qu’une personne se déplace non pas en marchant sur les étapes réelles, mais en clarifiant leur direction. Il n’y a pas de pas en avant comme on marche, mais seulement la clarification de la bonne direction. Cela signifie que j’avance.

Si je suis à un un certain point où je clarifie la direction de celui-ci vers le Créateur, je m’unis au Créateur à ce point. Il s’avère que je fais le bon pas en avant sans bouger de cet endroit. Alors, immédiatement à ce point, de nouvelles conditions sont révélées que je dois clarifier à nouveau, comme quel chemin prendre, comment utiliser toutes les conditions pour adhérer, et où je dois aller. Si je détermine comment effectuer une telle action, cela signifie que j’ai découvert l’unité à ce point, et qu’il n’y a nulle part où je doive me déplacer.

Les étapes sur lesquelles nous avançons ne se font pas en se déplaçant, mais en déterminant le point où adopter une attitude plus correcte, la perspective et la tendance à chaque fois, le point d’atteindre l’unité et la connexion, c’est cela qui est en fait une atteinte sur le chemin spirituel.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 24/07/13, Les écrits du Baal HaSoulam

Le monde de l’infini en expansion

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi est-ce impossible de retenir la Lumière? Est-elle perdue ?

Réponse: Si nous pouvions garder les acquis, alors nous ne serions pas capables de nous développer. Si nous ressentions constamment la réception de  la satisfaction, nous nous serions considérés comme étant dans l’état de la correction finale. Mon désir serait constant, la lumière le remplirait de façon constante, et je me sentirais à la fin de la correction. Comment puis-je savoir ce que la fin de la correction signifie ?  100 kilogrammes de désir et d’épanouissement ou un million? Si la Lumière remplit tout mon récipient, je me sens rassasié.

Le nouveau-né, qui mange 50 grammes de lait, pense qu’il a reçu un repas complet. Vous avez besoin d’un kilogramme pour vous sentir satisfait et il n’a besoin que de 50 grammes. Tout le monde se sent comblé conformément à ses souhaits. Si vous vous remplissez  jusqu’à la fin, cela est alors appelé le monde de l’Infini. L’infini signifie pas de limites: Vous avez reçu autant que vous le vouliez sans aucune restriction et donc cet accomplissement est appelé infini, illimité.

Par conséquent, si nous pouvions garder le remplissage du désir, alors nous nous sentirions dans une condition parfaite, dans un état parfait et n’aurais pas besoin d’un développement ultérieur.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 18/07/13, Les écrits du Rabash

Pénétrez dans le nouveau monde par le chas d’une aiguille

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, Lettre 17: Car le chemin de la vérité est une ligne très mince sur laquelle on marche jusqu’à ce que l’on arrive au palais du Roi.

Celui qui commence à marcher au début de la ligne a besoin d’être très attentif afin de ne pas dévier à droite ou à gauche de la ligne, ne serait-ce que d’un fil de cheveu. Il en est ainsi parce que si dans un premier temps l’écart est d’un fil de cheveu, même si après on continue complètement tout droit, il est certain qu’on n’arrivera plus au palais du Roi, car on ne marche pas sur la ligne correcte.

Ce n’est pas clair comment on peut garder la bonne direction si l’on a déjà dévié. Donc, c’est un avertissement très sérieux. Comment puis-je savoir que je n’ai jamais eu tort auparavant? Est-il possible de choisir correctement si je suis maintenant à un certain point après avoir fait une erreur? Puis-je trouver la bonne direction et avancer si je me trouve au mauvais endroit?

C’est une situation très incertaine et effrayante. Comme vous tous, j’ai fait beaucoup de tours au long de ma vie. J’ai été désorienté et pris la mauvaise direction. Alors, comment puis-je trouver la bonne direction après tout cela? Même si je le trouve, va-t-elle corriger toutes mes corruptions précédentes?

Ces questions rendent notre état très incertain. Comment puis-je avancer si je ne suis pas sûr que j’aie suivi le droit chemin? Combien de fois suis-je parti dans la mauvaise direction?

Donc, celui qui marche sur la véritable ligne de préparation à l’œuvre de Dieu (Israël, la Torah, et le Créateur sont un) doit toujours se tester pour voir s’il souhaite ces trois aspects ci-dessus avec la même intensité, comme la fin de l’acte est égal à son début. Si l’on veut l’un d’eux plus que le deuxième ou le troisième, alors on dévie du chemin de la vérité, et tu dois bien comprendre ceci.

Ceci est le sens de «Ouvrez pour moi une ouverture de repentance, comme le chas d’une aiguille, et je vous ouvrirai les portes par où des charrettes et les voitures pourront entrer ». Interprétation: l’ouverture n’est pas pour l’entrée et la sortie, mais pour l’insertion du fil de couture et le travail.

De même, vous avez à implorer seulement le commandement du Supérieur, travailler, et alors je vais vous ouvrir une porte: comme l’entrée d’une grande salle. C’est le sens du nom explicite dans le paragraphe «  mais dans chaque acte (orthographié comme Hall – Grande SALLE, en hébreu) je vis, et toute la terre sera remplie de la gloire du Seigneur. » 

Le chas d’une aiguille parle du souci d’unir Israël, la Torah, et le Créateur en un point. Nous nous inquiétons constamment de cela et ce point devient plus petit et plus ciblée. Afin d’atteindre constamment plus nous devons unir tous les 613 attributs, ce qui signifie les désirs qui s’éveillent en nous et qui sont à l’opposé les uns des autres et présentent différentes conditions: ceux d’Israël, ceux de la Torah et ceux du Créateur. Nous devons unir tout cela en un seul ensemble, dans l’unité.

Si nous pouvons amener tout à une telle unité, cela signifie que nous recueillons tout en un point, dans le chas d’une aiguille. Quand nous nous concentrons sur un point à travers un instrument optique, nous pouvons voir une ouverture dans cela qui mène à un monde nouveau.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 24/07/13, Les écrits du Baal HaSoulam

Avec l’aide de la simple psychologie de l’égoïsme

congrès, groupeIl est nécessaire d’atteindre le point où toute votre vie est dans les amis, ensemble avec eux dans l’unité collective, où il n’y a pas de différence entre nous. Nos corps disparaissent, et il y a seulement le désir que ressent le plaisir de la connexion et n’est pas déchiré. Toutes les parties non seulement veulent s’unir, mais ont déjà adhéré à l’autre et sont dissous dans l’unité d’ensemble, après s’être tourné entièrement en matériaux homogènes, uniformes.

Toutes nos caractéristiques et différences y disparaissent parce que nous nous complétons les uns les autres tellement nous devenons une seule unité, si bien que je ne m’inquiète pas à qui sont ces mains, à qui appartient ce cerveau, à qui est ce dos. Tout est collectif comme l’image d’une seule personne. Nous commençons à sentir la force dans cette unité que fait revivre cette image globale que nous avons construit, qui est appelée l’être humain, Adam. Cette force qui l’anime est appelé le Créateur.

Nous devons nous efforcer pour cela et y vivre tout le temps. A chaque instant, nous devons rechercher les moyens de renforcer cette forme où nous venons à aimer le Créateur à travers l’amour des amis. Si, pendant un moment, j’abandonne cette recherche et ne renforce pas cet état, je tombe immédiatement. Je crois que ce ne sera pas tout de suite, mais il n’y a aucun doute que je suis tombé. Il est possible de se déplacer uniquement dans un sens ou un autre. Il n’y a pas d’états fixes dans la spiritualité. Ne pensez pas que vous pouvez vous arrêter et vous reposer. Que vous le vouliez ou non dans le monde spirituel, il est nécessaire de sentir vers où vous vous dirigez à chaque seconde: vers l’unité avec tout le monde ou dans la direction opposée. C’est soit l’un soit l’autre.

La peur tremblante est nécessaire ici, ce qui est le Premier Commandement, et sans laquelle vous ne pouvez même pas espérer d’avancer un peu. Si certain objectif matériel de ce monde me demande de changer de direction – à réfléchir sur le groupe, à la connexion avec le Créateur pour nous aider à accomplir cette tâche matérielle – alors c’est déjà bien, car cela change ma direction.

Au moins, je ne me dirige vers un intérêt personnel, mais vers l’intérêt de quelque chose de collectif, avec tout le monde. Déjà cela nous oblige à nous rappeler que nous avons besoin du Créateur parce que sans Lui, nous ne réussirons pas

Si cela n’existe pas, alors un souffle plus fort doit être envoyé à nous afin que nous sentions notre impuissance, de même que le monde entier, et nous sommes obligés de nous rappeler que seul le Créateur peut nous aider. Personne d’autre ne le peut. La chose principale est de changer de direction. Dès que nous le faisons et nous commençons à travailler dans le bon sens de l’unité, à clarifier quoi et pourquoi nous avons besoin de cette connexion, nous modifions immédiatement l’objectif et les moyens.

Tout d’abord, nous avions besoin du Créateur pour réussir à atteindre les divers objectifs externes, et maintenant nous comprenons que les objectifs externes ont été délibérément placés devant nous pour nous effrayer et nous obliger à rappeler le Créateur. Ainsi, nous sommes réveillés sur la base d’un égoïsme psychologique simple.

Pour le moment, il s’agit d’une approche purement égoïste, mais elle nous apprend à ne pas quitter la «sainteté». Après tout, il y a la sainteté même dans cette connexion.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 16/07/13, Les écrits du Rabash

D’où vient la vie ?

congrès, groupeQuestion : Qu’est-ce que cela signifie d’amener le Créateur dans notre unité ?

Réponse : C’est le sentiment qu’il est impossible de s’accrocher à cette unité sans le Créateur. Nous sommes en train de la perdre progressivement puisqu’il nous manque la cause de toutes les causes, la seule force qui soutient toute la réalité. C’est ce dont nous avons besoin !

C’est ainsi qu’une personne se sent dans ce monde. Nous devons déjà révéler le grand système qui est en dehors de notre terrain de jeu d’enfant et comprendre comment il fonctionne, et comment le Créateur a tout préparé pour nous. C’est ce qu’on appelle la révélation du Créateur.

Le temps est venu maintenant, après avoir atteint et goûté le sentiment d’unité. Maintenant, nous devons découvrir Celui qui a créé et qui remplit cette unité.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 18/07/13, Écrits du Rabash

Liberté et pain quotidien

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que dois-je faire si, en un moment je suis jeté du mérite au péché? Si, dans un point de basculement, soudain, tout passe du blanc au noir?

Réponse: Quels mérites et péchés pouvez-vous avoir? Toute votre vie, vous avez agi selon vos instincts naturels comme un animal. C’est pourquoi toutes les plaintes doivent être adressées au Maître qui vous a créé. Vous n’avez pas l’indépendance, et vous ne pouvez pas dire que vous, vous-même, avez fait quelque chose de mal. Tout est fait par la force supérieure. Bientôt, vous verrez cela et comprendrez que personne n’est à blâmer et qu’il n’y a personne avec qui être en colère. Alors, vous verrez une image complètement différente.

Le problème est qu’il n’y a pas de Créateur dans votre vie et ainsi vous attribuez une certaine liberté de choix aux autres et à vous-même, comme si vous étiez responsable de vos actes. C’est comme accuser les enfants de la maternelle. Est-il possible de dire qu’un enfant est mauvais et l’autre est bon? Ce sont toutes des qualités naturelles: certains enfants sont agressifs et d’autres sont pleurnichards. Ainsi la nature nous pousse pour nous amener à la connaissance du mal, que le Créateur a fait inhérent en nous.

Nous devons passer par de nombreux coups et puis le Créateur nous expliquera peu à peu qu’Il l’a fait, si nous voulons nous débarrasser de notre nature avec laquelle nous avons été créés. Le Créateur joue avec nous parce que, comme il est écrit, « Il n’y a rien hormis  Lui. » Pensez-vous que vous agissez vous-même, au lieu de Lui?

Les gens sont habitués à ce qui est écrit dans les livres: «vos péchés », « vos mérites. » Notre tâche est d’expliquer cela d’une manière plus compréhensible parce que le temps est venu où le vrai sens de ces mots peut être révélé. Cependant, ce ne sont pas vos péchés et transgressions. Ce n’est pas vous qui les avez faits ni ne  les avez causé. Vous n’avez pas choisi les qualités avec lesquelles vous êtes nés. Nous sommes tous des marionnettes, depuis Hitler et jusqu’aux plus grands saints du monde.

Cependant, ces marionnettes deviennent un ajout à un moment donné, une goutte de la propriété opposée, puis ils changent leurs aspirations selon cette nouvelle propriété: elles cherchent le don sans réserve et commencent à étudier sans comprendre pourquoi elles étudient. L’étude détermine l’objectif pour elles et cela aussi est établi par le Créateur.

Cependant, après que ces deux propriétés opposées sont déterminées en elles, l’une contre l’autre, la réception et le don, elles commencent à trouver l’occasion pour le travail indépendant dans la ligne médiane, entre elles. C’est un sentiment spécial que vous atteindrez bientôt, et alors vous saurez comment construire vous-mêmes de ces deux propriétés les lignes gauche et droite. Vous comprendrez que ces deux lignes sont toutes les deux nécessaires.

Le Créateur vous aidera à les connecter ensemble, à comprendre ce qu’est la chute de la goutte du don et comment y ajouter plus,  cellule par cellule, une nouvelle compréhension, ressentant les concepts, nous enseignant comment cultiver ce matériel.

Il est clair que la lumière fait tout le travail, travaillant sur de nouveaux matériaux. La lumière et le désir se rencontrent et leur mélange monte comme une pâte, mais je l’ai fait moi-même. Je comprends et ressens comment ça se passe. Ceci est ma création, à l’instar d’un morceau de pâte. Je prends une poignée de farine et ajoute la quantité exacte d’eau pour elle, ni plus ni moins. Dans un premier temps, il semble qu’il n’y ait pas assez d’eau et je dois travailler dur pour malaxer ma pâte, mais, en fin de compte, elle sera prête à être mis dans le four et cuite!

Ainsi, ces deux ingrédients, la farine et l’eau, sont transformés en « le pain du pauvre » (Matsa). Du point du désir de jouir, c’est du pain simple, et rien de plus n’est nécessaire, et au-dessus, tout est ouvert. La liberté est ouverte.

De la 2ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 16/07/13, Le Zohar

Attention aux belles causes

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, «l’amour du Créateur et l’amour des créatures »: Par cela la créature se développe dans les degrés de la sublimité supérieure jusqu’à ce que l’on perd toute forme d’amour de soi et l’auto-réception. Dans cet état, tous les attributs sont soit de donner ou de recevoir pour donner. Nos sages ont dit à ce sujet: «Le Mitsvot ont été données seulement pour se nettoyer avec », et alors on s’attache à sa racine, comme il est dit, «et pour vous attacher à Lui. »

Pourquoi sommes-nous ici dans ce monde, le pire de tous les mondes possibles, à l’étape au dessous de laquelle il n’y a rien? Pour une seule raison, apprendre à donner et passer par toutes les étapes sur le chemin jusqu’à ce que nous atteignions la pleine adaptation au Créateur, ce qui est appelé « de s’attacher à Lui. »

C’est ce que la sagesse de la Kabbale nous dit. Elle corrige le mauvais penchant qui a nous été initialement donné et qui se développe en nous. Cela signifie que nous devons apprendre à utiliser correctement la méthode qui a la Lumière qui corrige, et apprendre à faire les bonnes actions afin de provoquer cette Lumière, car elle nous corrige et ainsi nous avançons.

En fait, ce sont toutes les actions que nous devons accomplir, des actions de don par lequel nous attirons toujours la plus grande Lumière qui ramène vers le Bien sur nous-mêmes. Elle sait déjà où le désir doit être corrigé et quelles sont les phases de correction. Nous n’avons pas à faire son travail puisqu’en attendant nous ne pouvons même pas en parler. Laissez-la nous corriger car cela est son affaire et nous avons juste à lui donner une chance. C’est de cela que tout dépend, et de lui donner une chance est de notre responsabilité.

Donc, il n’y a rien que nous puissions faire, sauf les actes par lesquels nous apportons satisfaction à l’autre et l’aidons. Pourquoi? C’est là le commandement du supérieur. Je ne me soucie pas de l’autre du tout et je ne veux pas le connaître, je ne le sens pas du tout. Mais il y a une force supérieure et elle m’oblige à le faire et m’explique que c’est par de telles actions que je peux apporter le contentement. Ainsi, je me tourne vers l’autre.

Il est donc clair que si j’aide l’autre sans l’intention d’amener le contentement au Créateur, ce sont des fausses actions qui me conduisent à un résultat opposé, à la destruction. C’est parce que le Créateur a tout créé pour, de sorte que nous puissions L’atteindre. Les belles causes pour le bien de l’humanité, comme le communisme en Russie ou le mouvement des Kibboutzim, conduisent seulement à la destruction.

Je dois respecter le principe d ‘«Israël, la Torah, et le Créateur sont un» dans toutes mes actions. « Israël » est moi, la «Torah» est la bonne connexion entre moi et toute l’humanité en partant des gens qui sont proches de moi au plus lointain, la connexion que la Lumière qui ramène vers le Bien a mise en place. Le Créateur est ce qui est révélé comme ce qu’englobe ce réseau.

La réalisation est dans les relations entre les gens. La Lumière qui ramène vers le Bien le réalise et je l’évoque, et tout est en ordre pour permettre au Créateur d’être révélé, puisque c’est ce qui Lui apporte le contentement. Donc, nous ne devons pas éviter le général, l’humanité, et en particulier le groupe, mon groupe de dix …

De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 02/06/13, Les écrits du Baal HaSoulam

Pacification destructive

Dr. Michael LaitmanToute tentative visant à établir la paix avant que nous ne soyons corrigés mène à la destruction. « La Paix » entre égoïstes empêche juste de corriger la situation. Seule la catégorie de la vérité peut être pire quand elle est réalisée sans une préparation adéquate.

En général, ce sont les vrais récipients, des désirs, derrière ces catégories, qu’il vaut mieux de ne pas révéler jusqu’à ce que nous ayons obtenu l’écran (Massakh). Par exemple, si pour le moment nous commençons à nous traiter les uns les autres à partir de la position de la vérité, alors personne ne sera en mesure de s’entendre avec tout le monde. En réalité, nous sommes tous différents, chacun affronte les autres, tout le monde est capable de recevoir que ce qui est bon pour lui et rejeter ce qui est mauvais pour lui, donc, dans l’ensemble, une situation terrible se développe.

Les lois spirituelles de la société humaine sont un « poison mortel » jusqu’à ce que nous les transformions en «élixir de vie». Et c’est pourquoi aujourd’hui le monde entier est en train de sombrer peu à peu. En général, à ce jour, seuls les problèmes nous ont poussé vers l’avant, et maintenant on nous a donné l’occasion d’avancer sur le droit chemin, le chemin de l’unité. Nous pouvons déjà sentir quelque chose dans le brouillard, reconnaître le chemin, marcher sur la voie d’accélération, les Reshimot qui sont légèrement révélées pour nous. Mais de toute façon, plus les catégories spirituelles sont élevées, plus est puissant leur potentiel destructeur, dans le cas d’une utilisation incorrecte dans les récipients non corrigés, les désirs.

Par conséquent, nous devons d’abord obtenir l’écran. Alors en tout cas, «l’amour couvrira tous les péchés», c’est-à-dire, je viserai d’abord à la miséricorde et serai donc en mesure de réaliser progressivement la catégorie de la vérité.

De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 24/07/13, Les écrits du Baal HaSoulam

Le secret du bonheur

Dr. Michael LaitmanOpinion (de Robert Cummins, professeur à l’Université Deakin à Melbourne en Australie) : Un partenaire aimant, avec 100.000 dollars de revenu et une activité sociale offrant un sens est le nouveau ‘triangle d’or du bonheur’ selon le psychologue Robert Cummins, Professeur à l’Université Deakin…

« Avoir une bonne relation intime est plus important que l’argent » a-t-il dit.

« Vous avez seulement besoin d’une personne pour partager votre vie et cette personne est extrêmement importante. Les gens qui n’ont pas quelqu’un pour partager leur vie d’une manière intime – où vous pouvez partager vos problèmes – sont très vulnérables aux mauvaises choses qui leur arrivent. Cela est extrêmement cohérent sur l’ensemble de nos enquêtes. »

« Le nombre magique est de 100.000 dollars de revenu brut du ménage. Ce n’est pas que plus il y a d’argent et mieux c’est, il s’agit d’avoir une certaine quantité » a-t-il déclaré…

« Avoir quelque chose d’intéressant à faire est le troisième élément. Les gens sont plus heureux s’ils sont actifs : dans un club de foot, dans un cercle de couture, quoi que ce soit » dit-il.

« Si vous pouvez combiner cette activité avec le contact social et du sens alors c’est ce qu’il y a de meilleur. »

« Les gens qui font du bénévolat combinent cela très bien. Plus ils sont actifs et plus ils sont connectés socialement… »

« Le point culminant des 29 enquêtes de bonheur australien étalées sur plus de 12 ans par l’Université Deakin de Melbourne a révélé que cela n’a pas d’importance où vous vivez, si votre col est blanc ou bleu, ou si vous avez des enfants ou non – si vous vivez dans le ‘triangle d’or’ vous êtes plus susceptibles d’avoir un sourire permanent sur votre visage. »

Mon commentaire : Le but de la création est de combler les êtres créés. Dans sa course au développement, l’humanité commence à prendre conscience que le bonheur est dans la bonne connexion à l’environnement. Nous sommes à ce stade de développement, dans la transition de l’individuel au collectif. Et puis, étant donné que nous sommes ensemble, au lieu de « moi », ayant ressenti la valeur qu’il y a « à se dissoudre » dans le collectif, nous nous détachons de nous jusqu’à la réalisation dans laquelle ce « nous » sera rempli, ce qui signifie que nous allons ressentir le Créateur, la Source, nous et moi.

L’espoir estompé pour la paix

Dr. Michael LaitmanSi vous demandez aux gens dans différents pays s’ils ont de l’espoir pour la paix, il est difficile de dire quelle serait leur réponse honnête. Beaucoup ont complètement désespéré de bonnes attentes et ne savent pas ce qui peut les aider. Cela vaut dans la même mesure pour les «grands et petits de ce monde». Le désespoir dépasse tout le monde et nous avons apparemment oublié des choses de base: Création d’une famille, avoir des enfants, en regardant vers l’avenir … L’humanité est confrontée à un grave problème, et apparemment, il faut amener les gens à une certaine décision.

En attendant, les espoirs d’un bon avenir fondent, sans parler de la paix sur Terre. En fait, le mot «paix» en hébreu (« Shalom« ) est la perfection («Shlemout« ).

Au début du siècle dernier, ainsi qu’en son milieu, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, il y avait de grands espoirs pour la prospérité et le progrès, même pour une percée vers les étoiles. Mais tout cela s’est terminé très rapidement, et aujourd’hui, beaucoup préféreraient ne pas penser à l’avenir. Aujourd’hui, il n’y a plus de but qui attire les gens. L’être humain sans un but se transforme encore une fois en une bête …

Nous pouvons observer de première main comment l’humanité est en train de couler, se glisse vers le bas dans la conscience et l’estime de soi, malgré toute la démagogie de belles paroles. L’esprit de vie nous quitte et bien que plusieurs «maîtres du monde»  aient très peur de cette tendance qui laisse les gens dans un sentiment d’impuissance, ils n’ont rien à donner aux gens pour qu’ils se calment et deviennent satisfaits de leur vie.

Tout cela peut conduire à de grandes explosions. Si une personne n’a rien à perdre, elle est capable de tout. Elle se sent mal, non pas tant en raison de la privation matérielle, mais parce qu’il n’y a rien qui puisse satisfaire son besoin humain de connaître la cause et le but de l’existence.

De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 24/07/13, Les écrits du Baal HaSoulam