La Torah, « Exode, Jethro » 20:17 : Et Moïse dit au peuple, « Ne crains pas, car Dieu est venu pour vous éprouver et que Sa crainte soit devant vous pour que vous ne péchiez pas ».
La peur est un très bon attribut. Une personne comprend qu’elle ne peut pas se rapprocher du Créateur et est très prudente à cet égard. C’est comme une personne qui a été libérée de prison et qui sait que le vol est mauvais et fait donc en sorte de se trouver à deux rues de la banque. Elle sait à quelle distance elle doit rester afin de s’éloigner de la tentation de voler. C’est cela que ça veut dire ici, car une personne n’a pas encore de Massakh (écran), aucune protection.
Ainsi la peur est essentielle et c’est une bonne chose. Mais dans la spiritualité elle est appelée « la crainte. » La crainte est la peur de perturber l’équivalence de forme avec le Créateur. Ce n’est pas la crainte du châtiment, il n’y a pas de punition ! La perturbation elle-même est le châtiment sans aucune autre implication. La seule conséquence est la perturbation. Cela signifie qu’une personne doit être à un tel niveau moral que le fait d’être loin du Créateur, de l’attribut du don sans réserve, est la plus grande punition pour elle. Donc la crainte est le paramètre de ce sentiment.
Question : Vous aviez l’habitude de guérir les peurs des gens. Vous avez une table d’environ 800 types de peurs différents. Pourquoi pensons-nous que la peur est une maladie ?
Réponse : J’avais l’habitude de soigner des états psychologiques intérieurs. Au niveau spirituel, la crainte est le résultat d’un déséquilibre entre l’attribut du don sans réserve et l’attribut de réception. C’est la même racine dans chaque personne, mais à un niveau inférieur. L’étude a pour but d’atteindre l’équilibre et alors la peur disparaît.
Malheureusement, la médecine conventionnelle réprime tout simplement la peur avec des médicaments. Vous voyez moins et vous dormez mieux. Ici cependant, vous ne poussez pas une personne à dormir, mais vous l’équilibrer plutôt.
De KabTV, « Les secrets du livre éternel » du 04/03/13
Aux Nouvelles (de bakadesuyo.com) : « Le changement de comportement n’est pas facile. Mais il y a une grande conférence TED qui montre un moyen simple d’inciter les gens à faire les choses de la bonne manière. Et il s’appuie sur un principe que nous pouvons tous utiliser dans notre vie quotidienne.
Alex Laskey a parlé de la façon dont nous pouvons utiliser la psychologie du changement de comportement pour amener les gens à réduire leur consommation d’énergie.
Des étudiants diplômés ont accroché des panneaux sur les poignées de porte des gens pour leur demander d’éteindre leur climatisation et allumer leurs ventilateurs. Le message des panneaux utilisés était varié.
Quel message a été le plus efficace selon vous ?
– Économisez de l’argent
– Sauver la planète
– Soyez un bon citoyen.
En fait, aucun d’entre eux ne l’était.
Personne ne prêta attention. Personne n’a éteint son climatiseur.
Mais un quatrième message a fonctionné :
– Vos voisins font mieux.
Lors d’un sondage, 77% de vos voisins ont dit qu’ils éteignaient leurs climatiseurs et allumaient leurs ventilateurs. S’il vous plaît, rejoignez-les.
C’est une preuve sociale au travail. Robert Cialdini, auteur du livre classique « Influence », a expliqué dans mon entretien avec lui que « les gens seront enclins à dire oui à votre demande si vous leur donnez la preuve que des gens comme eux ont dit oui aussi. »
Nous n’aimons pas penser que nous sommes influencés par le comportement d’autres personnes, mais nous le sommes tous. Et l’une des meilleures façons de provoquer un changement de comportement est d’exploiter cela. »
Mon commentaire : La Kabbale utilise cette grande propriété de l’influence de l’environnement sur les gens pour leur correction. Sous l’influence de l’environnement, une personne est même prête à faire des actions altruistes. C’est pourquoi, lorsqu’elle est placée dans un tel environnement, elle sera en mesure de se soumettre sans consentement préalable. Ainsi, au lieu d’essayer d’influencer une personne, nous devons créer un bon environnement autour d’elle.