Monthly Archives: octobre 2011

Ecriver une lettre sur votre coeur

Dr. Michael Laitman with studentsSi nous nous souhaitons mutuellement une bonne et heureuse Année et notre « inscription dans le livre de vie», nos paroles contiennent la force supérieure. Après tout, nous sommes reliés les uns aux autres par la préparation mutuelle, par le souvenir correct, par lequel nous décrivions tous nos attributs sur fond blanc. 

Le fond blanc sur lequel nous écrivons, est cette même garantie mutuelle, que nous pouvons percevoir comme «la blancheur» du groupe, contre lequel nous examinons nos désirs, nos attributs, et contre lequel nous voyons à quel point ils sont opposés au groupe, à quel point ils sont inaptes à l’union avec lui. Néanmoins, je termine cette écriture et ne capitule pas. Je continue, de plus en plus, à analyser les contradictions. 

Ce travail, effectué le mois avant la nouvelle année, est conditionné par le principe selon lequel «une personne aspirant au Créateur (Israël), la lumière qui corrige (la Torah), et la Force Supérieure (le Créateur) sont un. » Israël est celui qui veut s’unir avec les autres. La Torah est la lumière qui les corrige le mauvais penchant révélé uniquement par le travail au sein du groupe. Ce n’est que dans le groupe, que nous découvrons notre mauvais penchant, noir sur le blanc, si j’imagine le groupe comme étant complètement «blanc», corrigé. Et si nous voulons atteindre cette blancheur générale, découvrir le Créateur dans notre connexion, Il se révèle, et nous recevons Sa «signature». 
Nous écrivons tous ces «informations» sur notre propre cœur. Le cœur de l’homme se compose de « 613 » désirs qui ne sont, actuellement, pas encore corrigés, c’est le mauvais penchant, le désir corrompu, et le cœur brisé. C’est ce cœur que nous aspirons à corriger. Et sa correction se fait en connectant nos cœurs tous ensembles. 

Dans l’état futur, l’ensemble de nos cœurs et toutes nos pensées seront connectés, de telle façon que l’esprit et le cœur fusionneront en un seul tout, et nous serons tous comme un. Dans l’espoir d’atteindre cet état, chacun de nous, écrit sa lettre …. 

Et si nous l’écrivons de cette façon, nous ne faisons pas que d’écrire une lettre. Nous écrivons le livre de la Torah dans notre cœur. C’est parce que toute la Torah nous parle essentiellement de la révélation du mal en nous et des corrections que nous recevons ensuite d’En haut,de la «blancheur» supérieure. C’est pourquoi nous différencions le noir du blanc, afin de pouvoir écrire avec le premier sur le second. Mais nous devons aussi analyser les attributs du blanc lui-même, de la Lumière environnante. Et pour nous, apprendre à « écrire » n’est que la préparation pour que la Lumière environnante vienne nous éclairer intérieurement. 

En conséquence, le noir reste noir et le blanc reste blanc. Ils sont les bases de notre structure. Mais nous avons déjà inclus les deux en nous et nous avons plongés plus profondément en nous,dans les soi-disant «secrets de la Torah », l’endroit où le noir et le blanc se fondent en un tout unique. Mais il est impossible d’exprimer cette adhésion par écrit. 

Dans le langage écrit, nous n’indiquons pas les Taamin (goûts), les Nekoudot (voyelles, points accompagnant les lettres), et les Taguin (couronnes au-dessus des lettres), la forme exacte ou l’écriture. C’est parce qu’une personne doit les atteindre par le biais d’un travail intérieur, et doit les ajouter ensuite aux lettres. 

Nous pouvons résumer cela ainsi : Nous découvrons notre noirceur par rapport au groupe quand nous imaginons ce dernier comme étant à l’état final, complet, « blanc ». Et quand nous aurons fini ce travail, nous sentirons que nous avons réellement atteint un état où le Créateur doit le terminer, y « apposer sa signature». 

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 25/09/2011, Écrits du Rabash

Brèves pensées sur Shamati, « Lishma est un éveil d’en haut »

Dr. Michael LaitmanLishma est éveil venant d’En-Haut, pourquoi donc avons-nous besoin d’un éveil venant d’en bas?

En vérité, nous sommes incapables de nous connecter par nous-mêmes, nous ne pouvons pas faire un pas en avant, parce que nous sommes tous égoïstes. Mais nous devons essayer et faire des efforts.

Il est écrit : « j’ai travaillé et trouvé. » Si je ne fais pas d’efforts, je ne reçois pas du Supérieur la force de correction. Moi-même, je suis incapable de créer cette force correctrice, je ne peux pas me corriger, mais je dois travailler dur en essayant encore et toujours de le faire. Et puis, en fonction de mes efforts, cette force vient de l’intérieur et me corrige.

Parfois, nous sentons que nous ne comprenons ou nous ne savons rien, et soudain une révélation vient. C’est ce que je dois espérer. Il est écrit à ce sujet : «Ce n’est pas à vous de terminer ce travail mais vous n’êtes pas libre de vous en exempter. » Vous devez vous exercer, car l’effort, que vous y mettez, invite et attire la force qui corrige.

De la 6e leçon au congrès du Toronto 18/09/11

Le monde est dirigé par Goldman Sachs

Opinion (Alessio Rastani,trader): « Goldman Sachs » dirige le monde, et l’euro se prépare à la chute. Les gouvernements ne peuvent pas trouver des solutions aux problèmes.Les économies de millions de gens vont disparaître d’ici un an. Cette crise économique va s’accroître encore plus, comme un cancer. Les craintes pour la fragilité de l’économie européenne sont devenues perceptible ces dernières semaines. 
Mais la chute de l’économie est une bonne nouvelle pour les traders. Nous ne nous soucions pas vraiment que l’économie fonctionne bien. Notre tâche est gagner de l’argent. Personnellement, je rêve de ce moment depuis trois ans. 
Je vais me coucher chaque soir et je rêve d’une prochaine récession.Les traders ne sont pas les seuls qui peuvent bénéficier de la crise. Si vous savez ce qu’il faut faire, quand le marché s’effondre et si vous avez préparé le plan exact, vous pouvez gagner beaucoup d’argent.

Toute la vérité sur moi, noir sur blanc

Dr. Michael LaitmanNotre désir de recevoir du plaisir est dans un processus constant de développement. A partir du moment où ce désir fut créé par la lumière « de l’absence», cette «absence» a commencé à se développer sous l’influence de la Lumière, et continue de le faire – du commencement de la création à sa fin.

A certaines étapes de ce développement, le désir de recevoir n’est pas encore considéré comme la créature et est encore en train de développer son niveau minéral, végétal et animal : le système de la nature spirituelle. L’âme, appelée Adam, «homme», le niveau parlant, est créé plus tard, au sein de cette nature spirituelle. Cette âme se développe également au niveau minéral, végétal, et animal, dans les mondes de BYA (Assiya, le niveau minéral, Yetsira, le niveau végétal, et Briya, le niveau animal).

Cependant, l’homme lui-même doit construire le niveau humain en son sein. Si l’homme ne se construit pas comme un humain, il existe comme un animal et utilise égoïstement tout ce qui l’entoure au niveau minéral, végétal, et animal (tous les mondes de BYA), en prenant le maximum qu’il puisse en tirer. Voilà comment nous nous développons, en aspirantde la nature environnante toutes sortes de satisfactions qui nous aident à nous développer dans notre égoïsme.

Cependant, lorsque nous atteignons le niveau où nous avons pratiquement tout vidé de la nature, nous commençons à sentir que notre désir égoïste est opposé au niveau «humain», le monde d’Atsilout. Nos vies deviennent amères, et nous ne savons pas qui blâmer. Après tout, le monde d’Atsilout nous est caché, et nous existons en-dessous de la Parsa (la frontière qui sépare Atsilout des mondes de BYA).

C’est pourquoi une personne ne comprend pas pourquoi elle est si malheureuse. Il semble qu’elle ait (mise) toute sa vie devant elle pour recevoir du plaisir. Pourtant, nous ne recevons pas la Lumière supplémentaire, qui ne peut pas, du monde d’Atsilout, traverser la Parsa et descendre jusqu’à nous à travers les mondes de BYA, et nous – la partie humaine en nous – nous sentons mal. Cet humain en nous, est opposé au véritable niveau humain, à Zeir Anpin du monde d’Atsilout. C’est ainsi que nous commençons à désirer révéler la source de notre vie, ainsi que sa signification et son but.

Tout notre travail est d’écrire « noir sur blanc. » Le monde d’Atsilout est appelé « blanc. » Le « noir » est notre niveau le plus bas et la couleur du monde d’Assiya. Le rouge est la couleur du monde de Briya, le vert est celle de Yetsira, et le noir est celle d’Assiya. Tout est écrit sur fond blanc, sur la «blancheur supérieure » (Loven Elyon) du monde d’Atsilout.

Une personne qui écrit est celle qui examine et se mesure elle-même par rapport au monde d’Atsilout. Elle souhaite devenir comme l’humain du monde d’Atsilout, mais tout en s’examinant, elle voit à quel point elle ne correspond pas à cette image. C’est ainsi qu’elle avance.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 25/09/2011, Écrits du Rabash

Que nous est-il demandé?

Dr. Michael LaitmanQuestion : Le monde s’attend déjà à voir son effondrement dans un futur proche. Toutefois, exceptés nous, personne ne fait rien, et rien de bon ne se produit.

Réponse : Si nous avions travaillé correctement,le monde se serait réveillé son rêve. Ils ne se réveilleront pas, si nous ne les réveillons pas. Nous sommes les seuls coupables de ce qui se passe. Les gens sont incapables de reprendre conscience par eux-mêmes ; ils ne se réveillent que si vous les secouer.

Cela concerne tout le monde sans exception, y compris les dirigeants du monde et les experts. Certains d’entre eux ont déjà une étincelle de compréhension. Ils voient la situation réelle, du moins un peu, mais ne changent toujours pas leur façon de penser, ils ne saisissent toujours pas qu’ils doivent se changer eux-mêmes, et non pas changer le monde. Nous avons pris l’habitude de changer le monde égoïstement, alors que maintenant c’est l’homme qui a besoin de changer. Des scientifiques ont déjà écrit à ce sujet, mais leurs paroles sont toujours très tournées vers l’extérieur, car ils ne comprennent pas eux-mêmes, ce qu’il se tient derrière eux.
Ainsi, notre travail est nécessaire jusqu’à ce que ces scientifiques décident de venir s’asseoir avec nous pour assister à un cours.

Nous ne pouvons que « secouer » la substancede l’humanité. C’est pourquoi je n’accuse personne. La création de médias de masse, qui influenceront correctement l’environnement, dépend aussi de nous. Tout le poids est placé sur nos épaules et non sur celles d’un autre.

Ainsi, en regardant le monde, je ne fais que d’apprendre la manière, dont approcher ce «bébé» et la manière de mettre une cuillerée de nourriture dans sa bouche. Ici, tout dépend de nous.

Question : Alors, qu’est-ce que nous ne faisons pas ?

Réponse : Nous ne diffusons pas. Comment influencez-vous le monde ? Comment lui communiquez-vous ce que vous recevez lors du cours ? Nous ne faisons pas assez. Après tout, on nous a confié le travail de correction : nous organiser, créer un réseau de connexion entre nous, et par dessus tout, l’étendre à tous nos groupes de par le monde. Nous avons une centaine de groupes, et des millions de gens qui nous écoutent, sans avoir de contact avec nous.

Mais pour une raison quelconque, nous manquons de force et de sagesse pour construire la structure correctement. Nous ne pouvons toujours pas présenter le message qui attirera les gens et ne pouvons toujours pas leur présenter un nouveau programme. Ils ne sont coupables de rien. En fait, ils sont prêts à absorber plus que nous leur donnons.

De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale 23/09/2011, «un commandement»

 

Être reconnaissant de la dissimulation

Dr. Michael LaitmanNous devons  analyser pourquoi le Créateur a créé tout exactement comme Il l’a fait. Tout était dans ses mains et Il aurait pu le faire différemment, n’est-ce pas ? Il n’est pas un habitant de notre monde, qui doit tout accepter comme une chose établie.

Mais pourquoi a-t-Il établi un ordre inverse de désirs et de Lumières, grâce auquel les désirs, qui attirent la Lumière et la révèlent par de grands efforts, ne reçoivent qu’une minuscule illumination, tandis que la plus grande Lumière, qu’ils ne connaissent ou ne ressentent pas, se révèle en un lieu complètement différent ? Pourquoi doit-il en être ainsi ?

Le plus grand avantage à dissimuler l’énorme travail que nous réalisons, est de ne pas nous induire en erreur. Le fait que la grande Lumière tant recherchée, nous soit cachée, est fantastique.

J’effectue une petite action en moi-même, révélant ma connexion avec tous les autres et en les poussant à se connecter, et éveille ainsi une énorme Lumière dans les mondes supérieurs. Cependant, je ne la révèle pas. Ce qui est bien, car si elle devait être révélée, je me fermerais. Je serais tellement fier que mon avancement dans la spiritualité serait terminé. C’est pourquoi, je dois être reconnaissant que la Lumière me soit cachée, protégeant ainsi mon désir.
D’un autre côté, je dois développer le désir de donner. Bien que je voie que je ne reçois aucun profit de mon travail, je veux quand même continuer. Il n’y a pas de récompense, c’est ainsi, mais je me connecte au groupe, à l’environnement, et je ne demande rien d’autre pour moi-même que d’avoir la capacité de donner.

Une telle possibilité existe toujours devant moi. Si je le veux vraiment, tous les chemins me sont ouverts. Ne dites pas que les cieux sont fermés devant vous, tout est ouvert ! Il n’y a aucune restriction sur le don, et il n’y a aucune raison de pleurer. Si vous le faites, cela signifie que vous pleurez de ne pas recevoir égoïstement. Vous pouvez faire ce que vous voulez, mais vous ne pourrez pas récolter quoique ce soit pour vous-même.

Lors du don sans réserve, les désirs et les Lumières les remplissant, nous sont cachés. Cela nous est absolument bénéfique, et nous devons en être reconnaissants. Tout d’abord, cela nous permet de ne pas nous bloquer en raison de l’énorme Lumière, et d’autre part, cela nous permet de développer la qualité du don dans l’obscurité totale.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 20/09/2011, TES

Le chef de la Banque mondiale: attendez la crise!

Dr. Michael LaitmanDans les nouvelles ( De The Vancouver Sun ): «le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, a averti que le monde économique se dirigeait vers une « nouvelle zone dangereuse»….

«La crise financière en Europe est devenue une crise de la dette souveraine, avec de graves conséquences pour l’union monétaire, les banques, et la compétitivité de certains pays ….

« Les États-Unis doivent aborder les questions de la dette, les dépenses, la réforme fiscale pour stimuler la croissance du secteur privé et des politiques commerciales qui est au point mort, en ajoutant crûment un avertissement: «L’économie mondiale va entrer dans une nouvelle zone de danger dès cet automne. »

«Le chef de la Banque mondiale a également exhorté Pékin a accélérer ses réformes structurelles, qui cherche à se développer à partir d’une économie axée sur l’exportation vers un modèle de croissance plus dépendant de la consommation intérieure. »

Mon commentaire: Tout cela est la manifestation de la disparité entre la société, l’industrie, le commerce, et les interrelations puis la révélation aujourd’hui du réseau mondial et global d’interconnexions et d’interdépendances.  La solution à la crise est de créer des connexions similaires entre nous dans la société, l’industrie, le commerce et les relations.

Cela signifie atteindre la garantie mutuelle, la compréhension mutuelle, la coopération et fonctionner comme des pièces d’un mécanisme unique.  Sinon, la nature va nous obliger à une telle interaction par une forte pression

Un point faible devient un point de liberté

Dr. Michael LaitmanLe niveau minéral de la nature a existé pendant des milliards d’années, le niveau végétal de la nature des centaines de millions d’années, le monde animal a été en développement des millions d’années, et puis finalement, seulement 200 à 300 milles ans, l’Homme est apparu.  Pour une longue période de temps, les humains se sont développés de la même façon que les animaux.  L’homme a été entraîné par la force de la nature qui l’a créé et ne lui laissa pas le choix.  Involontairement, nous sommes allés du niveau minéral, à végétal, puis des formes aniamles de l’échelle humaine, jusqu’à ce que nous atteignons le niveau humain au sein de l’humain.

Qu’est-ce qui sépare un homme du niveau précédent?  La différence entre un humain et un animal est qu’un être humain n’agit pas uniquement par instinct, obéissant aveuglément la nature.  La vie d’un animal est entièrement régie par ses instincts, qui sont transmis de génération en génération.  Quelques jours seulement après sa naissance, un animal se lève et est prêt pour une existence indépendante.

Cependant, un homme a besoin d’un environnement propice à sa croissance.  Si une personne est laissée dans les forêts, elle va grandir comme un animal et ressemblera vaguement à un humain: il ne va pas parler ou marcher debout.  Autrement dit, une personne est totalement dépendante de son environnement.  Le type d’environnement la développe et détermine ce qu’elle sera, parce que son développement n’est pas définitivement programmé dans la nature, mais nécessite une mise en œuvre sociale.

Une personne ne possède pas l’instinct nécessaire pour survivre.  Elle ne peut pas discerner une plante médicinale comme un chien ou ne sait pas comment éviter ce qui est nuisible.  Contrairement à un animal, une personne ne peut pas agir en fonction de la programmation instinctive intérieure qui permettrait d’assurer son bien-être.

Nous savons tous ce qui se passerait si nous accordons la liberté à un nouveau-né.  Un animal est beaucoup plus intelligent qu’un bébé, il ne se trompe pas, tandis que les humains font des erreurs tout le temps.  Un animal est doté de tous les instincts nécessaires, tandis qu’une personne a seulement le minimum.

D’autre part, un animal ne peut pas apprendre beaucoup de choses.  Il ne peut pas être formé ou apprivoisé.  Même après avoir vécu pendant des centaines de milliers d’années aux côtés des humains, un chien reste un chien, car il agit selon ses instincts.

Une personne ne possède pas ces instincts.  Elle acquiert des comportements formés de son environnement.  C’est pourquoi l’humanité a atteint un grand niveau de développement en comparaison aux animaux qui ont vécu à leurs côtés et qui sont restés pratiquement inchangés. 

En substance, une personne est habituée à être un animal, mais quelque chose de très important a été instillé en elle:  la capacité de se développer par le biais de son environnement.  Si elle utilise son environnement pour son développement, elle peut obtenir beaucoup de succès.

C’est pourquoi les niveaux minéral, végétal, et animal n’ont aucune liberté de choix.  Une personne, d’autre part, peut induire un développement supplémentaire grâce à un environnement spécifique, ce qui constitue son libre arbitre.  Après tout, une personne peut changer son environnement et ainsi se changer elle-même.

Pour cette raison, le jugement et les calculs élevés existent seulement chez une personne: qui elle est et comment elle a utilisé les opportunités offertes à elle par la nature et si elle a réalisé le libre arbitre, qui détermine tout son développement. [55517] 

À partir du 1er partie de la leçon quotidienne de Kabbale 23/09/2011 , Écrits du Rabash

Utilisons la puissance de l’esprit pour corriger le monde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Vous dites que nous sommes tous liés dans un seul système de désirs, des pensées et d’intentions, et qu’en les changeant par de l’influence de l’environnement, nous ne sommes pas seuls à nous transformer, le monde entier aussi.  Comment nos pensées changent-elles la nature et le monde?

Réponse: Karl Marx a écrit sur ​​la nécessité de traiter le pouvoir de l’esprit comme un moyen d’influencer le monde.  La technologie est une ressource naturelle qui peut être transformée en un outil de volonté humaine pour dominer la nature, ou un outil pour accomplir la volonté de l’homme dans la nature.  Les développements technologiques sont des outils artificiels de l’esprit humain, la réalisation de la puissance du savoir.

La réalisation de la puissance du savoir signifie que la puissance de l’esprit est une forme d’énergie qui peut influencer les processus externes et internes, ou matériels et mentaux.  Le pouvoir de l’esprit et le savoir peuvent changer la matière et devenir ainsi la force qui change la nature externe et interne de l’homme.

Aujourd’hui, l’humanité comme un système intégral mondial, peut utiliser la puissance de l’esprit et les connaissances pour modifier l’environnement naturel, afin de dominer la nature et lui-même.  Cependant, nous réussirons seulement si nous l’utilisons comme un pouvoir pour corriger les connexions intégrales et globales entre nous et les changer à partir de l’égoïste ou du désir de recevoir à ceux du don sans réserve ou de la garantie mutuelle

Plus d’un tiers des Européens rêve d’une Europe unie

Dr. Michael LaitmanAux Nouvelles ( De Zeit Online ): « Une enquête réalisée par Zeit Online a révélé que les Britanniques sont majoritairement opposés à l’idée d’un État supranational européen et fédéral.  Mais le tableau est plus mitigé en Allemagne et en France, où environ un tiers des personnes interrogées soutiennent une l’intégration européenne.

«YouGov» a sondé les citoyens en Grande-Bretagne et en France sur leurs réactions à cette proposition.  Le résultat a été particulièrement frappant en Grande-Bretagne, où 64 % des personnes interrogées rejettent le modèle des États-Unis d’Europe.  Cependant, les gens en France étaient beaucoup plus ouverts à l’idée – 44 % ont dit qu’ils pouvaient imaginer un État supranational européen.   35 % des répondants l’ont rejeté.  »

Mon commentaire: C’est pourquoi il est nécessaire d’éduquer les citoyens de l’UE dans l’esprit de la globalité et l’intégralité, mener des enquêtes et des études consécutives pour surveiller l’évolution de leur avis lors du processus d’éducation, de l’ajuster et de contrôler les résultats.  Puis, après avoir préparé les citoyens et obtenu leur consentement et leur participation, il est possible de commencer un processus progressif d’union.